JO 2024: "Je prends beaucoup de plaisir à regarder", un basketteur star de Team USA exprime son admiration pour Felix Lebrun

Des petites étoiles dans les yeux et un large smile. Tyrese Haliburton n’a pas caché son enthousiasme à l’heure d’évoquer l’ascension fulgurante de Felix Lebrun, mardi soir à l'Arena de Bercy. Interrogé par RMC Sport après la démonstration de Team USA face au Brésil en quart de finale des Jeux olympiques 2024 (122-87), le meneur d’Indiana a exprimé son admiration pour le pongiste français de 17 ans, médaillé de bronze en individuel.

"Il est bon, il est bon", a répondu la star NBA, qui aime beaucoup le ping. Je prends beaucoup de plaisir à regarder le tennis de table. L’engouement pour lui et son frère (Alexis Lebrun) est fantastique. C’est très cool à voir. C’était très sympa de le voir en compétition." Le métronome des Pacers, qui avait déjà vanté le talent des "Lebrun's Brothers" sur les réseaux, s’est déplacé à l’Arena Paris Sud le 29 juillet. Et il a pu voir jouer les deux Français lors de leurs 16es de finale respectifs. Venu pour soutenir l’Américaine Lily Zhang avec son coéquipier Anthony Edwards, il a pu apprécier les skills des Montpelliérains en live. Felix a battu ce jour-là le Suédois Anton Kallberg (4-2) et Alexis a balayé le Croate Tomislav Pucar (4-0).

"Moi, je suis très mauvais", s’amuse Haliburton

Ravi d’être en tribunes, Anthony Edwards a lui aussi vécu pleinement les matchs qui se sont déroulés sous ses yeux, en se levant, en criant et en applaudissant en tribunes. Le phénomène des Minnesota Timberwolves (où évolue notamment Rudy Gobert) est lui-même un bon manieur de raquette, d’après les autres membres de Team USA. Il a même lancé un défi aux joueuses de l’équipe féminine des Etats-Unis, en affirmant qu’il leur marquerait "au moins un point", sous l’œil amusé de Stephen Curry, qui semble lui aussi apprécié la discipline. Tyrese Haliburton, lui, admet ne pas être très à l’aise dans l’exercice. "Moi, je suis très mauvais, très mauvais", nous-t-il lâché avec le sourire lorsqu’on lui a posé la question.