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nul
Par Anonyme, le 08.11.2023
nooooooon moi j'aime bien saint seiya omegaaaa !!!!!
nan plus sérieusement j'ai grandi avec donc ouais forc
Par Anonyme, le 06.09.2023
je me demande qui est plus puissant entre koga et seiya
Par Anonyme, le 23.07.2023
je partage votre avis à 100%100
Par Anonyme, le 10.09.2022
jajaja me gustó mucho la reseña,eres un ***** bro
Par Anonyme, le 03.03.2022
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Date de création : 25.11.2012
Dernière mise à jour :
08.11.2024
119 articles
Aujourd'hui, beaucoup de jeunes, ados ou adultes, sont passionnés par les animés mais le phénomène ne date pas de la génération des 20-30 ans, car bien avant les Dragon Ball Z, Saint Seiya et autres Sailor Moon étaient sortis des séries animées qui ont captivés nos parents. Parmi elles, les précurseurs de l'animation manga telles qu'Albator, Goldorak, Candy et surtout, les Mystérieuses cités d'or.
De bas en haut et de droite à gauche : Esteban notre héros, sa future meuf (on s'en doute) la jolie Zia, le geek Tao, Mendoza le plus classe des persos et l'indispensable duo comique tellement marrant que je ne me souviens plus de leurs noms... *jette un oeil sur wikipédia* ohh ça me reviens ! Pedro et Sancho heuu non c'est l'inverse, Sancho et Pedro
Aaaaahahahahaaaa
Esteban, Zia, Tao les cités d'ooor
Aaaaahahahahaaaaa
Esteban, Zia, Tao les cités d'ooor
Le grand con d'or... ben oui il est en or, moyen de locomotion très utile pour explorer la moitié d'un continent en seulement 39 épisodes
Honnêtement, je n'ai pas vu tous les épisodes, mais la série a matraqué la 5 dans l'émission jeunesse Midi les Zouzous pendant plusieures années consécutives. On suit l'histoire du jeune Esteban, orphelin espagnol qui pars à l'aventure sur les terres mystérieuses du Nouveau Monde, au pays incas en compagnie de Mendoza, un marin ambitieux, ainsi que de Zia une jeune inca et Tao, descendant du peuple Mu (du Bélier?) dont l'ingéniosité sera sans cesse rabâchée par ce dernier. Evidemment, notre héros innocent et immaculé ne pars pas à l'aventure pour s'accaparer les richesses des cités d'or mais pour retrouver son père (au début des années 80, il n'y avait pas que l'argent dans la vie voyons ^^). Après bien des aventures, ils se retrouvent confrontés à des extra-terrestres qui veulent faire je sais plus trop quoi avec leur technologie, bref à la fin de la série, nous découvrons les raisons du titre (ben oui, LES cités d'or alors que tout le monde sait qu'il n'y en a qu'UNE, El Dorado), en fait il existe 7 cités d'or dans le monde !! Ainsi, les aventures d'Esteban ne sont pas finies et la suite animée prévue pour cette année ne devrait plus tarder, à moins qu'elle ne soit déjà finit.
Ce qui me captive le plus n'est pas le scénario en lui-même mais le background, une terre mystérieuse et inexplorée que la main de l'Homme n'avait pas encore gâchée, des paysages divers et variés (des jungles, des montagnes, des villages etc), des animaux exotiques, des peuples complètement inconnus, des croyances différentes de celles des explorateurs font tout l'intérêt de cette série, car je l'avoue, tout ce qui touche à l'animation parlant des incas m'a toujours captivé ! Et elle ne s'est pas arrêtée aux années 80, l'année 2000 fut marquée par la sortie des studios Dreamworks d'un vériable ovni de l'animation (pour moi bien sûr) : La route d'Eldorado !
Sur Altivo le cheval blanc de guerre : Miguel le blond en rouge et Tulio le brun en bleu, nos intrépides pionniers sans peur, explorateurs et défricheurs, découvreurs et bâtisseurs.
Rendre la légende exacte et l'histoire une réalité
Faire de nos rêves une intacte et seule vééritééé.
Le mystère dévoilé, la mythique antiquité, c'est notre destin.
Tin tan taaaaa taaaaan ! Tracer le chemin !
La route d'Eldorado est une fabuleuse aventure comique où deux amis, le rêveur Miguel et le roublard Tulio, suite à un lancer de dé miraculeux contre les marins du redouté conquistador Cortés (il a fait beaucoup parler de lui dans la vie réelle) entrent par hasard en possession de la carte des merveilles du Nouveau Monde qui mène à la cité de l'or, El Dorado. Voulant fuir la milice espagnole (ils sont recherchés comme étant des escrocs), nos deux amis embarqueront par accident sur le navire de Cortés dont l'équipage "a été choisit avec autant de soin que les disciples du Christ", ce qui, vu leurs belles têtes de vainqueurs m'ont tous l'air d'un ramassis de brutes stupides, mais comme Cortez est encore plus brut et grand qu'eux, il est tout naturel que ce soit lui le chef. Miguel et Tulio finissent à fond de cale mais grâce à Altivo, le cheval de guerre de Cortés, ils parviennent à s'échapper, volent une grande barque avec des provisions avec l'intention de ramer jusqu'en Espagne (plan méticuleusement élaboré par Tulio après plusieures heures de coups de boule sur une poutre). Altivo, interessé par la pomme que lui avait promis Miguel en échange d'un pied-de-biche (pour Altivo ça voulait dire "va nous chercher les clés de la cale") saute par dessus bord, nos héros le recueillent sur leur barque et quelques jours à la dérive plus tard, ils échouent sur une plage. Miguel reconnait le rocher en forme de tête de faucon sur la plage déssiné sur la fameuse carte, avec Tulio et Altivo, ils se lancent à la recherche de la cité de l'or avec pour objectif de prendre cet or, de repartir en Espagne et d'acheter l'Espagne !
Les musiques chantées en VF au nombre de 4 (je ne compte pas celle de l'intro bien qu'elle est superbe aussi) sont aussi magnifiques les unes que les autres. On danse sur "c'est dur d'être un vrai dieu", on pleure sur "rien qu'un au revoir", on s'émerveille sur les fantastiques paysages présentés dans la chanson "tracer le chemin" et sur les indigènes dans "je t'adore". Les héros ne sont pas vraiment tout blancs mais ne sont pas méchants et on s'attache facilement à l'innocence de Miguel ou aux gaffes de Tulio, encore plus à leur côté humain (c'est-à-dire imparfait, car ce sont des menteurs et des escrocs, même envers les habitants d'El Dorado). Les autres personnages ont tous leur charme et une personnalité bien à eux.
Enfin, le dernier film animé sur les incas qui est sorti à peine quelques mois plus tard que La route d'El Dorado, produit par les studios Disney au mieux de leur forme à cette époque, Kuzco l'Empereur Mégalo !!!
L'empereur Kuzco, se désignant lui-même comme nombril du monde
On a tous un top 10 de nos Disney préférés, eh bien je vous le dit cash : Kuzco est dans mon palmarès en 2ème position, juste derrière les deux premiers Toy Story ex aequo. L'histoire en elle-même est assez délirante : un empereur de 17 ans se comporte comme un véritable enfant gâté, il fait ce qu'il veut quand il veut et quiconque ose être dans le passage pour "lui pourrir son groove" se verra soulever par la peau du cou par un garde moitié peint en bleu, moitié peint en rouge, de 3 mètres de haut et de 2 tonnes, et se verra jeté par les bons soins du-dit garde par la fenêtre du palais (je précise que le palais se trouve au sommet d'une chaîne de montagne vertigineuse). Il aura 18 ans demain, et pour fêter son anniverssaire comme il se doit, il décide de s'offrir un super cadeau ("ohh! comment me remercier? ^v^ ") Et c'est là qu'entre en scène le brave Pacha.
Avec Kuzco, c'est certainement le gars qui porte le mieux son nom de toute l'histoire de Disney (ne comptez donc pas les filles, comme Belle est belle et Blanche-neige est blanche comme un cul... heu la neige pardon ^^ )
Pacha (prononcé "pas-d'chat") est un respectable chef de village sur une colline dont il possède la maison au sommet, et si il est gentil et généreux, mais Kuzco en a rien à faire, il le convoque pour l'entendre dire que les collines chantaient par chez lui, l'empereur décide alors de bâtir sa piscine (comprenez par là "résidence d'été démesurée") sur ladite colline, rasant au passage le village. Pacha n'est pas d'accord mais se fait chasser. Tout oppose l'empereur et le paysan, de leur physique, leurs places dans la société, leur caractère, jusqu'aux couleurs des vêtements qu'ils portent (vert étant un opposé au rouge, y'a qu'à voir le sabre laser de Luke dans le Retour du Jedi), mais comment diable Pacha peut-il convaincre Kuzco de ne pas raser son village ? Trois mots : Yzma et Kronk.
Attention : la suite de cet article risque de choquer les âmes sensibles. Vous êtes prévenus.
Attention les yeux : voilà Yzma, la con seillère de l'empereur, la preuve vivante que les dinosaures ont vécu sur terre. Observez donc ce visage décharné, obervez ce sourire qui à sa seule vue vous fait frissonner comme en caleçon sur la banquise, et ses tout petits yeux cruels... brrr ! Une vraie tête de tueur !
Yzma semble plus âgée que les belles-mères de Cendrillon et Blanche-neige (en mode vieille sorcière cela va de soi) réunies. Et elle a aussi les talents d'alchimiste de cette fripouille de Jafar ! Bref, un beau jour, le même que celui de la rencontre entre Kuzco et Pacha, Kuzco en a marre de voir la tronche à faire peur sans le faire exprès et décide de la virer. Yzma le prend très mal et, avec Kronk son bras droit (dont je soupçonne qu'il soit un cousin plus ou moins lointain d'Obélix) décide de l'empoisonner. Seulement Kronk se trompe de poison, transformant Kuzco en lama démon (en gros ça ressemble à un lama mais ça parle). Après l'avoir assomé, notre lascar va pour le jeter dans les chutes d'eau du palais mais se ravise, plus ou moins grâce à son ange et son diable d'épaule (invisibles aux yeux des autres, donc quand il leur parle, il donne l'impression de parler tout seul, mais le plus étonnant compte tenu du caractère du lascar, c'est que ça puisse étonner les autres personnages). Se demandant quoi faire du corps enfermé dans un sac, il tribuche sur la queue d'un chat, le sac vole jusqu'à la charette de Pacha qui repartait chez lui. Nous durant son voyage de fabuleux paysages enneigés, montagneux ou de jungle de l'empire Inca sous une musique émouvante. On découvre ainsi sa petite famille, sa femme Chicha enceinte, Chaca la fille et Tipo le fils, aussi malicieux et farceurs que le trio RiFiLou.
Chicha enceinte avec ses deux enfants plongés l'un et l'autre dans un intense débat sur le réalisme d'un rêve où l'on voit son papa embrasser un lama
A peine rentré chez lui, Pacha découvre Kuzco toujours dans le sac qui vient de se réveiller. Kuzco se fait reconnaître par le gentil chef de village et se met en tête de retourner au palais pour ordonner à Yzma de le rechanger en humain, ignorant bien entendu la tentative d'assassinat. Il accuse même Pacha de l'avoir enlevé après l'avoir changé en lama. Puis en plein milieu de la nuit, Kuzco pars dans la jungle, refusant catégoriquement l'aide que Pacha lui propose en échange du déplacement de Kuzcotopia ailleurs. C'est ainsi que commence l'aventure délirante. En plein coeur de l'aventure, om Kuzco et Pacha voyagent à travers l'empire,Yzma devenue impératrice apprend de Kronk que ce dernier a de nouveau échoué, aussi elle décide de partir à l'exploration de l'empire pour retrouver le lama et le tuer pour de bon.
Même changé en lama, Kuzco sait garder son groove et son stupide caractère d'enfant gâté qui ne font que pimenter le voyage. Bien entendu Kuzco évolue durant ce parcours, devenant peu à peu, certes toujours exigeant mais définitivement une personne bien meilleure.
Une suite a vu le jour : "Kuzco 2 King Kronk" se centrant sur le personnage de Kronk reconvertit en honnête cuisinier et chef d'une patrouille de scouts qui compte notamment Tipo et Chaca, de bien moins meilleure qualité au niveau scénaristique et Kuzco réduit à l'état de simple caméo. Et comme beaucoup de succés Disney, le film d'animation fut aussi suivit d'une série mettant en scène Kuzco et sa bande dans "Kuzco un empereur à l'école" où Kuzco, conscient d'être le héros de la série (à la manière de la série Malcolm) y va de ses petits commentaires animés, les codes du film sont abondemment repris (le manège menant au labo secret, les interventions de Kuzco à l'écran quand il juge la situation à son désavantage, Kronk qui se trompe dans les potions qu'Yzma lui donne, les projets complètement irréalistes que formentent Yzma pour que Kuzco rate son diplôme, l'ange et le diable d'épaule de Kronk...) avec Malina, une jeune fille qui a trouvé grâce aux yeux de Kuzco, bien que cette dernière le trouve certes sympatique par moments mais n'est pas dupe quant à la personnalité tiraillée de son prétendant. On découvre aussi la très crédible proviseure Amzy qui est en fait Yzma, dont l'identité secrète n'est inconnue que d'une seule personne : Kronk, toujours surpris quand cette dernière lui révèle son identité (à chaque épisodes -_-').
Franchement, qui pourrait être dupe une seconde à part Obélix et sa famille ?
Pour finir, Kuzco l'empereur mégalo fut adapté sur PS1 dans un jeu tout simplement magnifique, complet et agréable à jouer malgré l'âge du jeu et de la console, correctement doublé, 8 mondes excellents où l'on contrôle Kuzco à travers son empire, du village de Pacha à l'exploration de la jungle de nuit et de jour en passant par les cascades ficelé à un tronc, les montagnes enneigées pour finalement parvenir à la cité impériale, trouver l'entrée secrète pour les catacombes pour finalement aboutir au laboratoire. Comme le disait le Joueur du grenier : "c'est très difficile de trouver de mauvais jeux sur Disney car ils sont pratiquement tous magnifiques!" eh bien Kuzco sur PS1 en fait définitivement parti.
La jaquette du jeu pour conclure ce fantastique article ^^
salut !
très sympathique ton blog , si ça te branche j'anime un petit forum nommé Les ailes immortelles avec pas mal de sections sur les mangas, la japanimation, une grosse partie sur Saint Seiya , Les cités d'or, Dragon Ball, code geass, les franchises des années 80 ( et récentes ) et aussi consacré au cinéma, la Fantasy, le seigneur des anneaux et d'autres choses, si ça t'intéresse n'hésite pas à nous rejoindre !
http://www.les-ailes-immortelles.net/forum/
au plaisir !
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