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Dernière mise à jour : 02.06.2020
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Des Mots et des Ecrits

Je Sens Brûler en Moi un Désir Sauvage

Publié le 11/07/2018 à 20:45 par unevieenauvergne
Je Sens Brûler en Moi un Désir Sauvage

 

 

 

Image associée

 

 

 

 

"Je sens brûler en moi un désir sauvage d'éprouver des sentiments intenses, des sensations ; une rage contre cette existence en demi-teinte, plate, uniforme et stérile ; une envie furieuse de détruire quelque chose, un grand magasin, par exemple, une cathédrale, ou moi-même ; une envie de commettre des actes absurdes et téméraires, d'arracher leur perruque à quelques idoles vénérées, de munir deux ou trois écoliers rebelles du billet tellement désiré qui leur permettrait de partir pour Hambourg, de séduire une petite jeune fille ou de tordre le cou à quelques représentants de l'ordre bourgeois. Car rien ne m'inspire un sentiment plus vif de haine, d'horreur et d'exécration que ce contentement, cette bonne santé, ce bien-être, cet optimisme irréprochable du bourgeois, cette volonté de faire prospérer généreusement le médiocre, le normal, le passable."

 

 

"Le Loup des steppes" H. Hesse

 

 

 

 

 

La Putain du Show-Biz

Publié le 10/07/2018 à 12:04 par unevieenauvergne
La Putain du Show-Biz

 

 

 

 

 

 

Elle est souvent maître-chanteur
Supermarché animateur
La putain du show-biz
Elle est toujours catin du roi
Elle est toujours cul dans la soie
La putain du show-biz
Aux boites à cons tu la verras
Sûr elle va pas à l'opéra
La putain du show-biz
Elle sert la main du politique
Elle vend son image pour l'Afrique
Ma putain du show-biz
Elle est acteur elle est actrice
Pour producteur pour productrice
Ma putain du show-biz
Elle est des dictateurs complice
Elle est tout ce sur quoi je pisse
Ma putain du show-biz
Elle est famille du cinéma
Français comme il se doit
Ma putain du show-biz
Elle se rêve en américaine
Alors elle aime bien faire la chienne
Ma putain du show-biz
Elle est pas femme elle est pas homme
Elle a pas d'genre humain en somme
Ma putain du show-biz
À côté d'elle toutes les putains
D'Hambourg ou bien de Singapour
Ont des airs de marquises
Elle m'invite souvent aux médias
Tu comprends pourquoi j'y vais pas
Hé ma putain du show-biz
Faut pas m'en vouloir si j'préfère
Moi les putains qui boivent d'la bière
Aux comtesses aux marquises
Elle est parisienne boîte de nuit
L'a ses entrées dans tout Paris
Ma putain du show-biz
Elle fait dans l'Art ou la Culture
Enfin elle chie surtout dans la sciure
Ma putain du show-biz
Elle gobe des drogues amphétamines
Elle est loin des filles à l'usine
Ma putain du show-biz
Elle vend sa mère pour cocaïne
Pour voir son cul dans les magazines
Ma putain du show-biz
Elle est journaleux pour qu'ça gobe
Chez les prolétaires sur des blogs
Ma putain du show-biz
Elle est radio elle est télé
Elle est sur le net bon marché
Ma putain du show-biz
Tu peux la streamer si tu veux
Tu peux la niquer si tu peux
Ma putain du show-biz
Elle est suicide aux real-tv
De culturelles assassinées
Ma putain du show-biz
Elle est mannequin elle est mannequine
Sur tous les réseaux elle tapine
Ma putain du show-biz
Elle sent toujours le bois d'Boulogne
Même quand elle met son eau de Cologne
Ma putain du show-biz
Elle dit qu'elle joue la comédie
Elle fait des pubs pour parfumerie
Ma putain du show-biz
Sûr pour des gloires pour un quart d'heure
Non le pognon n'a pas d'odeur
Ma putain du show-biz
Elle fait des pubs pour des banquiers
Sûr elle fait rire tous les sentiers
Ma putain du show-biz
Tant qu'y'a du client pour payer
Elle aime bien les communautés
Ma putain du show-biz
Sûr qu'elle voudrait m'faire la peau
Mais c'est sans compter sur Brando
Ma putain du show-biz
Si moi j'préfère mon coeur prolo
Si mes affiches ont pas d'métro
Ma putain du show-biz
Si j'rame tout seul sur mon radeau
Si j'préfère mes chiottes aux plateaux
Ma putain du show-biz
Puis même quand j'aurai plus de boulot
Au tout gratuit sur les réseaux
Ma putain du show-biz

C'est la valse des camés
C'est la danse des illettrés
Pour des fascismes à bon marché
De commerciaux
Que des pétasses
Des fausses blondasses
Faut qu'ça suce
Faut qu'ça passe
Pour des connasses à la télé
Y'a du micro

C'est la valse des enculés
La polka des communautés
Allez vas-y suce ton micro
Pour aller vendre au p'tit prolo
Des incultures dans la farine
Putain faut voir comme ça tapine
Sur toutes les ondes tous les réseaux
Pour les épilés du cerveau
Salut toi peuple tatoué
À la connerie s'il vous plaît
Si c'est le règne des cochons
Ramène-moi chez Bonnie torchon
Ça mérite même plus le cachot
Putain ça mériterait Dachau
Ramène-moi chez lulu bistrot
Pour aller s'faire un vieux pogo
Moi j'suis pépé keupon
Et moi j'te nique sur le dancefloor
À la bourrée ou tout c'qui bouge
À l'accordéon j'groove à mort
DJ balance-moi une musette
J'te montre au fond d'mon épuisette
Comment j'niquais sur le dancefloor
Quand toi t'étais dans l'éprouvette

 

Allez viens que j'te prenne
Allez viens que j'te traîne
Le nez dans ta merde abruti
Tous les soirs dans les boites de nuit
Allez viens on s'la cogne
Pour lui apprendre la besogne
Allez viens on s'la met Carpathes
Voir comment elle crie à quatre pattes
Ma putain du show-biz

 

 

 

 

Une Femme Sauvage n’est pas une petite Amie…

Publié le 06/08/2017 à 20:17 par unevieenauvergne
Une Femme Sauvage n’est pas une petite Amie…

 

 

 L’image contient peut-être : ciel, arbre, nuage, nuit, plein air et nature

 

 

 

Une Femme Sauvage n’est pas une petite Amie…

 

Pourras-tu m’aimer au plus profond ? Dans l’obscurité ? Quand tout est à vif ?

Pourras-tu m’aimer quand je serai plus grande que toi, quand ma présence éblouira comme le soleil, quand il sera insoutenable de me regarder directement ?

Pourras-tu m’aimer ainsi aussi ?

Pourras-tu m’aimer sous le ciel étoilé, nu et uni, ma peau fluide comme un clair de lune ?

Pourras-tu m’aimer quand, j’appellerai les éclairs, quand les trottoirs seront brûlés par les semelles de mes pieds, pourras-tu encore m’aimer ?

Qu’arrivera-t-il quand je glacerai la terre et répandrai la poussière pour figer toutes les graines que nous avons plantées ?

Auras-tu confiance dans le retour du Printemps ?

Pourras-tu encore croire en moi quand je te dirai que je vais devenir une rivière déchaînée, que je me répandrai sur tes rêves pour les appeler à la surface de ta vie ?

Pourras-tu me faire confiance, même si tu ne peux pas me dompter ?

Pourras-tu m’aimer même si je suis tout ce qui t’effraie et tout ce que tu admires ?

Auras-tu peur de ma forme changeante ?

Auras-tu peur quand mes yeux brillent comme le flash de ton appareil photo ?

Auras-tu peur qu’ils capturent ton âme ?

Auras-tu peur d’entrer en moi ?

Les plantes carnivores et les fleurs armées de dards empoisonnés ne se trouvent pas dans ma jungle pour t’empêcher de venir. Pas toi.

Ne t’inquiète pas. Elles m’appartiennent, et je t’ai invité ici.

Reste sur le chemin révélé par le clair de lune et tu arriveras à la maison de Baba Yaga: la vieille femme sage… Elle ne t’égarera pas si tu es un cœur pur.

Tu ne pourras pas être avec une femme sauvage si tu crains le grondement du sol, le rugissement des cascades, le coup de tonnerre inattendu dans le ciel.

Si tu veux être en sécurité, retourne dans ta petite chambre, l’obscurité n’est pas pour toi.

Mais si tu veux être déchiré, entre. Laisse-toi être ouvert, cassé, dévoré. Laisse-toi embraser par mon feu.

Je ne te laisserai pas comme tu es arrivé : bien habillé dans tes vêtements fins qui te protégeaient du froid.

Je te laisserai nu et esseulé, agrippé aux draps, cerné par les hiboux, les aigles et les fleurs qui ne s’ouvrent que quand personne ne les regarde.

Alors viens à moi, et sois guéris par l’insupportable légèreté et obscurité de tout ce que tu es. Il n’y a rien en toi qui ne peut m’effrayer : Rien en toi que je n’utiliserai pour te rendre magnifique.

Une femme sauvage n’est pas une petite amie. C’est une aventure avec la nature. Elle est la source de tous tes désirs primaires. Elle est le vent sauvage et correcteur qui déracine les tiges de blé empoisonnées de ta ferme si bien labourée.

Elle plantera des poiriers dans le sillage de ce ravage.

Elle veillera à ce que tu te relèves.

Elle est l’amante qui restaure ta nature

 

Alison Nappi

 

 

 

 

 

 

Créons un Moratoire

Publié le 05/10/2016 à 10:35 par unevieenauvergne
Créons un Moratoire

 

 

 

 

 

 

 

Créons un moratoire

 

Des mots méchants,

 

Des mots qui font mal,

 

Des mots pervers,

 

Des mots non sens,

 

Des mots mal orthographiés,

 

Des conjugaisons incertaines,

 

Des mots mal interprétés,

 

Des mots soudoyés,

 

Des mots sacrifiés.

 

Créons un monde

 

De mots doux,

 

De mots salvateurs,

 

De mots câlins,

 

De mots aimants,

 

De mots sourires.

 

Bref, de mots rêveurs.

 

Alors soyons tous des rêveurs et rêveuses de mots.

 

Comme le disait Elsa Triolet : "Le vrai rêveur est celui qui Rêve de l'impossible"

 

L'Ermite

 

31 mars 2016

 

 

 

 

Quand tu chercheras trop

Publié le 21/09/2016 à 12:31 par unevieenauvergne
Quand tu chercheras trop

 

 

 

 

Quand tu chercheras trop

 

Oui, à quoi tout ça rime

 

Quand t'auras tout vendu

 

Ton âme et ta sublime

 

Elle te fera les gestes

 

Qui font les poésies

 

Et puis qui sait dedans

 

Oui, ce qui fait la vie

 

Qu'importe les chemins

 

Que nous prendrons ensembles

 

Qu'importe sous quels cieux

 

Seront nos mains qui tremblent

 

Et puis si la vieillesse

 

Vient frapper à la porte

 

C'est qu'on aura vécu

 

Ce temps qui nous escorte

 

Je serais avec toi

 

Combattant impossible

 

Je t'apprendrais à voir

 

Ce qu'on garde invisible

 

Et s'il faut que chaque jour

 

Je devienne soleil

 

Pour éteindre la nuit

 

Pour éclairer ton ciel

 

Oui nous serons rois demain

 

Mon amour, toi et moi

 

 

 

J'irais chercher de l'or

 

Pour chacun de tes doigts

 

Et quand les océans

 

Te monteront aux cils

 

J'irais au fond des mers

 

Du noir de tes pupilles

 

Et s'il faut que chaque jour

 

Je devienne soleil

 

Pour éteindre la nuit

 

Pour éclairer ton ciel

 

Nous serons rois demain

 

Mon amour toi et moi.

 

 

 

Saez

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Moi je trouve qu'on

Publié le 21/08/2016 à 17:28 par unevieenauvergne
Moi je trouve qu'on

 

 

 

 

 

 

A. Gavalda

 

 

 

 

 

 

Il faudra inventer chaque jour

Publié le 23/06/2016 à 11:37 par unevieenauvergne
Il faudra inventer chaque jour

 

 

 

 

Il faudra inventer chaque jour,
Pour que l'heure soit claire,
Que le moment soit doux.
L'amour en pétales de vie,
Gardé avec soin dans l'antre infini de l'aube....
Il faudra aimer comme la sève aime la fleur,
Comme les mots aiment l'encre de la mélancolie.
Et poser un regard,
Même éphémère,
Sur l'esquisse de l'instant,
Pour nourrir l'amour afin qu'il ne s'achève.


Carole Riquet.

 

 

Quand je ne pourrai plus te relever

Publié le 22/06/2016 à 10:43 par unevieenauvergne
Quand je ne pourrai plus te relever

 

 

 

 

Quand tes jambes ne fonctionneront plus comme avant
Et quand je ne pourrai plus te relever
Penses tu que notre amour sera toujours aussi grand ?
Ou le temps aura t'il finit de le grever ?
Et chérie, je t'aimerai ...
Jusqu'à ce que tu aies 70 ans
Mon cœur pourra aimer,
Aussi fort que celui d'un enfant
Je pense que les gens tombent amoureux
De façon étrange
Tel que juste en croisant tes yeux
Je vois un ange
Enfin moi je tombe
Amoureux de toi tous les jours
Tu es ma colombe
Aujourd'hui et pour toujours


Repris de Ed Sheerane - Think Out Loud

 

 

 

Alors, elle m’aime comme je Suis

Publié le 13/05/2016 à 10:39 par unevieenauvergne
Alors, elle m’aime comme je Suis

 

 

 

 

 

Alors, elle m’aime comme je suis. Sauvage, Désabusé, Inguérissable, Marginale,  Rebelle. Romantique comme mon coté Obscur !!! Mister Hyde Docteur Jekyll
 Elle me regarde vivre avec tendresse et patience.
C’est à elle seule que j'ai peu liberer mon trop plein d'émotion, de tristesse, j’ai pu parler, me confier petit à petit, par bribes, pour qu’elle sache tout de moi, comme moi d'elle, de nos difficultés à donner notre confiance aux humains et à survivre parmi eux dans ce monde qui fonce a sa perte ...

 

 

 

 

 

 

Laisse-moi t'emmener dans mon monde

Publié le 10/05/2016 à 12:52 par unevieenauvergne
Laisse-moi t'emmener dans mon monde

 

 

 

 

 

 

" Laisse-moi t'emmener dans mon monde, j'y guiderai chacun de tes pas, j'apprendrai tes réveils, j'inventerai tes nuits, je resterai près de toi.

 


J'effacerai tous les destins tracés, recoudrai toutes les blessures. Tes jours de colère, je lierai tes mains dans ton dos pour que tu ne te fasses pas mal, je collerai ma bouche à la tienne pour étouffer tes cris et rien ne sera plus jamais pareil, et si tu es seule, nous serons seuls à deux."

 

 Bien Hélas

 

Elle était comme ça. Comme les pensées qui ne trouvent jamais la paix, comme les nuages qui racontent les saisons. Tu aurais pu la trouver toujours, et pourtant si loin de toute chose. C'était une de celles qui ne s'oublient, mais que rarement appartiennent à quelqu'un ou à quelque chose. C'était d'écume de mer. Tu pouvais presque la toucher mais quand la rejoindre, il était déjà ailleurs...


- Maria Carmela