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Date de création : 17.01.2010
Dernière mise à jour :
09.02.2025
1996 articles
coucou
c'est repartit pour une nouvelle semaine.
j'es père que tu as passer un week end.
moi tranquillement
Par coeurdelouve, le 24.02.2025
nanie, petit passage avec la grippe !!!! bon, je file pour ne pas disséminer le virus... http://arbraca mes.c
Par Pat, le 20.02.2025
coucou
-3 degré pour commencer la semaine.
je ne vais pas sortir.
je te souhaite un bon lundi .
♥♥♥? ?bisou
Par coeurdelouve, le 17.02.2025
nanie, petit passage sous un ciel d'azur .... l' i a, c'est de la fumisterie ... je lui ai demandé de créditer
Par Pat, le 16.02.2025
et bien c'est le jour...donc bonne st valentin que l’on soit bien ou a accompagné, ce jour représente un noble
Par jenicrea, le 14.02.2025
Les étoiles, points d'or, percent les branches noires ;
Le flot huileux et lourd décompose ses moires ;
Sur l'océan blêmi, les nuages ont l'air d'oiseaux prenant la fuite ;
Par moment le vent parle, et dit des mots sans suite...
Tout s'en va, la nature est l'urne mal fermée.
La tempête est écume et la flamme est fumée.
Rien n'est, hors du moment, l'homme n'a rien qu'il prenne, et qu'il tienne, et qu'il garde.
Il tombe heure par heure, et, ruine, il regarde.
L'astre est-il le point fixe en ce mouvant problème ?
Ce ciel que nous voyons fut-il toujours le même ?
Le sera-t-il toujours?
L'homme a-t-il sur son front des clartés éternelles ?
Et verra-t-il toujours les mêmes sentinelles...
Monter aux mêmes tours ?
Victor Hugo
L'aube est moins claire, l'air moins chaud, le ciel moins pur,
Les longs jours sont passés, les mois charmants finissent.
Hélas ! voici déjà les arbres qui jaunissent !
L'automne est triste avec sa bise et son brouillard,
Et l'été qui s'enfuit est un ami qui part.
Victor HUGO
Amis, vive, vive l'orgie !
J'aime la folle nuit
Et la nappe et la nappe rougie
Et les chants et le bruit,
Les dames peu sévères,
Les cavaliers joyeux,
Le vin dans tous les verres,
L'amour l'amour dans tous les yeux !
La tombe est noire,
Les ans sont courts,
Il faut, sans croire
Aux sots discours,
Très souvent boire,
Aimer toujours !
Dans la douce Italie,
Qu'éclaire un si doux ciel,
Tout est joie et folie,
Tout est nectar et miel.
Ayons donc à nos fêtes
Les fleurs et les beautés,
La rose sur nos têtes,
La femme à nos côtés !
Victor Hugo
Un pauvre homme passait dans le givre et le vent.
Je cognai sur ma vitre ; il s'arrêta devant
Ma porte, que j'ouvris d'une façon civile.
Les ânes revenaient du marché de la ville,
Portant les paysans accroupis sur leurs bâts.
C'était le vieux qui vit dans une niche au bas
De la montée, et rêve, attendant, solitaire,
Un rayon du ciel triste, un liard de la terre,
Tendant les mains pour l'homme et les joignant pour Dieu.
Je lui criai : « Venez vous réchauffer un peu.
Comment vous nommez-vous ? »
Il me dit : « Je me nomme Le pauvre. »
Je lui pris la main : « Entrez, brave homme. »
Et je lui fis donner une jatte de lait.
Le vieillard grelottait de froid ; il me parlait,
Et je lui répondais, pensif et sans l'entendre.
« Vos habits sont mouillés », dis-je, « il faut les étendre
Devant la cheminée. » Il s'approcha du feu.
Son manteau, tout mangé des vers, et jadis bleu,
Étalé largement sur la chaude fournaise,
Piqué de mille trous par la lueur de braise,
Couvrait l'âtre, et semblait un ciel noir étoilé.
Et, pendant qu'il séchait ce haillon désolé
D'où ruisselait la pluie et l'eau des fondrières,
Je songeais que cet homme était plein de prières,
Et je regardais, sourd à ce que nous disions,
Sa bure où je voyais des constellations.
Victor Hugo