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Par bou, le 05.05.2019
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Date de création : 04.12.2016
Dernière mise à jour :
02.06.2024
107 articles
Autre précision, je suis issu d’un père bruxellois et d’une mère flamande. Né aux confins de la Wallonie, à sa frontière avec la France, je représentais déjà le PPBDTSS ( Parfait Petit Belge Dans Toute Sa Splendeur).
Mon père ; Raymond, Jacques, Félix LELOUP ( je vous l'ai dit, je me cache derrière un vrai-faux nom ) : successivement garçon de course, soudeur , jardinier, épicier, maçon, concierge et magasinier, né à Saint-Gilles ( Bruxelles ) et âgé de 24 ans.
Ma mère ; Maria Emma MOEDERS ( moeder - mère en flamand – c'est pas con hein ! ) , sans profession ( enfin un peu épicière et concierge à ses heures ), née à Peer dans le Limbourg ( province flamande de Limbourg dans le nord-est de la Belgique ) et âgée de 25 ans.
Ça fait un peu Amélie Poulain hein !
Je pourrais, d’après feu mon père dont le paternel venait du Tournaisis ( contrée du Sud de la Belgique, à sa frontière avec la France ... pas trop marre de mes cours de géographie... ! ), me trouver des origines picardes. Il y a pas mal de « LELOUP » dans le sud-ouest de la Belgique, dans le Nord de la France et même, étonnant, dans le monde entier.
En outre, comble de chance, j’étais né blanc de peau. Pas de racisme dans ces propos, juste un peu de lucidité. Regardez Mickaël Jackson où ça l’a conduit. Il était noir et voulait devenir blanc ; il était gris avant et après sa mort. Ne dit-on pas qu’il vaut mieux « être riche, blanc et en bonne santé que pauvre, noir et malade » Alors…!
Au départ, la chance allait me sourire. J’allais m’appeler « LELOUP » et pas « DUGLAND » !
Je préfère quand même mon nom. ( joli reflet d’écriture )
J’aurais pu m’appeler « COCU, PUT , CONNARD, PROUT » …., j’en passe et des bien pires car ils existent vraiment ces noms là.
C’est vrai qu’un nom est parfois difficile à porter, à supporter. Il vous suit ( ou vous précède ) partout. Il est crié, écrit, chanté. La vie est parfois déjà tellement dure et puis, paf ! …..
Vous vous appelez HANUS. Si si !!! ( elle est vachement présente quand même l’impératrice dans mon histoire ). J’en ai connu un d'Hanus. Pas le mien...un vrai, avec un H.
- « Hé trou de balle, amène ton cul ! », « Quel enculé ce Mec, un vrai merdeux ! » etc………….
Dans la réalité nous n’osions bien entendu pas l’interpeller de cette manière. Non pas par gentillesse ou commisération ; non, il faisait du karaté et était plus fort que nous. Mais ça ne nous empêchait pas de le dire à voix basse, de le susurrer entre nos dents. Hé hé hé…….
Hé voilà ! C’est parti et ça n’en fini plus ; depuis les bancs de l’école, en passant par le service militaire ( quand il existait encore comme au temps de ma jeunesse folle « sic - François Villon » ), au club de sport, au travail, entre amis et même en famille.
D’aucuns ont des noms célèbres, ils sont les fils d’UNTEL ou d’UNETELLE. Certains descendent de familles illustres, de héros légendaires, de savants, d’artistes. D’autres, d’ignobles tyrans, de despotes éclairés ou non, de petites frappes, de voleurs, de drogués.
Sans bien connaître votre famille, il arrive même que l’on vous traite parfois de « fils de pute » ou « fils de con ». Les gens ont bien vite établi une filiation.
Rares sont ceux qui peuvent se vanter d’avoir un père Trappiste ; les enfants issus du clergé sont peu nombreux. Il paraît qu’il y en a quand même eu grâce à l’intervention du Saint-Esprit. Les spermatozoïdes divins tombent comme une pluie d’étoiles sur les jeunes filles en fleurs ( pas sur les femmes parce qu’elles sont déjà mariées et que ce serait de l’adultère ; donc un péché ) et pénètrent par osmose dans l’ovule consacrée. C’est beau, c’est pur hein ! Au lieu de toutes ces galipettes lubriques et mécréantes. Le sexe a uniquement été conçu pour uriner et procréer. « Dixit Los Papos ».
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