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Notre vie en ce monde

L'homme est une durée de temps, chaque jour qui passe est une partie de lui-même qui s'en va...

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Date de création : 13.04.2010
Dernière mise à jour : 07.09.2016
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L'Arbre du " Fruit défendu"?!

Publié le 19/02/2016 à 10:40 par habiboo3 Tags : vie homme dieu Foi Islam
L'Arbre du " Fruit défendu"?!

« Toute action réprouvée et qui semblerait être séduisante et attirante pour l'homme dans cette vie, représente à mon avis, ce fameux et originel "Fruit défendu".

 

Les exégètes musulmans ne sont pas d’accord sur l’espèce de cet arbre dont le Coran tait sciemment. Les uns disent que c’est la vigne, d’autres le palmier, alors que d’autres disent que c’est le figuier etc.…Sans doute par allusion aux boissons alcooliques extraites des fruits fermentés de ces arbres, car celui qui les boit perd la juste mesure et le contrôle de soi, et devient parmi les injustes.

 

Disons simplement que c’est là un symbole établi par Dieu pour éprouver l’obéissance de l’Homme, et ainsi pour lui montrer que dés qu’il outrepasse les limites qui lui a assignées, il devient l’auteur de ses malheurs et de sa propre perte.

 

 

Mais puisque l’homme y a goûté quand même, cela prouve que sa raison seule ne suffit pas à lui faire distinguer le bien du mal, et qu’il a absolument besoin de la direction divine pour rester sur la voie du bonheur et du salut.

Le bien-être de ce bas monde est faux !

Publié le 09/01/2016 à 12:25 par habiboo3 Tags : bas monde paradis foi islam
Le bien-être de ce bas monde est faux !

Le Prophète Mohamed (sala Allah alayhi wa salem) astreignait les siens et lui-même à une vie austére. Ses femmes finirent par se révolter devant de telles privations alors que les butins de guerre venaient chaque jour d’avantage enrichir le trésor de l’Etat. Le Prophète (Sala Allah Alayhi wa salam) leur proposa alors ou bien la séparation à l’amiable ou la poursuite de cette vie de pauvreté. Elles furent toutes unanimes à choisir la seconde proposition, préférant ainsi la vie avec le Messager (paix sur lui) à tous les luxes de ce bas monde.

 

 

 

La véritable folie en ce bas – monde !

Publié le 31/03/2015 à 19:09 par habiboo3 Tags : orgueil mécréance foi image vie moi monde homme background bonne enfants mort dieu cadre animaux jardin pensées islam
La véritable folie en ce bas – monde !

La science des hommes nous apprend que le fou dans ce monde est cet homme dépourvu de raison, de bon sens, un irresponsable dans ses actes, ses pensées, dans sa façon de vivre et de concevoir les choses raisonnablement et qui, généralement et dans la plupart des cas, est placé juridiquement sous le régime de la tutelle.


Cependant et devant la miséricorde d'Allah (Exalté soit-Il ) qui embrasse toute chose et qui ne laisse rien au hasard ni à la bonne étoile, et selon l'avis de beaucoup de nos savants musulmans, le véritable sort de cet homme sort largement du cadre de la science des hommes en ce bas monde.Donc cet homme, cet être humain, ce descendant d'Eve et d'Adam, qui pourtant est semblable à tous les hommes, quelques soient leurs conditions sociales ou intellectuelles, que nous autres les « doués de raison », qualifions de fou, en réalité n'est qu'un homme que Dieu de par sa grande science et sa miséricorde infinie, a voulu éprouvé par une sagesse divine qu'Allah Seul connait le grand mystère.


Notre Seigneur (Exalté soit-Il ) dans sa grande miséricorde à voulu que cet homme soit ainsi éprouvé par cet handicap, cette grande défaillance mentale qui est en réalité une faveur de Dieu et une grande bénédiction pour cet homme, que nous autres les « sages », nous les « intelligents », les « doués de raison », nous les « grands scientifiques », qualifions de fou ou parfois même d'aliéné mental et qu'il nous arrive même et souvent d'interner dans les asiles d'aliénés mentaux.


Dans sa grande science, notre Seigneur (Exalté soit-Il) Le Sage, Le Tout-Connaisseur et à qui rien n'échappe, Sait « Ce qui a été, ce qui serait et ce qui n'a pas été, s'il a été, comme il serait » .Cependant, si Dieu a éprouvé cet homme par la folie, par cet handicap, par cette minorité et cette défaillance mentale, cette grande infériorité de par les hommes, c'est certainement pour son bien et à son grand avantage et si par contre, Dieu a accordé à cet homme sa raison et toutes ses facultés mentales, certainement il aurait vécu dans l'égarement, la perdition et dans la grande mécréance et serait parmi les gens de l'Enfer. « Il se peut que vous ayez de l'aversion pour une chose alors qu'elle vous est un bien. » « Et il se peut que vous aimiez une chose alors qu'elle vous est mauvaise. » « C'est Allah Qui Sait et vous vous ne savez pas. » (Sourate al-Baqarah, 216) .

Interrogé au sujet de la destinée des enfants des mécréants, morts dans l'enfance, le Prophète (Sala Allah alayhi wa salam) a dit : « Qu'Allah est plus sachant de ce qu'ils auraient fait ».Mais une fois mort, ce fou sera certainement généreusement récompensé et Allah (Exalté soit-Il ) le compensera et lui accordera inchallah, le salut éternel et il sera parmi les bienheureux et les pieux dans les Jardins d'Eden.


Par contre et à mon humble avis, la véritable folie dans ce bas monde, c'est autre chose, c'est une autre catégorie d'hommes. Ce sont les gens obstinés, les égarés, ces gens qui manquent de clairvoyance, des gens aveuglés par la folie des grandeurs, des inconscients et des insensés, ces gens qui manquent de discernement, des gens qui malgré leurs connaissances et leur savoir, sont malheureusement incapables de faire la différence entre le bien et le mal, entre la lumière et les ténèbres, entre la voie du salut et celle de l'égarement, entre la voie de la guidance et celle de la perdition.


Dans le saint Coran Allah (Exalté soit-Il) considère cette catégorie d'hommes, ces “grands scientifiques inconscients” pareils aux animaux ou pire encore. Parce que les animaux, ces bêtes, ces faibles créatures, croient en Dieu et ils l'évoquent chacune à sa façon.

Un jour que le Prophète (Sala Allah alayhi wa salam ) marchait avec ses compagnons (qu'Allah les agrée) dans les rues à Médine, ils rencontrèrent un simple d'esprit. Le Prophète ( Sala Allah alayhi wa salam ) leur posa une question: « Qui-est-ce ?» Ils ont dit: -c'est un fou. Il a dit: « Non, c'est un éprouvé , le fou est celui qui désobéit à Dieu » (Rapporté dans une tradition).


Pourrait-il exister en ce monde une plus grande folie que celle de vouloir brader une vie éternellement paradisiaque contre une vie transitoire dont la flamme risque de s'éteindre à n'importe quel instant ? Voilà à mon avis les véritables fous, ces dégénérés, ces grands perdants, ces grands naufragés qui ont préféré cette vie éphémère et combien fragile à l'éternité. Des gens qui ont renié le Seigneur, notre Créateur , et ses Commandements fondamentaux, et leur monde aussi moderne et évolué soit-il, ne peut être en réalité qu'un Asile d'aliénés mentaux. Les véritables fous ne sont autres que les négateurs, ces malheureux qui ont renié Allah(Exalté Soit-Il ) notre Créateur et tous les grands bienfaits qu'Il nous a accordés et que nul en ce monde ne peut ni concevoir ni encore moins imaginer le nombre.


Cependant et quelques soient les fondements de la philosophie humaine, l'homme ne doit surtout pas oublier que Dieu, notre créateur à tous, est plus sachant que ses créatures, aussi savantes soient-elles ! Si la grande sagesse de l'homme en philosophie, ne consisterait pas de reconnaitre Dieu et ses Commandements fondamentaux, il est temps pour cet homme, ce grand ignorant, de revoir sa philosophie et ses principales théories ... Seigneur ! « Nous n'avons aucune connaissance autre que celle que Tu nous as apprise ! »


Dans tous les cas, Le Paradis n'est pas un Asile pour cette dernière catégorie d'aliénés mentaux de ce bas-monde, mais un Jardin d'Eden pour les Sages, les Pieux, les Croyants, ceux qui ont choisi ici-bas, entre la grande folie de renier le Créateur, et la grande sagesse de croire en Dieu, en son Messager (Sala Allah alayhi wa salam)et au jour du Jugement dernier.


Pourquoi certains savants et philosophes sont morts égarés, dans la grande perdition et la mécréance ? Pourquoi ces hommes de sciences, ces ingrats ont pour la plupart quitté cette vie dans des conditions déplorables. Un signe de mauvaise fin de cette première étape de vie et un signe précurseur d'une autre étape de vie qui est éternellement plus horrible et que le cerveau humain ne pourrait imaginer ni en concevoir les terribles tourments. Tout simplement parce que le Seigneur dans sa grâce infinie les a préférés à leurs semblables, leur a donné cette grande mission, cette grande responsabilité, cette faveur de par les hommes , en leur apprenant la science pour leur permettre d'en profiter et en faire profiter le commun des mortels. Mais devant leur obstination, leur égoïsme, leur arrogance, leur reniement et leur entêtement, cette science s'est retournée contre eux, tel un boomerang et s'est transformée en une grande et éternelle ruine de l'âme !

Croyez- moi, chers frères, le moment où l'on est sûr que la Science et la Puissance de Dieu nous atteint, il nous est impossible de Lui désobéir. Et quand on sait que Dieu est Omniscient, on ne désobéira pas à Son ordre. Ne Lui désobéit que celui qui a perdu l'esprit et la raison !


D'après Ibn 'Umar (qu’Allah agrée) : ” Celui qui aime la vie de ce monde souffrira dans l'Au-delà et celui qui aime l'Au-delà souffrira en ce monde : préférez donc ce qui perdure à ce qui est évanescent.” (rapporté par Ettirmidhi).


Dans le saint Coran Allah (Exalté soit-Il) nous apprend :« Celui que Dieu voudra éclairer, II dilatera son cœur pour l'Islam, celui qu'Il voudra égarer aura la poitrine étroite, oppressée comme s'il s'élevait vers le ciel. L'abomination sera le partage des incrédules. Cette doctrine est celle de Dieu, elle est véritable. Nous avons donné des signes à ceux qui réfléchissent. ». Sourate El anâame ( Les troupeaux ) versets 125 et 126.


Dans le saint Coran Allah (Exalté soit-Il) nous apprend également :« Ne voient-ils pas qu'Allah qui a créé les cieux et la terre est capable de créer d'autres êtres semblables à eux ? Il leur a fixé un terme sans aucun doute ; mais les injustes s'obstinent dans leur incrédulité. »

Qui sont les Prophètes arabes ?

Publié le 26/06/2011 à 12:48 par habiboo3 Tags : roman message dieu ange vie
Qui sont les Prophètes arabes ?

Selon un hadith le Prophète Mohammed (sala Allah alayhi wa salam, s’adressant à Abû Dhar (qu’Allah les agrée tous) dit: "les prophètes arabes sont quatre : Hoûd, Salih, chouaib et ton prophète".

Le Prophète Houd (alayhi essalam) :

Après la fin du déluge, le premier prophète envoyé fut Hoûd. Il a été envoyé parmi la tribu de ‘Aad, un nom qui signifie le retour, car ils sont les premiers humains qui ont peuplé la terre après le déluge. Ils ont incarné le retour à la vie, mais ils ne l'ont pas compris et Dieu les a anéantis. Hoûd était arabe. Abû dhar raconte dans un hadith rapporté par Ibn Habbâne : « Le prophète me cita les prophètes et les messagers de Dieu et me dit que parmi eux, quatre sont arabes : Hoûd, Saleh, Chu‘aïb et ton prophète, Abû dhar ».

Le Prophète Hoûd(alayhi essalam) était le petit fils de Sâm qui est lui-même le fils de Noé. Noé est le petit fils du prophète Idris(alayhi essalam) ‘Enoch’ qui est lui-même le petit fils de Chouaib qui est à son tour un petit fils d’Adam. Notons que tous les prophètes sont d'une même famille.

 

Le Prophète Salih (alayhi essalam) :

Le Prophète Salih (‘alayhi Salam), a été envoyé à Thamoud, et son cinquième arrière grand père est Thamoud le fils de Aâd (la tribu de Hoûd). Aâd, quant à lui, a pour quatrième aïeul Sâm le fils de Noé (alayhi Salam). Noé est donc l’ancêtre de Salih qui est l'un des prophètes arabes ".

Le Prophète Chouaib (alayhi essalam) :

Le peuple du prophète Chouaib (alayhi Salam) est envoyé au peuple de Madyan - à Al-Aïka - qu'il prêche à l'unicité d'Allah et au bon comportement. Allah dit: « Et aux Madyan, leur frère Chouaib : Ô mon peuple, dit-il, adorez Allah. Pour vous, pas d'autre divinité que Lui. Une preuve vous est venue de votre Seigneur. Donnez donc la pleine mesure et le poids et ne donnez pas aux gens moins que ce qui leur est dû. Et ne commettez pas de la corruption sur la terre après sa réforme. Ce sera mieux pour vous si vous êtes croyants. Et ne vous placez pas sur tout chemin, menaçant, empêchant du sentier d'Allah celui qui croit en Lui et cherchant à rendre ce sentier tortueux. Rappelez-vous quand vous étiez peu nombreux et qu'Il vous a multipliés en grand nombre. Et regardez ce qui est advenu aux fauteurs de désordre. Si une partie d'entre vous a cru au message avec lequel j'ai été envoyé, et qu'une partie n'a pas cru, patientez donc jusqu'à ce qu'Allah juge parmi nous car Il est le Meilleur des juges » (Sourate 7 :85-87)

Dans une autre sourate Allah Taala dit aussi : « Et (Nous avons envoyé) au Madyan, leur frère Chouaib qui leur dit : "Ô mon peuple, adorez Allah; vous n'avez point de divinité en dehors Lui. Et ne diminuez pas les mesures et le poids. Je vous vois dans l'aisance, et je crains pour vous [si vous ne croyez pas] le châtiment d'un jour qui enveloppera tout. Ô mon peuple, faites équitablement pleine mesure et plein poids, ne dépréciez pas aux gens leurs valeurs et ne semez pas la corruption sur terre. Ce qui demeure auprès d'Allah est meilleur pour vous si vous êtes croyants ! Et je ne suis pas un gardien pour vous”. (Sourate : 11 :84-86)

Le Prophète Mohammed (sala Allah alayhi wa salam) :

Roman;">Le Prophète Mohammed (sala Allah alayhi wa salam) était très religieux et pendant longtemps, il détesta la décadence et l'idolâtrie de la société dans laquelle il vivait.

Roman;">À l'âge de quarante ans, Mohammed(sala Allah alayhi wa salam) reçut sa première révélation de Dieu par l'intermédiaire de l'ange Gabriel(alayhi salam). Les révélations se poursuivirent pendant vingt-trois ans, et ensemble elles formèrent ce que nous connaissons comme le Coran.

Comme le déclare un verset du Coran, “… Mohammad est le Messager de Dieu et le sceau final des prophètes.” (Sourate al-Ahzab: 40), le Prophète Mohammad (sala Allah alayhi wa salam) fut le dernier prophète envoyé à l’humanité. Il était l’exemple vivant de la sublime moralité enseignée par Dieu dans Sa dernière révélation. Bien-aimé de Dieu, il sut inspirer à l’humanité de nobles sentiments par sa proximité avec Lui. C’était aussi Son représentant, noble à Ses yeux, et le bien-aimé de tous les croyants.

 

Ainsi que Dieu l’a révélé dans un autre verset, “Nous allons te révéler des paroles lourdes (très importantes)...” (Sourate al-Muzammil: 5), Il a confié à Son dernier Prophète, Mohammad(sala Allah alayhi wa salam), une lourde responsabilité. Grâce à la fermeté de sa foi en Dieu, ce dernier s’est acquitté de cette mission de la meilleure des façons, en appelant l’humanité entière à suivre, l’Islam, la véritable voie d’Allah et en éclairant de sa lumière le cheminement de tous les croyants.

 

 

 

 

 

 

 

 

Les gens de la caverne

Publié le 04/12/2010 à 16:02 par habiboo3 Tags : histoire amis mort chien revenu
Les gens de la caverne

Les gens de la caverne

Il était une fois un groupe de jeunes garçons qui croyaient très fort en Allah. Mais tous les habitants de la ville étaient méchants avec eux, les menaçaient, les maltraitaient, car ils ne croyaient pas, eux, en Allah. Ils voulaient que les jeunes garçons fassent comme eux. Mais les jeunes garçons refusèrent et s'enfuirent avec leur chien dans une caverne en haut des montagnes.

Quand les jeunes garçons entrèrent dans la caverne, ils se sentirent sous la protection d'Allah. Alors, ils furent sereins, calmes et en paix. Ils se sont alors endormis profondément avec leur chien.

Allah les a protégés de tout. Il les a protégés de la méchanceté des habitants de la ville, de la méchanceté de leur roi aussi. Il les a protégés car ils étaient de sincères croyants en Lui.

Les jeunes garçons dormaient dans un creux de la caverne, un endroit où le soleil ne pouvait les gêner dans leur profond sommeil.

Il en fut ainsi pendant de très longues années ...

Un jour, ils se sont réveillés. L'un d'eux avait alors demandé : «Oh! Combien de temps avons-nous dormi ici?».

Un deuxième lui a alors répondu : «Un jour». Mais il a ensuite repris :«un peu moins».

Ils se sont alors regardés les uns les autres, avec leurs longues barbes, leurs ongles devenus trop longs, et leurs cheveux. Ils se sont alors rendu compte que Dieu les a endormis pendant très longtemps.

Comme ils avaient très faim, ils ont décidé d'envoyer l'un d'eux à la ville pour leur acheter à manger, et lui ont donné des pièces de monnaie.

En arrivant à la ville, le bonhomme n'avait rien reconnu, ni les maisons, ni les habitants ... rien du tout.

Il a enfin aperçu un vendeur de nourriture. Dès qu'il lui a donné les pièces de monnaie, le vendeur l'avait pris pour quelqu'un qui a trouvé un trésor. Car les pièces dataient de quelques centaines d'années. Tout le monde s'est mis autour de lui pour lui poser de curieuses questions.

Il leur a alors raconté leur histoire, ses amis et lui, avec le roi de la ville et les habitants qui ne croyaient pas en Dieu et qui les menaçaient, et qu'ils se sont ensuite réfugiés dans une caverne et croient qu'ils ont dû faire une longue sieste. Mais le vendeur et les autres habitants de cette époque avaient compris qu'il venait d'une époque de quelques centaines d'années, ils en étaient restés stupéfaits.

Avant d'avoir rencontré ce bonhomme, les habitants de la ville de cette époque ne croyaient plus à l'incarnation, et que Dieu est capable de rendre aux êtres humains leurs âmes pour le jugement dernier.

Pour vérifier que le bonhomme disait vrai, tout le monde l'a suivi vers la caverne pour rencontrer ses amis et déchiffrer ce mystère.

Arrivé vers la caverne, le bonhomme leur a demandé de l'attendre dehors, pour qu'il prévienne ses amis de leur visite. Il partit à l'intérieur, mais n'est jamais revenu ... Les habitants les ont trouvés tous morts.

Tout le monde avait alors compris qu'il s'agissait d'un miracle du Créateur Tout Puissant (swt) et qu'Il est capable non seulement de réincarner les hommes après la mort mais de bien d'autres miracles comme celui des bonhommes de la caverne.

                    Source : Site nospetitsmusulmans.com

 

LES SEPT DORMANTS (Sixième partie) Suite…

Publié le 04/09/2010 à 00:10 par habiboo3 Tags : Les sept dormants
LES SEPT DORMANTS (Sixième partie) Suite…

LES SEPT DORMANTS (Sixième partie) Suite et fin.

Alors il leur dit : « Ô gens, ce n’est point ce que vous croyez, et cet argent n’est pas ce qu’il vous a semblé être. Ce n’est que quelques dirhams que j’ai gagnés hier par un certain commerce, je veux en acheter ma nourriture aujourd’hui. Qu’y-a-t-il de surprenant à cela ? Qu’est-ce qui vous a poussés à avoir de telles pensées envers moi ? » Il se prépara à s’en aller, de peur qu’il ne fut reconnu et que son identité ne soit dévoilée, lais ils se mirent à le traiter gentiment, lui tenir des propos doux et engager avec lui la conversation, et qu’il fut grand leur ébahissement, lorsqu’ils surent qu’il était un des nobles jeunes hommes qui étaient enfuis trois-cents neufs années plus tôt de leur roi oppresseur et impie et qu’ils étaient à ce qu’ils avaient entendu, ceux que le roi avaient recherchés sans trouver mais que ces recherches avaient été soldées par un échec. Et que l’homme fut terrorisé lorsqu’il sut qu’ils l’avaient reconnu et connaissaient leur véritable histoire. Alors il eut peur pour lui-même et pour ses compagnons, et se prépara à s’enfuir. Mais quelqu’un dit : « N’aie pas peur, le roi que tu crains est mort depuis prés de trois-cents ans, et le roi actuel qui gouverne ces jours-ci croit en Dieu comme vous le faites. Mais dis-moi, où sont tes compagnons ? ». Alors le jeune homme sut la réalité des choses, et se rendit compte de l’espace de temps qui le séparait de ces gens. Là ne dépassait pas l’état d’un fantôme déambulant, ou d’une ombre mouvante, alors il dit à celui qui lui parlait : « Laissez-moi partir chez mes amis dans la caverne, pour leur conter cette histoire, car ils doivent maintenant trouver mon absence bien longue et doivent s’inquiéter pour moi. Leur histoire parvint au roi qui se hâta de les rencontrer et prit le chemin de leur caverne. Alors, il y vit des êtres vivants qui éclataient de vie et dont le sang coulait dans les veines. Il leur serra les mains et les embrassa, puis les invita à son palais pour y habiter. Mais ils dirent : » Nous ne voulons pas vivre alors que nos enfants et nos petits-fils sont morts, que nos demeures ont disparu, et qu’il n’y a plus de raison pour nous pour tenir à cette vie ». Puis ils s’adressèrent à Dieu en le priant de les choisir prés de lui et de les embrasser de sa miséricorde. Le temps d’un clignement d’œil n’avait pas encore passé qu’ils s’effondrèrent, des corps sans âmes. Quant aux gens, ils dirent : « Dieu nous a probablement fait connaitre afin que nous sachions que la promesse de Dieu est vraie, que la résurrection est réelle, et que l’heure surviendra sans aucun doute ». Ensuite ils se concertèrent et dirent : « Elevons un édifice à l’endroit de la caverne, Dieu seul connait leur secret ». L’avis qui triompha, fut qu’on élèverait un sanctuaire (Sourate de la Caverne – Verset 21). Suite et fin.

LES SEPT DORMANTS (Cinquième partie) :

Publié le 01/09/2010 à 23:28 par habiboo3 Tags : Les sept dormants
LES SEPT DORMANTS (Cinquième partie) :

Suite…) Un troisième ajouta : « L’orque nous nous sommes endormis, il faisait jour, et voici le soleil qui ne s’est pas encore couché. Je crois que nous avons dormi une partie de la journée. » Un quatrième dit : « Laissez ces suppositions de côté, car Dieu sait mieux combien nous avons dormi. Je sens la faim me tirailler comme si je n’avais pas mangé depuis plusieurs nuits. Que l’un de vous se rende en ville, pour nous procurer de la nourriture. Mais qu’il soit prudent et éveillé, avisé et sage, afin que personne ne le reconnaisse et qu’il n’attire pas l’attention. Car s’ils découvrent où nous sommes, ils nous tuerons et nous feront détourner de notre religion. »

Alors, l’un d’eux sortit vers la cité pour se procurer de la nourriture, apeuré et méfiant. Il pénétra dans Ipsos, et qu’elle ne fut sa surprise d’en voir les monuments changés et les bâtiments renversés : Les décombres des palais étaient déversées , les bâtiments en ruines, et voici des visages qu’ils ne connaissait pas et des spectacles qui ne lui étaient point familiers. Ses regards devinrent hagards, il ne cessait de se retourner et l’hésitation apparut dans démarche, et la consternation dans sa perplexité ?

Cet embarras et cette consternation étaient si insistants qu’ils attirèrent les regards sur lui. Quelqu’un lui dit : « Es-tu étranger à ce pays ? Et que contemples-tu ? Que cherches-tu ? »Il répondit : « Je ne suis pas un étranger, mais je voudrais acheter quelques substances et ne trouve pas le marché. »Alors l’homme le prit par la main, et l’emmena chez un marchand. L’habitant de la grotte sortit ses sous et les donna au commerçant, et que ne fut la surprise de dernier de voir les pièces qui dataient de plus de trois cents ans ! Alors il cru être tombé sur un trésor, et que derrière ces sous, il devait en avoir une immense fortune ; les gens se rassemblèrent autour de lui et se précipitèrent vers lui de toutes part. (suite…)

LES SEPT DORMANTS (Qatrième partie)

Publié le 29/08/2010 à 23:56 par habiboo3 Tags : histoires du coran du passé des prophètes de nos prédecesseurs amis chien voyage
LES SEPT DORMANTS (Qatrième partie)

 (Suite…) Quant il fit jour, ils emportèrent leurs ravitaillements, quittèrent leur patrie et émigrèrent au nom de la religion. Un chien les aperçu sur la route, les suivit et se suspendit à leur ombres, et ils ne trouvèrent pas de mal à ce qu’il les accompagnât et veilla sur eux. Ils poursuivirent leur chemin jusqu’à ce que qu’ils atteignent la grotte où ils trouvèrent des fruits qu’ils mangèrent et de l’eau qu’ils burent.

Ensuite, ils s’étendirent pour se dégourdir les membres et récupérer les forces, qu’ils avaient perdues lors du voyage. Mais ils ne tardèrent pas à sentir la somnolence leur caresser les paupières, et bientôt leurs têtes se reposèrent sur la terre dans un sommeil profond. Les nuits succédèrent aux jours, les années se suivirent et les jeunes hommes étaient toujours endormis, blottis dans un sommeil qui ne quittait point leurs paupières.

Le rugissement du vent ne les gênait pas, les grondements du tonnerre ne réussissaient pas à les réveiller, et les rayons du soleil qui s’infiltraient par la brèche de la grotte, qui leur donnaient la lumière et la chaleur, ne parvenaient pas jusqu’à eux. Puis le soleil penchait et se couchait, en réalisant ce que Dieu avait voulu de la préservation de leurs corps. Si un passant avait posé sur eux son regard, il les aurait vus se retourner vers la droite et vers la gauche.

Leurs physionomies transformées, frappant de peur et de terreur celui qui les voyait. Trois-cents et neuf années se sont écoulées depuis leur profond sommeil. Lorsqu’ils se réveillèrent, ils ne pouvaient résistaient à leur faim, ni se dégourdir leurs membres de fatigue, ils n’ont pas pensé qu’ils viennent de passés un aussi long sommeil dans cette caverne. L’un deux demanda : « Il me semble que nous avons dormi pendant de longues heures ? Qu’en pensez-vous mes amis ? ».(A suivre…) Un autre de répondre : « Nous avons dû dormir pendant un jour, car la faim que nous sentons et la fatigue dont nous ressentons le prouvent ».

LES SEPT DORMANTS (troisiéme partie)

Publié le 28/08/2010 à 23:53 par habiboo3 Tags : histoires du Coran du passé des prophètes de nos prédecesseurs
LES SEPT DORMANTS (troisiéme partie)

« Je ne hâterai pas votre supplice ni ne vous punirai, avant que vous ne pensiez à la manière d’agir : Soit vous rejoignez notre secte et vous vous résignez, comme tous les gens, soit tout spectateur verra devant lui des têtes lancées, des membres déchiquetés et du sang qui coulera de vos corps ».

Dieu unit leurs cœurs, les soutint dans leur foi et ils dirent : « Notre roi ! Cette religion, nous n’y sommes pas entrés imitateurs, ni convertis par coercition comme nous ne l’avons pas suivie en ignorants. L’instinct nous y a appelés et nous avons répondu, notre esprit s’en est illuminé et à sa lumière, nous nous sommes avancés. Il est le Dieu Unique, et nous ne prierons autre dieu que Lui.Quant à notre peuple, ils ont adoré les statues par ignorance et imitation, sans être poussés vers elles par un certain pouvoir, ni en témoigner par des preuves. C’est là que notre savoir et notre avis aboutissent.Alors juge de ce que tu voudras ».

Le roi dit : « Allez-vous en aujourd’hui, mais à condition que vous reveniez demain pour que je décide ce qui serait de vous et que je tranche dans votre cas ». Ils s’isolèrent pour se concerter sur la manière d’agir, et peser mûrement la prochaine étape. L’un d’eux dit : « Puisque le roi a découvert notre secret, nous ne pouvons plus demeurer entre ses menaces et ses promesses, ses convoitises et ses avertissements.

Prenons la fuite pour sauver notre religion vers cette caverne dans la montagne, qui serait peut-être, malgré son obscurité et son étroitesse, plus vaste et plus accueillante que cette terre spacieuse où nous ne pouvons adorer Dieu comme nous le voulons, ni proclamer notre religion comme nous l’entendons. Nous ne trouverons pas la paix dans un endroit où nous sommes portés à suivre une religion qui ne nous inspire pas confiance, ni de dignité dans un pays où des opinions qui ne sont pas les nôtres et qui nous sont imposées ».(A suivre…).

DHOUL GARNAIN(ALEXANDRE LE GRAND) SELON LE CORAN)

Publié le 28/08/2010 à 12:59 par habiboo3 Tags : histoires du coran du passé des prophètes de nos prédecesseurs belle enfants homme histoire mer
DHOUL GARNAIN(ALEXANDRE LE GRAND) SELON LE CORAN)

 

Les versets se rapportant à cet illustre homme ne sont pas suffisamment clairs pour en saisir parfaitement la portée historique et la morale qui s'en dégage. Dhou al-Qarnaïn est le nom que le Coran donne à Alexandre le Grand. En arabe, qarn signifie, entre autres, corne. Étant un moyen de défense du bélier ou du taureau, ce terme fut utilisé pour désigner la force et le courage. Il désignait également l'homme audacieux, vaillant, vigoureux dont la chevelure était tressée et donnait ainsi l'apparence de cornes. Il fut appliqué aux personnes nobles par leur double ascendance. Quant à la désignation d'Alexandre par ce nom, elle serait en rapport avec son couvre-chef macédonien. Tabari donne une autre explication : " Alexandre est appelé Dsoul-Qarnaïn pour cette raison qu'il alla d'un bout à l'autre du monde.

Le mot qarn veut dire corne, et on appelle les extrémités du monde cornes. Lui, étant allé aux deux extrémités du monde, tant à l'orient qu'à l'occident, on l'appelle Dsoul-Qarnain. " Dieu donna à Dhou al-Qarnaïn un grand empire d'où il tira sa puissance. Il lui ouvrit le chemin de l'orient et de l'occident et aplanit devant lui les obstacles pour lui permettre de réaliser ses objectifs : " lls t'interrogeront au sujet de Dhou al-Qarnain. Dis : je vais vous raconter une histoire qui le concerne.

Nous avions affermi sa puissance sur la terre et nous l'avons comblé de toutes sortes de biens. Il suivait son chemin" (S. XVIII, 83, 84, 85). A l'ouest, Dhou al-Qarnaïn vit le soleil se coucher dans une source brûlante et rencontra auprès d'elle une peuplade en adoration devant elle : "et quand il eut atteint le couchant du soleil, il vit que le soleil se couchait dans une source bouillante et il trouva un peuple auprès de cette source" (S. XVIII, 86). Nous ne savons rien de cette source et de ce peuple. Le Coran ne nous éclaire pas à ce sujet. Cheikh Hamza Boubekeur se réfère au commentaire de Râzî pour lequel l'expression " source bouillante " n'est qu'une métaphore : " La terre est ronde au milieu du ciel et il n'y a pas de doute sur la position du soleil dans la sphère céleste... Parvenu à la limite de l`occident, Alexandre vit le soleil disparaître comme dans une source - alors qu'il n'en était rien en réalité. Sa vision fut analogue à celle d'un navigateur en mer qui assiste à un coucher de soleil... qui disparaît en réalité au-delà de la mer. "

Quant à la peuplade, il s'agirait d'hommes noirs appelés Nâsik. Mis en face de ces hommes idolâtres, Dhou al-Qarnaïn fut mis par Dieu devant un dilemme : " Nous lui dîmes . O Dhou al-Qarnain ! Tu peux, ou bien châtier ces gens ou te montrer bienveillant envers eux" (S. XVIII, 86). La réponse fut donnée soit par Dieu, soit par Dhou al-Qarnaïn : "Nous allons punir celui qui est injuste ; il sera bientôt ramené vers son Seigneur qui le châtiera d'un terrible châtiment ", "Quant à celui qui croit et qui fait le bien, une très belle récompense lui est réservée et nous lui donnerons des ordres faciles à exécuter " (S. XVIII, 87, 88). Dhou al-Qarnaïn poursuivit son chemin en direction de l'orient et arriva dans une région désertique où la chaleur était accablante.

Il y trouva un autre peuple qui ne portait aucun vêtement et n'avait pas de maisons pour se protéger de l'ardeur du soleil : " Il suivit ensuite un autre chemin. Quand il atteignit l'endroit où le soleil se lève, il vit que le soleil se levait sur un peuple auquel nous n'avions pas donné d'abri pour s'en protéger " (S. XVIII, 89, 90). Se lançant sur une autre route, Dhou al-Qarnaïn s'arrêta devant une digue près de laquelle vivaient des gens croyants, comme l'affirme Tabari. qui ne comprenaient que très peu ce qu'on leur disait : " Il suivait ensuite un autre chemin. Quand il eut atteint un pays situé entre deux digues, il trouva derrière elles un peuple qui pouvait à peine comprendre une parole " (S. XVIII, 92, 93). La région habitée par ce peuple était une vallée située entre deux hautes montagnes.

La population accueillit amicalement Dhou al-Qarnaïn et se soumit à sa religion, celle de Dieu. Deux peuples Ya'jouj et Ma'jouj vivaient au-delà de ces montagnes. Tabari les décrit non sans quelques exagérations : " Leur forme est comme celle des hommes, mais leur taille est de deux coudées, et ils ont des oreilles si longues qu'elles traînent par terre. Ils n'ont pas de vêtement et vont tout nus, et s'accouplent en public, comme les ânes, les boeufs et les bêtes sauvages, sans avoir honte. Quand ils veulent dormir, ils mettent une oreille sous eux et se couvrent de l'autre. Ils n'ensemencent pas la terre ; leur nourriture consiste en graines crues et desséchées de kharnoub.

Ces hommes n'ont pas de religion et ne connaissent pas Dieu ; leur nombre ne diminue jamais, car nul d'entre eux ne meurt avant d'avoir engendré mille enfants, mâles et femelles. Ils sortaient souvent entre ces montagnes et attaquaient les croyant qui étaient de l'autre côté de la montagne, et commettaient des violences. Ils tuaient tous ceux qu`ils rencontraient et dévoraient leur nourriture, herbes, fruits, jusqu'aux feuilles des arbres. Ce croyants n'étaient pas en état de leur résister. " Le peuple de la vallée proposa à Dhou al-Qarnaïn de construire, en échange d'une récompense, une digue capable de repousser les assauts de Ya'jouj et Ma'jouj. Dhou al-Qarnaïn accéda à leur demande sar demander en retour aucun tribut : " Ces gens dirent : O Dhou al-Qarnain !

Les Ya'jouj et les Ma'jouj sèment le scandale sur la terre. Pourrions-non te payer un tribut qui te permettrait de construire une digue entre nous et eux ", " Il dit : la puissance que mon Seigneur m'a donnée est meilleur. Aidez-moi donc avec zèle et je construirai un rempart entre vous et eux" (S. XVIII, 94, 95). Dhou al-Qarnaïn, aidé d'un grand nombre d'hommes rassemblés à cet effet, construisit un immense rempart entre les deux montagnes en se servant de blocs de fer sur lesquels il versa du cuivre en fusion. La digue était si solide et si haute que le peuple des pygmées (Ya'jouj) et celui de géants (Ma'jouj) ne purent plus l'escalader ou la percer : "Apporte-moi des blocs de fer jusqu'à ce que l'espace compris entre les deux monts soit comblé ", " Il dit : soufflez jusqu'à ce qu'un grand feu surgisse ! ", " Il dit : apportez-moi de l'airain fondu, je le verserai dessus ", " Les Ya'jouj, les Ma'jouj se montrèrent incapables d'escalader le rempart ou de pratiquer une brèche " (S. XVIII, 96, 97).

Grâce à cette barrière insurmontable et infranchissable, les croyants ne furent plus menacés par les Ya'jouj et les Ma'jouj. Mais à la fin des temps ces deux peuples sauvages et barbares parviendront à renverser la digue, envahiront la terre qu'ils dévasteront et massacreront les hommes. Ensuite Dieu les anéantira à leur tour.