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corentin78
Description du blog :
ici il va y avoir des chose sur ce que je préfére alors n'hésitez pas a mettre des coms.
Catégorie :
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Date de création :
16.05.2009
Dernière mise à jour :
21.04.2010
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zé moi ! ze szuis venue lol
chouette le site
je reviendrais oui !
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Par lysie, le 24.05.2012
l'om c'est comme ton intelligence s'est presque i-réelle http://oubli.c enterblog.net
Par wéch wéch , le 02.05.2012
bienvenu
Par Anonyme, le 23.11.2011
tu nait pas parisien toi......par asar ......lol
Par Anonyme, le 03.01.2011
Les buteurs à fort rendement ne furent pas légion dans l'histoire du Paris Saint-Germain: une fois passée l'époque des Bianchi, Dahleb et autre Rocheteau, le club parisien n'a pas eu l'opportunité de voir évoluer en son sein un véritable finisseur, enfilant les buts comme des perles. En effet, le dernier buteur parisien à avoir franchi la barre symbolique des vingt buts inscrits en championnat fut Carlos Bianchi (27 buts), lors de la saison 1978-79. La fin des années 90 fut particuièrement symptômatique, le Paris SG échouant à maintes reprises de dégoter un finisseur. Cette période est maintenant révolue, depuis trois ans maintenant, sévit un prédateur aux abords du Parc...
Pedro Miguel Carreiro Resendes, dit Pauleta, est né le 28 avril 1973 à Ponta Delgada, dans l'archipel des Açores. Il effectue ses gammes à l'Uniao Micaelense, club de l'archipel de São Miguel. En 1995, Pauleta rejoint le Grupo Desportivo Estoril Praia, club de la banlieue de Lisbonne, évoluant en Liga de Honra (2ème division portugaise); c'est avec les Canarinhos qu'il effectue ses débuts professionnels: au terme d'une saison pleine, marquée par 19 buts inscrits, Pauleta tape dans l'oeil des recruteurs de l'Union Deportìva Salamanque, et décide de rejoindre la Segunda Division de la Liga espagnole. Loin de décevoir les recruteurs du club, il confirme les espoirs entrevus en lui et s'impose rapidement à la pointe de l'attaque salmantine et permet au club d'accéder à l'élite. Entre temps, il intègre la Seleccão et fête sa première cape le 20 août 1997, face à l'Arménie. Sur la lancée de sa première saison, loin d'être impressionné par le niveau de la Primera Division, Pauleta inscrit 15 buts en championnat, suscitant l'intérêt entre autres du Deportivo La Corogne: il y signe à l'été 1998.
Mais contrairement à ce qu'il s'attendait, Pauleta ne jouit pas d'une place de titulaire à part entière au sein de l'attaque galicienne, barré notamment par un certain Roy Makaay: c'est donc en tant que remplaçant de luxe que l'Aigle des Açores est utilisé par Irureta, coach de l'époque, et même si Pauleta s'acquitte honorablement de son rôle, son bilan comptable en pâtit. Et en dépit d'un titre de champion acquis en 2000, l'Açoréen sent que son avenir s'obscurcit en Galice; l'arrivée à l'orée de l'été 2000 de Valeron et Diego Tristan auront raison de Pauleta qui décide de faire ses valises. Attiré par le challenge proposé par les Girondins de Bordeaux, il rejoint l'effectif ainsi qu'un nouveau championnat dans un total anonymat...
Le 6 août 2000, Pauleta est aligné à la pointe de l'attaque girondine pour son baptême dans l'élite française face à Nantes; il réalise l'exploit rarissime d'inscrire un triplé pour sa première apparition, et assomme l'équipe nantaise. Au terme de la saison, Pauleta s'impose comme la révélation du championnat français: malgré ses carences physiques, il affiche une exceptionnelle régularité dans ses prestations, grâce notamment à un sens du placement inné, une intelligence dans la lecture du jeu et une sobriété alliée à une efficacité devant le but redoutable. L'expression "renard des surfaces" semble avoir son illustration parfaite. Pour sa seconde saison, il excelle sur les pelouses françaises, affichant un ratio impressionnant dans chacune des compétitions auxquelles il participe. Elu par ses pairs meilleur joueur du championnat au terme de l'année, il dispute en Juin avec le Portugal la Coupe du Monde en Asie, s'illustre notamment par un triplé, mais ne peut éviter le fiasco de la Seleccão, prématurément éliminée. Loin d'être abattu, Pauleta enchaîne sur une nouvelle saison où il terrorise les défenses adverses: et non content de décrocher enfin la palme de meilleur buteur de D1, l'Aigle s'adjuge avec son équipe une Coupe de la Ligue, au terme d'une finale où il s'illustre par un doublé, dont un but exceptionnel. A l'issue de cette année, au grand désespoir des afficionadi bordelais, il rejoint le club de la Capitale pour un transfert estimé à 11 millions d'euros.
2005-2006: nouvelle saison, nouvelles ambitions, avec en prime un recrutement conséquent, afin de rassurer Pauleta sur un choix de carrière qui pour l'instant ne semble pas porter ses fruits. Mais une fois n'est pas coutûme, malgré un début de haute volée, le club se morfond progressivement dans les profondeurs du ventre mou. Mais Pauleta, lui, détonne: par son talent et son rendement, mais aussi par son esprit sur et en dehors du terrain; intrônisé capitaine, il se révèle être un parfait meneur d'hommes, capable de tirer son équipe vers le haut, de trouver les mots justes. Sur les pelouses, il démontre une efficacité à toute épreuve, n'accusant que de très brèves pertes de vitesses. La "Pauleta-dépendance" n'aura jamais été aussi forte cette année. Au final, avec 21 buts inscrits en championnat (auxquels on peut ajouter 7 réalisations en coupes nationales), l'Aigle décroche un deuxième titre de meilleur buteur, trompant les pronostics de nombreux "spécialistes" annonçant le déclin de l'aigle des Açores.
Malgré une OPA sauvage lancée par l'ogre lyonnais durant l'été, Pauleta décide finalement de rempiler pour deux saisons au club, au grand soulagement de la communauté des supporters. L'Aigle n'en a donc pas fini de planer sur et en dehors du Parc, au grand dam des défenses adverses, et à la plus grande joie du club et de ses supporters, qui ne peuvent que tirer leur chapeau à un artificier de génie, mais surtout un homme au mental exceptionnel, au dévouement et à la fidélité exemplaire à l'équipe.
Carrière :
- 1994-1995 : Uniao MicaelensePalmarès: