Thierry Sagardoytho
En septembre 2013, le corps d’Abdel, un jeune maçon biarrot, est découvert dans le coffre de son véhicule abandonné, moteur allumé, sur les bords de l’Adour, à Urt. Le malheureux est connu de la justice pour des affaires de stupéfiants, mais est-ce là le mobile du crime ?
La fête bat son plein au bal populaire de Maucor, ce 8 septembre 1984. L’ambiance bon enfant bascule soudain avec l’arrivée d’un groupe de loubards palois venus semer la pagaille. Une rixe éclate. Un appelé du contingent, Laurent, 21 ans, tombe au sol. Il est inconscient…
Au matin du dimanche 3 septembre 2017, les gendarmes sont appelés d’urgence par une habitante de Tarnos. Son amant a été abattu de plusieurs coups de feu alors qu’il dormait dans le lit commun. Que cache cet étrange appel au secours ?
Dans la soirée du 4 juillet 1944, un boucher palois était abattu de deux balles à bout portant par un inconnu, près de son domicile de la Croix du Prince. Ce crime sanglant, survenu un mois après le débarquement des forces alliées en Normandie, a-t-il un lien avec l’occupation allemande ?
Samedi 7 décembre 1996, le village basque d’Ayherre est sous le choc. Marie, une mamie âgée de 91 ans, a été abattue d’un coup de fusil par son neveu dans la cuisine de la ferme. Que s’est-il passé chez ces habitants aussi modestes que tranquilles ?
Dimanche 5 juillet 2009, Marie-Paule, une policière native de Mazères-Lezons, décède dans l’incendie de son véhicule sur l’autoroute A 75 près de Montpellier. Son époux, policier lui aussi, affirme que c’est un accident…
Le village de Mendionde est en émoi ce vendredi 17 juin 1932 : deux bohémiens ivres morts se sont battus à coups de poing et de couteau en plein cœur du village. L’un d’eux est mort sur le coup. Un crime de trop pour la population locale.
En février 1863, les gendarmes repêchaient le corps noyé du meunier du village Ossalois de Bescat. Un an plus tôt, il avait été détroussé de ses économies par un gamin du village qu’il avait accusé sans hésiter. Y a-t-il un lien entre les deux affaires ?
De mars à juin 1984, 3 attentats sanglants sont perpétrés au cœur-même de la cité balnéaire de Biarritz. Point commun à ces trois affaires : les victimes sont des membres présumés de l’organisation basque ETA exécutées à bout portant, en plein jour. Qui se cache derrière cette campagne de terreur ?
Pau, samedi 30 avril 1994, 1 h 45 du matin. Les secours interviennent pour un grave accident de la circulation sur le circuit du prochain Grand Prix automobile. Une voiture roulant à vive allure a percuté un cyclomoteur avant de prendre la fuite. Le bilan est lourd : un mort, un blessé grave.
En mai 1939, des bergers souletins découvrent les corps décapités de deux hommes sur les hauteurs du village de Sainte-Engrâce. Qui sont ces deux hommes sans papier d’identité et surtout, qui leur a fait la peau ? L’enquête débute.
Un matin blafard de novembre 1976, l’agence paloise de la Société Générale est la cible d’un braquage. Le malfaiteur a l’air parfaitement entraîné, mais l’opération ne se passe vraiment pas comme prévu. Qui est ce drôle de malfaiteur ?
Dimanche 18 mai 2014, une jeune femme appelle au secours sur le bord de la route reliant Saint-Pée-Sur-Nivelle à Biarritz. Sa fillette est en état de détresse respiratoire et sa survie serait une question de minutes. Que s’est-il passé ?
Au matin du 30 juin 1994, trois malfaiteurs braquent et prennent en otage le boulanger de Geüs d’Oloron, ses proches et ses employés. Le butin est maigre, mais l’agression va bouleverser durablement les huit victimes. Qui sont ces malfaiteurs visiblement bien renseignés ?
En août 2011, le docteur Nicolas Bonnemaison est mis en examen par un juge d’instruction de Bayonne qui suspecte ce médecin urgentiste quinquagénaire, en fonction à l’hôpital de la Côte basque, d’avoir empoisonné quatre de ses patients. Quel sort l’attend ?
En août 2011, les enquêteurs de la Police Judiciaire interpelaient sur son lieu de travail, le docteur Nicolas Bonnemaison, un médecin urgentiste de l’hôpital de Bayonne, qu’ils suspectent d’avoir empoisonné quatre de ses patients.
Le 15 juin 1944, cinq résistants sont abattus par les allemands dans un bois de la commune d’Idron. L’un d’eux n’a jamais été identifié. 65 ans plus tard, Eric Amouraben (policier palois) rouvre le dossier afin de rendre son nom et son honneur à ce martyr anonyme.
Le paisible village de Sare est sous le choc en ce matin du 20 mars 1869. Trois malfaiteurs se sont introduits la veille dans la demeure du docteur Dithurbide, tuant l’un des domestiques avant de prendre la fuite.
Au matin du samedi 29 mai 1948, les policiers découvraient le corps tuméfié d’une mamie habitant un immeuble des bas-fonds de Bizanos. Celle que chacun surnommait ici la mère Croquignol était si pauvre qu’il n’y avait rien à voler chez elle…
1er mars 1984, les policiers s’apprêtent à interpeller l’un des chefs d'Iparetarrak dans le quartier bayonnais des Arènes. L’opération va hélas tourner au drame. Un coup de feu blesse mortellement un certain Didier Lafitte. Une balle perdue, selon la police. Une exécution, selon ses proches.
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