M. Koné (4')
L. Digne (7')
L. Openda (7')
Y. Tielemans (38')
FRA
(29’) R. Kolo Muani
(57’) O. Dembélé
2
0
BEL
Terminé
%
FRA
46%
BEL
54%
FRA
9
BEL
4
FRA
445
BEL
513
FRA
38
BEL
35
FRA
8
BEL
10
FRA
4
BEL
7
D'après la presse belge, qui s'appuie sur des images dévoilées par RTL sports, après la défaite (0-2) contre l'équipe de France, Kevin De Bruyne aurait annoncé au directeur technique de la sélection belge sa volonté de tout arrêter. Pour de bon cette fois-ci.
Apparu dépité après la rencontre, désœuvré, sans solution, impuissant, et surtout furieux contre la prestation d’ensemble de l’équipe, le joueur de Manchester City a déversé sa colère sur ses coéquipiers, employant des mots très durs auxquels la presse belge n’était pas habituée venant de sa part.
Mais c’est surtout son attitude et ce sentiment qu’il a diffusé auprès d’un directeur technique sur le départ (ndlr, il ne sera pas prolongé), Franky Vercauteren, au bord du terrain, qui a interpellé la presse, comme s’il voulait tout abandonner.
De cet échange loin des caméras, mais suffisamment près pour être interprété, nos confrères belges ont cru deviner un "Ik Stop" ("j'arrête") sortant de la bouche de Kevin De Bruyne, des paroles que ce dernier aurait répété à Franky Vercauteren.
>> Les détails et la vidéo de cet échange qui fait trembler la Belgique sont dans cet article
Après s'être fâché avec Courtois et avoir écarté Lukaku, Tedesco n'a plus que De Bruyne comme star mondiale sur le terrain. Et il tente de déminer après la sortie sans gants de son capitaine. Le sélectionneur de la Belgique comprend la colère de son leader. "Il ressent sans doute de la déception, beaucoup de déception", a réagi le technicien italiano-allemand. "C’est un garçon qui a toujours beaucoup d'émotions. C'est normal de ressentir des sentiments négatifs dans ce genre de situations. On avait beaucoup de choses sous contrôle, on devait marquer. On a eu trois belles possibilités. C’est un problème sur lequel on travaille depuis longtemps. Si tu veux ramener quelque chose, tu dois marquer un but quand tu domines le début de rencontre de la sorte. Est-ce que je redoute qu'il annonce sa retraite internationale ? Non. On ne parle pas de ce genre de choses. Il ressent beaucoup d'émotions, c'est humain."
Kevin De Bruyne, capitaine de la Belgique, a fustigé le comportement de certains de ses coéquipiers après la défaite en France (2-0) lundi lors de la deuxième journée de la Ligue des Nations.
>> Plus d'infos ici: De Bruyne fracasse ses coéquipiers après la défaite face aux Bleus
"Oui, la France est plus forte que nous", a-t-il lancé à la presse belge. "On restait à six derrière. Même en deuxième mi-temps, quand on était mené, il n'y avait pas de transition. Mais ce n'est pas seulement la transition qui n'était pas bonne, mais aussi la façon dont nous avons joué. Certains joueurs n'ont pas effectué leurs tâches. Point à la ligne."
Relancé sur les axes à améliorer de son équipe, l’ancien joueur de Wolfsburg et du Werder Brême s’est encore montré très cinglant. "Je ne peux vraiment pas dire cela devant votre micro", a-t-il réagi sur la chaîne VTM. "Je disais tout haut ce que je pensais à Genk quand j'avais 18 ans, mais je ne le fais plus à 33 ans. J'ai dit mes vérités dans le vestiaire à la mi-temps. Quand on n'est pas assez bon pour le top, il faut tout donner et je n'ai même pas vu cela. Je peux accepter qu'on ne soit plus si bon qu'en 2018 – je suis le premier à avoir dit cela – mais je ne peux pas tolérer la façon dont on a joué ce soir."
Entré en jeu à la 67e minute de jeu, Bradley Barcola a eu le droit à une bronca du Groupama Stadium. Un accueil spécial pour celui qui a quitté l'Olympique Lyonnais en 2023 (pour Paris) contre 50 millions d'euros. "Je ne vais pas pointer du doigt un club ou un autre. C'est le seul regret quand on va jouer en province où il peut y avoir ce type de réaction", a commenté Didier Deschamps en conférence de presse d'après-match. Mais le sélectionneur s'est montré très agacé pendant la rencontre. Il s'est levé à deux reprises avec son adjoint Guy Stéphan dès que le public sifflait l'attaquant alors qu'il touchait ses premiers ballons. De quoi agacer "DD" qui ne peut pas admettre qu'un joueur français soit sifflé alors qu'il n'a pas encore eu la moindre occasion dans le jeu.
AP
Jules Koundé en zone mixte: "On a fait un bien meilleur match que contre l'Italie. On a eu un démarrage un peu difficile mais après on s'est bien mis en route, le but nous a fait du bien et on aurait pu en mettre encore plus. On était mieux, on a mis les ingrédients qu'il fallait pour gagner ce match. On était sur deux défaites d'affilée, il fallait absolument gagner ce soir."
"Il ne faut jamais être trop négatif quand les choses ne vont pas bien, ni être en excès de positivité quand on gagne. Il y a encore une marge de progression, même si c'est plus conforme à nos standards."
Les sifflets pour Barcola? "Surprenant je ne sais pas... Il n'en a pas trop fait de cas. Surpris non, mais c'est toujours dommage quand on représente l'équipe de France, c'est bien de mettre les clubs et les rivalités de côté."
Mattéo Guendouzi en zone mixte: "On avait à cœur de répondre présent ce soir, de faire beaucoup mieux que vendredi dernier, ça a été réussi. À titre personnel, c'est toujours une immense fierté d'être en sélection, mais le plus important c'est le collectif."
"Défensivement on a été très solides, et offensivement on a eu beaucoup de situations. Il y a beaucoup de positif ce soir. Mais il y a aussi des points négatifs à corriger. (...) Si on continue sur cette lancée on pourra faire de bonnes choses."
Les sifflets? "Honnêtement, ça fait un moment qu'on sait maintenant que peu importe le stade dans lequel on joue, il y a des sifflets par rapport au club dans lequel on a évolué. Mais on fait abstraction de tout ça."
"Je n’ai pas entendu, j’étais dans le vestiaire. J’ai juste entendu ceux pour Bradley. Je ne vais pas pointer du doigt un club plus qu’un autre, mais c’est le seul regret quand on va jouer en province, ce type de réaction. Par rapport à moi, je n’ai pas de souci avec ça, même si je savais que pour différentes raisons, je n’avais pas énormément de supporters inconditionnels à Lyon (sourire). (…) Les critiques ça fait partie de la vie de footballeur, d’entraîneur, de sélectionneur. Il y a de la place pour tout, je ne dis pas lui il a tort ou il a raison, c’est comme ça… Je pars du principe que c’est à moi de fixer des objectifs, des orientations, je ne suis pas têtu ou obtus mais j’agis parce que j’estime que c’est le moment."
Daniel Riolo dans l'After Foot, sur les sifflets qui ont visé - principalement - Didier Deschamps et Kylian Mbappé au Groupama Stadium: "Ils incarnent ce désamour. Deschamps incarne le fait qu’on s’emmerde quand on regarde l’équipe de France, et Mbappé incarne un peu la désillusion par rapport à ce joueur, son caractère, tout ce qu’il se passe depuis un an, tout ce qu’il représente dans ce foot qui marche à l’envers et ne plait plus…"
"Les deux sont liés. Mbappé sauvait sans arrêt le derrière de Deschamps depuis la Coupe du monde 2022. Aujourd’hui Mbappé est médiocre, l’équipe de France n’est pas bonne, même si ce soir il faudra souligner au moins sa réaction d’orgueil intéressante au vu du contexte, et il y a un Deschamps qui se retrouve avec une équipe à reconstruire."
Ousmane Dembélé ne le cache pas, le climat était "un peu tendu" après la déroute contre l'Italie.
"Il y a toujours des mauvaises passes dans le football", évacue le Parisien. "Ça nous a piqué cette défaite contre l’Italie."
"Ça fait plaisir", a déclaré le Parisien au micro de TF1, buteur ce soir. "J’ai décidé de tirer, je savais que j’allais avoir l’opportunité de tirer."
"On me dit que je suis trop généreux et que je cherche trop à faire la passe. J’ai décidé de tenter ma chance. Cette saison je vais essayer de tenter encore plus ma chance, d’être plus personnel."
Son entraîneur au PSG, Luis Enrique, lui "rabache tout le temps" de tenter sa chance. "Cette année, je fais beaucoup d’exercices de finition. Chaque entraînement, j’essaye de travailler ça".
Aujourd'hui, "quand je dribble, un, deux (joueurs), je manque de fraîcheur sur ma frappe", reconnaît-il.
Didier Deschamps sur TF1: "Kylian se sent bien. Évidemment, comme la quasi-totalité des joueurs il n'est pas encore à 100%. Sa période de disette? Connaissant son exigence là-dessus... Il en marquera des buts Kylian. On s'est peut-être un peu trop focalisés sur lui. Ça ne se fait pas en claquant des doigts. Mais je le répète, l'équipe de France sera toujours plus forte avec lui. (...) Je suis convaincu que dans un mois il sera mieux. Il y a des exigences très élevées dans son club. Avec nous il assume totalement son rôle de capitaine, même quand il ne joue pas. Je n'ai aucune inquiétude avec Kylian."
Didier Deschamps sur les critiques et les sifflets (TF1): "Je n'ai pas entendu les sifflets. Mais vous savez, les critiques je ne vais pas dire que je suis né avec, mais ça fait partie du jeu, c'est ma responsabilité, moi je suis en immersion par rapport à tout ce qui se passe. Ça n'a pas d'influence sur moi, mais sur les joueurs, l'environnement... Quand on vient, on supporte l'équipe de France, alors les sifflets... Que des gens soient mécontents, déçus, qu'ils le manifestent, pourquoi pas, mais là quand les joueurs sont sur le terrain... Je ne pense pas que ce soit pour le bien de l'équipe de France."
Didier Deschamps sur TF1: "Même s'il se fait cartonner très tôt encore, ce qui n'est pas idéal quand on est milieu défensif... Mais quand on est jeune, l'apprentissage passe par des fautes. Paul Pogba avait pris un rouge pour ses débuts. C'est très bien ce qu'il a fait."
Didier Deschamps sur TF1: "La situation était compliquée, bien évidemment. Jouer une équipe de Belgique avec la qualité qu'elle a, c'est... On a été un peu fébrile sur le début du match, après on a fait beaucoup de bonnes choses collectivement, individuellement aussi, avec des nouveaux joueurs qui n'avaient pas l'expérience et le statut international. (...) On a eu des réponses plus positives aujourd'hui que lors du premier match. Ça ne veut pas dire que ceux du premier match ne sont pas à la hauteur, mais c'est bien d'avoir eu une réaction."
Le retour de la solidité défensive? "On va dire que je ne pense qu'à défendre, mais c'est le haut niveau, il y a besoin de ça. (...) C'est une très bonne chose. Ce n'est pas ce qui fait gagner les matchs, mais ça permet d'avoir plus de sérénité, de force."
"On n’a pas fait ce qu’il fallait contre l’Italie. Je vous avais dit qu’on allait faire ce qu’il fallait contre la Belgique pour avoir une réaction", s'est-il réjouit.
Manu Koné a marqué cette rencontre par son activité. "C’est ce que j’aime, prendre du plaisir avant tout à défendre, à attaquer. J’aime avoir la balle. Quand on a le ballon, c’est plus facile. J’ai pris du plaisir aujourd’hui grâce à l’équipe qui m’a mis en confiance. Je suis quelqu’un de serein, j’arrive à supporter la pression."
Le néo romain garde la tête froide après cette belle première titularisation. "Je sais que je viens de loin. C’est une fierté pour le monde, ma famille, ma ville."
Très solide ce soir, Jules Koundé a salué le "bon match, solide" réalisé par son équipe. "On a mis un peu de temps à rentrer dedans mais ce but nous a fait du bien", a-t-il déclaré au micro de TF1
Pour lui, "c’était important de reprendre trois points". "On avait à cœur de se racheter de notre mauvaise performance", souligne le Barcelonais.
Après la déroute contre l'Italie, "on n’était pas forcément inquiets. On était frustrés. Je pense qu’il fallait faire notre autocritique. On n’avait pas mis tous les ingrédients pour remporter ce match".
Dans l'autre match du soir, l'Italie a battu Israël 2-1.
Le classement après deux journées :
Après une défaite face à l'Italie, la France retrouve le goût de la victoire et avec la manière. Les Bleus ont pris le meilleur sur la Belgique (2-0). Ils décrochent leurs trois premiers points dans cette compétition.
Youssouf Fofana va avoir le droit à quelques secondes dans ce match. N'Golo Kanté cède sa place sous l'ovation du Groupama Stadium.
Quatre minutes ont été ajoutées à cette rencontre de la Ligue des nations. Les Bleus sont bien partis pour prendre leur trois premiers points dans ce groupe.
Les entrants français sont particulièrement maladroits offensivement depuuis leur entrée en jeu. Pourtant la défense belge laisse des opportunités.
Le défenseur français s'impose avec autorité sur Duranville. Son geste défensif est salué par le Groupama Stadium.
Dans un angle très fermé, Barcola frappe fort au premier poteau mais c'est repoussé par Casteels qui avait fermé la porte.
L'ancien Lyonnais est seul dans la surface et prend de vitesse Meunier mais sa mauvaise dernière touche permet le retour de Debast.
Le sélectionneur belge lance deux joueurs dans cette rencontre juste après les deux changements de Deschamps. Meunier et Duranville remplacent Castagne et Doku.
Le sélectionneur des Bleus fait sortir Dembélé et Guendouzi. Olise et Griezmann font leur entrée. 137e sélection avec les Bleus pour ce dernier qui égale Olivier Giroud parmi les Français les plus sélectionnés.
Quel travail au milieu de terrain de la part du milieu français. Il récupère et arrive à faire une sublime relance.
L'attaquant madrilène s'excentre après un passement de jambes et tire mais c'est trop croisé et le cadre se dérobe.
Mangala essaye d'alerter Castagne dans la profondeur mais c'est trop long pour le latéral belge. Les Diables rouges semblent impuissants.
Le latéral français se charge d'un coup-franc lointain mais a inquiété Casteels qui s'était détendu de tout son long.
Dembélé lance Mbappé dans la profondeur qui perd son duel avec Casteels. Les Bleus vont avoir des espaces dans cette fin de match.
Le meneur de jeu belge rentre dans la surface et essaye de surprendre Maignan au premier poteau mais le gardien milanais repousse sans difficulté.
Troisième changement pour le sélectionneur de la Belgique avec l'entrée de De Ketelaere à la place d'Openda.
Le buteur du Real Madrid hérite du ballon dans la surface, se retourne et enchaine par une frappe enroulée qui fuit le cadre.
L'ancien Lyonnais n'a pas que des amis au Groupama Stadium. Il rentre sous les sifflets de son ancien public. Il remplace Marcus Thuram. Kylian Mbappé rentre aussi en jeu et remplace Kolo Muani, buteur ce soir.
Quel geste de Ousmane Dembélé sur Jérémy Doku qui a eu le sourire sur ce petit pont.
Jules Koundé souffre après un choc avec Jérémy Doku qui lui est rentré dedans. Il semblerait que ce soit juste un coup.
Domenico Tedesco fait les premiers changements de la soirée avec les entrées de Bakayako et Mangala. Ils remplacent Lukebakio et Tielemans.
Le milieu français a fait le repli défensif et contre la frappe malicieuse de Kevin De Bruyne en une touche de balle.
QUEL ENCHAINEMENT DE DEMBELE QUI MET LES BLEUS A L'ABRI !! Il rentre dans la surface belge, se remet sur son pied gauche et enchaine d'une frappe limpide sous la barre.
Le latéral barcelonais est totalement seul après ce gros travail de Dembélé. Malheureusement pour les Bleus, le centre de Koundé est trop rapide pour que Guendouzi ne le reprenne.
Le défenseur belge jaillit dans les pieds de Dembélé et empêche l'ailier français d'enchainer par une frappe dangereuse.
Le milieu de terrain français se met en position de frappe mais ne trouve pas le cadre belge.
L'ancien Rennais était au milieu de trois Français mais s'en sort avec de la réussite. Il sert ensuite Openda mais l'attaquant belge était en position illicite.
Didier Deschamps a envoyé plusieurs joueurs à l'échauffement dont Kylian Mbappé, Antoine Griezmann ou encore Bradley Barcola.
Premier débordement de la deuxième période. Digne centre mais Debast dégage en corner. Les Bleus reviennent avec les mêmes intentions qu'en fin de première mi-temps.
Les deux équipes sont revenues sur la pelouse du Groupama Stadium pour la deuxième période de ce match entre la France et la Belgique. Les Bleus mènent grâce à Kolo Muani mais rien n'est encore joué.
L'arbitre siffle la fin de cette première période entre la France et la Belgique. Les Bleus mènent grâce à un but de Kolo Muani qui est venu récompensé une belle séquence française après une entame de match dominée par les Diables rouges.
Il aurait pu le faire dès le début de l'action mais a patienté. Après avoir hérité du ballon, il finit par tirer mais c'est dévié en corner.
Le quatrième arbitre vient de donner le temps additionnel de cette première période entre la France et la Belgique.
Pour sa première titularisation avec les A de l'équipe de France, Manu Koné souffle le chaud et le froid. Il rate une passe plutôt facile à l'instant quelques minutes après une superbe percée dans l'entre-jeu.
Le Cityzen déborde et centre fort mais aucun coéquipier ne peut couper la trajectoire du ballon. C'était pourtant la bonne zone.
Le capitaine belge a un boulevard devant lui mais ça s'est refermé après une touche de balle un peu trop longue.
Digne centre fort au premier poteau mais la déviation de Kolo Muani n'est pas assez franche pour tromper la vigilance de Casteels. Les Bleus pourraient faire le break avant la pause.
Manu Koné fait une grosse différence au milieu de terrain et est fauché volontairement par Youri Tielemans qui, en plus, s'est fait mal.
Ce but de Kolo Muani a rendu la tâche plus facile aux Français qui sont désormais dominateurs face aux Belges.
Juste après ce but français, les Diables rouges se portent à l'attaque et obtiennent un corner.
LES BLEUS OUVRENT LE SCORE GRÂCE A KOLO MUANI !! Dembélé réalise une frappe topée repoussée par Casteels mais Kolo Muani a suivi et fusille Faes qui ne peut rien faire sur sa ligne.
L'ailier du PSG fait de plus en plus de différences. Il élimine Theate mais Doku le supplée et empêche Dembélé d'enchainer.
Dembélé fait une grosse différence et fait l'effort de continuer son action malgré un déséquilibre. Il adresse un ballon en retrait vers Guendouzi. Ce dernier prend sa chance mais Theate dévie en corner. Les Bleus sont mieux !
L'ancien Marseilais est alerté en profondeur et contrôle mais le ballon le fuit ensuite et il ne peut devancer Casteels.
L'attaquant parisien tente une frappe mais elle s'envole dans le ciel de Lyon. Les actions françaises sont de plus en plus nombreuses mais la précision n'est pas au rendez-vous.
L'Interiste est dans un angle difficile mais s'essaye. Lukebakio est sur la trajectoire et contre.
L'attaquant français est parti trop tôt. Il est signalé en position de hors-jeu après sa frappe arrêtée par Casteels.
Wout Faes sort de sa défense, et approche de la surface adverse. Il glisse le ballon à Openda qui tire en première intention mais Maignan est vigilant.
La domination belge dans ce début de match se matérialise également par la maitrise du ballon. Les Bleus courent après le cuir.
Kanté trouve Guendouzi aux abords de la surface. L'ancien Marseillais n'hésite pas et prend sa chance en une touche de balle mais c'est facile pour Casteels.
Sur le ralenti, Kevin De Bruyne a pris la position préférentielle sur Kolo Muani et ne commet aucune faute. Bonne décision de l'arbitre.
Kolo Muani rentre dans la surface et s'apprête à frapper mais De Bruyne fait un énorme retour et déséquilibre l'attaquant du PSG.
Le défenseur d'Arsenal cherche à trouver Digne sur le côté mais sa passe finit directement en touche.
De Bruyne offre un sublime ballon dans la course de Lukebakio mais ce dernier ne trouve pas Openda sur un centre puissant. Les Bleus sont totalement dominés dans ces premières minutes.
Les deux hommes en viennent presque aux mains et sont séparés par les autres joueurs. L'arbitre adresse un carton jaune aux deux.
Quelle erreur de marquage de la défense française. De Bruyne tire au second poteau et trouve Lukebakio qui remise mais Maignan concède le corner.
Dembélé s'est fait enrhumer par Doku et obtient un coup franc qui ressemble à un mini corner.
Lucas Digne a déserté son côté en se projetant et n'est pas revenu. Heureusement pour la France, Saliba est revenu et devance Lukebakio.
Le milieu de l'AS Roma laisse trainer la semelle et écope d'un carton jaune après avoir manqué son contrôle. Entame de match compliquée pour les Bleus.
L'ancien Lensois peine à se relever après un choc avec Manu Koné. Il finit par reprendre sa place avec une grimace.
Les Belges sont très haut dans ce début de match et mettent la pression sur une équipe de France qui n'est pas en confiance.
Bonne première intervention de Lucas Digne qui retrouve les joies d'une titularisation chez les Bleus pour la première fois depuis deux ans.
Tobias Stieler donne le coup d'envoi de cette deuxième journée du groupe A2 de la Ligue des nations. La France doit se relancer après sa défaite face à l'Italie il y a trois jours.
A un peu plus de cinq minutes du coup d'envoi, les deux nations pénètrent sur la pelouse du Groupama Stadium.
Le signe d'une fracture avec le public? Didier Deschamps vient de se faire huer par une partie du Groupama Stadium pendant l'annonce de la composition des Bleus...
AP
L'enceinte rhodanienne, où 50.000 personnes sont attendues, est encore très clairsemée.
AP
Après un Euro raté et une élimination dès les huitièmes de finale face à la France justement, les Diables rouges se sont relancés avec une victoire face à Israël en entame de cette Ligue des nations.
Kevin De Bruyne a inscrit un doublé et Youri Tielemans a mis un but lors d'une victoire 3-1.
Sur ses deux derniers matchs, les Bleus ont ouvert le score. Et à chaque fois ils se sont inclinés. C'est la première fois depuis avril-mai 1962 que cela leur arrive.
Les France-Belgique ne sont jamais des matchs comme les autres pour les deux pays voisins. Depuis la Coupe du monde 2018 et la victoire française en demi-finale, les Diables rouges ont eu du mal à tourner la page.
L'équipe de France ne connait pas vraiment le doute depuis l'arrivée de Didier Deschamps à la tête de la sélection. Ce soir ils joueront avec une certaine pression.
Pour la première fois depuis 2015, les Bleus vont débuter un match avec deux défaites consécutives. Si ils s'inclinent ce soir, ce sera un troisième revers de rang, une première depuis 2013.
Le onze de la Belgique: Casteels - Castagne, Debast, Faes, Theate - Tielemans, Onana - Lukebakio, De Bruyne, Doku - Openda.
Le onze des Bleus: Maignan - Koundé, Upamecano, Saliba, Digne - Koné, Guendouzi, Kanté - Kolo Muani, Thuram, Dembélé.
Comme lors de l'Euro.
Notre consultant estime que l'attaquant du Real Madrid est "totalement indéfendable" et que "ses performances sont à la hauteur de ses déclarations depuis un an ou deux ans".
"Depuis le début de sa carrière, ce garçon, on nous explique qu’il est mature, qu’il est en avance, qu’il parle bien. Je crois que tout ça a fini par le rattraper, à le mettre trop haut. Je pense qu’il a voulu s’occuper de tout. […] N’importe quel autre humain, aussi fort soit-il, ne peut pas tout gérer", développe Christophe Dugarry.
L'ancien international français ne digère pas la prise de parole de Mbappé avant France-Italie, et notamment sa sortie sur les supporters.
"Je suis choqué d’avoir entendu ça. Ce n’est pas l’attitude que doit avoir un leader et encore moins un capitaine. Je trouve ça catastrophique et ça prouve bien que le garçon est totalement déconnecté de ce qu’il peut se passer et de ce qu’on attend de lui."
"En se mettant au-dessus de tout le monde, aujourd’hui, tout le monde veut sa peau", argumente notre consultant, pour qui la communication et le comportement du numéro 10 des Bleus sont "problématiques". "Je lui souhaite bon courage pour sortir de cette mauvaise passe. L’image, quand on te la colle une fois, c’est difficile de la changer, surtout à 25 ou 26 ans."
Pour la première fois de sa carrière en Bleu, Kylian Mbappé présente un bilan famélique sur le plan statistique sur plusieurs matchs consécutifs.
Dans ce contexte, son discours sur les critique est "problématique", selon notre consultant".
"Tu es capitaine de l’équipe de France, tu ne montres pas l’exemple. [...] "Tu nous balances que Didier Deschamps et Ancelotti, et Luis Enrique l’année dernière, te mettent à un poste de numéro 9, ce n’est pas le tien", argument l'ancien professionnel.
"Quand tu es capable de faire dix appels de balle par mi-temps, avec ta vitesse, et qu’aujourd’hui tu n’en fais même pas deux. Là, tu te dis, il n’y a pas de remise et question et il n’a pas envie." [...] "Il est dans le confort et ça le fait déjouer."
"Aujourd’hui, les résultats ne sont plus là", observe Jérôme Rothen. "C’est la première fois que Didier Deschamps perd deux matchs (officiels, ndlr) de suite, dont cette claque-là à domicile, pour un match de reprise, avec tous ces problèmes de comportement, d’attitude, de déclarations, de communication."
Notre consultant estime que "ça va être long si ça se passe mal ce soir". "Et je pense que ça se passera mal", anticipe l'ancien milieu de terrain de Monaco.
"Le plus grave, à mon sens, c’est les déclarations des joueurs maintenant. Les joueurs ne se cachent pas. Vous avez entendu Griezmann?", demande notre consultant.
Dans une interview accordée à Téléfoot dimanche, l'attaquant des Bleus dit que ses mauvaises performances sont liées à des changements de poste incessants qui ont entraîné un manque de confiance.
"Il y a un écart. […] On l’a senti dans son match, il ne fait plus un effort, il ne se cache même plus. Et à la fin c’est le seul qui fait le tour d’honneur pour remercier tout le monde", fait remarquer Jérôme Rothen.
Et notre consultant d'argumenter sur Didier Deschamps: "Giroud a arrêté mais il se l’était mis à dos. Lloris, Varane ont arrêté donc il a perdu ses relais sur le terrain. Aujourd’hui, les autres relais, c’est une autre génération, une autre approche. Il n’y en a qu’un qui dégage ça, c’est Maignan".
Trois jours après la claque contre l'Italie, Jérôme Rothen estime que le discours du sélectionneur Didier Deschamps n'a "aucun effet positif sur le terrain".
"Au contraire, les joueurs prennent souvent le contrepied de ce discours. Ça me dérange. Je me dis qu’il a perdu la main sur ce groupe, que tous les signaux envoyés sont vraiment négatifs et qu’il fallait passer à autre chose", développe l'ancien pro dans son émission Rothen s'enflamme.
"Je parle du comportement, déjà, sur le terrain. Je me suis fait mal mais j’ai revu le match ce matin parce que j’ai entendu plein de critiques sur certains joueurs. […] Avant de parler de la performance de certains, est-ce que ces joueurs-là étaient tournés vers le collectif ?"
Jérôme Rothen pointe notamment "une équipe coupée en deux", avec "quatre joueurs offensifs [qui] ne font quasiment aucun effort pour récupérer le ballon". Mais aussi la composition du groupe: "Il rappelle du vieux –Digne, Guendouzi– et appelle trois jeunes qui ont brillé aux JO il y a un mois. En fait, tu n’as rien anticipé. Hop, tiens Olise, on va le prendre parce qu’il a signé au Bayern".
Quatre jours après une conférence de presse qui a fait couler beaucoup d’encre, Bixente Lizarazu s’interroge encore sur ce qui a pu pousser Kylian Mbappé à adopter un comportement aussi distancié par rapport à la sélection.
À ses yeux - et il n'est pas le seul à le penser - Kylian Mbappé "s’est trompé" en paraissant aussi détaché des critiques émanant des supporters, affichant même un certain mépris à l’égard de leur ressenti vis-à-vis de l’équipe de France en général et de lui en particulier.
Après la claque reçue à domicile face à l’Italie (1-3) vendredi, Didier Deschamps pourrait revoir ses plans ce lundi. Dans sa quête d’offrir du temps de jeu au maximum de joueurs et d’épargner les physiques de certains cadres, le sélectionneur devrait faire tourner face à la Belgique (20-45h) pour le deuxième match de la Ligue des nations. Le capitaine Kylian Mbappé mais aussi Antoine Griezmann pourraient ainsi débuter la rencontre sur le banc des remplaçants.
>> Mbappé sur le banc? Le sélectionneur belge vous explique ici pourquoi ça ne change rien
Après la défaite au Parc des Princes contre l'Italie, l'équipe de France veut se rattraper face à la Belgique lundi. Pour ce nouveau match de Ligue des nations, Didier Deschamps devrait procéder à de nombreux changements. Kylian Mbappé et Antoine Griezmann ont de bonnes chances de débuter sur le banc de touche.
>> On vous dévoile la compo probable ligne par ligne dans cet article
Bienvenue sur le site et l’appli RMC Sport pour suivre le deuxième et dernier match de l’équipe de France dans cette trêve internationale qui a très mal commencé pour les Bleus avec une cuisante défaite (1-3) face à l’Italie. Sous pression, les Bleus voudront éviter une troisième défaite de rang toutes compétitions confondues lundi soir (20h45), face à la Belgique, au Groupama Stadium.
4-3-3
Ent: Didier Deschamps
M. Maignan
L. Digne
W. Saliba
J. Koundé
D. Upamecano
N. Kanté
M. Guendouzi
M. Koné
M. Thuram
O. Dembélé
R. Kolo Muani
4-2-3-1
Ent: Domenico Tedesco
K. Casteels
W. Faes
Z. Debast
T. Castagne
A. Theate
K. De Bruyne
D. Lukébakio
J. Doku
Y. Tielemans
A. Onana
L. Openda
B. Samba
(78') A. Griezmann
M. Guendouzi
(66') K. Mbappé
R. Kolo Muani
(79') M. Olise
O. Dembélé
I. Konaté
(93') Y. Fofana
N. Kanté
(66') B. Barcola
M. Thuram
J. Clauss
T. Hernández
A. Areola
T. Kaminski
M. Sels
J. Duranville (82')
J. Doku
T. Meunier (82')
T. Castagne
S. Bornauw
C. De Ketelaere (68')
L. Openda
O. Mangala (59')
Y. Tielemans
J. Bakayoko (59')
D. Lukébakio
A. Saelemaekers
A. Vermeeren
Tobias Stieler
Possession
46%
54%
