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LA GEOMETRIE DE L’ESPACE-TEMPS, principes fondamentaux.

Publié le 23/05/2013 à 10:24 par supersymetrie Tags : boson particule chiasma théorie geometri article monde roman nature gratuit voyage
LA GEOMETRIE DE L’ESPACE-TEMPS, principes fondamentaux.

 

 

 

Suite à notre article précédent nous revenons sur la nature du phénomène de Higgs en tant que chiasma, cette terminologie revient au faite que le boson de Higgs n’est pas une particule au sens propre du terme, c’est une fonction ondulatoire qui dresse les axes cardinaux du corpuscule bosonique en interaction avec la gamme des particules élémentaires dans leurs versions corpusculaires, autrement dit c’est un état physique ondulatoire composite propre à la fonction d’onde bosonique. La particule élémentaire en général est définie comme un quantum par le physicien, mais le mathématicien l’identifie à sa façon, comme une matrice qui cumule la cinétique d’une classe d’équivalence d’événements ondulatoires, qui se manifestent dans un environnement dépourvu d’espace nécessaire à leurs différenciations phénoménales, c’est ainsi que se présente l’état de la matière à l’instant où le rapport surface/volume frôle son pôle ellipsoïde extrême, c'est-à-dire là où la surface du vide quantique serait dépourvue de son propre volume. En d’autres termes, c’est là où le rythme des interactions fondamentales des ingrédients de base de la matière serait tellement serré que ses battements thermodynamiques seraient imperceptibles, ce qui nous permet de comprendre automatiquement aussi, l’état de l’autre bout hyperbolique dicté par notre fameux rapport surface/volume, où le rythme des interactions serait tellement lent qu’il nous engouffre dans un univers parfaitement lisse et éternellement silencieux. Entre les deux courbures extrêmes de cet univers, l’une positive et l’autre négative se dresse notre fameux chiasma bosonique qui représente le plan neutre dont les propriétés géométriques sont d’ordre euclidiennes où le rythme des interactions phénoménales cette fois ci, synchronise les instants des événements dont nous sommes témoins. De part et d’autre de ce rapport surface/volume neutre fluctue le confinement de la trame de l’espace-temps, de plus en plus lâche d’un cote, et de plus en plus serrée de l’autre , c’est à dire que notre théorie nous offre un voyage aller retour gratuit et sans paradoxes entre le monde de la mécanique quantique et celui de la relativité générale, qui sont mêlés dans un système complet et normé au sens large de Banach, que l’analyse de Joseph Fourier métrise avec une précision remarquable. EDDAAL.A.