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l'anonyme du 03/12/2024 qui est henri franceschi répond à l'anonyme du 02/12/2024...
Par Anonyme, le 03.12.2024
bonjour monsieur ou madame ou mademoiselle " anonyme " je tiens à partager avec vous et pour le plaisir des id
Par Anonyme, le 03.12.2024
que de fiel, d'inexactitude et de malveillance dans ces commentaires cher anonyme qui n'a pas le courage de se
Par salertchansons, le 03.12.2024
merci patricia
bonn e semaine
g http://salertc hansons.center blog.net
Par salertchansons, le 02.12.2024
vous êtes le forçat de la quantité une seule chanson de brassens contient plus que toutes vos banalités
c' es
Par Anonyme, le 02.12.2024
· Tu es comme une fée
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· Che Guevara
· Le poète
· Le long des quais du canal Saint-Martin
· La Seine à Paris
· Je te dois
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· La mer et la fille
· Jacarandas et paulownias
· Je suis comme un bateau
· Tableau surréaliste
· Métamorphoses
· Fraternité
· Jean-Pierre LOMBARD
· Patrick MOLTALDO
Date de création : 16.11.2007
Dernière mise à jour :
03.12.2024
712 articles
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Sous la ramée des ormes
Se nichent nos baisers
Et nos mains ne s'endorment
Pas en caresse osée;
Dans les jardins qui bordent
Le canal et la rue,
Nos deux âmes débordent
De cet amour en crue.
Le long des rues, tous deux
Eperdus,amoureux,
Nous allons tout émus;
Bras dessous, bras dessus;
Au canal Saint-Martin
Le long des quais, c'est bien :
Quand tes beaux yeux me coulent
Ce regard qui chamboule.
Dans sa chambre, l'écluse
Contenait nos penchants
Et des vagues diffuses
Clapotaient un doux chant.
Sans ouvrir une vanne
Se sont mêlées les eaux
De l'amont et l'aval
Bouillonnant sous nos peaux.
Le long des rues, tous deux
Eperdus,amoureux,
Nous allons tout émus;
Bras dessous, bras dessus;
Au canal Saint-Martin
Le long des quais, c'est bien :
Quand tes beaux yeux me coulent
Ce regard qui chamboule.
Pied de nez aux potences
Chères à Montfaucon,
La corde au cou balance
Pour d'autres pendaisons.
Hauts sur la passerelle,
Nous sommes comme aux nues
Et le temps sur ces ailes
Nous semble suspendu.
Le long des rues, tous deux
Eperdus,amoureux,
Nous allons tout émus;
Bras dessous, bras dessus;
Au canal Saint-Martin
Le long des quais, c'est bien :
Quand tes beaux yeux me coulent
Ce regard qui chamboule.
Mis en musique par Jean-Marie DJIBEDJIAN
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Interprété par SOLENNA http://www.solenna.fr
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J'ai des chemises bien gonflées |
Et qui sous la pression s'entrouvent: |
Elles sont pleines à craquer |
Comme des œufs que des yeux couvent. |
J'ai bien encor' de beaux tailleurs |
Qui, même assise, et s'ils sont courts |
Savent toujours mettre en valeur |
Mes plus minuscules atours. |
Toujours calée sur mes dossiers |
Je peux être bien balancée |
Et pour tout remettre à sa place |
En bonn' secrétair' j'ai d' la classe. |
Toujours calée sur mes dossiers |
Je peux être bien balancée |
Et pour tout remettre à sa place |
En bonn' secrétair' j'ai d' la classe. |
Bien souveraine à mon micro, |
Je pianote sur mon clavier |
Et croisant jambes et tableaux, |
Je n'ai plus qu'à enregistrer. |
Toujours souriante d'accueil, |
Je fais de tell's impressions |
Que je peux taper même à l'œil |
Sur le disque ma partition. |
Je garde ma langue discrète |
Pour les bonnes bouches en quête: |
Je sais que le silence est d'or |
Et qu'un soupir est un trésor. |
Toujours calée sur mes dossiers |
Je peux être bien balancée |
Et pour tout remettre à sa place |
En bonn' secrétair' j'ai d' la classe. |
Je pourrais être effacée |
Mais mon absence est remarquée: |
Je suis l'imag' de l'entreprise, |
Le fer de lanc' sur qui l'on mise. |
Toujours calée sur mes dossiers |
Je peux être bien balancée |
Et pour tout remettre à sa place |
En bonn' secrétair' j'ai d' la classe. |
J'ai des crayons qui me dessinent |
Et tracent les traits de ma ligne: |
Lors, arborant ma belle mine, |
Je me pointe sur un seul signe. |
J'ai des liaisons dans mes appels |
Qui tombent sans arrêt: "Allo, allo, allo" |
Et , toute en feu, vite je hèle |
Un pompier pour ma libido. |
Je n'ai pas peur de fair' des heures |
Supplémentair's à mon compteur; |
Si mes journées sont bien remplies |
Je suis à g'noux avec la nuit. |
Toujours calée sur mes dossiers |
Je peux être bien balancée |
Et pour tout remettre à sa place |
En bonn' secrétair' j'ai d' la classe. |
Croyez pas que j'sois mieux payée |
Si je ne savais pas griffer: |
Il me faut fair' monter l'enchère |
Pour l'augmentation de salaire. |
Toujours calée sur mes dossiers |
Je peux être bien balancée |
Et pour tout remettre à sa place |
En bonn' secrétair' j'ai d' la classe. |
J'ai de la classe |
J'ai de la classe |
Compo de Jean-Marie DJIBEDJIAN |
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Interprétation de SOLENNA |
www.solenna.fr |
Lorsque le poème se lève, |
Il vous faut le laisser aller |
Avec le vent, avec le rêve, |
A son rythme et à son gré. |
Prenez votre plus belle plume |
Pour suivre ses allées venues: |
Il vous décrochera la lune |
Et les étoiles de la nue. |
Prenez une feuille volante |
Où l'esquisser dans son essor |
Et courte sera votre attente |
Pour qu'il vous guide sans effort. |
Dès lors commence le voyage |
Les mots naissent et de beaux chants: |
C'est un tableau plein de ramages |
Qui prend l'air et devient vivant. |
Les mots se couchent sur la page; |
Le poème est à l'unisson: |
Sur le papier, les quadrillages |
Ne seront jamais des prisons. |
Musique de J.Marie DJIBEDJIAN |
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Interprétation de SOLENNA |
www.solenna.fr |
Les fleurs, les fleurs, c'est ma passion |
Pour que j'en brasse tous les jours; |
J'en ai jusque sur mes balcons |
Où l'on vient me faire la cour. |
J'ai la main si verte que vite |
Les plant's à ma vue grimp'nt de suite. |
On m' connaît jusqu'à Bagatelle |
Pour emballer mille merveilles. |
J'ai des boutons tellement beaux |
Qu'ils font la nique aux dermatos |
Et ravissent bien des mercières |
En mal de fermeture éclair. |
J'ai des bourgeons tellement doux |
Que les chatons en sont jaloux |
Et sans pression sous ma chemise |
J'ai des boutons roses qui grisent. |
S'ils ne sont pas d'or ou d'argent, |
Mes boutons valent bien autant |
Pour que tombent comme la flotte |
Ceux des braguett's et des culottes. |
J'ai des boutons tellement beaux |
Qu'ils font la nique aux dermatos |
Et ravissent bien des mercières |
En mal de fermeture éclair. |
C'est sur la porte de mon cœur |
Qu'ils vont fleurir à sa chaleur |
Et tout frémissant de ta lèvre |
Ils alertent ma douce fièvre. |
A la bourse, ils se cotent bien |
Quand ils se dressent sans soutien: |
De mes seins, ils sont la couronne |
Et dessus l'aréole, ils trônent. |
J'ai des boutons tellement beaux |
Qu'ils font la nique aux dermatos |
Et ravissent bien des mercières |
En mal de fermeture éclair. |
Composition de Jean-Marie DJIBEDJIAN |
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Interprétation de SOLENNA |
www.solenna.fr |
Roulant mille et mille tonneaux |
Qu'elle apporte avec ses bateaux, |
Elle arrive grise à Bercy |
De l'Aube et de l'Oise grossie. |
Un peu vaseuse, elle s'est creusée |
Au bonheur des tanches un lit |
Pour désormais se la couler |
Douce près de l'îl' Saint Louis. |
La Seine est bien comme une femme |
Lascive, ell' serpente et sinue |
Et comme nous tous ell' s'enflamme |
Si l'on perd les sens et pollue. |
Elle a rencart quai de l'horloge |
Avec l'île de la cité |
Qu'à leurs toil's les peintres s'arrogent |
A coups de couteaux bien tirés. |
Saint'-Genevièv', pont des tournelles, |
Bienveillant', surveille la scène |
Et prenant bien garde à ces lignes |
Ses eaux ne perd'nt jamais leur fil. |
La Seine est bien comme une femme |
Pour attirer bien des pêcheurs: |
Ouvrant ses bras à Notre-Dame |
Elle embarque les amateurs. |
Les monuments sur son passage |
Lui font comme une haie d'honneur |
Et donnant aux flots leur image |
Paris entre en Seine, quai des fleurs |
La Concierg'rie, le Chatelet |
Le Louvre, le musée dOrsay |
Accompagnent son cours d'histoires |
Qu' les bouquinist's ont en mémoire. |
La Seine est bien comme une femme |
Pour colporter bien des rumeurs |
Mais élégante, ell' se pavane |
A faire chavirer les cœurs. |
A ses berg's, on mouill' de plaisance |
Quand chaloupée, ell' se balance |
Et s'enlace aux jambes des ponts |
Qui jouent comme à saute mouton. |
Elle a des courbes si gracieuses |
Qu'on se la boucl' juste à les voir |
Et chaque nuit ensorceleuse |
Les lumières dans'nt en ses miroirs |
La Seine est bien comme une femme |
Et sa rivière est de diamants |
Le chant de ses sirènes charme |
A noyer jusqu'au vert galant. |
La Seine se fait toute belle |
Des Invalid's au Grand Palais |
Avant de voir la tour Eiffel |
Grandir au champ de Mars tout près. |
Un peu plus loin à Bir-Hakeim |
Elle prend des airs d' liberté |
Mais parvenue quai Citroën |
A Passy, elle est dépassée |
La Seine est bien comme une femme |
Dont le lit attir' les amants: |
Combien donc ont perdu leur âme |
A se jeter dans son courant. |
La Seine, on l'aim' surtout l'été |
Quand ses quais se transform'nt en plage |
Et qu'en maillot de bain moulé |
On fait bronzette à son rivage. |
Ne jetez pas sur elle un froid |
Pour qu'elle devienne de glace |
Et faîtes tout ce qu'il se doit |
Afin de rester dans ses grâces |
Car la Seine est bien une femme |
Qui s'engrosse aux crues du printemps |
Et l'on peut s'appeler Paname |
A ses scèn's, on est impuissant! |
Musique et choeur de Jean-Marie Dibedjian
http://leschansonsdejm.centerblog.net
Interprétation de SOLENNA
Par tesnoires anthères |
Voilà qu'tu prolifères: |
Nul besoin qu'on te sème |
Ni mêm' qu'on t'entretienne. |
Comme la mauvais' graine |
On t' voit partout pousser |
Dans les cours d'HLM |
Et tous les bas côtés. |
Coquelicot, coquerico, |
Le rouge est la couleur du beau |
Tu déroul's dans les champs |
Comme un grand tapis rouge |
Pour que peintre et amant |
A tes pavots se saoûlent; |
Tu donn's aux herbes folles |
Des boutons de rougeole |
Et incendies les blés, |
Les colzas et les prés |
Coquelicot, coquerico, |
Fier, comm' t'es beau sur tes ergots |
T'éclabouss's les chemins |
De ton rouge carmin |
Et joyeux, tu éclates |
De couleur écarlate. |
Ta robe est bien légère |
Soulevée par les airs |
Pour que tous les fripons |
Courent ton cotillon. |
Coquelicot, coquerico, |
Le rouge est la couleur du beau |
Vêtu d'un boléro |
Rouge vif et bien beau, |
Gracile sur ta tige |
T' es pourtant bien fragile; |
Un vent un peu violent |
Déchire tes sépales |
Pour rappeler le sang |
De vieux champs de bataille! |
Coquelicot, coquerico, |
Tes calicos restent sans mot! |
Libre, insoumis, rebelle |
Tu rappelles Carmen, |
Belle et noire gitane |
De cette rouge Espagne. |
Tu peux mourir cent fois, |
Tu ressusciteras: |
Les myth's sont éternels |
Pour te rendre immortel. |
Coquelicot, coquerico, |
Ne rougis-tu que de pudeur? |
Coquelicot, coquerico, |
Ne serait-ce pas de bonheur? |
Composition de J-M DJIBEDJIAN
Interprétation de SOLENNA
On peut prendre un bon paquet
Juste avec un' simple mise
Mais aussi perdr' sa chemise,
Certains jouent leur va-tout
Dans des impasses
Et si jamais ça casse
On les retrouve au fond du trou.
C'est le jeu autour des tables
Qui nous envoie tous au diable:
Dans l'enfer, le démon
Damn' le pion!
C'est le jeu et ses paris
Pour s'enflammer toute la nuit:
Dans l'enfer, le démon
Damn' le pion!
Ca va comm' sur des roulettes
Quand la bille en tournoyant
Fait bien tourner tout's les têtes:
Le coeur bat, saute, hocquète.
Impair et manque,
La vie soudain s'arrête:
On ne f'ra pas sauter la banque!
C'est le jeu autour des tables
Qui nous envoie tous au diable:
Dans l'enfer, le démon
Damn' le pion!
C'est le jeu et ses paris
Pour s'enflammer toute le nuit:
Dans l'enfer, le démon
Damn' le pion!
Pour ne pas trop se mouiller,
Yen a qui jouent les impairs
Et se r'trouv'nt à sec, misère.
Ils peuv'nt broyer du noir
Toute la journée
Mais quand revient le soir,
C'est reparti pour d'autr's paris:
C'est le jeu autour des tables
Qui nous envoie tous au diable:
Dans l'enfer, le démon
Damn' le pion!
C'est le jeu et ses paris
Pour s'enflammer toute le nuit:
Dans l'enfer, le démon
Damn' le pion!
Interprétation de SOLENNA
www.solenna.fr
Musique de Jean-Pierre LOMBARD
http://lecompo.centerblog.net
Dans notr' mansarde Av'nue Moreau
On roucoule de tout notre être
Comme ces pigeons et pigeonneaux
Sur les toits, les r'bords de fenêtres.
On est, c'est vrai, si près des cieux
Qu'on y décroche les étoiles
Et comme elles brill'nt dans nos yeux
Il n'est pas un jour qui les voile.
Juste à côté des Pyrénées,
Le mont Chauv' s'est mis en beauté
Et transformant jusqu'à son nom,
Il est ce parc des Butt's Chaumont.
On peut vouloir descendr' sur terre
On reste encor' dans les hauteurs
Quand arrivés au belvédère
On se dévoile un "Sacré Coeur".
Lors du temple de la Sybile,
On survole enlacés la ville
Et Bolivar sur ces reliefs
Presqu'andins est bien dans son fief!
Juste à côté des Pyrénées,
Les Butt's-Chaumont ne manqu'nt pas d' mine
Et au détour de ses allées,
C'est tout Paris que l'on domine.
On est comme accrochés aux nues
Avec l'Amour à l'apogée
Pour passer le pont suspendu
Mieux que celui des suicidés.
En suivant les allées du parc
Comment garder les pieds sur terre
Quand parvenu tout près du lac
On embarque alors pour Cythère!
Juste à côté des Pyrénées
Les Butt's-Chaumont sont en beauté
Et romantiqu's comme pas deux,
Ell's sont l' bonheur des amoureux.
Sur les sentiers tout en lacet
Et vallonnés comme à souhait,
La Sybil' nous a aiguillé
Vers cette grotte où nous cacher.
Les mille sources d'alentour
Ruissell'nt en cascade d'amour
Et si l'on r'ssort un peu mouillé,
On a l'alibi tout trouvé.
Juste à côté des Pyrénées,
Les Butt's-Chaumont nous ont charmés
Et si le temps s'est arrêté
C'est que nos baisers l'ont noyé!
Mis en musique par Jean-Marie DJIBEDJIAN
http://lameretlamour.centerblog.net
Interprété par SOLENNA
http://www.solenna.fr
O mon âme, le bel automne |
Dont les journées sont une aumône |
Pour ceux-là qui lui abandonnent |
Toute entière leur personne . |
La brume se lève et les vents |
Balaient l'espoir qui fout le camp |
Pour n'être qu'un vague et mouvant |
Souvenir, ô bien désolant; |
Si tu ressens les mêmes choses |
En voyant se mourir les roses, |
Tu dois avoir à forte dose |
Du spleen au coeur, des ecchymoses. |
Les forêts et les bois se teignent |
De rouille, d'or et de châtaigne, |
Mélancolique l'arbre saigne, |
Languit, meurt: la nostalgie règne. |
Les feuilles tombent par milliers, |
Le ciel est bas, l'espoir voilé |
Et l'âme, ô combien fatiguée, |
Traîne avec lui tout son passé. |
Si tu ressens les mêmes choses |
En voyant se mourir les roses, |
Tu dois avoir à forte dose |
Du spleen au coeur, des ecchymoses. |
La terre est molle de rosée |
Et l'âme comme ensorcelée |
S'enfonce dans le sol mouillé |
Et ne peut plus s'en dépêtrer. |
O mon amie, cette faiblesse |
Qui m'oppresse, m'étreint, me blesse , |
Me remplit pour toi de tendresse, |
Toi pour qui l'espoir est en brèche. |
Si tu ressens les mêmes choses |
En voyant se mourir les roses, |
Tu dois avoir à forte dose |
Du spleen au coeur, des ecchymoses. |
Le ciel est bas, l'espoir voilé: |
Sur la terre molle et mouillée |
Les feuilles pleuvent des forêts |
L'âme avec elles tombe à tes pieds. |
Les bois qui languissent s'endeuillent |
D'arbres pleurant à toutes feuilles |
Et comme on ne veut rester seul |
On aime à, mon Dieu, tromper l'oeil. |
Si tu ressens les mêmes choses |
En voyant se mourir les roses, |
Tu dois avoir à forte dose |
Du spleen au coeur, des ecchymoses. |
Composition de Jean. Marie DJIBEDJIAN |
http://leschansonsdejm.centerblog.net |
Interprétation de SOLENNA |
www.solenna.fr |
Avec une voix de cristal
Plus pur qu' celui de Baccarat,
Ell' chante mieux que les cigales
Muett's dès les premiers frimas.
Dès lors si le blues t'habite
Branche-toi vite sur le net
Et visit' "point com" le site
De Solenna qui met en fête.
Avec un beau timbre limpide
Qui s'est affranchi de Lorraine,
Toutes ses chansons nous dérident
Comme un vrai remède à nos peines.
Si jamais le spleen t'assaile,
Cours vite à l'un de ses concerts
Et se lèvera ta grisaille
Pour que sa bonne humeur t'éclaire.
C'est un solo de Solenna,
Solennel, grave ou bien léger
Et les solos de Solenna,
Ils vous ensorcèl'nt, enchantés.
Coeur riche de vrais sentiments
Elle fait passer bien des frissons:
En interprète de talent,
Ell' nous envout' de cent façons.
Tantôt espiègle ou nostalgique,
Elle nous joue la comédie
Et faut voir alors son public
Rire ou pleurer, toujours ravi.
Si l'on n'veut pas rester tout seul,
Il faut que l'on reste à sa place
Ne fais donc pas un seul clin d'oeil
Un peu coquin ou bien salace.
Simple, elle n'aim' pas les grands airs,
La vanité ou bien l'orgueil
Et comme elle a du caractère
Attention à ses coups de gueules.
C'est un solo de Solenna,
Solennel, grave ou bien léger
Et les solos de Solenna
Vous ensorcèl'nt, enchantés.
Avec une voix de cristal
Plus pur qu' celui de Baccarat,
Ell' chante mieux que les cigales
Muett's dès les premiers frimas.
Si t'as besoin d' changer d'idées
Parce que ça ne tourne pas rond,
Ecoute-la sur ses C-D
Et tu changeras d'horizon.
C'est un solo de Solenna,
Solennel, grave ou bien léger
Et les solos de Solenna
Vous ensorcèl'nt enchantés.
Musique de Marc FLORANCE
Chant de Françoise NICOLLE
http://www.solenna.fr