Publié le 08/08/2007 à 12:00 par reddragonne
Tu as été l'amour de ma vie, et ton merveilleux regard encore de me hanter
Resteras a jamais gravé dans mon cœur, mon âme de précieusement le garder
Comme un trésor, d'une valeur inestimable, qu'un jour tu m'as offert, et donné
Une envie de pleurer que je retiens, en écrivant ces vers, ta vie tu t'aies ôtée
Lumière de ma vie, qui de ton amour, tel un phare, mon existence a éclairée
Qui de ton merveilleux sourire, a si tendrement mon âme illuminée et égayée
Me laisser seul, tel un bateau sur la plage échoué, pour dans cet ailleurs aller
Tiendras tu a jamais cette place dans mon cœur ? Oh oui, je peux te le jurer
Chaud, ton souvenir ne peut s'éteindre, plus que ma propre vie, je t'ai aimé
Dans ma mélancolie, avec toi je me suis enfermé, tous deux à jamais lovés
Mes mains sentent encore la douceur de ta peau, elles ne peuvent l'oublier
Hivers glacials, pourquoi as-tu voulu y aller ? Et ainsi ici seul m'abandonner ?
Un amour aussi intense, même la faucheuse ne peut le rompre, ni le briser
Petit ange, toi qui sur moi désormais es en train de veiller, de me protéger
Feu, toi qui a brûlé dans tout mon être, de ta chaleur tu m'a réchauffé
De ton amour, je voulais tant me nourrir, et du mien à jamais te couver
Toi, que je maintiens en vie, contre mon gré, pour ta mémoire honorer
Qui m'as tant donné, moi, comment puis je expier, de t'avoir ainsi laissé
S'en aller dans cet autre monde, mon dieu que j'ai envie de te retrouver
Eteint désormais est mon cœur, tant pour toi il a brûlé, et s'est consumé
Pas m'apitoyer, dieu, que j'aurais aimé pour toi, une larme laissée couler......
Publié le 08/08/2007 à 12:00 par reddragonne
Tu as été l'amour de ma vie, et ton merveilleux regard encore de me hanter
Resteras a jamais gravé dans mon cœur, mon âme de précieusement le garder
Comme un trésor, d'une valeur inestimable, qu'un jour tu m'as offert, et donné
Une envie de pleurer que je retiens, en écrivant ces vers, ta vie tu t'aies ôtée
Lumière de ma vie, qui de ton amour, tel un phare, mon existence a éclairée
Qui de ton merveilleux sourire, a si tendrement mon âme illuminée et égayée
Me laisser seul, tel un bateau sur la plage échoué, pour dans cet ailleurs aller
Tiendras tu a jamais cette place dans mon cœur ? Oh oui, je peux te le jurer
Chaud, ton souvenir ne peut s'éteindre, plus que ma propre vie, je t'ai aimé
Dans ma mélancolie, avec toi je me suis enfermé, tous deux à jamais lovés
Mes mains sentent encore la douceur de ta peau, elles ne peuvent l'oublier
Hivers glacials, pourquoi as-tu voulu y aller ? Et ainsi ici seul m'abandonner ?
Un amour aussi intense, même la faucheuse ne peut le rompre, ni le briser
Petit ange, toi qui sur moi désormais es en train de veiller, de me protéger
Feu, toi qui a brûlé dans tout mon être, de ta chaleur tu m'a réchauffé
De ton amour, je voulais tant me nourrir, et du mien à jamais te couver
Toi, que je maintiens en vie, contre mon gré, pour ta mémoire honorer
Qui m'as tant donné, moi, comment puis je expier, de t'avoir ainsi laissé
S'en aller dans cet autre monde, mon dieu que j'ai envie de te retrouver
Eteint désormais est mon cœur, tant pour toi il a brûlé, et s'est consumé
Pas m'apitoyer, dieu, que j'aurais aimé pour toi, une larme laissée couler......
Publié le 08/08/2007 à 12:00 par reddragonne
Toi qui m'as demandé cette lettre, qui m'aimes d'un amour si dévorant
Avec toi, j'ai cru aimer, mais mon amour n'était pas assez fort, grand
Le dire, est pour moi un crève cœur, toi qui de l'amour mérite tant
En moi, tu as cru, tu as espéré, et rêvé, que je devienne ton amant
T'écrire cette lettre, dieu que c'est dur, que c'est très poignant
Te dire « je t'aime », j'aurais pu comme beaucoup faire semblant
Ridicule je vais paraître, mais pour aimer il me faut des sentiments
Etre droit, peut être, en disant ce que je pense, je blesse souvent
Déclarer à une femme, « je ne t'aime plus » quoi de plus humiliant
Et je t'imagine, en lisant ces lignes, les yeux embués et larmoyants
Regretter, non, il ne faut pas, garder en soi ces merveilleux moments
Un homme n'a pas le droit de faire pleurer une femme, il doit être aimant
Pour le mal que je t'ai fait, si tu savais comme je me hais, moi le mécréant
Tu es une femme adorable, tu rencontreras un homme plus intéressant
Un homme si formidable, que tu m'oublieras, avec lui, tu iras de l'avant
Rien je ne mérite, que ton indifférence, ce sera ma peine, ce déchirement
Etre aimé, je ne veux plus, je ne le mérite pas, je ne mérite que le néant....