Date de création : 30.04.2015
Dernière mise à jour :
29.08.2016
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j'adore la grenouille noire et rose
Par Anonyme, le 24.11.2024
bonjour, le premier c'est le château de miglos
Par Anonyme, le 23.08.2022
magnifique de toute beauté , seulement le pauvre il ne pourra pas se reproduire du as son manque de couleurs c
Par Anonyme, le 14.06.2022
eucalyptus encre acrylique sur toile ,peintre amateur
Par Anonyme, le 02.02.2022
gif de toute beauté! bravo!!!
Par Anonyme, le 13.09.2021
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Aujourd'hui, la bûche patissière de Noël est devenue le dessert typique de noël.
Elle aurait été inventée pour continuer à faire vivre la tradition de la buche de Noël.
Certains évoquent la création d'une buche patissière en 1945 mais le gâteau roulé de Noël est déjà traditionnel, tout du moins dans la région Poitou-Charentes, depuis le XIXe siècle.
La tradition veut qu'une bûche de Noël,
soit réalisée à base de crème au beurre, mais depuis plusieurs années certains la préfèrent glacée. Les bûches se déclinent sous tous les goûts mais elles présentent toujours une forme allongée et circulaire, rappelant ainsi la bûche de bois que l'on fait brûler dans la cheminée pour Noël.
Les pâtissiers décorent souvent leurs bûches avec de petits objets en plastique ou comestibles, représentant des éléments de Noël (un Père-Noël, du houx,une scie, un sapin, une rose, un nain de jardin, un champignon ou même des bougies miniatures). Cette touche finale donne tout l'intérêt à ce dessert peu commun, exclusivement dégusté à Noël.
Dès l'Antiquité, en Égypte, en Grèce et à Rome, des pains sont préparés avec du miel mais l'histoire du pain d'épices connu actuellement ne commence ni en Flandre ni en Bourgogne. Il semble trouver ses origines en Chine, où, consommé au Xème siècle, il porte le nom de Mi-Kong, «pain de miel». Il se compose de farine de froment et de miel, et on le parfume quelquefois de plantes aromatiques
C'est en 1452 que le duc de Bourgogne , Philippe III le Bon , déguste avec délice une galette au sucre d'abeilles à Courtrai. De cette tournée dans la Flandre, le duc revient à Dijon accompagné de l'habile artisan qui sait cuire de si bonnes galettes.
Le pain d'épice était considéré comme un aliment, et non comme une pâtisserie. Au XIIIème siècle, il est cité parmi les rations des cavaliers de Gengis Khan. Les Arabes l'empruntèrent aux Chinois, et les Occidentaux le connurent en Terre sainte, à l'occasion des croisades.
Plus tard, à l'époque moderne, des pains d'épiciers se distinguèrent et le pain d'épice devint une friandise. A Paris, ils formèrent une corporation à laquelle Henri IV octroya des statuts .
Toutefois, c'est Reims qui s'imposa d'abord comme la cité du plus fameux pain d'épice.
On disait que les Rémois l'emportaient "à cause de la bonté des miels de Champagne et de la manière de faire le pain d'épice que les maîtres des autres villes ne pouvaient imiter".
Le Dictionnaire de l'Académie Française de 1694, après la définition du pain d'espice, ajoutait "Pain d'épice de Rheims". Cette réputation était telle que les Rémois furent désignés dans un proverbe champenois sous le sobriquet de mangeurs de pain d'épice. Il existait une corporation de pains d'épiciers à Reims. L'industrie rémoise du pain d'épice fut anéantie par la guerre de 1914-1918.
La production rémoise s'écoulait lors des foires : Châlons en Champagne (dénommée ainsi aujourd'hui), Soissons , Troyes, Laon, Vitry, et, à l'occasion de pèlerinages, jusqu'à la Révolution de 1789.
La première mention de pain d'épice de Bourgogne se retrouve sur un cahier de doléances de 1702 où les maîtres pâtissiers de Dijon se plaignent que les habitants de la ville et des villages voisins «font gâteaux, tartes et pains d'épice et autres pâtisseries pour les vendre dans les rues et aux portes de la ville».
Le premier pain d'épicier de la ville voit son nom inscrit dans les rôles des tailles en 1711 : Bonaventure Pellerin, vendeur de pain d'épice et «cabaretier», rue Saint-Nicolas , actuelle rue Jean Jacques Rousseau. La profession se développe, rivalisant d'astuces, de secrets, de tours de main entre artisans et entre ville concurrentes. L'artisanat se mue en petite industrie. La réputation de Dijon est acquise à la fin du XIXe siècle
Chaque ville a sa recette, chaque fabricant détient son secret, mais, en gros, on retrouvera toujours dans le pain d'épice de Dijon : de la farine de froment, contrairement à Reims qui utilisait de la farine de seigle
A partir de 1850 et jusqu'en 1940, Dijon compte en moyenne huit à douze fabriques de pain d'épice. Mais les fabriques ont disparu l'une après l'autre : le vrai pain d'épice demande une fabrication artisanale qui se révèle trop exigeante.
La tradition est d'offrir une figurine le 6 décembre, jour de " Saint Nicolas "
En Allemagne chaque famille confectionne son " Hexenhaus ", une maison de pain d'épices qui reste sur la table jusqu'à Noël. C'est la "petite maison de la sorcière" qui tire son origine dans le conte de Hansel et Gretel. Chacun prend un petit morceau et la maison s'effrite au rythme de la gourmandise et du nombre de parents et amis.
La tradition des 13 desserts est très prisée en Provence, dans le sud de la France.
À l’origine, les 13 desserts étaient composés de fruits récoltés dans les campagnes. Autrefois, il y avait beaucoup de fruits conservés dans les greniers, en prévision du réveillon de Noël.
Traditionnellement, c'était au retour de la messe qu'il était de coutume d'offrir à ses invités les 13 desserts (comme le nombre de convives de la Cène, le Messie entouré de ses 12 apôtres).
Selon la région et les familles, chacun y apporte sa touche personnelle. Cependant, certains éléments restent tout à fait incontournables :
Le gibacié : spécialité marseillaise, que l'on nomme fougasse dans la Provence de l'intérieur, et pompe à huile sur le littoral. C'est une galette de farine cuite avec de l'huile d'olive et de la fleur d'oranger. On la mange la veille de Noël et à l'Epiphanie.
Les nougats blancs et noirs : les deux types de nougat sont fabriqués à partir de miel, d'amandes et de sucre. Pour obtenir un nougat blanc et crémeux, on ajoute à la préparation précédente des blancs d'œufs, chaque ingrédient étant cuit séparément ; le nougat noir quant à lui reste croquant et de couleur brune.
Les 4 fruits secs qui font partie des treize desserts sont dénommés les mendiants en raison de leur couleur à l'image de celle des robes portées par les ordres des mendiants : noisettes pour les Augustins, figues pour les fransciscains, amandes pour les Carmes et raisins secs pour les Dominicains.
Les fruits et les friandises s'y ajoutent selon l'envie : pommes, poires, raisins, oranges, melons d'hiver, mandarines, prunes, dattes, confiture ou pâte de coing, calissons, fruits confits, pruneaux, panade (soupe de pain bouilli dans l’eau ou le lait), pompe à huile, etc.
Les spécialités de chaque village viennent aussi s'ajouter aux mets traditionnels : tartes de Haute Provence, panade à Sainte Cécile (tarte aux pommes) et oreillettes en Provence des Montagnes ou gâteaux secs aux pignons de pin sur la côte.
Le vin accompagnait bien sûr le repas de Noël. On en trouvait trois sortes : le vin vieux, de la vigne familiale, le vin clair et le vin cuit. Le tout est terminé par un ratafia maison (liqueur obtenue par macération de fruits, de fleurs et de tiges de plantes).
La liste de ces 13 desserts divergent en Provence d'une ville à l'autre.
- raisins secs
- figues sèches
- amandes et noix
- prunes de Brignoles
- poires d'hiver et pommes
- cédrats confits
- confiture de coings et confiture de fruits au moût de raisin
- nougat blanc (noisettes, pignons et pistaches) et nougat noir (miel)
- cachat piquant (fromage blanc)
- fougasses
- bugnes frites
- galettes au lait parfumées au fenouil et au cumin
- pompe à huile: c' est un pain de fête préparé à la maison mais cuit chez le boulanger. Il s'agit de l'huile d'olive qu'on ajoute à la pâte confectionnée de farine, de levain, de sucre, de cassonnade et aromatisée de zeste d'orange et de citron. On la déguste trempée dans du vin cuit.
Les 13 desserts sont souvent accompagnés de ratafia de cerises et de carthagène.
Les fruits sont des symboles de l’abondance de cette belle région qu'est la Provence. Ces 13 desserts ne sont-ils pas, symboliquement, une corne d’abondance qui déverse ses bienfaits sur les convives? La corne d’abondance symbole de la profusion des cadeaux des Dieux.
Symbole de la tradition lyonnaise, la papillote vit le jour en 1790 chez le pâtissier Sieur Papillot dans le quartier des Terreaux . Cet homme de bien, que le sucre et ses dérivés avaient enrichi, employait un jeune apprenti éperdument amoureux d'une belle jeune fille. Le garçon avait pris l’habitude de subtiliser dans le stock patronal quelques douceurs enveloppées dans du beau papier pour en faire cadeau à sa bien aimée.
Heureux de la tournure que prenaient ses affaires, le commis en question imagina d’agrémenter les bonbons de billet doux de sa composition dont il enveloppait les confiseries.
Il glissait alors à sa belle, par le soupirail de la boutique, ces chocolats enroulés de doux messages.
M. Papillot s’aperçut du manège de son employé et, sans autre forme de procès, le jeta sur le pavé lyonnais non sans lui avoir frictionné les oreilles.
Mais Charmé par l’idée, il décida de la reprendre, en remplaçant les déclarations par des citations… La papillote était née !
Aujourd’hui, près de 400 millions de papillotes sont vendues chaque année en grandes et moyennes surfaces.
La papillote contient une friandise ainsi qu’un rébus ou un dessin, enveloppés d’un papier brillant aux extrémités frangées. Traditionnellement, cette friandise pouvait être un fondant, un chocolat ou une pâte de fruits, mais on trouve actuellement une grande variété d’assortiments (chocolat fourré, praliné, ganache,nougats, pâte d’amande...) qui varient selon le fabricant.La papillote est très populaire dans le lyonnais mais aussi dans toute la région Rhône-Alpes où elle est largement consommée durant les fêtes de fin d’années.
D'après l'évangile les premiers chants de noël furent ceux des anges annonçant la bonne nouvelle de la naissance du christ.
Dans tout les lieux on s'est mis à chanter pour célébrer Noël, dans les églises, mais aussi dans les villages, les chaumières, les chateaux. Tout le monde, riche ou pauvre chantait pour chasser les peurs des nuits d'hiver.
Rythmés par des rondes joyeuses ,les chants évoquent à l'origine la nativité mais aussi la nature et la vie quotidienne.
Les premiers chants de Noël sont liturgiques ou bien des cantiques composés en latin. Repris par la foule au fil des siècles, ils s'enrichissent de mots patois. Le bouche à oreille transforme les paroles de génération en génération.
Les premiers chants dont on a gardé la trace datent du XVIe siècle,comme " entre l'âne et le boeuf" par exemple.
Les célèbres " il est né le divin enfant" et " les anges dans nos campagnes" ont été écrits entre le XVIII et le XIXe siècle.
On distingue deux sortes de chants: les cantiques, généralement repris dans les églises ( douce nuit, entre l'âne et le boeuf, il est né le divin enfant, les anges dans nos campagnes, peuple fidèle.), et les chants traditionnels, plus populaires que sont : mon beau sapin, vive le vent, petit papa noël.
Douce nuit fut composé en décembre 1818 quelques heures avant la messe de minuit. Les paroles sont de Josef Mohr, prêtre de l'église Saint Nicolas d'Obendorf près de Salzbourg.
La légende raconte que l'orgue était tombé en panne cette année là, des souris avaient mangé le soufflet. En toute hâte on fit appel à l'instituteur et organiste d'un village voisin, Franz Gruber, qui inventa un air et le joua à la guitare. Au Noël suivant le cantique fut interprété en chorale et de là il se répandit à l'étranger.
Dans la religion chrétienne la crèche est une mise en scène représentant la nativité; c'est à dire la naissance du christ.
On installe généralement la crèche quelques temps avant Noël,pour certains le 1er dimanche de l'avent pour d'autres la veille de Noël.
La crèche peut rester en place jusqu'au 2 février (chandeleur) mais on la retire souvent après les Rois Mages.
Dans l'évangile selon Saint Luc, l'enfant Jésus est né dans une étable. Il fût déposer à sa naissance dans une mangeoire, qui se dit "cripia" en latin d'oú est issu le mot "crèche".
A partir du VI ième siècle, les écrits rapportent que la célébration de la nuit de Noël se déroulait " ad praecepe" ,ce qui signifie " autour de la crèche".
C'est donc de cette époque que l'on peut ramener la composition de la crèche telle que nous la connaissons aujourd'hui avec la Sainte Vierge Marie, Saint Joseph, l'âne et le bœuf.
C'est François d'Assise qui a créé en 1223 une des premières crèches vivantes.
Courament représentée dans une grotte ou une étable ,on place invariablement la Vierge Marie à genou devant son nouveau né et Joseph à coté d'elle encadrant tous deux l'enfant Jésus.
On place généralement dans la crèche les bergers accompagnés de leurs agneaux, puisque c'est à eux que la nouvelle de la naissance fût annoncée en premier.
Depuis la création des santons de Provence la scène est plus diversifiée en personnages y compris les métiers comtemporains.
En installant la crèche certains y placent la mangeoire dés le début d'autres n'ajoutent la figurine représentant l'enfant Jésus que dans la nuit du 24 au 25 .
L'étoile fréquement représentée en haut de la crèche rapelle celle qui, d'après les écritures, a guidé les Rois Mages vers la crèche.
Il est également fréquent de faire figurer un ange parmi les personnages de la crèche.
Les santons
Le nom "santon" vient du provençal "santoun" qui signifie "petit saint".
Cet art populaire se transmet de père en fils depuis le début du XIXe siècle.
Le matériau utilisé est l'argile locale de Marseille ou d'Aubagne de couleur rouge.
L'origine des santons de provence...c'est la révolution Française.
Le 14 Juillet 1789, avec la révolution, les églises sont devenues propriété de l’état et en 1792, l’assemblée nationale a décidée de les fermer, car elle n'arrivait pas à mettre en place la politique qui avait été décidée, à cause du clergé qui, a l'époque, régentait pratiquement tout. les Curés étaient les personnages les plus importants, les plus puissants, les plus influents, les plus riches, tout simplement parce qu' ils étaient pratiquement les seuls à être instruits. Tout le monde venait leur demander conseil et ils en profitaient largement. En fermant les églises, les curés n'avaient plus de contact avec la population et ne pouvaient donc plus la conditionner, et ça devait être plus facile pour mettre la politique en place.
Mais les gens qui étaient très religieux, ne pouvant plus aller à l’église pour voir la crèche, ont commencé à faire la crèche chez eux, en se cachant, car c’était interdit ; Et c’est en PROVENCE que les premières crèches " clandestines" virent le jour.
Ils faisaient des tous petits personnages qu’ils pouvaient cacher facilement avec de la mie de pain séchée puis peints et vernis.
En 1798, un monsieur de Marseille qui se promenait dans la région d’AUBAGNE, Jean Louis LAGNEL, a vu cette terre qui collait sans arrêt à ses chaussures : c’était l’argile , il l’a enlevée avec ses mains,et a vu que le matériau se travaillait bien . Il a donc fait une petite crèche qu’il a trouvé à vendre tout de suite, puis d’autres et c’est ainsi qu’est né le métier de SANTONNIER.
Avec le temps, les personnages ont grandi, on les a habillé, peint, on y a ajouté les personnages du village, les vieux métiers, ainsi naquirent les crèches provençales .
Situé à un millier de kilomètres au nord de la capitale Helsinki, en Laponie finlandaise, le mont Korvatunturi (littéralement le Mont de l’Oreille) est le lieu où le Père Noël a élu domicile. C’est là qu’il vit, en compagnie de son épouse et de centaines de lutins. Depuis le sommet du mont Korvatunturi, il est à l’écoute des souhaits de Noël de tous les enfants du monde.
Pour les petits Finlandais, le compte à rebours qui précède Noël débute durant l’Avent; les rues sont alors décorées à cet effet. Enfants et adultes s’amusent en ouvrant chaque jour, jusqu’à la veille de Noël, le volet d’une fenêtre du calendrier de l’Avent. Habituellement, les fenêtres révèlent de joyeuses images de Noël, mais ce sont parfois un chocolat ou d’autres petits cadeaux qui sont dissimulés derrière les volets.
Selon les norvégiens il habite Droeback,à 50 Km au sud d'Oslo.Pour les Suédois il habite à Gesunda au Nord-Ouest de Stockholm, et pour les Danois sa résidence est au Groenland.
Les Américains sont persuadés qu'il habite au Pôle nord mais en 1927 les Finlandais ont décrété que le Père Noël ne pouvait pas y vivre car il ne pouvait pas y nourrir ses rennes. Ils décidèrent donc que sa résidence serait en Laponie au Korvatunturi ,mais cette région étant un peu isolée ils décidèrent de le faire déménager près de la ville de Rovaniemi.
La Sibérie, elle aussi, revendique abriter le Père Noël, mais on pense qu'il y a confusion avec son cousin ,Ded Moroz qui est fêté le 7 Janvier dans ce pays.
Les Canadiens prétendent quand à eux, qu'il serait au calme dans le grand nord canadien , dans les territoires de Nord-Ouest.
Pour préparer tous les jouets qu'il doit distribuer,
le Père Noel se fait aider par les lutins. seulement
ce sont de terribles garnements et ils sont toujours
en train de faire les pitres.
Les lutins de Noel sont connus pour être de petites créatures,
ils ont les oreilles pointues et ils ont des pouvoirs magiques.
Les lutins du Père Noel habitent au fond des forêts,
à l'abri des regards. Il y a plusieurs lutins qui vivraient
avec le Père Noel pour l'aider à traiter les demandes des
enfants et les lettres au Père Noel. parmi eux, on retrouve:
- Ludo: l'administrateur des lutins, c'est le lutin chargé
d'emballer les cadeaux, de les envelopper avec du beau
papier et un joli ruban. Souvent il semmèle les pieds dans
les rubans et le papier cadeaux, ce qui ferait beaucoup
rire son frère jumeau Martineau.
- Hugo: l'inventeur de la machine à fabriquer les jouets.
C'est l'assistant de Martino, il l'aide aussi à charger le
traîneau du Père Noel. C'est toujours lui qui porte les gros
paquets. Ils sont tellement encombrant qu'il ne voit pas
où il marche et il s'emmêle les pieds
ce qui fait rire les autres lutins.
- Léo: le gardien qui veille au secret de l'adresse du
Père Noel. Il s'occupe de contrôler la liste des enfants.
Il doit faire attention de ne pas oublier de cadeaux pour
chacun des prénoms inscrits sur la liste. Il est très sérieux
et fait peu de bêtises, mais parfois, il se trompe
dans la prononciation des prénoms ce qui fait rire
toute l'équipe des lutins.
Martino: le concepteur du traîneau du Père Noel.
C'est le frère de Ludo. Son rôle consiste à charger
le traîneau du Père Noel. Il faut qu'il s'applique sinon
des paquets pourraient tomber quand le traîneau s'envole.
Souvent il trébuche, tellement il a des paquets dans les bras
et tous les lutins éclatent de rire.
-Les lutins ont d'autres missions:
- Prendre soin des rennes du Père Noel
- Garder le traîneau du Père Noel en bon état
- Faire une belle liste de cadeaux de Noel
- Observer et écouter les enfants de tous les pays
si ils ont été sages.
Le 24 décembre au soir la grande tournée peut alors commencer.
Clement Clarke Moore, l inventeur du père Noël dote celui ci d'un petit traîneau tiré par huit rennes. Pourquoi des rennes? Parce que, d'après une légende, à cette époque de l'année, la Scandinavie est recouverte d'une épaisse couche de neige. Les rennes n'ont donc pas un brin de lichen à se mettre sous la dent. Ils se rabattent donc sur les champignons rouges et blancs qui ont la caractéristique d'être hallucinogènes. Leur repas terminé, ils galopent en tous sens, planent, volent...
Dans son poème «La nuit avant Noël», C.C. Moore a immortalisé les huit petits rennes par leur nom:
Tornade (Dasher) - Le plus rapide.
Danseur (Dancer) - La plus gracieuse.
Furie (Prancer) - Le plus puissant.
Fringant (Vixen) - Belle et puissante.
Cométe (Comet) - Il apporte le bonheur aux enfants.
Cupidon (Cupid) - Elle amène l'amour aux enfants.
Tonnerre (Donner) -
Éclair (Blitzen) - Elle apporte la lumière
Le neuvième, nommé Rudolphe, fut créé en 1939 par le poète Robert L. May dans un conte où le Père Noël doit affronter des conditions météorologiques si mauvaises qu'il risque d'être en retard dans sa livraison de cadeaux. Grâce au nez lumineux de ce renne, il peut s'orienter dans la turbulence hivernale et mener à bien sa distribution de cadeaux.