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.Pour le prix d'un 2 étoiles français, nous avons 60m2.

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Demain, départ pour Québec:

La chute de Montmorency et la ville historique.

Cliquez sur le lien:

http://musiquesvoyages.centerblog.net/rub-canada-chutes-de-montmorency-.html

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C'est l'embarquement, un bus nous amène à la passerelle de l'avion.

.A Roissy l'accès au Terminal 3 nous fait bien sentir que nous sommes des low cost . Mais l'Airbus d'Air Transal est au top, espace correct pour les jambes et écran intégré dans le siège avant avec films récents ou musique à disposition.

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.Montréal, passage en douane pour plus de 1000 passagers ( 3 avions ). Plus de 10 postes de douane, mais...2 douanières ! L'héritage français !

 Un peu de wifi pour patienter.

Après 3 heures à l'aéroport, départ pour l'hôtel  au centre de Montréal, rue Lesvèque            au Inn Holliday.

Jacques Cartier, en 1534, est le premier européen à remonter le golfe puis le fleuve Saint-Laurent et d’explorer ses côtes. C’est lui qui nomma ce nouveau monde « Canada » (mot emprunté aux autochtones déjà sur place). Donc, le Canada est découvert et nommé par Cartier, un explorateur français envoyé par le roi de France François 1er. Jacques Cartier plante une croix à Gaspé le 24 juillet 1534 pour signifier l’appropriation des lieux au nom du roi de France.

Donc tous les français qui ont colonisés et se sont établis en Nouvelle-France (Canada nommé par Cartier) étaient des canadiens. Le Canada Français, à son apogée, comprenait le Québec et l’Ontario actuels, ainsi que toute la côte Est des États-Unis actuels( Louisiane). Ensuite, après avoir perdu le pays aux mains des anglais, la couronne britannique décida de séparé le Canada en deux pour faire place aux colons anglais. Soit le Bas-Canada (Québec actuel) et le Haut-Canada (Ontario actuel), la côte Est américaine était déjà aux mains des anglais (Nouvelle-Angleterre – États-Unis actuels) On nous a alors ôté le titre de canadien pour nous appeler « canadiens-français ». Même l’hymne national, le Ô Canada, fut écrit, paroles et musique, par des canadiens-français (La musique a été écrite par Calixa Lavallée, et les paroles par Adolphe-Basile Routhier). Cette hymne était à l'origine un chant patriotique canadien-français composé pour la Société Saint-Jean-Baptiste. Beaucoup plus tard les canadiens-anglais en ont fait une traduction, et la chambre des Communes à Ottawa a officialisé la chanson comme hymne national officiel...

( texte du site  http://www.jemesouviens.info/ )

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plan des chutes du site: bonjourquebec   Cliquer pour agrandir.

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.Le Parc de la Chute-Montmorency est situé à quelques minutes de la ville de Québec

Le pont d'Orléans reliant  le site de Montmorency  à l'île d'Orléans.

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Gravure  anonyme  1855(sur le site)

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 Entre falaise et fleuve .

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.Le téléphérique pour accéder au sommet des 83m de dénivellé,

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Soit 30m de plus que les chutes du Niagara.

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 Des escaliers (487 marches) permettent d'atteindre le haut de la falaise et  d'observer la chute et le parc sous des angles différents

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Récompense de "l'escalade", le plateau où se déroula une bataille dite de Montmorency.

.C'est là, qu'en juillet 1759 le général Wolfe établit un campement sur la rive de la rivière Montmorency. De là, il pouvait observer et surtout bombarder les positions françaises.

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"Vue de la chûte ou saût de Montmorency et de l'attaque des retrenchements français près de Beauport par le général Wolfe avec le grenadier de l'armée le 31 juillet 1759."       Archives nationales du Québec.

.A 11h, le matin du 31 juillet 1759, Wolfe se trouve à bord de l'un des 2 navires de transport qui, sous la protection des canons de HMS Centurion, débarquent treize compagnies de grenadiers sur le rivage de Beauport.

Les anglais occupent une redoute que l'ennemi vient d'abandonner, mais l'ouvrage est sous le feu des lignes françaises et Wolfe constate que ses hommes ne pourront pas le tenir.

Il appelle des renforts et ordonne que l'on monte à l'assaut des retranchements sur les hauteurs.Les anglais occupent une redoute que l'ennemi vient d'abandonner, mais l'ouvrage est sous le feu des lignes françaises et Wolfe constate que ses hommes ne pourront pas le tenir.

Vers 17h30, le ciel est très sombre : les soldats se lancent à l'attaque sous un feu meurtrier.

Un violent orage va interrompre peu après le combat, car la poudre est mouillée.

Les anglais se retirent laissant plus de 400 morts, blessés et disparus.

Wolfe trouvera le 13 septembre un meilleur moyen de prendre Québec.

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Après la  traversée de la partie engazonnée de la falaise,nous  empruntons le pont de la faille

avec en haut de gauche à droite: Québec, le manoir de Montmorency et le belvédère en bois dit de la Baronne.

puis  le sentier royal et nous arrivons au pont suspendu, appelé passerelle.

Suspendu qui balance même.

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Le pont de la chute.

Cette passerelle, inaugurée en 1993 enjambe la rivière Montmorency à l'emplacement de celui érigé en 1856.

Les 4 pylônes de pierre sont les seuls témoins de la tragique histoire de l'un des premiers ponts suspendus construits au Québec.

Ouvert le 25 avril 1856, il s'écroula 5 jours plus tard précipitant dans l’abîme 3 personnes.

Un des ancrages du coté Ouest avait cédé.

La nouvelle passerelle même si elle incorpore les pylônes de son ancêtre, possède des assises au cœur du roc et elle offre la plus entière sécurité ( sic, info affichée sur place)

.Du pont, les escaliers pour l'escalade et l'eau de la chute se jettant dans le Saint Laurent.

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Du pont suspendu, une mouette au 1/400è de s.

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La via ferrata de la Chute prend la forme d’une randonnée sur paroi rocheuse qui se vit en petit groupe en compagnie d’un guide professionnel. En tout, trois parcours ancrés dans la falaise promettent de belles poussées d’adrénaline.

Les circuits ont chacune leurs particularités qui les rendent uniques, dont une tyrolienne de 120 mètres. (quebecvacances)

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Le pain de sucre en 1829 par James Patterson Cockburn

. Quand l'eau gèle sous la chute, la couche de glace forme une base sur laquelle l'eau brumisée

retombe en neige fondante ; elle s'amoncelle en un tas qui s'élargit et grandit prenant une forme conique irrégulière. Vers la fin de l'hiver, ses dimensions deviennent prodigieuses.

Sa hauteur varie avec un record de plus de 38m d' hauteur en 1829.

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.Passage de la ville Basse à la ville Haute.

L'escalier du casse cou 

     Vers 1670, « pour gravir le rocher », on trace dans le cap Diamant un sentier qui relie l'extrémité de la rue de Meulles ( to day Petit Champlain) au milieu de la côte de la Montagne. Il permet d'éviter la partie inférieure d'éviter la partie inférieure de la côte, une courbe aigüe souvent ruinée par la pluie « qui la casse et la creuse ». Mais la pente du raccourci est si raide « qu'il faut y faire des degrés ».

Ainsi naît, probablement vers 1680 le premier escalier de Québec.

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Au début du 19è s, Québec devient l'un des principaux ports d'Amérique et la porte d'entrée de l'immigration . Dans le quartier Champlain, en pleine croissance démographique, l'escalier en bois est un passage commode entre la basse ville commerçante et la haute ville institutionnelle. 

    Le vieil escalier de bois, dit escalier Champlain ou « du quêteux » devient chambranlant (sic) et dangereux dans les années 1880. Des guides londoniens le surnomment le « breakneck steps », escalier casse cou. En 1893, on le remplace par une structure de fer plus large, à 3 rampes, conçue par l'ingénieur de la ville, Charles Baillairgé. .

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Vers 1920, dans le nouvel escalier aux contremarches de fer forgé, les habitants posent pour le photographe. ( texte basé sur panneau indicafif)

.Au moment où s'amorcent les travaux de restauration de la Place Royale au cours des années 1960 , on reconstruit l'escalier sous sa forme actuelle.

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