L'Unicité d'Allah - حق الله على العباد

 Le bienfait de la Croyance en l'Unicité d'Allah (‘Aquida At-Tawhid) Écrit par Sheikh Rabee Ibn Hadi Al Madkhali.

Publié dans L'Unicité d'Allah Le bienfait de la Croyance en l'Unicité d'Allah (‘Aquida At-Tawhid) Sheikh Rabee Ibn Hadi Al Madkhali (Qu'Allah le préserve)

D'après `Ubâda Ibn As-Sâmit (qu'Allah soit satisfait de lui), le Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) a dit: "Quiconque témoigne qu'il n'y d'autre divinité qu'Allah, l'Unique qui n'a point d'associés; que Muhammad est son Adorateur et son Envoyé; que Jésus ('Isa) est l'adorateur d'Allah, fils de Son adoratrice, Sa parole qu'Il envoya à Marie et Son esprit; et que le Paradis est vrai et que l'Enfer est vrai, Allah le fera accéder, à volonté, au Paradis par n'importe laquelle de ces huit portes"... Celui qui a rapporté le Hadith : `Ubâda Ibn As-Sâmit Al Ansary, était un habitant de Médine [Ansar], il était présent avec le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) lors des deux serments d’allégeance et a quasiment participé à toutes les croisades avec lui. Il était Enseignant apprenant le Coran à Médine et plus tard au Cham et il est décédé à Jérusalem [Bayt Al-Maqdis] en l’an 32 de l’Hégire - qu'Allah soit satisfait de lui ! Explication des mots et Vocabulaire :

Témoigner qu'il n'y d'autre divinité qu'Allah : prononcer cette parole avec la langue en même temps que la croyance de ce qu’elle comprend avec le cœur et enfin, l’application ce qu’elle comporte avec les actes des membres. L’Unique (Wahdahou) : c'est-à-dire Une Seule Personne. Jésus ('Isa) : c’est le fils de Marie la [sainte] vierge. Sa parole (Kalimatouh) : c'est-à-dire qu’Allah créa Jésus ('Isa) par Son commandement qui consiste à dire: "Sois", et il fut Jésus ('Isa) par Sa Volonté et Sa sagesse. On l’a surnommé ainsi : « Parole » relative à son existence par le commandement du Très Haut, qui consiste à dire: "Sois". Son esprit (Rouhoun min Hou) : c'est-à-dire que Jésus ('Isa) n’est qu’un souffle (de vie) venant de Lui parmi les autres vies qu’Allah a créés et a qui Il a permis l’existence. Le Paradis et le Feu (l'Enfer) est vrai (Djanâ oua nâr Haqq) : c'est-à-dire qu’ils sont tous les deux une réalité, qu’ils existent sans le moindre doute à leur sujet. Le sens général du hadith : Ce hadith comporte cinq thèmes, celui qui y croit et œuvre en se conformant à leurs sens Apparent et Caché, entrera au Paradis :

Premièrement : La parole du Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) : " Quiconque témoigne qu'il n'y d'autre divinité qu'Allah, l'Unique qui n'a point d'associés ", c'est-à-dire de croire en Allah avec loyauté et fermeté en reconnaissance de l’Unicité (Wahdaniya) d’Allah le Très Haut et en renonçant a l’adoration d’un autre que Lui oeuvrant ainsi en conformité avec le sens de l’attestation : « qu'il n'y d'autre divinité qu'Allah » pour suivre ainsi les prescriptions d’Allah et de s’écarter de Ses interdictions, par la parole et par les actes.

Deuxièmement : " Quiconque témoigne que Muhammad est son Adorateur et son Envoyé - paix et bénédictions d’Allah soient sur lui ", c'est-à-dire de croire d’une croyance ferme dénué d’incertitude, que Muhammad l’Envoyé d’Allah, a été envoyé par Allah à l'ensemble de la création [Athaqalayn], les djinns et les Hommes, accompagné d’un message explicite et accomplie. Qu’Il est le sceau des Prophètes et que son message est le dernier des messages (descendus). [Ceci prescrit] de croire qu’il est un serviteur parmi les autres serviteurs d’Allah et qu’il a été honoré à juste titre par Allah pour diffuser Son message au monde entier, le croire formellement sur ce qu’il a informé et lui monter de l’obéissance en appliquant ce qu’il a ordonné et en délaissant tout ce qu’il a interdit et mis en garde contre.

Troisièmement : De croire que Jésus ('Isa) - Paix sur lui – n’est qu’un serviteur parmi les autres serviteurs d’Allah et un messager [d’Allah] d’entres les autres messagers. Qu’Il n’est ni un enfant né suite à l’adultère, comme le prétendent les Juifs, ni Dieu et ni comme le prétendent les Chrétiens : " Le fils d'Allah " et " le troisième de trois ". Il est de ce fait, qu’un serviteur parmi les autres serviteurs d’Allah qu’Il a envoyé aux Enfants d’Israël pour les appeler à l’adoration d’un Dieu unique. En effet, Allah a créé Jésus ('Isa) par Sa parole (Kalimatouh) qui consiste à dire: "Sois", qui est Son commandement relative à l’existence et que Jésus ('Isa) n’est qu’une âme (vie) parmi les autres vies qu’Allah a créés : " Pour Allah, Jésus est comme Adam qu'Il créa de poussière, puis Il lui dit: "Sois" et il fut." [Sourate Al ‘Imran – verset 59]

Quatrièmement : Le Paradis est vrai (Djanâ Haqq) : c'est-à-dire de croire que le Paradis, qu’Allah a préparé pour ceux qui sont soumis d’entres Ses serviteurs, est une réalité, qu’il existe bien et que c’est une vérité sans le moindre doute à ce sujet. Que ce lieu désigne par là, la demeure finale et éternelle pour les vrais croyants (Mouminoun) qui ont cru en Allah et Ses messagers. Cinquièmement : Le Feu (l’Enfer) est vrai (nâr Haqq) : c'est-à-dire de croire que le Feu qu’Allah a promis à ceux qui ont mécru et les hypocrites, est une vérité, qu’il existe bien sans le moindre doute à ce sujet. Que ce Feu, Allah l’a réservé à ceux qui ont mécru et reniés Allah et Lui ont désobéissent. Celui qui croit sincèrement en ces cinq points et en a la conviction puis oeuvre en conformité avec leurs sens, entrera certainement au Paradis, même s’il est quelque peu négligeant et qu'il est souillé de péchés, ceci en raison de sa Croyance en l'unicité d'Allah [At-Tawhid] ainsi que de sa sincérité dans l’adoration d’Allah Seul. Ce que l’on doit retenir de ce Hadith :

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3. On doit en retenir le mérite de la Croyance en l'unicité d'Allah [‘Aquida At-Tawhid], et qu’Allah expie les péchés par ce témoignage.
4. L’étendu du bienfait d’Allah et Sa miséricorde envers ses serviteurs.
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7. On doit retenir de cette parole au sujet de Muhammad - paix et bénédictions d’Allah soient sur lui - : « Muhammad est son Adorateur et son Envoyé », le fait de connaître le droit des Prophètes et tout particulièrement celui de Muhammad - paix et bénédictions d’Allah soient sur lui - sans tomber dans l'exagération et dans la négligence dans son droit.
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10. Les désobéissants d’entres les musulmans qui pratiquent Son monothéisme (Muwahidin), ne demeureront pas éternellement dans le Feu (de l’Enfer). 5. La Croyance au Paradis et au Feu (l'Enfer) est une obligation. Source : www.rabee.net - فضل عقيدة التوحيد Article issu du livre intitulé « Moudhakirat Al Hadith An-Nabawi fi Al ‘Aquida ou al Itiba’ – hadith n°2 » de Sheikh Rabee Ibn Hadi Al Madkhali Traduction rapprochée : AbuKhadidja Al Djazairy

On ne peut aimer sans pardonner et on ne peut vivre sans aimer. Pardonnez à votre entourage le plus proche et à tous ceux qui vous entoure, à ceux que vous connaissez et à ceux que vous ne connaissez pas. Pardonner c'est Aimer. Pardonner c'est offrir son cœur à son prochain. Pardonner est la preuve véritable envers l'Amour de notre Seigneur.Si on fait de ce Pardon notre pain quotidien, un principe et une règle de conduite dans notre vie, le Seigneur  en échange nous en tiendra compte, et non seulement nous pardonnera nos fautes, toutes nos fautes, mieux encore, il veillera sur nous afin que nous ne fassions pas d'autres.

Si vous pardonnez à quelqu'un ses fautes, ces derniers disparaissent sur le champ avec la grâce de Dieu et Allah (Exalté soit-Il) vous pardonnera les vôtres. Par contre si vous ne pardonnez pas et rester indifférent à l'égard de votre frère, la haine s'installera entre vous deux et la rancune prendra le relais et s'accentuera de jour en jour, et finira par endurcir votre cœur envers cette personne, au point de  souhaiter sa mort et ainsi, un vif sentiment  d'aversion et de ressentiment gagnera votre cœur , et finira avec le temps par s'y installer en l'enveloppant définitivement d'un voile noir de haine et de méchanceté .Votre cœur sera ce jour sombre à l'égard de tout le monde, il sera vidé de la lumière et de la présence divine, et l'inspiration des démons prendra le relais et fera de votre cœur son principal gîte,  et ainsi ce cœur finira par tomber malade et cette grave maladie gagnera l'ensemble des sens de votre corps.

Ce jour là , plus rien ne pourra guérir ni sauver ce malheureux cœur, à part le retour à Allah (Exalté soit-Il) , par le repentir et la diète (ne plus revenir à la dureté du cœur).Revenons à Dieu de ce grand péché et que l'on sâche surtout que les cœurs durs sont impardonnables, et ils sont voués à fondre dans les feux de l'Enfer. Dans le saint Coran Allah nous prévient «  Le jour où ni l'argent, ni les enfants ne seront d'aucun secours, sauf ceux qui auront rencontré Allah avec un cœur sain ».

Que ceux qui ne pardonnent pas aux autres, je leur conseille sincèrement de méditer profondément sur ce grand et noble hadith gûduçi, sur la large miséricorde d'Allah :« O fils d'Adam, tant que tu M'invoques et place en Moi ton espoir, Je te pardonnerais quoique que tu aies fait, et Je ne m'en soucie pas. Ô fils d'Adam, si tes péchés atteignaient les nuages des cieux et qu'ensuite tu sollicitais Mon Pardon,  Je te l'accorderais. O fils d'Adam, si tu te présentes devant Moi avec autant de péchés que peut en contenir la terre et qu'ensuite tu Me rencontres sans rien associer à Mon culte, Je t'apporterai un Pardon équivalent. » [ Authentifié par At-Tirmidhî ].

Dans ce cas précis, un jour Chamson André a dit cette célèbre citation qui s'apparente parfaitement avec notre sujet : «  Rien n'est peut-être plus égoïste que le pardon ».

Auteur Reguieg Mokhtar

La prière n'a jamais été aussi difficile.

Les bibliothèques sont comme des studios. Aucun son ne passe inaperçu. Aucun bruit n’est émis sans que quelqu'un ne lève les yeux ou, dans ce cas, un bibliothécaire n’intervienne et somme immédiatement le perturbateur de la paix de se taire, réduisant ainsi le pollueur sonore au silence.

Progressant à pas de loup, d’une étagère à l’autre, et papillonnant nerveusement sur les rayons, je m'efforçais d'être aussi silencieux que possible.

Chaque pas, chaque petit souffle courageux était soigneusement mesuré à un niveau exact de décibels, ni plus ni moins.

La seule dynamique que je n'ai pas réussi à contrôler était le battement de mon cœur et un ton beaucoup plus subtil qui a, en quelque sorte, dépassé toutes mes barrières sonores, mon pare-feu construit par une matrice mentale, mon esprit étouffé. C’était semblable à une flûte, en ce sens qu'elle était à la fois douce et tamisée. Pourtant, en même temps, c'était perçant et audacieux, un hymne constant, frappant dans mon environnement intérieur. C'était mon âme : ma petite charge vivifiante !

Cela m'appelait, chantant un doux Adhân (appel à la prière) que moi seul pouvais entendre dans ce monde muet de livres. Et ô, comme je l'ai aimé, mais je l'ai redouté !

J'ai dû trouver un endroit pour faire la prière, quelque part dans cette bibliothèque d'université, lors de mon premier trimestre d'études supérieures. Mais j'avais tellement peur de la faire, j’étais tellement timide de m'incliner devant les autres, tellement inquiet de l'impression que je pouvais dégager. Et si une personne malveillante m'attaquait ? Et si j'étais méprisé parce que j'étais un « fanatique » imbécile ? Les titres des journaux ont traversé mon esprit : « Un complot terroriste dévoilé sur le campus universitaire ! » « Homicide rituel offert à la bibliothèque du campus ! » « La main d'Al-Qaïda est arrivée jusqu’à la campagne ! » « Un bibliothécaire utilise un pistolet à impulsion électrique contre un étudiant fanatique. »

Passant pas moins de 10 fois à côté de l'horloge sur le mur, l'aiguille des minutes a commencé à s’imposer dans mon esprit, chaque seconde sonnant comme un battement assourdissant sur une bouilloire. La situation devenait désespérée. Je ne pouvais pas manquer ma prière. Mais qu'en était-il des gens ? Qu'en était-il de toute la douleur possible, des résultats potentiels, internes et externes ?

J'ai senti que je devais respirer. Je devais aller faire la prière. C'était une fonction corporelle. Je me suis battu [contre mon âme] en silence, faisant semblant de lire des livres au hasard sur la politique. À ce moment-là, si les bibliothécaires avaient pu entendre ce qui se produisait à l’intérieur de moi, avec tous les débats furieux et les fracas intenses en cours, ils m’auraient probablement mangé vivant. À quel point cette situation difficile était mauvaise pour moi.

Me trainant juste à temps [avant la fin de la période prescrite de la prière], j'ai trouvé un endroit relativement isolé et tranquille et j'ai commencé à accomplir ma prière. Chaque mouvement perceptible était un mouvement titanesque, une opération épuisante pour moi. J'avais l'impression que ma taille — cette charnière corporelle qui nous permet de nous pencher et de nous prosterner — était rouillée. J'avais vraiment besoin d’un lubrifiant spirituel.

C'était une épreuve périlleuse, du moins pour moi. J'y ai réfléchi toute la semaine. Il m’a fallu toute ma volonté pour faire simplement la prière, pour exprimer ma piété, ma gratitude envers Allah, l’Être formidable derrière mon architecture organique, mon physique magique, mon expression créatrice, ma passion artistique — mon moi intérieur, cette âme invisible qui fait de moi qui je suis. Et maintenant, éprouvé par le feu et mesuré, je me rends compte que mon âme, le cadeau que m’a fait mon Créateur, n'a pas fait l’objet de la reconnaissance qui Lui est due lorsqu’elle se trouvait dans une situation inappropriée.

Je regarde la Création autour de moi — les chevaux et les oiseaux, les arbres et la neige qui tombe, les petites sources et les collines — et je sais que j'ai été témoin d’un culte authentique et complet. Battant, sautillant, grandissant, tombant, bouillonnant, toutes ces créatures vouent un culte à leur Créateur de leurs manières uniques et prescrites. L'oiseau vole et accomplit sa prière, ses fonctions corporelles. Nos compagnons chevalins s’élancent dans les plaines du monde entier.

Ils accomplissent leur but, expriment leur adoration et donnent un élan, non seulement à leurs formes gracieuses, mais aussi à leurs âmes tendres. Les arbres atteignent les cieux. Les ruisseaux murmurent, coulant de la terre. Tout voue un culte à Allah, le Tout-Puissant.

Étant une créature, parmi toutes les créations qui vivent dans le monde, nous ne sommes en aucun cas dispensés de remplir nos fonctions jusqu'à leur achèvement. Étant des créatures composées d'esprits, d'âmes et de corps, nous devons satisfaire tous ces aspects individuellement pour rester en bonne santé, pour posséder cette audace, ce rebond qui nous maintient en pleine floraison, à fond la caisse, si vous pardonnez l'expression.

Nous mangeons, buvons, faisons de l'exercice, faisons l'amour et bien d'autres choses pour répondre à nos besoins corporels. Pour étancher la soif de notre intellect, nous allons à l'école, lisons des manuels d'instructions, relevons de défis mathématiques et mémorisons.

Mais que faisons-nous pour notre esprit, notre noyau interne qui inspire toutes les autres parties de notre corps ? Nous faisons la prière. Une réponse simpliste ? Je crois que non.

L'adoration ouvre tout notre être à une brise rafraichissante de l'extérieur, apaise nos intérieurs enflammés et inspire l'esprit, le corps et l'âme. Voudriez-vous vivre dans une maison où l'on asphyxie ? Nageriez-vous dans un marais stagnant, sans source ni courant pour le nettoyer ? Aimeriez-vous avoir les ailes coupées ?

La prière, pour nous, est devenue un acte exceptionnel, une lutte titanesque : cinq batailles par jour ! Flottant dans la stratosphère de la vie laïque moderne dans nos montgolfières, il est tentant de jeter ces sacs en toile de prières, ces lourdes responsabilités par-dessus bord.

Car aux yeux de ma génération montante, la prière a été rétrogradée au rang de fardeau spirituel, à un acte de foi audacieux. Mais sans elle, comment pouvons-nous être en bonne santé ?

Maintenant, si nous devons nous battre pour accomplir quelque chose d'aussi fondamental que la prière, avec quoi devons-nous nous efforcer simplement de survivre ? L'adoration doit être une chose dont il faut être fier, non pas pour se vanter, mais pour vivre une vie pleine.

La prière que nous connaissons — cette prière de l'Islam — est le paradoxe ultime, la véritable ironie, car elle nous ramène littéralement sur Terre et nous rend humbles. Pourtant, en même temps, elle nous élève tout autant, sans ambiguïté vers les cieux et, voici que nous nous métamorphosons en êtres sublimes, meilleurs que les anges. Et il s’agit de quelque chose contre lequel il vaut la peine de ne pas lutter. S’abandonner.

Source : Aljumuah

Un jour le Cheikh de l’Islam Ibn Taymiyyah (qu’Allah lui fasse Miséricorde), en faisant allusion aux bienfaits de l’islam en général, a dit : « Si les rois savaient la joie et le plaisir que nous ressentons en nos cœurs, ils tenteraient de nous enlever cela à la pointe de leurs sabres. ».

Si aujourd’hui l’islam est négativement médiatisé, diabolisé et stigmatisé, un islam qui malheureusement est devenu une véritable phobie, une peur instinctive et généralisée en occident et partout ailleurs. Un islam qui a donné lieu à une véritable controverse, un véritable conflit mondialement et haineusement diffusé.. Et pourtant Le mot islam vient de la racine « salam », qui signifie « paix ». Le mot islam signifie également la soumission à Allah (swt). L’islam est grande miséricorde que Dieu a voulue pour l’humanité entière, à l’effet de les sauver, de les sortir des ténèbres vers la lumière.

Si les non musulmans ou pour la plupart d’entres eux, compte tenu de leurs comportements exemplaires, leurs beaux principes moraux et en particulier leur sincérité, leur loyauté et leur honnêteté envers les gens sans distinction aucune, savaient ce que l’Islam réservait à cette catégorie de gens, comme bienfaits et récompenses dans cette vie et surtout dans l’au-delàs, ils se « précipiteraient du haut d’une falaise » pour se reconvertir et profiter du mieux qu’ils le peuvent de l’islam et sa miséricorde infinie sans perdre un seul instant .

Le jour que nous craignons et redoutons tous, pourrait arriver subitement et à l’improviste, sans même se donner cette peine de nous aviser, il pourrait nous surprendre à la maison, au travail, il pourrait même nous surprendre dormant dans nos lits, ou même en pleine circulation, conduisant notre véhicule. Ce jour est impitoyable, cruel, il pourrait nous surprendre partout ou nous serons, sans même nous donner le droit à une seule parole, à une explication afin de nous défendre, de nous protéger et éviter qu’il nous prenne.Nous n’aurons aucune faveur soit-elle, même pas le temps de faire nos adieux à nos proches.

Ce jour vous l’avez tous reconnu, ce jour représente toute notre vie et en est la phase finale. Il est la fin d’une époque et le début d’une autre époque de vie. Ce jour est chargé de mettre fin à nos longues années de scolarité dans cette école de la vie. Ceux qui auront bien travaillé, n’auront rien à regretter, ces bienheureux, les élus de Dieu, n’auront rien à craindre, au contraire, ces justes auront le pardon de leurs péchés. Ils demeureront éternellement dans le paradis pour avoir réalisé leur vie durant une bonne et studieuse scolarité .

Par contre les autres, ces réprouvés, ces maudits,  ils regretteront amèrement le jour de leur venue dans ce monde. On ne leur donnera même pas le droit à la parole pour tenter de se justifier ou de s’expliquer, ils seront reçus par des anges dont la seule mission et la prise en charge des gens de leur acabit . Ce jour là , leurs cris de détresse pulvériseront les montagnes, leurs sanglots couleront pareils à des fleuves et personne ne les entendra, sauf dit-on, les animaux ou les nouveau-nés, et personne ne viendra à leur secours, ce seront les non croyants, ces malheureux qui ont pris l’islam pour dérision, pour ironie. Ils seront éternellement maudits dans l’au-delà, et leur  destinée sera ce jour, un séjour éternel aux fins fonds des gouffres et des précipices de l’Enfer.

Par contre, l’autre catégorie d’élèves, les fainéants, les paresseux, les négligents, cette catégorie d’élèves qui représente une certaine catégorie de musulmans qui mourront dans la foi musulmane, ils arriveront un jour au bonheur des élus,  seulement après avoir été purifiés par le feu de la géhenne (enfer).

Chers frères, malheureusement  c’est une évidence, une grande vérité, cette vérité que nul ne peut cacher, nul ne peut dissimuler ou camoufler. La vérité est comme le soleil, peut-on cacher le soleil qui brille pour tous ?Il nous faut donc profiter au maximum de ce soleil qui brille encore… et dont les lueurs nous traversent le cœur et ce, avant qu’il ne soit trop tard et avant que les cieux ne s’assombrissent sur nous, et les portes du repentir ne se referment à jamais… !

Chers frères, prions Dieu tous et fort de nous pardonner et de nous sauver des feux éternels de l’Enfer. La vérité est amère, mais malheureusement on n’a pas le choix, il faut y goûter et surtout en discuter, sérieusement… !!!Une grande vérité à méditer longuement ce soir avant de se coucher, car nul ne sait ce que nous réserve demain… !!!

Que le bon et miséricordieux Seigneur nous accorde à tous son Amour, sa Bénédiction, et nous guide tous vers la véritable voie du salut éternel, Amen.

Notre Seigneur par son amour, sa grâce, son indulgence et sa miséricorde infinie nous tend tous les jours sa généreuse et indulgente main et nous invite aimablement à revenir vers Lui, à nous repentir de nos péchés et de nos fautes et revenir à la raison et au bon sens.

Une grande occasion spirituelle et un sursis nous sont toujours accordés et qui risquent pourtant et pour beaucoup d'entre nous d'être un préavis et un dernier avertissement, qui sait ce que demain nous cache ? Profitons au maximum de cette généreuse main divine qui nous est généreusement tendue et profitons-en au grand maximum pendant que nous avons encore droit à l'œuvre et la grande possibilité de revoir nos comptes et remettre notre compteur à zéro.

Profitons de cette grande opportunité qui s'offre à nous et exploitons ces journées, je dirais ces instants au grand maximum et surtout ne laissons passer aucune occasion, aucune aubaine dans le bien, les bonnes œuvres et tout ce qui pourrait nous rapprocher d'Allah (swt) et nous permettre de gagner sa large satisfaction.

Remerciant constamment Allah (swt) de nous avoir réveillés de notre profond sommeil et de nous avoir permis encore une fois de reconnaitre la vérité ainsi que les véritables raisons de notre existence en ce bas monde. Et que l'on soit surtout convaincus que toute cette vie ne tient qu'à un fil, et que l'homme pourrait rencontrer son Seigneur à n'importe quel moment de la journée.

Auteur : Abdullah Mokhtary

Allah (swt) a créé dans ce monde deux voies, et le choix revient à l’homme ! Il n’y a dans ce monde que deux voies. Ceux qui reconnaissent les bienfaits de Dieu sont guidés sur la voie du bien qui mène au Paradis et ceux qui ne font que renier sont guidés sur la voie de l’errance qui mène en Enfer. Seul Dieu guide qui il veut sur l’une ou l’autre voie et il n’appartient à l’Homme que de croire ou de renier, tout le reste n’en est qu’une conséquence directe.

Les gens à l’âme pure et noble croient au bien et c’est pourquoi, ils le pratiquent. Les natures dégénérées et aveuglées par leur injustice et leur orgueil, ne croient qu’au mal. Ce sont les malins qui ne croient qu’au Malin, tandis que les premiers croient à un Dieu plein de justice et de miséricorde et seul détenteur de toute force et de toute puissance.

Les bons choisissent dan ce monde la voie de la clarté et de la simplicité et c’est ainsi qu’ils jouissent de la paix de leur conscience et de la sérénité de leur âme. Les malins prennent les voies les plus obscures et les plus tortueuses, et la complexité de leur vue des choses leur interdit tout repos et toute sérénité. Ils courent en haletant comme des chiens. Leur cœur est plus dur que la pierre, leur âme est insatiable et leur nez supporte les plus mauvaises odeurs.

Cependant certains exégètes traduisent le mot (hosna) par la profession de foi de l’Islam « Il n’y a de dieu que Dieu et Mohammed (sala Allah alayhi wa salam) est le Messager de Dieu.

Un Hadith que le Prophète (Paix et Salut sur Lui) nous a enseigné et que le musulman doit lire dans toutes ses prières quotidiennes “Ô Allah, nous Te demandons toutes les bonnes choses que Ton Prophète Mohammed (Paix et Salut sur Lui) T'a demandées ! Et nous Te demandons de nous protéger de toutes les mauvaises choses contre lesquelles Ton Prophète Mohammed (Paix et Salut sur Lui) T'a demandé d'être protégé ! Et c'est avec Toi Seul qu'on obtient de l'aide ! Et c'est vers Toi qu'aboutit toute destinée ! Et il n'y a de force et de puissance que par Allah !”.
 


Le véritable musulman doit craindre et aimer Allah constamment, sans cesse, partout où il se trouve. Il ne doit associer à sa foi en Dieu aucune force, aucune puissance autre que Celle du Seigneur exalté soit-Il.  Comment craindre la créature au grand détriment du Créateur. Comment craindre l'Univers et tout ce qu'il contient aux dépens de la puissance infinie d'Allah, Le Haut, Le Très-Haut, Le Tout-Puissant, Le Très Miséricordieux.Comment craindre cet Univers, cette créature qui elle-même vit dans la crainte continuelle d'Allah.Cet Univers dont les forces obéissent pourtant aveuglément à la volonté de Dieu qui les dirige et qui Lui rendent grâce sans cesse, en louant ses bienfaits et ses faveurs. Ces bienfaits que nous autres humains sommes incapables d'imaginer ni en concevoir le nombre réel. Notre religion nous apprend d'ailleurs que Dieu dans sa Toute -Puissance a créé des anges avant la création même de ce monde,  uniquement pour louer ses bienfaits et l' adorer. Ces anges sont d'ailleurs en état de prosternation permanente depuis la création de cet Univers jusqu'à la fin des temps ! Et lorsque le Seigneur leur ordonnera de se relever, ils diront «  Ô ! Seigneur, nous ne t'avons pas adoré à ta juste valeur ! ».
 

Donc, les Cieux, la terre, la lune, le soleil, les étoiles, la nuit, le jour, les océans, les montagnes, les arbres, les animaux, et même les poissons dans l'eau, tout ce qui existe entre les Cieux et la terre, même les petits grains de sable qui couvrent les vastes déserts, rendent tous grâce au Seigneur et le louent en permanence pour tous ses bienfaits et ses faveurs et chacun à sa façon.
 


La véritable bataille que le musulman doit essentiellement engager dans cette vie, n'est autre  que celle de l'esprit qui est en lui (ennafs), son for intérieur et ceux de l'extérieur (démons et passions de la vie). Cette grande bataille doit être pour le vrai musulman qui craint réellement Dieu, son seul et unique souci, sa préoccupation primordiale et sa grande inquiétude. Il doit faire de ce combat et de cette lutte, la priorité de toutes ses œuvres en ce bas-monde, contre tout ce qui peut l'entrainer ou l'éloigner de la crainte du Seigneur et sa satisfaction. Il doit déclarer une lutte permanente et acharnée envers toutes les forces maléfiques et invisibles , qui l'entourent et vivent avec lui. Ces esprits diaboliques qui ne font qu'insuffler le mal et inspirer les sombres idées, et qui ne sont d'ailleurs pas uniquement ces êtres mystérieux et invisibles que sont les démons ou diables, mais il y a aussi parmi les humains de véritables démons.Il y a donc des démons de race humaine et des démons de la race des djins.
 


Toutes ces forces maléfiques et ces mauvais esprits qui rongent et dominent constamment nos pensées, nos réflexions, nos visions, nos manières de concevoir la réalité des choses, et qui tentent même de s'accaparer de nos cœurs et  d'y pénétrer à l'intérieur par l'inspiration du mal.  Donc si l'homme par son corps, son cœur et son esprit est désobéissant, insoumis, distrait et rebelle, ce mauvais esprit qui  est en nous-mêmes, ne lui inspire que le mal, et le pousse uniquement  vers les mauvaises actions. Ensuite viennent les démons, ces autres forces diaboliques qui prennent le relais sur cet homme, profitent de sa faiblesse et sa vulnérabilité, dominent son cœur et son esprit, et s'acharnent tous contre lui en l'exhortant vers l'égarement, vers la perdition et la ruine de l'âme, en l'éloignant de l'obéissance de Dieu, en lui embellissant ses péchés et le pousser vers la transgression des limites rouges (tels les tentations, les passions de la vie et les péchés dans toute leur diversité).
 

Si nos cœurs sont spirituellement malades, impures, affectés et vidés de toute présence divine, ils deviennent une proie facile, et une cible très accessible pour tous ces virus occultes. Ils deviennent alors avec le temps et la force des choses, un siège et un gîte pour tous les mauvais esprits. Ce sera alors la grande perdition, la ruine de notre âme et le pire état qui puisse nous arriver à nous les humains, si on rencontre Allah dans cette malheureuse situation .
 
L'homme devient alors l'esclave de ses propres passions, de ces forces occultes. Il tombe dans l'ignominie et les délices de la vie et oublie ainsi la mort. Il tombe  dans la perdition qui risque de le mener vers la mort dans  un état de mécréance et de polythéisme à moins qu'il ne revienne à Dieu, en optant pour une voie plus salutaire, en implorant son pardon par un sincère et irrévocable repentir.
 

Si par contre  nos cœurs  sont sains, indemnes de toutes impuretés et de toutes atteintes néfastes et maléfiques, ils deviennent pareille à une forteresse fortement gardée et hautement clôturée et sécurisée et ce, par la forte et grande présence d'Allah ! Cette présence divine à l'intérieur même de nos cœurs, cette grande lumière, cette grande miséricorde qui est due essentiellement à notre grande foi, notre crainte et notre véritable amour en Dieu.Cependant et devant cet état de fait, les mauvais esprits deviennent incapables et impuissants de dominer nos cœurs, même par « effraction » et ne peuvent désormais nous inspirer le moindre mal ou la moindre mauvaise idée, à moins qu'on leur laisse le champ libre, et leur permettre ainsi d'y accéder en toute quiétude.
 

Notre grande et sincère foi en Dieu est donc une force contre ces mauvais esprits, un anticorps fortement résistant à toute agression extérieure, une auto-défense et une fortification qui nous protège de toute atteinte pouvant nous parvenir de l'extérieur (comme dit la sagesse : ce qui ne tue pas, fortifie !).
 

A cet effet et devant ce grand combat que nous engageons notre vie durant  face à ces mauvais à nos protagonistes, ces mauvais esprits cèdent devant leur défaite, ils  sont apprivoisés, domestiqués,  soumis face à notre redoutable lutte, et ne nous inspirent désormais plus que le bien et la perfection. C'est ce combat qui transforme les musulmans et les rendent dignes de respect, des gens vertueux, des gens qui ne craignent désormais que Dieu le Tout-Puissant.
 

Dans ce cas précis le Prophète (Paix et Salut sur Lui) a dit à ses compagnons (qu'Allah les agrée tous), en revenant un jour d'une de leurs batailles, « Vous êtes rentrés de la petite bataille, mais la grande bataille n'est pas encore engagée !» Quelle est cette grande bataille ? Ô Messager d'Allah ! » Il a dit : « la bataille de l'esprit qui est en vous ! »(Ennafs) , notre for intérieur.
 

Devant cette force que Dieu nous accorde, tous ces êtres nuisibles ne seront pour nous désormais que faiblesse et impuissance. La véritable force est en nous, les humains et nous risquons fort de la perdre, si nous ne faisons pas de l'amour de Dieu et de sa crainte notre armature et notre seul moyen de défense. C'est seulement à partir de ce moment que nous pouvons nous prévaloir et dire que nous sommes réellement les serviteurs sincères de Dieu, ses élus, et que nous pouvons vivre comme Dieu nous l'aurait voulu et profiter utilement de cette vie, qui devient alors pour nous, un véritable Paradis terrestre au lieu d'un enfer.
 
{Ô ! Seigneur Aide-nous dans la conquête de nos passions, avant celle de nos ennemis !}

Dans un monde matériel dominé par la science et la raison, où tout est fait pour plonger les gens dans l’insouciance, même les musulmans, ne vous en déplaise, la vie dernière, le paradis et l’enfer sont comme de vieilles chimères d’un autre temps. Ne te laisse pas berner toi qui aspires à la Face de ton Seigneur, ce sera une vie aussi vraie que celle que tu vis en ce moment, et même bien plus réelle, car le voile de l’incertitude sera définitivement levé ! Réaffirmons tous ensemble notre foi absolue en cette vie éternelle que Dieu promet à tout un chacun. Ayons foi en la vie dernière et partageons cette foi avec tous ceux qui cherchent la vérité. Car notre salut, notre réussite dans ce devenir certain, dépendent totalement de nos croyances dans cette vie éphémère, ainsi que de nos actions. Les ennemis de Dieu, le diable et ses acolytes, n’auront de cesse de nous en détourner, alors qu’eux-mêmes savent que c’est la toute vérité. Quitte cette insouciance bercée d’illusions qui te pousse à toujours plus de plaisirs et de désirs. Restreins cette âme bestiale et passive qui t’entraine à ta perte, éduque-la sur le chemin droit, elle t’en remerciera une fois sauvée, satisfaite et agréée par son Créateur, dans une vie éternelle de plaisir et de satisfaction.

Allah (swt) a créé dans ce monde deux voies, et le choix revient à l’homme ! Il n’existe dans ce monde que deux alternatives possibles, la foi et la mécréance. Ceux qui reconnaissent les bienfaits de Dieu sont guidés sur la voie du bien qui mène inévitablement au Paradis et ceux qui ne font que renier obstinément sont guidés sur la voie de l’errance qui ne mène nullement ailleurs sinon en Enfer. Seul Dieu guide qui il veut sur l’une ou l’autre voie et il n’appartient à l’Homme que de croire ou de renier, tout le reste n’en est qu’une conséquence directe.

Les gens sages à l’âme pure et noble croient au bien et ses bienfaits, et c’est pourquoi ils le pratiquent. Les natures dégénérées et aveuglées par leur injustice et leur orgueil, ne croient qu’au mal et au malin (démon) et vivent dans les ténèbres. Les bons choisissent dans ce monde la voie de la clarté et de la simplicité et c’est ainsi qu’ils jouissent de la paix de leur conscience et de la sérénité de leur âme. Les malins prennent les voies les plus obscures et les plus tortueuses, et la complexité de leur vision des choses les prive de tout repos et toute sérénité. Ils courent en haletant comme des chiens. Leur cœur est plus dur que la pierre, leur âme est insatiable et leur nez supporte les plus mauvaises odeurs.Si les non musulmans savaient ce qui les attendrait après leur reconversion à l’islam, comme bien-être, bonheur et sérénité dans l’âme, non seulement ils regretteraient de n’avoir pas choisi l’islam plutôt, mais ils se précipiteraient du haut d’une falaise pour se convertir.

Cependant certains exégètes traduisent le mot (hosna) par la profession de foi de l’Islam « Il n’y a de dieu que Dieu et Mohammed (sala Allah alayhi wa salam) est le Messager de Dieu. Tel est le prix d’une vie éternellement agréable qu’Allah (swt) propose à ceux qui veulent entendre sa voie et appliquer en ce monde ces recommandations fondamentales. Et toute autre considération n’est dans le fonds qu’une inconscience, une folie et une perte éternelle pour l’âme.