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merci pour cette documentation
je viens de regarder " miroir "
Par Anonyme, le 26.01.2025
bonjour, j'ai oublié le titre d'un téléfilm après 1968 où hélène dieudonné regardait à la télé brigitte
Par Cantalou, le 07.01.2025
comment retrouver les chroniques de jacques grello dans le journal l'équipe (1952 ?)
Par Anonyme, le 30.12.2024
merci beaucoup et merci pour elle
Par Anonyme, le 25.12.2024
c'était un athléte naturel
Par Anonyme, le 31.10.2024
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Date de création : 29.05.2011
Dernière mise à jour :
13.01.2025
229 articles
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Il suffit de voir son visage pour que la ressemblance saute aux yeux. Personne ne peut dès lors douter qu'Hélène Roussel soit bien la soeur de Michèle Morgan. Elle est beaucoup moins célèbre et pourtant elle a à son actif une carrière de comédienne bien remplie, notamment sur le grand écran.
AU CINEMA:
-"Escalier de service", de Carlo Rim (1954)-Non créditée au générique.
-"Razzia sur la chnouf", d'Henri Decoin (1955)-Non créditée au générique.
-"Paris palace hôtel", d'Henri Verneuil (1956)-Rôle de la caissière du salon de coiffure (non créditée au générique).
-"L'homme à l'imperméable", de Julien Duvivier (1956)-Rôle d'une fille (non créditée au générique).
-"Retour de manivelle", de Denys de La Patellière (1957)-Rôle d'une secrétaire.
-"Péril en la demeure", de Michel Deville (1985)-Rôle de la mère.
-"Mon cher sujet", d'Anne-Marie Miéville (1988)-Rôle d'Odile.
-"Divine enfant", de Jean-Pierre Mocky (1989)-Rôle de Blanche.
-"Un amour de trop", de Frank Landron (1989)-Rôle de la mère.
-"La vie des morts", d'Arnaud Despléchin (1991)-Rôle de Nell O'Madden Burke.
-"Intimité", de Dominik Moll (1994)-Rôle de Mme Crispin.
-"Les apprentis", de Pierre Salvadori (1995)-Rôle de la mère d'Antoine.
-"Quelque chose de différent", court-métrage de Bruno Rolland.
-"Le huitième jour", de Jaco van Dormaël (1996)-Rôle de la mère de Julie.
-"Au bord de l'autoroute", court-métrage d'Olivier Jahan (1997).
-"La dilettante", de Pascal Thomas (1999)-Rôle de Mme Delaunay.
-"La confiance règne", d'Etienne Chatilliez (2004)-Rôle de Clothilde.
-"Un conte de Noël", d'Arnaud Despléchin (2008)-Rôle du juge.
-"A l'aveugle", de Xavier Palud (2012)-Rôle de soeur Marguerite.
La véritable carrière d'Hélène Roussel a commencé tardivement, contrairement à celle de sa célèbre soeur. Ses apparitions dans quelques films des années 50, et pas des moindres ("Escalier de service" ou le fameux "Razzia sur la chnouf") sont si fugitives qu'elles ne représentent pas de vrais débuts au cinéma.
Il faut en fait attendre 1985 et"Péril en la demeure", le film brillant et élégant de Michel Deville, pour qu'un véritable rôle, même secondaire, soit confié à Hélène Roussel. Trois ans plus tard, Anne-Marie Miéville, la compagne de Jean-Luc Godard, lui permettra d'incarner le beau personnage d'Odile dans "Mon cher sujet", aux côtés de Gaëlle Le Roi et Anny Romand. Le film brosse avec beaucoup de finesse le portrait de ces trois femmes liées par le sang et qui arrivent à des moments décisifs de leur vie; pour Odile, c'est l'époque du retrait et de la solitude. Elle participe aussi à un film attachant, mais, comme souvent, un peu bâclé, d'un Jean-Pierre Mocky toujours prêt à brocarder les gens "convenables".
Hélène Roussel, on le voit, tourne, loin du cinéma commercial, pour de jeunes réalisateurs ambitieux et, pour certains, prometteurs. C'est le cas, bien sûr, d'Arnaud Desplechin, qui l'a dirigée dans deux films: son premier véritable essai pour le cinéma, "La vie des morts", qui réunit la famille d'un jeune homme qui a tenté de se suicider, et "Un conte de Noël" où, aux côtés de Catherine Deneuve et Jean-Paul Roussillon, elle joue un rôle secondaire.
Dans le très beau film de Jaco van Dormaël, "Le huitième jour", qui raconte l'amitié d'un stakhanoviste du travail (Daniel Auteuil), pour un jeune homme trisomique plein de vitalité (Pascal Duquenne), Hélène Roussel incarne la mère de Julie (Miou-Miou), la femme excédée de Daniel Auteuil, qui l'a quitté. On peut aussi la voir dans "Les apprentis", de Pierre Salvadori, où, la maturité décidément venue, elle campe encore la mère de François Cluzet qui, avec Guillaume Depardieu, forme une équipe pittoresque. A noter encore ses participations, un peu épisodiques, à deux films de qualité, "La dilettante", de Pascal Thomas, et "La confiance règne", d'Etienne Chatilliez.
La carrière d'Hélène Roussel sur le petit écran est tout aussi fournie.
A LA TELEVISION:
-"Le docteur X", de Jean-Paul Carrère (1957), dans le cadre de la série "En votre âme et conscience".
-"Les trois mousquetaires", de Claude Barma (1959)-Rôle de Jeanne.
-"Le drame des poisons", de Stellio Lorenzi (1959), dans le cadre de la série "La caméra explore le temps"-Rôle d'une dame.
-"Le miroir 2000", série de François Villiers (1971)-Rôle de la mère de Marie.
-"En cas de bonheur", série de Dominique Giuliani et Paul Vecchiali (1989)-Rôle de France Fichet.
-"Catherine de Médicis", d'Yves-André Hubert (1989)-Rôle de la duchesse de Nemours.
-"La photo de Paul", de Pierre Boutron (1990), dans le cadre de la série "S.O.S disparus".
-"L'affaire Abkari", de Philippe Lefebvre (1993), dans le cadre de la série "Antoine Rives juge du terrorisme"-Rôle de la femme témoin.
-"Eté brûlant", de Jérôme Foulon (1995)-Rôle d'Héléna.
-"La poupée qui tue", de Bruno Gantillon (1996).
-"Manèges", de Charlotte Brandstrom et Marc Angelo (1998), dans le cadre de la série "Manèges"-Rôle de Louise.
-"Le mystère de la crypte", de Stéphane Kurc (1998), dans le cadre de la série "Anne Le Guen"-Rôle d'Henriette Bermont.
-"La rivale", d'Alain Nahum (1999)-Rôle de Mileva.
-"Jusqu'au bout de la vie", de Patrick Jamain (2001), dans le cadre de la série "Navarro"-Rôle de Mme Corruble.
-"Le bienfaiteur", d'Heikki Arekalio (2001), dans le cadre de la série "Louis Page"-Rôle de Mme Raymond.
-"Une autre femme", de Jérôme Foulon (2002)-Rôle de Mamie Rose.
-"Sexe, drogue et techno", de Christophe Lamotte (2002), dans le cadre de la série "Avocats et associés"-Rôle de la baronne.
-"Mort d'un avocat", de Jean-Pierre Vergne (2003), dans le cadre de la série "Les Cordier, juge et flic"-Rôle d'Alice Dubosc.
-"D'un battement de cils", de Jean-Claude Sussfeld (2004), dans le cadre de la série "Fabien Cosma"-Rôle de Laurence Pouget.
-"Une femme dans l'urgence", d'Emmanuel Gust (2004)-Rôle de Suzanne Vidal.
-"Clémentine", de Denys Granier-Defferre (2008)-Rôle de la dame invalide.
On en conviendra, voilà une carrière télévisuelle très riche, même si elle parsemée de rôles souvent secondaires. Comme les apparitions fugaces dans des séries emblématiques des années 50 et 60, "En votre âme et conscience" ou la célèbre "Caméra explore le temps" par exemple. Là encore, on constate, à la fin des années 50, une rupture dans la carrière d'Hélène Roussel. Pendant toute une décennie, on ne la verra pas sur le petit écran. Et puis, elle reparaît, en 1971, dans un téléfilm de François Villiers (à qui l'on doit aussi "Les chevaliers du ciel"), "Miroir 2000", consacré aux bouleversements que l'installation d'une station de sports d'hiver imposera aux habitants d'un petit village de Savoie. Hélène Roussel y a un petit rôle, aux côtés d'Etienne Bierry et Jean-Claude Dauphin.
En fait, et comme au cinéma, la carrière d'Hélène Roussel sur le petit écran commencera vraiment à la fin des années 80, à un âge où d'autres prennent leur retraite. On la verra alors dans le rôle de la duchesse de Nemours, en compagnie d'Alice Sapritch dans le "Catherine de Médicis" d'Yves-André Hubert. Puis Hélène Roussel va apparaître dans nombre de séries très populaires de la télévision d'alors: "SOS disparus (où elle participe à un épisode, aux côtés d'Alexandra Stewart), "Antoine Rives juge du terrorisme", avec Jacques Weber dans le role titre et un Michel galmabru inattendu en Ministre de l'Intérieur, "Anne Le Guen" ( Hélène Roussel apparaît dans un épisode, dans le rôle de l'épouse d'un vieil homme qui refuse de vendre au maire de la commune des entrepôts où pourrait être installée une crèche), le célèbre "Navarro" et le non moins fameux "Les Cordier, juge et flic".
Dans "Un été brûlant", de Jérôme Foulon, Hélène Roussel incarne Elena, la tante du jeune Alexandre, le fils du comte Ivan Petrov (Claude Rich) qui a décidé d'emmener son fils dans sa propriété de Crimée durant les vacances, pour mieux l'apprivoiser. Hélène Roussel aura la joie de retrouver sa soeur, Michèle Morgan (dont ce sera le dernier rôle à l'écran), dans un téléfilm d'Alain Nahum au scénario original, "La rivale"; en effet, cette rivale n'est pas, pour Michèle Morgan, une autre femme, mais la religion, qui s'est soudain emparée de son mari, au soir de sa vie.
Mais c'est sans doute au théâtre qu'Hélène Roussel a pu le mieux donner sa mesure.
AU THEATRE
-"Kean", adaptation de Jean-Paul Sartre, d'après Alexandre Dumas-Mise en scène de Pierre Brasseur (1953)-Théâtre Sarah Bernhardt.
-"Kean", de Jean-Paul Sartre, d'après Alexandre Dumas-Mise en scène de Pierre Brasseur (1955)-Théâtre Sarah Bernhardt.
-"Pour Lucrèce", de Jean Giraudoux-Mise en scène de Jean-Louis Barrault (1955)-Théâtre des Célestins.
-"Tartuffe", de Molière-Mise en scène de Guy Parigot (1958)-Comédie de l'Ouest.
-"Clérambard", de Marcel Aymé-Mise en scène de Georges Goubert (1958)-Comédie de l'Ouest-Rôle de la comtesse Louise de Clérambard.
-"La guerre de Troie n'aura pas lieu", de Jean Giraudoux--Mise en scène de Guy Parigot (1959)-Comédie de l'Ouest-Rôle d'Andromaque.
-"Créanciers", d'August Strindberg-Mise en scène de Grégory Chmara (1959)-Théâtre de Poche Montparnasse-Rôle de Tekhla.
-"Les petits bourgeois", d'après Maxime Gorki-Mise en scène de Grégory Chmara (1959)-Théâtre de l'Oeuvre-Rôle de Tzvetaieva.
-"Pâques", d'August Strindberg, "Histoire de nuit", de Sean O'Casey,"Une mesure pour rien", de Jean Rebel-Mise en scène d'André Cellier (1960)-Théâtre de Poche Montparnasse.
-"Les derniers", de Maxime Gorki-Mise en scène de Jean Dasté (1967)-Comédie de Saint-Etienne-*Rôle de Sophie.
-"La maison des coeurs brisés", de George-Bernard Shaw- Mise en scène de Jean Tasso (1967)-Centre dramatique de l'Est-Rôle de Lady utterword.
-"Que ferez-vous en novembre?", de René Ehni-Mise en scène d'Aldo Trionfo (1968)-Théâtre de Lutèce-Rôle de Généreuse.
-"Que ferez-vous en novembre?", de René Ehni-Mise en scène d'Aldo Trionfo (1969)-Théâtre de Strasbourg-Rôle de Généreuse.
-"Déménagement", d'Anne-Marie Kraemer-Mise en scène de Jacques Kraemer (1978)-Festival d'Avignon.
-"Dernière lettre d'une mère juive soviétique à son fils", d'après Vassili Grossman-Mise en scène d'André Cellier (1985)-Théâtre de Poche Montparnasse.
-"Dernière lettre d'une mère juive soviétique à son fils", d'après Vassili Grossman-Mise en scène d'André Cellier (1986)-Tournée.
-"Ossia", de Didier-Georges Gabily-Mise en scène de l'auteur (1989)-Théâtre de Poche Montparnasse.
-"Ossia", de Didier-Georges Gabily-Mise en scène de l'auteur (1990)-Théâtre National de Strasbourg.
-"Eté et fumée", de Tennesse Williams-Mise en scène de Gilles Gleizes (1991)-Théâtre de Rungis-Rôle de Mrs Winemiller.
-"Vie de Myriam C.", de François Bon-Mise en scène de Charles Tordjman (1998)-Théâtre de la Manufacture-Rôle de l'aveugle.
-"Vie de Myriam C.", de François Bon-Mise en scène de Charles Tordjman (1999)-Théâtre National de la Colline-Rôle de l'aveugle.
-"Oncle Vania", d'Anton Tchekhov-Mise en scène de Marcel Maréchal (2010)-Théâtre 14 Jean-Marie Serreau, Tréteaux de France-Rôle de Maria Vassilievna Voïnistkaia.
Hélène Roussel a d'abord participé à quelques "classiques", comme le "Kean", d'Alexandre Dumas, adapté par Sartre et dirigé et interprété par Pierre Brasseur (et aussi Claude Gensac et Henri Nassiet notamment); elle n'y a qu'un petit rôle tout comme dans les spectacles suivants, qui relèvent toujours du répertoire traditionnel: "Pour Lucrèce", un spectacle de la Compagnie Renaud-Barrault, avec aussi Jean Desailly, Yvonne de Bray et Edwige Feuillère; le "Tartuffe" monté par Guy Parisot est bien sûr un des fleurons de ce répertoire mais il montre bien la volonté d'Hélène Roussel de s'écarter des sentiers battus et d'éviter les grands théâtres pour se produire, en province, sur des scènes plus confidentielles. Car la pièce de Molière est jouée par la Comédie de l'Ouest, qui est un centre dramatique émanant du Théâtre National de Bretagne; il fut dirigé, sous un autre nom, par le grand comédien Hubert Gignoux, un des premiers acteurs de la décentralisatiion théâtrale. Guy Parigot est, avec Georges Goubert (qui dirigea aussi Hélène Roussel), un des fondateurs du centre dramatique et il fut aussi professeur au Conservatoire de Rennes.
Hélène Roussel va rester fidèle à cette idée d'une culture déconcentrée. On pourra ainsi l'applaudir à la Comédie de Saint-Etienne, créée sous l'impulsion de Jeanne Laurent et de Jean Dasté, un autre grand artisan du théâtre populaire, et qui deviendra un de nos grands centres dramatiques nationaux; on la verra aussi sur la scène du centre dramatique de l'Est, qui deviendra plus tard le Théâtre National de Strasbourg, qui abrite l'Ecole supérieure d'art dramatique.
Les choix d'Hélène Roussel se portent toujours sur des pièces classiques de haute tenue, comme celles de Strindberg par exemple, où elle a des rôles importants: "Les créanciers" (mis en scène par Grégory Chmara, comédien russe, élève de Stanislavski), au théâtre de Poche Montparnasse, qui fut un temps dirigé par son mari, le comédien et metteur en scène André Cellier, ou "Pâques" (joué avec deux autres créations), dirigé par André Cellier. Citons aussi la pièce de George-Bernard Shaw, "La maison des coeurs brisés", donnée au Centre dramatique de l'Est, dans une mise en scène de Jean Tasso, qui a aussi dirigé des pièces de Pirandello et Brecht.
Mais Hélène Roussel aura aussi une prédilection pour pour des pièces d'auteurs contemporains, souvent exigeantes. C'est le cas de "Que ferez-vous en novembre?", de René Ehni (auteur aussi de romans, qui témoignent d'un certain sens de la provocation), qui met en scène les états d'âme d'une certaine intelligentsia. Ou encore de "Déménagement", d'Anne-Marie kraemer, où une femme, désespérée par la monotonie de sa vie, est prête, pour connaître une expérience plus intense, à feindre de mourir dans la rue. Quant à la pièce de vassili Grossman (romancier soviétique, encouragé à ses débuts par Gorki), "Lettre d'une mère juive soviétique à son fils", c'est un texte poignant dans lequel cette mère meurtrie raconte à son fils son arrestation par les nazis, son enfermement dans le ghetto et la mort qui approche. Dans "Vie de Myriam C", François Bon, tente, à la manière de Pirandello, de saisir la vérité mouvante d'une vie ordinaire au travers du prisme des témoignages de ceux qui obnt connu cette femme plus complexe qu'il n'y paraît.
Eh oui...difficile d'évoluer dans l'ombre d'une grande soeur comédienne !
Que de tristesse super comédienne elle restera dans nos coeurs
Vous pouvez ajouter :
Dialogue avec une jeune fille morte. Pièce de théâtre de Jacques Hiver, d'après Gilbert Cesbron. 1993. Théâtre Essaïon de Paris. Avec Jacques Dacqmine et Claire Borotra.
Que Dieu bénisse cette grande dame du cinéma français.
Merci madame pour tous ces films.
Reposez en paix.
http://asselbergs51000@live.fr.centerblog.net
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