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Douleur de maman...

Publié le 04/06/2013 à 00:47 par jenaya

 

 

 

Image de mebahiah42.wordpress.com

 

 

Il arrive un moment dans la vie qu’une maman appréhende depuis toujours, lorsqu’elle est une « vraie » maman.

Le moment de l’envolée du nid de l’un de ses petits.

Cet instant tant redouté,  dont on sait qu’il arrivera forcément un jour,  cet instant irrémédiable, on connait son existence, mais on évite d’y penser.  On élude la question…

Et cela parait si lointain…

Pourtant les années passent très vite, trop vite. Et les enfants sortent de l’enfance alors qu’on n’a pas eu le temps de s’en rendre compte ! Même si on a pris du temps pour les voir grandir, ça n’est jamais assez. Et on ne les voit pas vieillir, ce sont nos petits, et ils le resteront pour toujours en quelques sortes !
On refuse de faire face à ce moment  de l’existence parce qu’on le redoute trop.

Pourtant, c’est la suite logique de la vie,  et même si nos enfants ne partent pas si loin, qu’on les verra encore souvent, qu’on ne coupe pas les liens et qu’on garde un contact fréquent et privilégié, cet événement laisse une blessure profonde dans le cœur des mamans.

Parce même si on ne fait pas ses enfants pour soi, au contraire, on a des enfants en pensant juste à leur bonheur, seul ce bonheur nous importe, mais les avoir près de nous depuis leur naissance et soudain, couper définitivement le cordon, c’est une véritable épreuve.

J’avoue que depuis quelques temps, même si je savais que l’un de mes oisillons s’apprêtait à quitter le nid, je tentais de ne pas y penser vraiment.

Mais soudain, une toute simple réflexion hier, oh, un tout petit rien, m’a fait prendre pleinement conscience que cet instant crucial allait arriver très vite.

Et depuis, je suis comme abasourdie, glacée d’effroi, submergée par l’émotion…

Je n’arrive pas à me faire à cette idée.

Mon bébé va partir de la maison… C’était un tout petit être il y a quelques années, et voilà… C’est fini…
Je sais que c’est dans l’ordre des choses, et je ne souhaite que le meilleur pour eux, mais c’est vraiment trop dur !

Je vais avoir beaucoup de mal à m’habituer à la situation…

Je dois sans doute être trop sensible, trop fragile ... Trop quelque chose, ou pas assez, je ne sais pas ?...

Je comprends à présent les mamans qui ont  été dépressives dans ce genre de circonstances… Je peux les comprendre.

J’ai le cœur lourd, les yeux plein de larmes lorsque je songe au jour du déménagement. 

Bien évidemment, les enfants ne sont pas toujours scotchés à leurs parents, et heureusement. Mais entre avoir une indépendance ponctuelle et le fait de partir pour une nouvelle vie, c’est totalement différent !

Habiter ailleurs, ce n’est pas comme partir quelques jours en vacances !

Lorsqu’ils s’en vont, on les perd forcément un peu…
Et bien que je veuille qu’ils soient les plus heureux possible, la difficulté d’accepter ce changement est très grande.

La douleur fait mal…

Cela passera un  peu avec le temps, je m’habituerai, mais il faudra de la patience.

Je crois que je pleurerai plus d’une fois….

 

L’envol est pour bientôt… Et mes larmes sont déjà là…

 

La Fée Des Anges

 

Tous droits réservés

 

 

 

"Quand les enfants quittent le nid." 

 

 Après le départ des enfants, les parents  se retrouvent seuls. La maison, animée auparavant par des cris, des pleurs des enfants restent déséspéremment vide. 

2 sentiments submergent les parents :

       

- Les parents se sentent  fiers d'avoir fait de leur possible pour rendre leur « oisillon » libre.

 

-Malgré tout, ils ne peuvent s'empécher d'éprouver un sentiment de tristesse et de souffrance. 

 

Ce sentiment de tristesse, de vide, procuré par le départ de l'enfant s'appelle le « Syndrôme du nid vide ». 

 

« Le syndrôme du nid vide » est un sentiment d'angoisse et de tristesse affectant les mères qui voient leurs enfants quitter leur domicile familial. 

 

http://psycho-mieux-etre.over-blog.fr/article-15472326.html

 

 

  Comment bien vivre le départ des enfants de la maison ?

Il peut être difficile de voir son enfant quitter le domicile familial. Pour éviter que cette étape ne soit douloureuse, suivez les conseils de Brigitte Bloch-Tabet, auteur de "Lorsque l'enfant s'en va", aux éditions Chiron.

L'EXPERT

Le départ d'un enfant du domicile familial est-il forcément douloureux pour les parents ?

La plupart des parents ne s'en portent pas plus mal que ça. Il y en a même qui sont soulagés, et qui se disent "bon débarras". En effet, ils ont enfin du temps à eux, du temps pour s'adonner à leurs activités favorites, par exemple. D'autres se disent que le départ de leur enfant n'est que le début d'une nouvelle relation, d'adulte à adulte, plus mûre et enrichissante. Par contre, il arrive que des parents pensent que leur enfant est parti trop tôt, ils s'inquiètent, l'appellent tous les jours. Et d'autres ne supportent pas cette absence.

 

Justement, jusqu'où cela peut-il aller et comment cela se manifeste-t-il ?

Environ 35 % des parents, en majorité des mères, souffrent de ce qu'on appelle "le syndrome du nid vide". C'est une dépression qu'on peut apparenter à la dépression post-partum. Je l'ai moi-même appelée la dépression "post-departum". Cela se traduit par un sentiment d'abandon, de vide, de vacuité. Les mères ont l'impression de ne servir à rien, de ne plus être elles-mêmes. Parfois, des symptômes assez graves aux niveaux physiologique et psychosomatique peuvent apparaître, comme un cancer du sein ou de l'utérus, mais aussi des problèmes de peau (eczéma) ou digestifs. Ce sont généralement les organes maternels qui sont touchés ou ce qui rappelle la maternité, comme les genoux qui recevaient l'enfant par exemple. Dans d'autres cas, la mère compense ce départ et devient boulimique, hyperactive ou prostrée. Elle peut même souffrir de folie passagère en faisant comme si l'enfant était toujours là. Mais, heureusement, ces cas sont pathologiques et extrêmement rares.

 

http://www.journaldesfemmes.com/maman/ado/conseil/comment-bien-vivre-le-depart-des-enfants-de-la-maison.shtml 

 

Prévenir le syndrome du nid vide

Environ 35 % des parents, en majorité des mères, souffrent de ce qu'on appelle "le syndrome du nid vide". Une forme de dépression qui se traduit par un sentiment d'abandon et de vacuité quand les enfants quittent le domicile familial. Leur départ est en effet un mélange de joie, de bonheur, de fierté, mais aussi de tristesse. C’est également une forme de déchirement et de renoncement. Comment appréhender cette période délicate ? Éléments de réponse avec la psychologue clinicienne Béatrice Copper-Royer, auteur du livre Le jour où les enfants s'en vont (Albin Michel). En quoi le départ des enfants du domicile familial est-il une étape clé de notre vie de parents ?

C’est une page qui se tourne, et un nouveau chapitre qui s’ouvre. Ce n’est pas rien ! C’est un moment fort car la fonction parentale, notamment maternelle, prend un coup dans l’aile. La mission de protection des enfants s’arrête. C’est un renoncement qu’il ne faut pas minimiser. Le sentiment de vide que l’on ressent après leur envol du nid n’a sans doute jamais été aussi fort car les enfants sont au centre de la famille dans nos sociétés contemporaines. Ce moment est aussi une source de stress et d’angoisses car il faut apprendre à les lâcher pour de bon, à ne plus contrôler leur vie. Et cela s’anticipe.

http://www.psychologies.com/Famille/Etre-parent/Mere/Interviews/Prevenir-le-syndrome-du-nid-vide

 

 

 

 

 

 

Commentaires (5)

tarakini le 04/06/2013
le syndrome du nid vide, je connais, et pas toujours facile a vivre
même si j accepte que mes enfants doivent vivre leur propre vie, et ne pas m imposer, être la, juste s ils ont besoin de moi, le manque est la, et parfois c est le grand vide.
parfois j aimerai bien revenir en arrière pour revivre cette vie a quatre, mes enfant mon mari et moi, comme c était merveilleux, malgré les problèmes rencontrés (problèmes d adolescence) j en arrive a les regretter!!
a présent je suis la , juste en tant que témoin, je ne peux plus les protéger, faut qu ils vivent eux mêmes tous les aléas de la vie, alors que j aimerai tant qu ils ne connaissent que du bon, mais ils n y échappent pas, la vie n est pas un long fleuve tranquille, et même pour eux quand enfin ils construisent leur propre vie.
heureusement que l amour est toujours la, intact, même s il est vécu et surtout manifesté différemment.
faut pas oublier que nous avons a présent des relations d adultes a adulres, et non plus d adultes avec des enfants !
merci jenaya pour ton magnifique texte sur ce sujet, il me touche au plus profonds de moi même...
le départ de mes enfants a été très dur pour moi, et je crois que je n en suis pas encore guérie ...
http://tarakini.centerblog.net


lapetitefouine le 04/06/2013
Tu m'évoques un sujet auquel je ne pense pas, volontairement ou involontairement je ne sais pas... Séparée depuis six années, j'ai gardé les enfants. Ma fille ado a voulu rejoindre son père l'année dernière, j'ai pris un gros coup sur la tête... et le temps a passé... et depuis 2 mois elle est revenue... dur dur à gérer les crises d'adolescence!!! J'ai encore mes 2 enfants 24 et 17 ans à la maison et le départ, je préfère ne pas y penser... on verra le moment venu...
Bises
http://lapetitefouine.centerblog.net


harmony2011 le 04/06/2013
jenaya, je te comprends tout à fait, j ai connu ça. c est très dur au début, j en ai été malade, mais ensuite ça s arrange. depuis je suis mamy, que du bonheur, c est la vie. bon courage, je te fais de grossss bisousss, ton amie harmony
http://harmony2011.centerblog.net


m@rie le 05/06/2013
Bonjour ma Belle,
Hé oui c'est le cycle de la vie. Cela ne va pas te consoler.. Les miens sont partis aussi, MAIS, avec une vie professionnelle... belle joie pour nous.. et referons notre cycle.. mari. enfants.. Ton texte est touchant.. mais BRAVO pour ce que tu as réussi..
Belle journée et GROS BISOUS..
Je pense fort à toi..


Alice Velle le 01/02/2016
Bonjour Jenaya,

Je vous écris parce que je suis journaliste pour l'émission Toute une Histoire et que je travaille actuellement sur le thème du syndrome du nid vide. Je recherche donc des témoignages de parents qui ont eu du mal à voir leurs enfants prendre leur envol, et qui ont réussi à surmonter ce mal-être avec le temps. Comme votre article date de 2013, je suppose que vous avez vécu et surmonté le difficile départ de vos enfants.
J'aimerais donc entrer en relation avec vous pour vous expliquer le projet plus en détail. Si vous souhaitez en savoir plus, vous pouvez me joindre par mail à l'adresse avelle@reservoir-prod.fr ou par téléphone au 06.67.99.96.87.

Au plaisir d'échanger avec vous,
Bien à vous,

Alice Velle


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