Date de création : 05.11.2009
Dernière mise à jour :
21.09.2014
2166 articles
ue bonne adresse sweetweed@yopm ail.com
Par skinup26, le 22.10.2014
mort de rire....excell ent.
bon we
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Par le-temps-d-une-pho, le 13.09.2014
raciste !
Par jean, le 10.09.2014
il y aura bientôt des petits minous,garde moi en un.http://quin ousse.centerbl og.net
Par quinousse, le 23.07.2014
super!!!!!!!!! !!!!!!!http:// quinousse.cent erblog.net
Par quinousse, le 23.07.2014
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Recherchernain, personnage légendaire issu de la mythologie scandinave, célèbre pour ses talents d’orfèvre et de forgeron.
. ORIGINES DU MYTHE :
Issus de très anciens mythes nordiques, les nains sont des personnages habitant sous terre. Cette particularité leur vaut d’une part d’être assimilés aux esprits des morts, d’autre part d’être associés à l’ensemble des richesses renfermées dans le sous-sol, notamment les richesses minières. Les nains, qui demeurent à l’abri des profondeurs terrestres car ils craignent la lumière du jour, capable de les changer en pierre, sont pour cette raison connus comme de valeureux gardiens de trésors.
Spécialisés dans l’art de l’orfèvrerie et de la forge, les nains sont couramment sollicités par les dieux, qui ont recours à leurs talents d’artisans pour créer toutes sortes d’objets merveilleux tels le marteau du dieu Thor ou la lance Gungnir d’Odin, mais également divers anneaux et colliers. Andvari, qui lance une malédiction sur un anneau qui lui est extorqué par le démon Loki, compte parmi les nains les plus célèbres des légendes nordiques. Il convient de noter que dans certaines croyances la figure des nains se confond avec celle des elfes sombres ou noirs.
Au fil du temps, les nains, à l’origine pourvus d’une taille équivalente à celle des hommes, deviennent peu à peu des êtres dotés d’une taille réduite. Ils demeurent associés à l’univers souterrain et apparaissent dans certains récits populaires relatifs à la mine et aux mineurs. Le conte Blanche-Neige des frères Grimm reprend ce thème. Les sept nains décrits par l’auteur consacrent en effet leur vie à creuser des galeries dans les montagnes afin de dénicher des pierres précieuses et de l’or. Ils apparaissent à nouveau dans le dessin animé réalisé par Walt Disney en 1937, Blanche-Neige et les sept nains, cette fois dotés des prénoms Atchoum, Prof, Timide, Joyeux, Simplet, Dormeur et Grincheux. Dans un registre qui rapproche plus ces personnages des caractéristiques premières du mythe, J.R.R. Tolkien fait des Nains l’un des peuples du cycle du Seigneur des anneaux (1954-1956).
Les nains sont inspirés de personnages des anciens mythes nordiques qui habitent généralement sous terre, ce qui leur vaut, notamment, d’être associés aux richesses enfermées dans les sous-sols. Ils apparaissent dans certains récits relatifs aux mineurs et à la mine, thème que reprend le conte. Leur personnalité varie selon les contes ; dans Blanche-Neige, ils ne vivent que pour travailler, sont bons et ne demandent qu’à aider la fillette. Leur nombre évoque les sept jours de la semaine consacrés au labeur, les sept planètes qui, pour les anciens, tournaient autour du Soleil, ou encore les sept métaux dont ils pensaient qu’elles étaient constituées.
Le conte doit une grande part de sa célébrité au film d’animation de Walt Disney, réalisé en 1937 : Blanche-neige et les sept nains. Le réalisateur s’est inspiré pour ce dessin animé de plusieurs versions du conte, mais principalement celle des frères Grimm. Plusieurs différences apparaissent néanmoins : avant d’arriver chez les sept nains, Blanche-Neige est d’abord recueillie par les animaux dans la forêt ; par ailleurs, Walt Disney donne à chaque nain un prénom et une personnalité distincts : Prof, Simplet, Dormeur, Joyeux, Timide, Atchoum et Grincheux — alors que, dans le conte, ces personnages sont indifférenciés. Enfin, les épisodes du lacet et du peigne sont supprimés. Blanche-Neige est réveillée par un baiser du prince, et la reine, pourchassée par les nains, tombe d’une falaise.
Même si la femme jalouse n’est pas la mère mais la belle-mère, le conte, selon Bruno Bettelheim, se rapporte essentiellement aux conflits œdipiens entre la mère et la fille. Comme l’enfant ne peut se permettre d’éprouver de la jalousie envers l’un de ses parents, il projette ses sentiments sur lui : « je suis jalouse de ma mère » devient : « ma mère est jalouse de moi » ; le renversement élimine le sentiment de culpabilité. Blanche-Neige peut donc être lu comme l’histoire d’une mère jalouse de la sexualité naissante de sa fille, ou celle d’une fille qui accuse inconsciemment sa mère de cette jalousie. L’attitude de la reine devant son miroir évoque le thème de Narcisse : « ce sont les parents les plus narcissiques qui se sentent menacés par la croissance de leur enfant », affirme Bettelheim.
Blanche-Neige se présente sous un double aspect, tout à la fois asexué et érotique.
La version de Walt Disney, selon Bettelheim, exagère le rôle des nains. Définitivement fixés à un niveau pré-œdipien, ils ne sont pas mariés et n’ont pas d’enfants. « En leur donnant un prénom et une personnalité distincts, le film gêne la compréhension de ce qu’ils symbolisent : une forme immature et pré-individuelle d’existence que Blanche-Neige doit transcender » (voir Psychanalyse des contes de fées). Le temps qu’elle passe dans leur maison est vu comme une période de pré-adolescence.
« Aussi blanche que la neige, aussi rouge que le sang », Blanche-Neige se présente sous un double aspect, asexué et érotique. Les ruses de la reine représentent les tentations érotiques ou sexuelles : un lacet de corset, un peigne (pour augmenter son attrait sexuel) et la pomme fatidique, symbole de la tentation. En mangeant la partie rouge (érotique), elle met fin à son « innocence ». L’enfant meurt et cède la place à l’adolescente et à la femme.