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IMAGE PENSEE DU JOUR

Publié le 24/05/2012 à 11:28 par illusoire Tags : image photo bleu internet écran png éléments dessin signature
IMAGE PENSEE DU JOUR

JPEG Network Graphics (JNG) est un format d'images numériques ouvert, basé sur le PNG et utilisant la compression JPEG.

JNG a été conçu comme élément du format d'images animées MNG, mais il peut être utilisé comme un format a part entière. Comme le format PNG le format JNG peut comporter une couche de transparence (couche alpha). Contrairement au PNG qui utilise une compression sans perte, le JNG utilise la compression JPEG avec perte.

Les fichiers JNG embarquent des données JPEG de 8 ou 12 bits pour stocker les couleurs, et peuvent contenir d'autres types de données (PNG 1, 2, 4, 8, 16 bits, ou image JPEG 8 bits en niveaux de gris) pour les informations de transparence. Actuellement un JNG peut contenir deux espaces séparés de données JPEG pour les informations de couleur (un de 8 bits et un de 12 bits) pour permettre aux décodeurs qui ne peuvent pas (ou ne souhaitent pas) gérer les données codées sur 12 bits, d'afficher les données sur 8 bits si elles sont présentes.

La spécification du format JNG version 1.0 est sortie le 31 janvier 2001 (initialement comme élément de la spécification du format MNG). Normalement, toutes les applications supportant le format de fichier MNG peuvent aussi gérer les fichiers JNG. Par exemple Konqueror supporte nativement les MNG/JNG, et des extensions existent pour Opera, Internet Explorer et Mozilla Fixefox. La suite Mozilla supportait auparavant le MNG/JNG, mais le support natif a été supprimé dans Mozilla 1.5a et n'a pas été réintégré depuis malgré les demandes des utilisateurs. Safari ne gère pas le MNG/JNG.

JNG améliore les possibilités du format JFIF (format de fichier usuel pour JPEG), en ajoutant les possibilités de transparence, de deux flux alternatifs de couleurs (l'un 8 bits et l'autre other 12 bits), ainsi que diverses autres capacités utilitaires du PNG, tel la correction colorimétrique, la correction gamma, les profils de couleurs embarqués, des métadonnées de style PNG (~), des codes de contrôle, etc. L'information sur la transparence au sein d'un fichier JNG (sous forme d'un en:alpha channel) peut être sauvée soit au format PNG sans perte, soit au format JPEG avec perte. Ainsi, les utilisateurs bénéficient de la puissance de la compression JPEG tout en ayant le choix de préserver l'information sur la transparence (compression PNG sans perte).

La structure des fichiers JNG, à base de sous-éléments, est essentiellement la même que celle des fichiers PNG, à la légère différence de la signature et l'utilisation de sous-éléments différents.
L'appellation « image numérique » désigne toute image (dessin, icône, photographie…) acquise, créée, traitée et stockée sous forme binaire1 :    acquise par des convertisseurs analogique-numérique situés dans des dispositifs comme les scanners, les appareils photo ou les caméscopes numériques, les cartes d’acquisition vidéo (qui numérisent directement une source comme la télévision) ;
créée directement par des programmes informatiques, grâce à une souris, des tablettes graphiques ou par de la modélisation 3D (ce que l’on appelle, par abus de langage, les « images de synthèse ») ;
traitée grâce à des outils informatiques, de façon à la transformer, à en modifier la taille, les couleurs, d’y ajouter ou d'en supprimer des éléments, d’y appliquer des filtres variés, etc. ;
stockée sur un support informatique (disquette, disque dur, CD-ROM…).
Les images matricielles sont également définies par leur définition et leur résolution.

La définition d'une image est définie par le nombre de points la composant. En image numérique, cela correspond au nombre de pixels qui compose l'image en hauteur (axe vertical) et en largeur (axe horizontal) : 200 pixels par 450 pixels par exemple, abrégé en « 200 × 450 ».

La résolution d'une image est définie par un nombre de pixels par unité de longueur de la structure à numériser (classiquement en ppp). Ce paramètre est défini lors de la numérisation (passage de l’image sous forme binaire), et dépend principalement des caractéristiques du matériel utilisé lors de la numérisation. Plus le nombre de pixels par unité de longueur de la structure à numériser est élevé, plus la quantité d'information qui décrit cette structure est importante et plus la résolution est élevée. La résolution d'une image numérique définit le degré de détail de l’image. Ainsi, plus la résolution est élevée, meilleure est la restitution.

Cependant, pour une même dimension d'image, plus la résolution est élevée, plus le nombre de pixels composant l'image est grand. Le nombre de pixels est proportionnel au carré de la résolution, étant donné le caractère bidimensionnel de l'image : si la résolution est multipliée par deux, le nombre de pixels est multiplié par quatre. Augmenter la résolution peut entraîner des temps de visualisation et d'impression plus longs, et conduire à une taille trop importante du fichier contenant l'image et à de la place excessive occupée en mémoire.
Il existe plusieurs modes de codage informatique des couleurs, le plus utilisé pour le maniement des images est l'espace colorimétrique rouge, vert, bleu (RVB ou RGB - red green blue). Cet espace est basé sur une synthèse additive des couleurs, c'est-à-dire que le mélange des trois composantes R, V, et B à leur valeur maximum donne du blanc, à l'instar de la lumière. Le mélange de ces trois couleurs à des proportions diverses permet de reproduire à l'écran une part importante du spectre visible, sans avoir à spécifier une multitude de fréquences lumineuses.

Il existe d'autres modes de représentation des couleurs :

cyan, magenta, jaune, noir (CMJN ou CMYK) utilisé principalement pour l'impression, et basé sur une synthèse soustractive des couleurs ;
teinte, saturation, luminance (TSL ou HSL), où la couleur est codée suivant le cercle des couleurs ;
base de couleur optimale YUV, Y représentant la luminance, U et V deux chrominances orthogonales.

Les images bitmap en couleurs peuvent être représentées soit par une image dans laquelle la valeur du pixel est une combinaison linéaire des valeurs des trois composantes couleurs, soit par trois images représentant chacune une composante couleur. Dans le premier cas, selon le nombre de bits (unité d’information élémentaire qui peut prendre deux valeurs distinctes) alloués pour le stockage d'une couleur de pixel, on distingue généralement les différents types d'images .