Date de création : 04.02.2008
Dernière mise à jour :
12.06.2025
23293 articles
Le sommeil n'est rien d'autre qu'un état de conscience modifié. Bref la conscience n'est que le résultat d'un ensemble de traitements d'informations : elle n'a pas de siége...coupez plusieurs sources et vous aurez des états modifiés , coupez toutes les sources ; et il n'y aura plus de conscience.
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c.i.a. : constant integrated awareness
a .i. : avoid inquiry
Par Anonyme, le 08.06.2025
bonjour. je cherche une famille d accueil pour une télé clarville qui ferme avec portes cdlt
Par paret, le 07.06.2025
petit coucou du jour sur ton joli blog..j'espèr e que tu vas bien.je continue mes images avec l' ia.passe un b
Par Koukla, le 22.05.2025
petit coucou du soir.bonne soirée http://lafarfo uille.centerbl og.net
Par Koukla, le 02.05.2025
coucou.j' espère que tu vas bien.de nouvelles images faites à ma demande à ia.c'est trop joli.prend soin de to
Par Koukla, le 24.04.2025
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On peut penser ce que l'on veut d'internet mais quand même quelle merveilleuse invention ; je comprends certaines élites qui voit leurs pouvoirs s’amoindrir, aujourd'hui la science est à tout le monde et sans doute des gens prennent peur que en plus de partager la science on leurs demande de partager la terre.
Voilà mon Ami, je t'avais promis de parler du ciel, c'est mon ciel, je l'ai rêvé.
Les premiers temps
Il n'y avait pas de temps, pas d’espace, un point et la virgule d’énergie peut être moins peut être plus , de toute manière , on ne sait rien en dessous de Planck , on peut inventer ce que l'on veut et les dernières théories des supers cordes , en y ajoutant la théorie M : nous disent...tout et rien . On ne sait pas les interpréter. On peut le dire avec des mots , en musique , avec de la couleur ou comme dans la préhistoire de notre histoire de sapiens avec des nombres quoi que nous fassions nous n'approcherons jamais l'absolu nous ne pourrons que conter une fable de ce que nous croyons être de ce que nous croyons que l'univers est . Dans la nuit des temps, celui-ci s'est mélangé avec l'espace avec l'espace de notre quotidien celui de l'univers avec ses milliards de galaxies, mais aussi l'espace et le temps de l'ère de Planck, curieusement, aussi. Immense par rapports a l'univers visible cette zone gigantesque , pratiquement nulle à notre échelle explique à elle seule l'inconcevable et je ne parle pas de la partie inconnue , ce fameux "horizon ," , parce invisible , (la vitesse de la lumière est finit ) nos moyens techniques extraordinaires n'y feront rien , nous n' exprimerons à jamais qu'un des visages du réel . Ces visages sont multiples, le notre sera à jamais celui de "notre réalité " rien que cela dans l'échelle de l'infini, nous sommes l'âme de l'univers à travers nos constructions mentales, l'âme de notre propre univers , constructions physiques et on peut s'interroger de ce qu'est dans l'absolu " le réel " après tout les dernières découvertes de la science avec la théorie M, autorise toutes les suppositions ou fantasmes c'est comme vous voulez. Les mots comme la planète sont une partie de ce que nous appelons "notre réalité." ( la formation du système solaire obéit à des lois répertoriées par la science , le détail n'est pas utile pour se faire un concept ) La terre qui nous a fait naître, à connue des nombreuses phases de climats, comme si elle avait décidée de nous donner chacun notre tour ses odeurs de bien être. Chaque printemps, quand de sa baguette magique , elle donne l'ordre aux fleurs de s'habiller de couleurs et d'ouvrir le bal des senteurs. Un univers qui invente son espace , imaginez des milliards de galaxies , des milliards d'étoiles , dans chacune de ces galaxies qui ressemblerait à notre soleil , parfois plus grand , parfois plus petit , parfois plus brillant , imaginez des planètes formant cortège , heureuses , d'accompagner le chef d'orchestre qui lui n'aurait qu'un but . Ensemencer son espace d’énergie, pour peut être donner la vie produire les atomes qui manquent aux mondes futurs, aux soleils de l’avenir, aux planètes qui attendent d'exister , peut être de la vie autrement . Un univers qui crée sa place, par la magie de galaxies qui s'éloignent les unes des autres, dans ce quelque chose que l'on nomme " rien " et qui devient espace...Cet Univers dont on sait presque tout et presque rien , qui se déploie depuis que son big à donné du temps . à de simples particules, une mer de particules éphémères dont on ne connaît rien .
Quand l'homme aura totalement éteint son désir d'abuser d’autrui, et cherchera la maîtrise de son comportement, il se délivrera de ses culpabilités originelles, enfin à ce moment là , il sortira de l'âge de pierre.
Je suis l'expression de ma culture, l'expression d'une farandole de gènes qui expriment un condensé subtil de possibles, je déploie la réalité de mon univers , j'existe la forme , mon dedans , mon dehors , mon "moi " enfin une conscience d'être quelque chose le temps d'une vie. Je vous raconte un peu de moi, un peu de l'histoire d'un million de générations, un peu de l'histoire de tous ceux qui n'ont été que des maillons, des sans grades, ceux isolés dans un monde d'illusions qui ont disparus de nos mémoires. Mon Ami, mon frère, il faut que je te dise que la vie c'est un possible " qui s'éveille pour former une grande ronde ou peut être ne sommes nous " qu'un " reflet qui renait à l'infini
Je pense que le plus logique et de très loin le plus probable, est qu’a notre mort, vous perdons absolument toute conscience ! Pas seulement celle que nous avons eu vivant, nous n’avons plus la possibilité d’aucune forme de conscience, c’est tout. Nous sommes simplement rien de plus qu'avant d’être né ! . Ceci dit c'est merveilleux demain je vais renaitre .
Alors évidemment c’est très désagréable, cette idée de retourner un jour au néant dont nous sortons. Et c’est tellement désagréable que les religions ont été crées pour ça ! Donner à la conscience vivante ; l’idée, l’impression, qu'elle ne disparaîtra pas. En fait la conscience est quelque chose d’immatériel, mais elle a besoin d’un support matériel pour se manifester. Tout ce qui fait notre personne nos souvenirs etc.…. n’est localisé a aucun endroit précis de votre cerveau. La mémoire de notre tante Berthe, son caractère, sa couleur d’yeux etc., n’existe dans aucun neurone précis de notre système neurologique. Toutes ces choses la résultent d’une infinie complexité de liaisons neuronales, de circuits électriques et chimiques imprimés dans notre cerveau mais mouvant en même temps. Lorsque nous mourrons toute l’infinie complexité de ces circuits connections disparaît. Et avec cela, notre conscience, notre identité. Si ça fait trop peur il y a l’église à côté, avec des contes de fées, auprès desquels la belle au bois dormant, c’est “Massacre à la tronçonneuse” ! . Mais raison-gardée, cela est le fruit d'une nécessité, pour la préservation de notre espèce, la conscience d'un quelque chose plutôt que rien, le tragique dessin de l'univers à inventé un soin palliatif pour supporter l'impensable destinée de nos vies éphémères. On peut le dire avec des mots , en musique , avec de la couleur ou comme dans la préhistoire de notre histoire de sapiens avec des nombres, quoi que nous fassions , nous n'approcherons jamais l'absolu , nous ne pourrons que conter une fable de ce que nous croyons être , de ce que nous croyons que l'univers est. Dans la nuit des temps, celui-ci s'est mélangé avec l'espace avec l'espace de notre quotidien, celui de l'univers avec ses milliards de galaxies, mais aussi l'espace et le temps de l'aire de Planck, curieusement. BIG BANG. Ce mot résonne, et étonne, Du temps , de la patience et la volonté , d'accepter de détruire les murs de certitudes , de visions née dans l'esprit de nos ancêtres qui faisait parler les esprits , les morts et les dieux. (en 2019 il y a encore sur terre des marchands de temples.. et de paradis)
Ce mot ne permet pas de se faire une image mentale de ce qui fut, il faut le dire l'avènement d'un quelque chose à partir de rien ; là. Ou il n'y avait rien. Ce que des scientifiques avec leurs formules magiques ont donné un jour de bal costumé parce que en vérité ce mot Big Bang a été inventé par un détracteur da la théorie, oui ils sont forts ces messieurs comme cette trouvaille de théorie M : que quelques personnes comprennent seulement dans le monde et encore ces gens sont du même moule. Le bigbang : c'est le commencement du temps et de l'espace , la théorie M c'est le multi univers l'un ne va pas sans l'autre, mais rien sur avant ; avant ce moment parait t’il il n'y avait rien et la question ne doit pas se poser.
J'aime assez l'histoire que je me raconte, je l'ai " rêvé' " mon nom est Hélahim.
Nous étions moins de 50 000 mille à sortir d’Afrique, les premiers s'étaient perdu dans l'immensité des plaines, nous étions curieux de connaître le bout du monde nous suivions les troupeaux, c’était, il y a 180 000 ans. Nos origines se perdent dans la nuit des temps, il se disait, le soir devant le feu et un morceau de viande, parfois quelques racines ; que d’autres des gens bizarres, vivaient, loin, très loin au bout du monde .Des centaines de milliers d'années avant que nous les derniers hommes changions de continent à notre tour , il se disait que d'autres avaient disparu dévorés par les esprits. Perdu à jamais , ces parents, isolés pendant des centaines de milliers d'années allaient s'évaporer probablement victimes de maladies apportées par la dernière vague d'africains que nous étions, en tout cas peut être une des causes de leur disparition. Appelez moi Hélahim , j'ai vécu cette époque, je l'ai peut-être rêvé, mais le soir devant le feu, il se disait que nos ancêtres avaient la peau noire, que nous étions les descendants d'une tribu de pygmées, un reste épargné par des phases de climats nécessaires au bon fonctionnement de notre terre , notre berceau , notre maison , la planète bleue dit-on aujourd'hui. Nous sommes très certainement le résultat d'un buissonnement de genres et aussi le résultat d'adaptations variées. Le climat de la planète a été un facteur déterminant dans l'évolution des genres et des espèces. Je suis Hélahim , j'ai vécu en Afrique il y a 60 000 ans. Certains de mes frères que vous appelez Erectus, allez savoir pourquoi et qui sont mes ancêtres avaient découvert une partie du monde, quelques uns de leurs descendants étaient revenus des milliers d'années plus tard avaient transmis à mon peuple des gènes qui mêlés aux nôtres avaient transformé des petits hommes à la peau noire en gaillard costaux , prêt à conquérir la terre entière . De l'unification progressive de l'humanité autour d'un fonctionnement universel, que cesse et se brise les rivalités claniques, nationales, communautaires et religieuses, que les pays dominant actuels rentrent dans le rang, qu'ils perdent la tendance millénaire à s'affirmer aux dépens des autres. Nous sommes une grande famille ; 70 milliards d'êtres ont vécus sur la terre ; les petits, les grands , les noirs la couleur qu'avaient nos deux grands ancêtres , loin dans le temps des australopithèques au cerveau à peine connecté , cousins du temps pour que je puisse ce jour vous raconter l'histoire de Hélahim ; je pourrais sans doute rêver pour ce million de générations qui bat au fond de ma mémoire , vous parler d'Imée, d'Ygril ou d'Emée celle qu'on à voulu appeler Eve par défaut . Notre histoire est une très longue histoire , c'est histoire d'un peu de glaise et de notre mère la terre.
On peut se parler toi et moi mon Ami , se parle du ciel, viens il y a un banc .Un petit coin offert pour arrêter le temps , un banc caché ou perdu sur un chemin. En France ou ailleurs, un banc pour reposer son âme, pour ne penser à rien, mais simplement regarder les mouvements du vent et entendre le petit silence. Une Petite larme d'eau blanche.
Un banc pour des passants, des impatients, pour la joie des enfants. Sur un petit chemin, un banc tout bariolé un banc repeint en blanc.
Un banc presque oublié délaissé, ravagé, abandonné, rouillé et fatigué , un banc d'été ou d'hiver pour les curieux, le nez en l'air.
Un banc d'émotions folles, de saisons qui s’envolent, un banc poétique pour les amoureux , un banc pour la rupture , un banc pour des blessures , un banc pour se dire pardon , si tu viens t'asseoir un moment, je t'inventerais des histoires de bancs , histoire de faire passer le temps.
Viens mon ami que je te dise qui tu est ; au début de notre séjour sur terre, nous ne savons rien de rien. Tout baigne dans une ouate un peu confuse: notre regard ne discerne pas, notre mémoire est plutôt vide. Nos yeux ne distinguent pas encore les formes physiques; durant leurs premiers jours opérationnels, ils ne perçoivent que de la lumière. Mais bientôt des contours apparaissent, que la mémoire apprend vite à reconnaître. Nous commençons à distinguer. Ainsi en est-il avec tous les instruments de perception, qui se fixent sur la différence, le changement. L'œil détecte avant tout le mouvement par rapport à l'arrière-plan statique. Notre oreille perçoit aisément un nouveau son ou sa cessation, plus qu'elle n'enregistre un son ou un silence continu. Il en va ainsi de tous nos sens. Notre attention distingue d'abord et avant tout la différence, la forme qui se démarque de l'arrière-plan. Le système nerveux, qui est essentiellement mémoire, se remplit des traces laissées par les expériences. Nous commençons à connaître «le monde» et cette connaissance s'installe en nous en se structurant.
Nous apprenons à distinguer les gens les uns des autres, surtout le «je»; nous commençons à former des catégories et à classifier. À mesure que notre mémoire se charge, nous vivons davantage en nous fiant à elle pour penser, agir et réagir, nous inventons un monde.