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Date de création : 13.10.2010
Dernière mise à jour :
17.02.2024
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Par:
http://effondrements.wordpress.com/2012/07/01/les-incroyables-apparitions-de-fatima-en-1917/
Les incroyables apparitions de Fatima en 1917 :
A Fatima (petite ville portugaise de 2 500 habitants située à 130 km au nord de Lisbonne), d’incroyables événements se passèrent :
Témoins privilégiés, 3 enfants gardiens d’un petit troupeau, qui le 13 mai 1917 verront la Vierge : Lucie 10 ans, son cousin Francisco 9 ans et sa sœur Jacinta 7 ans :
Mais auparavant, au cours de l’année 1915, Lucie avait aperçu dans la nature comme « une statue de neige de forme humaine ». Au printemps 1916, les 3 enfants revirent le même personnage qui leur dit: "Ne craignez rien ! Je suis l’Ange de la Paix. Priez avec moi !" Et s’agenouillant, l’ange baissa la tête et leur enseigna une prière: « Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je vous aime. Je Vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas, qui ne vous aiment pas ». A la troisième apparition il se présenta comme l’ange du Portugal. A la dernière, celle-ci s’accompagna d’une théophanie eucharistique suivie d’une communion miraculeuse.
Le 13 mai 1917, la Vierge Marie se montra à ces 3 enfants puis leur fixa un rendez-vous pour le 13 du mois suivant, leur demandant de réciter le chapelet tous les jours pour obtenir la paix dans le monde et la fin de la guerre.
Le 13 juin, 60 curieux entourèrent les enfants. La Vierge annonça à Lucie « J’emmènerai bientôt Francisco et Jacinta au ciel, mais toi tu resteras encore ici quelque temps, Jésus veut se servir de toi pour me faire connaître et aimer. »
Le 13 juillet, les spectateurs furent 4 000 ; aux enfants qui le lui demandaient, Marie promit un grand miracle « dans 3 mois », pour que tout le monde puisse croire. Elle leur confia un secret qui ne sera dévoilé qu’en 1942, pour les deux premières parties, et en 2000 pour la troisième partie du secret par le Vatican.
Le 10 août, l’administrateur du canton, Arthur d’Oliveira Santos, connu pour son anticléricalisme, demanda à voir les « voyants » et les interrogea sans succès.
Le 13 août, il fit enfermer Lucie et ses deux cousins pour trouble à l’ordre public. Il souhaitait connaître les secrets révélés aux enfants et alla jusqu’à les menacer de mort mais en vain. Il y avait pourtant 18 000 personnes au rendez-vous du 13. Malgré l’absence des enfants, ils assistèrent à quelques phénomènes déjà vus lors des précédentes apparitions.
Le dimanche 19 août, alors que les enfants faisaient paître leurs troupeaux, la Vierge leur confirma le futur miracle afin que tous croient.
Le 13 septembre, 30 000 fidèles se prosternèrent durant cette cinquième apparition qui annonça pour le mois suivant, la « venue du Seigneur, de Notre-Dame du Carmel et de saint Joseph avec l’Enfant-Jésus ».
Le 13 octobre 1917, soit 33 ans, jour pour jour, après la vision de Leon XIII, fut pour Fatima la journée décisive. C’était le jour annoncé à Lucie, Jacinta et François, par la Dame qu’ils étaient les seuls à voir, que non seulement un miracle allait avoir lieu mais qu’elle allait dévoiler qui elle était et ce qu’elle voulait.
RAPPEL : Le 13 octobre 1884, LEON XIII qui venait de célébrer la Sainte Messe dans la chapelle vaticane, resta alors immobile pendant 10 minutes.
Puis, il se précipita vers ses bureaux, livide, pour composer aussitôt une prière à saint Michel Archange, avec instruction qu’elle soit récitée partout après chaque Messe basse.
Plus tard, le Pape donnera son témoignage racontant (en résumé) qu’il entendit satan et Jésus avant d’avoir une vision terrifiante de l’enfer : "j’ai vu la terre comme enveloppée de ténèbres et d’un abîme, j’ai vu sortir légion de démons qui se répandaient sur le monde pour détruire les œuvres de l’Eglise et s’attaquer à l’Eglise elle-même que je vis réduite à l’extrémité. Alors, saint Michel apparut et refoula les mauvais esprits dans l’abîme. Puis, j’ai vu saint Michel Archange intervenir non à ce moment, mais bien plus tard, quand les personnes multiplieraient leurs prières ferventes envers l’Archange."
Le matin même du 13 octobre, le grand journal libre penseur de Lisbonne, « O Seculo », publiait sous la signature de son rédacteur en chef, Avelino d’Almeida, un article ironique sur les apparitions de Fatima, où il ne voyait que superstition et supercherie, tout en reconnaissant que le clergé y gardait une attitude correcte : correcte « au moins en apparence », ajoutait-il malicieusement !
Mais aucune de ces manœuvres d’intimidation et de moquerie n’eut de prise sur la foule :
Dès la veille, toutes les routes, tous les chemins de Fatima étaient déjà encombrés de voitures, de bicyclettes et d’une foule immense de pèlerins qui allaient passer la nuit dehors, sur le lieu d’apparitions, et qui marchaient en récitant le chapelet et en chantant des cantiques. La journée du samedi 13 octobre commençait pourtant mal : le temps était pluvieux, triste et froid. Mais cela n’arrêta nullement la foule qui affluait de partout. Il n’y manquait même pas les représentants des grands journaux et leurs photographes. La pluie persistante avait transformé le lieu des apparitions, qui est un bas-fond (une sorte de vaste cuvette entourée de collines, formant un magnifique amphithéâtre naturel), en un vaste bourbier ; et les assistants, pèlerins ou curieux, étaient trempés jusqu’aux os et transis de froid. Un peu avant midi, on estimait la foule entre 70 000 et 100 000 personnes. Enfin, Lucie cria au peuple : « Il faut fermer les parapluies ». Le peuple obéit, et sous une pluie battante, on récita le chapelet. Puis Lucie eut un léger sursaut et s’écria : « Voilà l’éclair ! ». Et levant la main, elle ajouta : « La voilà qui vient ! La voyez-vous ?… ». A la fin de l’apparition sur un chêne-vert, la Sainte-Vierge ouvrit les mains, dont l’éclat se projeta vers le soleil. Instinctivement, Lucie s’écria : « Oh ! regardez le soleil ! » A l’exclamation de l’enfant, tout le monde leva la tête pour voir ce qui se passait.
C’est alors qu’une foule innombrable pu contempler à loisir, pendant une douzaine de minutes, un spectacle grandiose, stupéfiant et vraiment unique au monde !
Tout à coup, les nuages se déchirèrent largement, laissant voir une grande surface du ciel bleu. Et dans ce vaste espace sans nuage, le soleil apparut au zénith, mais avec un aspect étrange ! Aucun nuage ne le voilait, et cependant, tout en étant brillant, il n’éblouissait pas et on put le fixer à volonté ! Tout le monde contempla avec stupeur cette sorte d’éclipse d’un nouveau genre. Soudain le soleil trembla, s’agita, fit des mouvements brusques pour finalement se mettre à tourner vertigineusement sur lui-même comme une roue de feu, lançant dans toutes les directions, comme un projecteur gigantesque, d’énormes faisceaux de lumière, tout à tour verts, rouges, bleus, violets, etc. ; il colorait de la façon la plus fantastique les nuages, les arbres, les rochers, le sol, les habits et les visages de cette foule immense qui s’étendait à perte de vue ! Et pendant que la foule haletante contemplait ce spectacle saisissant, les trois enfants voyaient apparaître à côté du soleil la Sainte Famille.
Au bout de quatre minutes environ, le soleil s’arrêta. Un moment après, il reprit une deuxième fois son mouvement fantastique et sa danse féerique de lumière et de couleurs. De nouveau, au bout de quelques minutes, le soleil arrêta sa danse prodigieuse comme pour laisser reposer les spectateurs. Après une courte halte et pour la troisième fois, comme pour donner aux assistants le loisir de bien contrôler les faits, le soleil reprit, plus varié et plus coloré que jamais, son fantastique feu d’artifice, sans doute le plus grandiose et le plus pathétique que les hommes aient jamais pu contempler sur la terre. Et pendant l’inoubliable douzaine de minutes que dura ce spectacle unique et saisissant, cette foule innombrable était là en suspens, immobile, extatique, presque sans respirer, contemplant ce drame qui fut aperçu distinctement à plus de 40 kilomètres à la ronde : L’illustre poète portugais, Dr Alfonso Lopes Vieira, témoigna l’avoir vu à 10 lieues de Fatima, alors qu’il ne s’y attendait nullement.
C’était le « grand miracle » promis qui se réalisait exactement au jour, à l’heure et à l’endroit désignés d’avance, et qui devait « obliger » les hommes à croire à la réalité des apparitions et à obéir au message que Notre-Dame du Rosaire leur apportait du ciel ! Mais ce fut la chute vertigineuse du soleil qui fut le point culminant du grand prodige, le moment le plus pathétique et le plus divinement poignant, qui acheva de rapprocher complètement de Dieu toutes ces âmes, par un acte sincère de contrition et d’amour. En effet, au milieu de sa danse « effarante » de feu et de couleurs, telle une roue gigantesque qui à force de tourner se serait dévissée, voici que le soleil se détacha du firmament et, tombant de côté et d’autre, se précipita en zigzag sur la foule atterrée, irradiant une chaleur de plus en plus intense (témoignage du Dr Domingos Pinto Coelho : non seulement on voyait le soleil tomber du ciel, mais on sentait l’augmentation progressive de la chaleur avec l’approche du soleil, ce qui sécha vite les habits trempés des spectateurs), et donnant à tous les assistants l’impression nette de cette fin du monde prédite dans l’Evangile, où le soleil et les astres doivent se précipiter en désordre sur la terre ! Alors, de cette foule épouvantée, s’échappa soudain un cri formidable, une clameur intense, traduisant la terreur religieuse des âmes qui se préparent sérieusement à la mort, en confessant leur foi et en demandant à Dieu pardon pour leurs péchés. « Je crois en Dieu le Père Tout-Puissant » s’écrièrent les uns. « Je vous salue Marie ! », s’exclamèrent les autres. Et d’un seul mouvement, tombant à genoux sur ce sol transformé en un bourbier de terre glaise, les spectateurs récitèrent, d’une voix entrecoupée de sanglots, le plus sincère acte de contrition qui ne soit jamais sorti de leur cœur ! Enfin, s’arrêtant tout à coup dans sa chute vertigineuse, le soleil remonta à sa place en zigzaguant comme il en était descendu. Les gens se relevèrent visiblement soulagés et chantèrent ensemble le Credo ! Et alors que tout le monde était avant trempé jusqu’aux os, chacun eut la douce surprise de trouver ses habits absolument secs. Il y eut même une guérison d’une femme tuberculeuse, qui était restée de longues heures toute trempée.
Quelques témoignages du grand prodige :
Mgr l’Evêque de Leiria : « Ce phénomène, qu’aucun observatoire astronomique n’enregistra, et qui par conséquent n’était pas naturel, des personnes de toutes les conditions et de toutes les classes sociales le virent de leurs yeux… même des gens qui se trouvaient à des kilomètres de distance, ce qui détruit toute explication par illusion collective… ».
O Seculo (le grand journal libre-penseur de Lisbonne) :
« … le soleil trembla ! Le soleil eut des mouvements brusques, jamais vus et en dehors de toutes les lois cosmiques ! Le soleil « se mit à danser » selon l’expression typique des paysans !… Il ne reste maintenant qu’une chose : c’est que les savants nous expliquent, du haut de leur compétence, la macabre danse solaire, qui, aujourd’hui à Fatima, a fait jaillir des « hosannas » de la poitrine des fidèles ; et qui, comme me l’affirment les gens dignes de foi, a laissé très impressionnés les libres-penseurs eux-mêmes, ainsi que d’autres personnes sans aucune préoccupation religieuse, qui étaient accourues sur cette lande désormais célèbre » (Avelino d’Almeida, rédacteur en chef du « Seculo »). Cet article, publié dans le « Seculo » du lundi 15 octobre, fit sensation dans tout le pays, et attira à son auteur les vifs reproches des libres-penseurs, qui ne lui pardonnaient pas d’avoir donné une telle publicité aux faits de Fatima, et de les avoir appuyés de son autorité.
Le Dr Almeida Garrett, professeur à la Faculté des Sciences de l’Université de Coïmbra, écrit : « … je le vis pareil à un disque aux contours nets, brillant mais non éblouissant. J’entendis des gens autour moi des gens qui le comparaient à un disque d’argent mat. La comparaison ne me parut pas exacte. Son aspect était d’une clarté nette et changeante. Il ne ressemblait nullement à la lune d’une belle nuit ; il n’en n’avait ni la couleur, ni les clairs-obscurs. On eût dit plutôt une roue lisse, découpée dans les valves argentées d’un coquillage….On ne pouvait pas le confondre non plus avec un soleil aperçu à travers le brouillard. De brouillard il n’y en avait pas trace, et par ailleurs, ce disque solaire n’était ni confus ni voilé d’aucune façon, mais brillait nettement dans son centre et dans sa circonférence… »
La vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=NGrm2l6pmGk
Photos d’époque : http://www.youtube.com/watch?NR=1&feature=fvwrel&v=hyIpE1_qIFM
Le secret de Fatima :
Ce fut le 13 juillet 1917, à la 3ème apparition
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