Signer mon livre d'or Faire connaître mon blog Me contacter par mail Flux RSS
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Amitié (3)
· Amour (11)
· Bretagne (26)
· Chemin d'écriture (10)
· Imaginaire (9)
· Nature (31)
· Poèmes vidéo (2)
· Quatre saisons (4)
· Sentiments (35)
· Sombre (24)
· brigitisis
· penseraimer
· Le monde en vert en vers
· Le coin des poètes
· Luminescence Musicale
superbe !!!
Par Anonyme, le 07.02.2022
j'attends toujours momo mdr. bisous http://fripou. centerblog.net
Par fripou, le 17.12.2015
un superbe pays en effet. merci pour vos compliments et belle soirée. http://fripou. centerblog.net
Par fripou, le 17.12.2015
il est en effet très doux de partager un rêve à deux. bonne soirée et merci de votre visite. http://fripou. ce
Par fripou, le 17.12.2015
le plus divin des voyages est celui que m'offre vos mots, dans ce monde qui vous appartient, et dont je raffol
Par laellyra, le 17.12.2015
Date de création : 29.08.2011
Dernière mise à jour :
18.12.2012
188 articles
· VIVIANE
· Si...
· Disgression créative
· INDIFFÉRENCE
· Si seulement...
· Réciprocité
· Partir
· Aimer
· Croire
· Libre
· Matin de grisaille
· ça vaut le coup
· Enfance
· Nuit sans ténèbres
· REGARD
affiche amitié amour ange anime argent belle bisous bleu bonne bretagne cadeau
Dans un coin de ton coeur
Dans un coin de ton coeur, j'ai trouvé une place
Il y faisait si chaud que je m'y suis blottie
Multiples émotions avaient laissé leur trace
J'y ai laissé la mienne, n'en suis plus repartie
Ecoute et compassion mélangeaient leur tendresse
Dans le coin de ton coeur où j'ai trouvé ma place
Chacun de ses battements m'inventaient des caresses
Ecrivaient dans leur sang, intime dédicace
Près de cette âtre tiède dont l'affection m'enlace
J'ai posé mon fardeau pour partager ta route
Dans ce coin de ton coeur où j'ai trouvé ma place
Chaque heure partagée se savoure et se goûte
Il peut faire froid dehors, moi je suis à l'abri
Depuis que près de toi j'ai vaincu mes menaces
Il n'est plus de jours tristes, funestes et assombris
Dans ce coin de ton coeur où j'ai trouvé ma place.
Le chocolat
Tu es je le confesse ma plus grande faiblesse
Le remède miracle pour vaincre mes détresses
Au lait ou aux noisettes, noir de noir ou bien blanc
Qu'importe l'emballage te croque à pleines dents
Découvrir tes parfums, tes effluves amicales
Est un bonheur total, une jouissance animale
En plaque ou par poignées tu es ma panacée
De toi fidèle ami ne saurais me passer
Alors certes la balance n'est pas notre copine
Elle est vache celle là, qu'elle reste dans sa cuisine
Et puis mon estomac crie parfois halte là
Pourtant quoi de meilleur quand le moral est bas
Si tu n'existais pas je t'aurais inventé
Nectar dans mon palais, vertus illimitées
Te sucer est extase, t'avaler pur bonheur
A la tienne camarade qui ranime mes heures...
Au jardin d'horizon
Au jardin d'horizon où poussent mille pensées
S'éveille le matin pour égayer les coeurs
Enrubannées de tendre par gouttes de rosée
Elles répandent au vent des effluves de bonheur
Entre chaque pétale vient éclore un bisou
Au jardin d'horizon où poussent mille pensées
Venant comme un hommage, se poser sur vos joues
Et réchauffer vos âmes qui s'en trouvent apaisées
Leurs couleurs arc en ciel se laissent apprivoiser
Habillant d'affection la douceur des nuages
Au jardin d'horizon où poussent mille pensées
Le soleil se partage pour en faire vos rivages
Je voulais ce matin vous le faire visiter
En entrouvrir la porte pour le poétiser
Faites précieux bouquets, venez vous abriter
Au jardin d'horizon où poussent mille pensées
Quelques flocons épars tapissent mon aurore
Qui s'éveille en silence aux heures du matin
Recouvrant de douceur le jour en train d'éclore
Posant sur le décor des perles de satin.
Risée de l'horizon pleurant larmes de glace
Mille cristaux givrés, transis par l'émotion
Tissant sur le dehors, écharpe qui l'enlace
Cherchant dans un sanglot tendre consolation.
Nuages sedévoilent dans leur manteau d'hiver
Constellation de ciel feutrant mon univers
Oùs'égraine le temps qui invente demain.
Aube sèche tes yeux, le jour vient te sourire
Il t'offre mitaines pour réchauffer ta main
Et sefait radieux de rimes à écrire.
J’ai trouvé la lumière
J’ai trouvé la lumière qui éclaire mes jours
Le rayon de soleil qui m’invente l’amour
Le lit de la rivière qui tempête à mes veines
Quand ta main sur ma peau doucement se promène
J’ai trouvé tous les mots révélant mes poèmes
Que je puise à tes lèvres murmurant des je t’aime
Le ciel d’un horizon menant à ton sourire
Qui ravive le feu de ma force d’écrire
J’ai trouvé un baiser caché sous ta tendresse
Celui qui donne la vie aux plus belles ivresses
Une envie de survit à jamais immortelle
Quand elle s’éblouit de te savoir si belle
J’ai trouvé dans ton ombre un bonheur indicible
Celui qui dans l’orage me rend insubmersible
Près de toi j’ai appris qu’on est heureux à deux
Quand de te rencontrer mon cœur est amoureux
Au fond de mon coeur
J'ai au fond de mon coeur mille rêves à éclore
Des rimes de poètes, de tendres corps à corps
Des regards, des sourires, des envies de partage
Des départs en vacances aux courbes d'un visage
J'ai au fond de mon coeur des destins parallèles
Des images mutines de triangles isocèles
Des runes à graver en infini de pierre
Des serments enfiévrés tissés sur des bannières
J'ai au fond de mon coeur palettes d'horizons
Des attentes oniriques d'échanges de frissons
Des échos symphoniques tout droit venus d'ailleurs
Qui mélangent les âges, délices de saveur
Au matin qui s'éveille j'ai confié espérance
Pour que jour d'avenir se pare d'insouciance
Qu'il invente des rivages tout bordés d'océan
Pour que mon coeur s'envole aux ailes du goéland
Le baiser
Doucement c’est un souffle qui s’invente caresse
Attendri du désir d’échanger son ivresse
Un rêve de satin qui louvoie et paresse
Avant de déposer les échos de sa liesse
Une rencontre ultime entre l’eau et le feu
Qui rend en un instant le cœur tout amoureux
Une lèvre qui oublie toutes les règles du jeu
Pour mieux se mélanger en émoi langoureux
Une rencontre d’âme avide de partage
Un début d’incendie qui embrase nos plages
C’est l’amour qui s’échoue en délicieux naufrage
La saveur de ton toi qui invite au voyage
Ton air devient le mien dans l’heure qui chavire
Dans l’effluve sucrée qui soudain te respire
Et voila que s’affiche le plus doux des sourires
Quand désir de plaisir ne sait plus s’interdire
Vole, vole, mon cœur
Ma nuit dans ton surnombre te regarde dormir
S’émerveillant sans fin de l’écho de ton souffle
Sur ta peau un murmure qu’une main fait frémir
Un baiser amoureux qui du jour te camoufle
Elle garde la mémoire des ondes de ton plaisir
Quand tes lèvres humides inventent ma découverte
Que l’éclat de tes yeux doucement me fait rosir
M’imaginant heureuse, libérée et offerte
Ta tendresse m’inonde des assauts de tes rêves
Se languissant déjà du partage à venir
Sans même nous attendre, déjà le jour se lève
Et nos mains se rejoignent sans pouvoir s’abstenir
Vole, vole, mon cœur pour venir te rejoindre
Aux rives de ton aurore transie de mon attente
S’habille le silence du matin qui vient poindre
Du parfum de l’envie de nos heures conniventes
Aux rives de ton cœur
Aux rives de ton cœur j'ai découvert la vie
Celle qui me fuyait, que je croyais enfuie
Mes jours sans aventure avaient perdu l'envie
D'exister en demain au sommeil de l’ennui
En m'offrant un sourire, juste un reflet de toi
Tu as inventé l'aurore pour m'en faire un avenir
Au fond de mes silences résonnait une voix
Que tu savais entendre, expiant mes souvenirs
Fracturant mes cadenas, tu as ouvert ma fenêtre
Pour visiter sans bruit les affres de mes déroutes
Tes lèvres murmuraient : « Conjugue ton verbe être »
Laisse-moi prendre ta main et chassons tous ces doutes
De la flamme allumée dans le cœur de mon âtre
Je sentais la chaleur m'envelopper entière
Mouton noir du troupeau, j’avais trouvé mon pâtre
Qui inventait l’espoir derrière sa bannière
Je rejoignais tes pas pour suivre ta transhumance
Regagnant dans ton souffle les prés de tes alpages
Et savourais sans fin, de ton cœur, l'abondance
Ecrivant mon destin dans tous tes entourages
Toi la coïncidence de mes heures de hasard
Sais-tu la profondeur de l’amour qui m’anime
Ne suis plus l’opaline tapie dans ses brouillards
Juste celle qui t’aime toi qui me désenvenime.
Matin printanier
Les pruniers ont blanchi des fleurs de leur printemps
Et le poirier bourgeonne en égrainant le temps
Les parterres jaunissent des jonquilles impatientes
De découvrir la vie après si longue attente
La brume d’horizon cache encore le matin
Qui s’éveille en silence pour taire son butin
Quelques herbes s’ébrouent, inondées de rosée
Espérant les rayons d’un astre reposé
Au loin les agnelets, sous le sein de leur mère
Racontent leurs rêveries à la lune éphémère
Imaginant les jeux de leurs heures enfantines
Les courses et les galops qui les rendront divines
Le ramage des oiseaux fête le renouveau
L’instant de renaissance offert comme un cadeau
A la nature avide de reprendre ses aises
Pour préparer l’été qui, de l’hiver, apaise…