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Date de création : 01.01.2019
Dernière mise à jour : 01.12.2024
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LA CITE MYSTIQUE DE DIEU - CHAPITRE 10 - TOME 1

LA CITE MYSTIQUE DE DIEU - CHAPITRE 10 - TOME 1

CHAPITRE 10

Qui continue l'explication du chapitre douzième de l'Apocalypse.

 

120. Malheur à vous, terre et mer, car le diable est descendu vers vous dans une grande colère, sachant qu'il ne lui reste que peu de temps. Malheur à la terre, où tant de péchés et de méchancetés innombrables se doivent commettre! Malheur à la mer de ce que de telles offenses de son Créateur se commettant à sa vue, elle n'a pas rompu ses barrières pour inonder et noyer les transgresseurs, vengeant les injures de son Seigneur! Mais malheur à la mer profonde et endurcie en méchanceté de ceux qui ont suivi ce diable, qui est descendu vers vous pour vous faire la plus cruelle et la plus inouïe de toutes guerres! Sa rage est celle du plus fier des dragons, et surpasse celle d'un lion dévorant; car il prétend anéantir toutes choses, et il lui semble que tous les siècles sont courts pour exécuter son courroux. Telles sont la soif et l'avidité insatiables qu'il a de nuire aux mortels; car tout le temps de leur vie ne lui suffit pas, parce qu'elle doit finir, et sa fureur souhaiterait des temps éternels, s'ils étaient possibles, pour faire la guerre aux enfants de Dieu. Et surtout la colère qu'il a contre cette heureuse femme qui lui doit écraser la tête est implacable. C'est pourquoi l'évangéliste ajoute:

121. Quand le dragon eut vu qu'il était rejeté en terre, il persécuta la femme qui avait enfanté le Fils. Quand le serpent ancien eut vu le lieu et l'état très malheureux où il était tombé, ayant été lancé du ciel empyrée, il brûlait d'une plus grande fureur et d'une plus cruelle envie, se rongeant comme une vipère les entrailles. Il conçut une telle indignation contre cette femme, Mère du Verbe humanisé, qu'il surpassa tout ce qui peut s'en dire et concevoir. Il s'en découvre néanmoins quelque chose par ce qui arrivaimmédiatement après que ce dragon fut précipité dans les enfers avec ses troupes de méchancetés, que je raconterai ici le mieux qu'il me sera possible et selon que l'intelligence me l'a manifesté.

122. Pendant toute la première semaine dont la Genèse fait mention, en laquelle Dieu s'appliquait à la création du monde et de ses créatures, Lucifer et les démons s'occupèrent à conférer ensemble pour inventer des méchancetés contre le Verbe qui se devait humaniser, et contre la femme dont il devait naître. Le premier jour, qui réponde au dimanche, les anges furent créés, il leur fut donné une loi et des préceptes sur ce en quoi ils devaient obéir; les mauvais y furent désobéissants et transgressèrent  les commandements du Seigneur, et par la disposition de la divine Providence toutes les choses susdites arrivèrent jusqu'au matin du second jour, qui répond au lundi, auquel Lucifer et tous ceux de son parti furent précipités dans l'enfer. Ces stations, ces demeures ou ces intervalles des anges, de leur création, opérations, bataille et chute, ou glorification, répondirent à cet espace de temps. Dans l'instant que Lucifer et ses associés eurent fait leur première et funeste entrée dans l'enfer, ils y tinrent un conciliabule, qui dura jusqu'au jour qui répond au matin du jeudi. Lucifer employa pendant ce temps-là tout son savoir et toute sa malice diabolique à conférer avec les démons sur les moyens qu'ils pourraient trouver pour offenser Dieu davantage et se venger du châtiment dont il les avait punis. Leur conclusion fut que, comme ils connaissaient que Dieu devait aimer tendrement les hommes, la plus grande vengeance qu'ils en pourraient avoir et la plus grande injure qu'ils lui pourraient faire, seraient d'empêcher les effets de cet amour, en trompant, persuadant et incitant autant qu'il leur serait possible les mêmes hommes à perdre l'amitié et la grâce de Dieu, à lui être ingrats et rebelles à sa volonté.

123. "Nous devons travailler à y réussir (disait Lucifer), et employer pour cela toutes nos forces, tous nos soins et toute notre science; nous soumettrons les hommes à notre loi et à notre volonté pour les détruire; nous persécuterons la nature humaine et la priverons de la récompense qui lui a été promise. Procurons fortement qu'ils n'arrivent point à voir la face de Dieu, puisque nous en avons été privés injustement. Je dois remporter de grands triomphes sur eux, je les détruirai et les réduirai à ma volonté. Je sèmerai de nouvelles doctrines, des erreurs et des lois entièrement contraires à celles du Très-Haut. Je choisirai et j'élèverai parmi ces hommes des prophètes et des chefs de nouveautés, qui répandront les doctrines que je sèmerai parmi eux; et pour me venger de leur Créateur, je les placerai ensuite avec moi dans ce profond tourment. J'affligerai les pauvres, j'opprimerai les affligés et je persécuterai les humbles; je sèmerai des discordes, je causerai des guerres, je susciterai des dissensions, et je formerai des superbes et des téméraires: je prolongerai la loi du péché, et quand ils s'y seront soumis, je les ensevelirai dans ce feu éternel; et ceux qui me seront les plus fidèles seront les plus tourmentés. Et c'est en cela que consistera mon royaume, et la récompense de mes serviteurs.

124. "Je ferai une cruelle guerre au Verbe incarné, bien qu'il soit Dieu, puisqu'il sera homme aussi, d'une nature inférieure à la mienne. J'élèverai mon trône au-dessus du sien et ma dignité au-dessus de la sienne, je le vaincrai et l'abattrai par ma puissance et par mes ruses; la femme qui doit être sa Mère périra par mes mains. Comment une seule femme pourra t-elle résister à ma puissance et nuire à ma grandeur? Et vous, ô démons! qui êtes insultés avec moi, suivez-moi et m'obéissez en cette vengeance, comme vous l'avez fait dans la désobéissance. Feignez d'aimer les hommes, pour les perdre, et de les servir, pour les détruire et les tromper; vous les assisterez pour les pervertir et les mener dans mes enfers." Il n'est pas possible d'exprimer la malice et la fureur de ce premier conciliabule que Lucifer tint dans l'enfer contre le genre humain, qui n'était point encore, mais parce qu'il devait être. Tous les vices et tous les péchés du monde y furent inventés, le mensonge, les sectes et les erreurs en sortirent; toutes sortes d'iniquités reçurent leur origine de ce chaos et de cette assemblée abominable; et tous ceux qui pratiquent le mal sont les esclaves de ce prince des ténèbres.

125. Ce conciliabule étant achevé, Lucifer désira de parler à Dieu, et Sa Majesté lui en donna la permission par ses jugements profonds. Cela arriva de la manière dont Satan parla quand il demanda le pouvoir de tenter Job; puis arriva le jour qui répond au jeudi; et il dit au Très-Haut: "Seigneur, puisque votre main m'a été si pesante, me punissant avec tant de cruauté, et que vous avez déterminé tout ce qu'il vous a plu en faveur des hommes que vous voulez créer, voulant si fort agrandir et élever le Verbe incarné, et enrichir avec lui la femme qui doit être sa Mère par tous les dons que vous lui destinez: soyez donc équitable et juste, et puisque vous m'avez donné la permission de persécuter les autres hommes, donnez-la-moi aussi de pouvoir tenter ce Christ Dieu et homme et la femme dont il doit naître et leur faire la guerre. Donnez-moi permission d'y employer toutes mes forces." Lucifer tint alors d'autres discours, et il s'humilia à demander cette licence (l'humilité étant si fort opposée à son orgueil), parce que la rage et le désir démesuré qu'il avait d'obtenir ce qu'il souhaitait étaient si grands, qu'ils firent plier son orgueil, une méchanceté cédant à une autre; car il connaissait qu'il ne pouvait rien entreprendre sans la permission du Tout-Puissant. Et il se serait humilié une infinité de fois pour pouvoir tenter Notre Seigneur Jésus-Christ, et singulièrement sa Très Sainte Mère, appréhendant qu'elle ne lui écrasât la tête.

126. Le Seigneur lui répondit: "Tu ne dois pas, Satan, par justice, demander cette permission; car le Verbe incarné est ton Dieu, ton Seigneur tout-puissant et ton Souverain, quoiqu'il doive être homme véritable tout ensemble, et tu n'es que sa créature. Que si les autres hommes pèchent et que tu les soumettes par leurs péchés à ta volonté, il n'est pas possible que tu trouves le péché en mon Fils unique incarné. Si les hommes deviennent par ton moyen esclave du péché, le Christ doit être saint, juste et séparé des pécheurs, qu'il rachètera et relèvera s'ils tombent. Cette femme contre qui tu es si fort enragé, quoiqu'elle soit une pure créature et fille d'un pur homme, sera néanmoins par ma détermination préservée du péché, et elle sera toujours toute mienne; et je ne veux pas que par aucun titre et par aucun droit tu aies jamais sur elle aucun pouvoir."

127. A quoi Satan répartit: "Quel mérite et quelle sainteté si singulière trouvera-t-on en cette femme si elle ne doit jamais avoir aucun ennemi qui la persécute et qui l'incite au péché? Cela n'est nullement de l'équité ni de la droite justice, et ne peut être ni raisonnable, ni louable." Lucifer ajouta plusieurs autres blasphèmes avec un orgueil téméraire. Mais le Très-Haut, qui dispose tout avec une sagesse infinie répondit: "Je te permets de tenter le Christ, car il sera en ceci le modèle et le maître des autres. Je te permets aussi de persécuter cette femme, mais tu ne la toucheras pas en sa vie naturelle, ne voulant pas en ceci exempter le Christ et sa Mère, mais au contraire, je consens que tu les tentes comme les autres." Le dragon fut plus satisfait de cette permission que de toutes celles qu'il avait reçues de persécuter tous les hommes en général; et il détermina d'y porter un plus grand soin dans l'exécution (comme il fit en effet), qu'en aucun autre de ses ouvrages, et de ne se fier en cela à aucun autre démon, mais d'en prendre lui-même le soin. Et c'est pourquoi l'évangéliste continue: 

128.Le dragon persécuta la femme qui avait enfanté le Fils: parce qu'en ayant obtenu la permission du Seigneur, il combattit d'une manièreinouïe et persécuta celle qu'il s'imaginait pouvoir être la Mère de Dieu incarné. Et parce que je dirai en son lieu quels furent ces essais et ces combats, je dis seulement ici qu'ils furent au-dessus de toute imagination humaine. La manière d'y résister et de les vaincre avec tant de gloire fut aussi admirable, puisqu'il est dit que pour se défendre du dragon: Il lui fut donné deux ailes d'un grand aigle, afin qu'elle s'envolât dans le désert en son lieu, où elle est nourrie pendant un temps et des temps. La très Sainte Vierge reçut ces deux ailes avant que d'entrer en ce combat, car le Seigneur la prévint par des dons et des faveurs particulières. L'une des ailes fut une science infuse qu'elle reçut de nouveau des plus grands mystères et des secrets divins. L'autre fut une nouvelle et très profonde humilité, comme je l'expliquerai dans la suite. Elle s'envola avec ces deux ailes vers le Seigneur, comme vers son centre, car elle ne vivait et n'opérait qu'en lui seul. Elle vola comme un aigle royal, sans jamais se tourner du côté de l'ennemi, étant la seule en ce vol, vivant dans un lieu désert de tout ce qui est crée et terrestre, et seule avec la seule Divinité, sa dernière fin. Dans cette solitude, elle fut nourrie pendant un temps et des temps; nourrie de la très douce manne et de l'aliment de la grâce et des paroles divines; et fortifiée par les faveurs du bras du Tout-Puissant, pour un temps et par des temps; parce qu'elle reçut durant sa vie cette nourriture, et principalement dans ce temps auquel elle soutint les plus grands efforts de Lucifer, car elle fut alors secourue par des faveurs plus grandes et plus proportionnées. Pour un temps et par des temps s'explique aussi de cette félicité éternelle où toutes ses victoires furent récompensées et couronnées.

129. Et la moitié d'un temps hors de la présence du serpent. Cette moitié de temps fut celui que la Très Sainte Vierge vécut sur la terre, délivrée de la persécution du dragon et de sa présence; car, après l'avoir vaincu dans les combats qu'elle eut avec lui par la disposition divine, elle en fut délivrée comme victorieuse. Et ce privilège lui fut accordé, afin qu'elle jouît de la paix et du calme qu'elle avait mérités étant victorieuse de l'ennemi, comme je le dirai ci-après. Mais l'évangéliste dit que, pendant que la persécution dura, le serpent jeta de sa gueule après la femme comme un fleuve d'eau, afin qu'elle fût emportée par le courant, mais la femme fut secourue par la terre, qui s'ouvrit et engloutit le fleuve que le dragon avait jeté. Lucifer exerça toute sa malice et toutes ses forces contre cette divine Reine, et lui en donna les prémices, parce que tous ceux qui en ont été tentés lui étaient moins importants que la seule Marie. Et les tromperies, les méchancetés et les tentations sortaient avec plus de violence de la gueule de ce dragon contre elle, que les eaux impétueuses d'un fleuve précipité ne courent dans leurs abîmes. Mais la terre lui fut favorable, parce que la terre de son corps et de ses passions ne fut point maudite, et n'eut aucune part à cette sentence ni au châtiment que Dieu fulmina contre nous en Adam et Eve, que notre terre serait maudite, et qu'elle produirait des épines au lieu de fruits, restant blessée en sa nature par l'aiguillon du péché, qui nous pique et nous contrarie toujours, et dont le démon se sert pour perdre les hommes, car il trouve en nous ces armes si fortes et si puissantes contre nous-mêmes; et, se prévalant de nos propres inclinations, il nous entraîne par des charmes trompeurs, par des plaisirs apparents et par ses fausses persuasions, après les objets sensibles et terrestres.

130. Mais la très pure Marie, qui fut une terre sainte et bénie du Seigneur, sans aucune atteinte de ce fatal aiguillon ni d'aucun autre effet du péché, était si assurée en la terre, qu'elle n'en pouvait recevoir aucun dommage; au contraire, elle fut favorisée par ses inclinations très bien réglées et entièrement soumises à la raison et à la grâce. Ainsi elle s'ouvrit pour engloutir le fleuve des tentations que le dragon lui vomissait inutilement, car il n'y trouva pas la matière disposée ni aucun penchant au péché, comme il arrive aux autres enfants d'Adam, dont les passions dépravées et terrestres aident plutôt à grossir ce fleuve qu'à le tarir, parce que nos passions et notre nature corrompue s'opposent toujours à la raison et à la vertu. Le dragon connaissant combien ses prétentions étaient inutiles contre cette mystérieuse femme, il est ajouté:

131. Ce qui anima le dragon contre la femme; et il s'en alla faire la guerre aux autres de sa génération qui gardent les commandements de Dieu et qui ont le témoignage de Jésus-Christ. Ce grand dragon ayant été entièrement vaincu par la glorieuse Reine de tout ce qui est créé, s'en alla pour éviter la confusion du nouveau tourment que lui et tout l'enfer devaient recevoir de sa témérité, et se détermina de faire une cruelle guerre aux autres âmes de la même espèce et génération que la très Sainte Vierge, qui sont les fidèles marqués en leur baptême du caractère et du sang de Jésus-Christ pour garder ses témoignages. Car Lucifer et ses démons tournèrent leur rage avec plus de violence contre la sainte Eglise et contre ses membres, quand ils virent qu'ils ne pouvaient rien gagner contre Notre Seigneur Jésus-Christ leur chef, ni contre sa très Sainte Mère, s'attachant singulièrement à faire la guerre avec une indignation particulière aux vierges consacrées à Jésus-Christ, en faisant tout leur possible pour détruire cette vertu de chasteté virginale, comme une semence choisie, et comme les précieux gages de la très chaste Vierge et Mère de l'Agneau. C'est pourquoi l'évangéliste dit, en achevant le chapitre, que:

132. Le dragon s'arrêta sur le sablon de la mer, qui est la vanité méprisable de ce monde, dont le dragon se nourrit et la broute comme de l'herbe. Tout ceci se passa dans le ciel, et plusieurs choses furent manifestées aux anges dans les décrets de la volonté divine touchant les privilèges qui s'y préparaient pour la Mère du Verbe, dans le sein de laquelle il devait se faire homme. Je n'ai pas bien pu déclarer tout ce que j'en ai découvert; car je suis devenue plus pauvre par l'abondance des mystères, et les termes me manquent pour les exprimer.

SOURCE: LA CITE MYSTIQUE DE DIEU, de MARIE D'AGREDA.