Carole Ewan - Romans et livres jeunesse
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Date de création : 11.05.2015
Dernière mise à jour : 26.07.2018
15 articles


6 bons plans pour Disneyland Paris…

Publié le 26/07/2018 à 15:30 par caroleewan Tags : Disney Disneyland Paris bons plans économies Marne la Vallée Paris
6 bons plans pour Disneyland Paris…

que j’ai décidé de partager avec vous aujourd’hui, suite à notre venue à Disneyland Paris, en juin 2018.


1 - Il est préférable d’acheter ses billets avant d’aller à Disneyland Paris.
Premièrement, car cela vous reviendra moins cher.
Deuxièmement, car cela vous évitera de faire la queue trop longtemps.
Il y a une queue spéciale pour ceux qui ont déjà leurs billets et normalement, cela va plus vite !
Économie : 28 euros (pour une famille de 4) ou 7 euros par billet


2 - Vous pouvez trouver un hôtel à quelques kilomètres pour 5 fois moins cher !
Si c’est vraiment votre rêve de dormir dans un hôtel Disney et que vous en avez les moyens, ce conseil n’est pas pour vous.
Si vous pensez qu’après tout, la nuit, on dort et que l’hôtel vous importe peu, vous pouvez trouver des hôtels style B&B très confortables à quelques kilomètres de Disneyland Paris.
Nous avons, pour notre part, dormi dans l’hôtel B&B Marne-La-Vallée Bussy, qui se trouve à environ 10 kilomètres des parcs. Bien sûr, il n’y avait pas la déco Disney, mais nous avons bien dormi. Notre chambre était équipée d’un grand lit, de deux lits superposés, d’une salle de bains avec douche et WC.
Le petit déjeuner était bon et copieux. J’ai même été étonnée par la qualité du café et des croissants.
La nuit et les quatre petits déjeuners nous sont revenus à 106 euros. C’est une certaine somme, mais rien à voir avec les hôtels Disney à 500 euros la nuit !
D’ailleurs, si vous avez une date fixe pour aller à Disneyland, le B&B vous donne aussi la possibilité de réserver à l’avance votre chambre. Cela vous reviendra à encore moins cher. Cependant, ces réservations avantageuses ne sont ni modifiables ni remboursables. Il faut vraiment être sûr de sa date.
Économie : 400 euros voire plus

3 – Amener avec vous un pique-nique (boissons comprises)
La note monte vite, très, très vite, lorsque vous allez à Disneyland Paris…
Nous avons donc décidé d’économiser sur le repas du midi, même si au départ, nous ne voulions pas perdre de temps à faire nos sandwiches le matin.
Finalement, la préparation a été rapide et nous ne l’avons pas regretté !
Il est aussi possible d’acheter des sandwiches tout prêts du commerce que vous pouvez acheter la veille.
Pourquoi ?
Parce qu’à Disneyland Paris, lorsque vous voulez manger des hamburgers, des frites et boire quelque chose, vous dépensez minimum pour une famille de quatre, 50 euros.
Si vous amenez votre déjeuner, vous en aurez pour à peine 20 euros.
À vous de choisir !
Quant aux petites bouteilles d’eau, indispensables, surtout en cas de fortes chaleurs, il nous a semblait préférable de les acheter 0,50 cts dans le commerce plutôt qu’à 3 ou 5 euros à Disneyland Paris (je ne connais pas les prix exacts, mais j’imagine que cela doit être dans cet ordre de prix).
D’ailleurs l’un des adultes peut prendre un sac à dos isotherme plutôt qu’un sac à dos classique pour porter le pique-nique. Vous pouvez normalement en trouver dans tous les magasins de sport.
Économie : 30 euros (pour une famille de 4) ou 7-8 euros par personne.


4 – Faites des économies sur les déguisements
Pour cela, amenez avec vous leurs déguisements préférés !
Quelques jours avant de partir, demandez à vos enfants le déguisement qu’ils préfèrent, celui que vous avez chez vous et qui peut faire partie de l’univers Disney (pirate, Buzz l’éclair ou Woody, princesse Cendrillon, Belle ou Blanche-Neige etc.).
Ils pourront ainsi arriver déguisés à Disneyland Paris !
Cela vous évitera d’acheter à votre fille une robe de princesse à 40 ou 50 euros voire plus ou à votre fils, un vêtement de pirate hors de prix…Sauf si vous souhaitez vraiment leur acheter un déguisement sur place bien sûr !
Nous avons d’ailleurs amené dans le sac de nos enfants des tenues de rechange légères (« légères » afin de ne pas trop alourdir les sacs), car nous le savons, au bout d’un moment, les déguisements gênent les enfants.
Économie : 30 euros par déguisement (donc 60 euros pour deux enfants)


5 - Fixez un budget-achat pour chaque membre de la famille !
Avant de partir, nous avions décidé que chacun dépenserait 20 euros et achèterait avec cette somme ce qu’il voulait (jouet etc.). 20 euros peut paraître peu, mais lorsqu’on est une famille de quatre, cela fait tout de même 80 euros à dépenser en « gadgets » !
Car il faut bien le dire ! Ce que l’on achète à Disneyland Paris n’a rien d’essentiel dans la vie de tous les jours !
Ce sont des achats « plaisir ». Chaque famille est, bien entendu, libre de fixer la somme qui lui convient.
Économie : du simple au double


6 – Allégez-vous !
Votre dos vous remerciera !
On a toujours besoin d’un peu de monnaie, mais pourquoi charger son porte-monnaie d’une multitude de pièces jaunes ?
Un ou deux billets suffiront et seront beaucoup moins lourds !
J’ajouterais que l’argent liquide vous sera nécessaire à Disneyland Paris si vous avez envie d’acheter des glaces aux petites roulottes, éparpillées un peu partout dans le parc. Ces dernières n’acceptent que de l’argent liquide. Nous avons vu plusieurs personnes partir sans rien acheter, alors qu’elles avaient fait la queue, car elles n’avaient pas d’argent liquide sur elles.
Toujours pour alléger son sac, pourquoi prendre son portefeuille, alors qu’il suffit juste d’emporter avec soi, pour le séjour, sa carte bleue, sa carte vitale, sa carte d’identité et son permis ?
Nous avons bien sûr été obligés de prendre pour chacun d’entre nous une petite bouteille d’eau, essentielle surtout si vous allez à Disneyland Paris en été, mais en fin de matinée, elles étaient déjà toutes vides.
Vous pouvez d’ailleurs les remplir aux différentes fontaines du parc ou emporter avec vous une grande bouteille d’eau, qui sera portée par l’un des adultes.
Quant au sac à dos de mon fils, comme il est petit et ne peut pas porter de choses trop lourdes, je lui avais acheté chez Decathlon un sac à dos pliable (type Kway) à 2 euros. Il était donc content d’avoir un sac à dos comme tout le monde, en arrivant, et était bien content aussi de ne plus l’avoir dans l’après-midi, car nous l’avions plié et avions mis ses quelques affaires de rechange dans les sacs des adultes.

Estimation de nos économies avec tous ces bons plans : environ 600 euros !
Pas mal, non ?
Je souhaite donc maintenant une bonne journée ou un bon séjour à Disneyland Paris et j’espère que ces quelques petits bons plans vous serviront.
N’hésitez pas à me laisser un commentaire.

MC et les Restos du Cœur

Publié le 10/03/2018 à 16:49 par caroleewan Tags : merci manger faim restos du coeur amie témoignage
MC et les Restos du Cœur

Il y a quelques années, comme tout le monde, je connaissais les Restos du Cœur, leurs spectacles que je regardais chaque année et leur aide envers les personnes qui ont faim.
Mais je n’avais jamais connu personne en bénéficiant jusqu’à ce que j’aille travailler chez MC en tant qu’aide à domicile. Travail alimentaire que j’ai dû faire durant un moment (car dans la vie, on ne fait pas toujours ce qu’on veut…).
MC n’est pas du tout le profil des personnes qu’on croirait voir bénéficier des Restos du Cœur. À 80 ans, elle a travaillé toute sa vie… mais prise dans la spirale du surendettement, elle s’est ensuite retrouvée à vivre dans un état de grande pauvreté. Interdit de chéquier et de carte bleue, sa banque ayant déménagé à une vingtaine de kilomètres, il lui était impossible de retirer ne serait-ce que vingt euros. Pas un euro en poche pour pouvoir acheter un timbre ou une baguette…
Vous savez, cela fait drôle lorsque vous apportez une baguette à une personne et qu’elle vous remercie les larmes aux yeux, car elle n’a pas mangé de pain frais depuis une éternité, qu’elle se jette ensuite sur le pain, en le mangeant goulument et en s’excusant de ne pouvoir attendre que vous soyez partie, tellement cela lui a manqué.
Cela fait drôle aussi de voir qu’une personne ne peut aller chez le docteur ou chez le dentiste, faute d’argent et qu’elle n’a jamais entendu parler de la CMU, qu’elle souffre parce qu’elle a un mal terrible à la bouche, aux quelques dents qui lui restent. Alors, vous regardez dans votre sac à main et vous lui donnez les quelques comprimés de paracétamol que vous avez sur vous, en lui promettant de lui en ramener le plus vite possible.
Quel bonheur aussi pour elle le jour où je lui ai ramené du café frais que j’avais préparé à la maison ! Elle l’a bu avec délectation, heureuse de retrouver le goût d’un bonheur passé.
Des larmes aux yeux encore, lorsque je lui ai ramené des produits de mon jardin : persil frais, tomates. Cela lui rappelait son jardin.
Alors imaginez-vous comme les Restos du Cœur peuvent grandement aider ce genre de personnes !
MC ne fait pas l’aumône, elle me dit souvent qu’elle déteste demander. Elle a travaillé toute sa vie, mais ne peut plus le faire à 80 ans. Merci aux Restos du Cœur d’aider mon amie !
Je voulais juste préciser que je ne raconte pas cette histoire pour me mettre en avant, car ce n’est pas la mer à boire d’amener du café ou une baguette à une personne seule. Tout le monde peut le faire. Je raconte cette histoire pour amener un témoignage sur les bienfaits des Restos du Cœur.

Frisette aime la galette

Publié le 27/12/2017 à 17:59 par caroleewan Tags : sorcière livre jeunesse fève galette épiphanie
Frisette aime la galette

Le mot « galette » rime avec « Frisette », non ?

Alors, pourquoi ne pas inventer une histoire autour de ce sujet me suis-je dit ?... En exposant toutes les traditions qui tournent autour de la galette, de la fève à la couronne en passant par le passage des enfants sous la table pour désigner pour qui sera chaque part.

Voici quelques anecdotes et mes influences concernant les illustrations du livre :

Tout d’abord, en septembre 2017, je suis passée par plusieurs étapes pour dessiner l’illustration N°3 de « Frisette aime la galette », celle de la cheminée.

Dans un premier temps, j’ai dessiné un feu magnifique… que je n’ai pas voulu laisser tout seul, de peur de donner envie de faire des bêtises à d’éventuels pyromanes…

Je me suis donc dit que j’allais dessiner autour du feu une belle cheminée, que je voulais au départ classique. Puis en cherchant sur Google « dessiner une cheminée », je suis tombée sur un dessin original avec une cheminée toute en courbes, arrondies vers l’intérieur. J’ai donc voulu m’en inspirer, mais j’ai fait les courbes du mauvais sens. Si bien que ma cheminée commençaient à ressembler à une goutte d’eau. J’ai tout à coup trouvé l’idée très intéressante, pensant que cela ferait un contraste amusant : la goutte symbolisant l’eau… opposée au feu.

Enfin, j’ai fait de nombreuses tentatives pour le conduit de cheminée et c’est finalement mon mari qui m’a donné l’idée d’un conduit en vaguelettes. Et même si cela paraît peu plausible, avec Frisette, nous sommes dans un monde imaginaire, non ?

 

Pour le dessin n°5, sur lequel les enfants se trouvent sous la table afin de désigner à qui sont les parts, je trouvais que le dessin était vide, car il y avait juste la table et les enfants en-dessous.

J’ai donc demandé son avis à ma fille Deborah, 9 ans.

Elle m’a d’abord proposé de faire en haut du dessin des vagues, comme je l’avais fait pour d’autres dessins. Cela ne me plaisait pas. Alors elle m’a proposé de dessiner un lustre.

« Regarde ! C’est ce que j’ai fait moi aussi ! me dit-elle très sérieusement.

— Un lustre ? C’est une très bonne idée ! »

L’idée était donc adoptée !

Et j’ai même rajouté un tapis pour embellir le dessin !

 

Quant aux dessins de galettes, ma fille Deborah adorait les parts de galette qu’elle trouvait appétissantes et qu’elle avait envie de manger. C’est ainsi que j’ai eu l’idée de dessiner une multitude de petites parts autour de certains textes.

 

J’espère que ce partage vous aura plu.

Pour vous donner peut-être envie de le lire, voici le résumé de « Frisette aime la galette » :

Frisette, la petite sorcière, est invitée

pour l’Épiphanie,

chez son amie Zoé, la petite fille humaine.

Mais elle n’a jamais entendu parler

ni de galettes ni de fèves.

Les humains ont vraiment d’amusantes

traditions !… pense-t-elle.

D’après toi, comment se passera cette journée ?

Si tu veux le découvrir, ouvre ce livre

et viens rejoindre Frisette, Zoé, Jules et leurs parents !

 

Pour acheter « Frisette aime la galette », rendez-vous ici !

Frisette et ses copinettes

Publié le 13/11/2017 à 11:38 par caroleewan Tags : sorcière rimes amitié copinette livre jeunesse copine fille copinaute livre
Frisette et ses copinettes

 

Le mot « copinette » n’existe pas.

 

En l’inventant, je me suis inspirée du terme « copinaute » qui circule de plus en plus sur internet. Les copinautes, ces copines que nous nous faisons par le biais d’internet, que cela soit sur Facebook, sur les blogs, en faisant des partenariats etc.

 

J’avais trouvé l’expression « copinaute » rigolote, mais comme je devais faire terminer le titre de mon livre par un mot finissant en « ette », le mot « copinette » m’est venue tout naturellement.

 

Et même s’il n’existe pas ! Qu’importe ! L’essentiel, c’est de s’amuser avec les mots… en prenant la liberté d’en inventer un de temps en temps !

 

Quant au personnage de Myrtille, je ne savais pas trop, au début, quel prénom j’allais lui donner. Je lui avais donc attribuer un prénom temporaire « Florette » pour continuer avec mes rimes en « ette ».

 

Mais ensuite, j’ai pensé que ce n’était pas une bonne idée, car trop de prénoms finissant de la même façon risquaient d’amener de la confusion dans la tête des petits lecteurs…

 

Pour qu’ils arrivent à mieux se rappeler du prénom de cette nouvelle sorcière, je devais donc trouver une terminaison complètement différente…

 

C’est ainsi que j’ai pensé au prénom Myrtille dont j’avais déjà entendu parler et que je trouvais très original. Il était absolument parfait pour une petite sorcière !

 

Pour finir et vous donner une dernière petite anecdote, je voulais que mon personnage Myrtille fasse sa starlette dans la troisième illustration de « Frisette et ses copinettes ».

 

C’est alors que je me suis souvenue d’une photo de ma fille Deborah prenant une pose de star dans notre jardin, lorsqu’elle avait 6 ans.

 

J’ai donc sorti la photo et j’ai dessiné Myrtille avec la même attitude qu’avait prise ma fille pour la photo.

 

MontagePhotoBlog2 - Copie.jpg

 

J’espère que toutes ces anecdotes concernant l’écriture de mon livre « Frisette et ses copinettes » vous auront plu.

 

Pour conclure, voici le résumé de « Frisette et ses copinettes » :

 

Frisette, la petite sorcière, qui adore faire des rimes en « ette »

 

et manger des tartelettes à la vinaigrette,

 

n’est pas la seule à vouloir rencontrer les humains.

 

Myrtille, qui est sorcière elle aussi, décide de rendre visite à Zoé,

 

la petite fille humaine, déjà amie avec Frisette.

 

Toutes les trois vont passer une après-midi ensemble.

 

Comment vont-elles s’occuper et de quoi vont-elles parler ?

 

Si tu veux le découvrir et si toi aussi, tu veux devenir une « copinette »,

 

ouvre ce livre et viens les rejoindre !

 

 

 

Pour acheter Frisette et ses copinettes Rendez-vous ici

 

La Nouvelle République 07 octobre 2017

Publié le 20/10/2017 à 18:51 par caroleewan Tags : art article
La Nouvelle République 07 octobre 2017

Article d'octobre 2017.

La Nouvelle République 04 décembre 2016

Publié le 20/10/2017 à 18:46 par caroleewan
La Nouvelle République 04 décembre 2016
Premier article dans la presse.

Petits bonheurs en chocolat

Petits bonheurs en chocolat

 

J’avais l’idée d’écrire un recueil avec comme ligne directrice le chocolat depuis un petit moment, mais je ne voulais pas inciter les gens qui liraient mes nouvelles à se « goinfrer » de chocolat. J’avais donc laissé tomber l’idée, en me lançant dans l’écriture d’autres histoires.

 

Mais ces dernières ne m’enchantaient pas vraiment. C’est pourquoi, je suis finalement revenue à mon idée de départ : le chocolat.

 

Les inspirations vinrent facilement. Les idées autour du chocolat arrivèrent aisément (la pâte à tartiner, un brownie, un carré de chocolat, un bol de cacao). Mon imagination débordante arriva ainsi à construire des histoires autour du moindre détail chocolaté et des univers apparurent autour des différents personnages. « Petits bonheurs en chocolat » était né.

 

L’amour et l’amitié y sont présent, les valeurs auxquelles je crois aussi (l’entraide, la loyauté, la solidarité, etc.), sans oublier des expériences plus ou moins vécues dont je vous parlerai certainement dans un autre article.

 

« Petits bonheurs en chocolat » est un recueil de nouvelles regroupant sept histoires :

 

1.     Rire aux larmes

 

2.     Actrice

 

3.     Gourmandise

 

4.     Dix ans ont passé…

 

5.     Angéline

 

6.     Scrabble et chocolat

 

7.     Colocation

 

En voici le résumé :

 

« La vie n’est-elle pas remplie de petits bonheurs en chocolat ?

 

Une cuillère de pâte à tartiner pour se remonter le moral, un carré de chocolat noir pour avoir plus d’énergie, une boîte de « palets or » offerte en cadeau, des brownies cuisinés pour ses proches, un bol de cacao bu au petit déjeuner.

 

Les personnages de ces sept nouvelles vont être amenés à faire des rencontres amicales et surtout amoureuses qui seront, sans aucun doute, cacaotées… Un mélange de bonne humeur et d’émotions !

 

Lorsque le chocolat s’invite par petites touches dans l’existence de chacun d’entre eux, en quoi va-t-il influencer le déroulement de leurs histoires ?

 

Et si certaines journées pouvaient être en guimauve et en chocolat ? Cela vous plairait-il ? »

 

 

 

Bonne lecture et n’abusez pas trop du chocolat !

 

 

 

Pour acheter « Petits bonheurs en chocolat » en ligne,rendez-vous ici !

 

Merci à Marc Levy et à Gilles Legardinier

Publié le 21/11/2016 à 10:10 par caroleewan Tags : nouvelles chocolat marc levy gilles legardinier merci remerciements roman livre
Merci à Marc Levy et à Gilles Legardinier

 

Quand tu ouvres ta boite mail un matin et que tu vois que tu as reçu, à la suite, des messages de deux auteurs que tu adores : un de Marc Levy et l’autre de Gilles Legardinier, l’un et l’autre t’encourageant pour la sortie de ton prochain livre (« Petits bonheurs en chocolat ») et t’autorisant aussi à les faire figurer dans les remerciements de la fin du recueil. Alors là, tu pleures !... de joie, bien entendu !

 

Vous allez vous dire : mais elle est toujours en train de pleurer !

 

Et là, cela me fait penser à une interview dans laquelle Céline Dion disait qu’elle pleurait tout le temps : quand elle était heureuse, quand elle était malheureuse. Eh bien, je suis pareille !

 

Je suis vraiment reconnaissante à ces deux grands auteurs de me soutenir ainsi.

 

Frisette et ses recettes

Publié le 15/04/2016 à 09:08 par caroleewan Tags : sorcière rimes recettes cuisine amitié difference centerblog monde bonne histoire livre lecture roman

J’avais écrit « Frisette et ses recettes » depuis un petit moment, sans avoir eu le temps d’en faire les illustrations. À présent, c’est chose faite !

 

Pourquoi une histoire de recettes ?

 

Tout simplement parce qu’en répertoriant tous les mots français finissant par « -ette », je me suis rendue compte que beaucoup d’entre eux appartenaient au monde de la cuisine. Et puis, comme beaucoup le savent, je suis plutôt gourmande, alors cela me faisait plaisir de jouer avec ces mots. Et bien sûr, j’ai essayé à ce que cela soit drôle comme pour « Frisette, la petite sorcière ». J’espère y être arrivée. Vous trouverez peut-être que le visage de Frisette a un peu changé. En effet, j’ai voulu la rendre plus jolie. J’espère que cela vous plaira. Voilà, je vous souhaite une bonne lecture de ce Frisette N°2.

Amusez-vous en compagnie de cette petite sorcière et de son amie Zoé !

 

Frisette et ses recettes


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Naissance de "Frisette, la petite sorcière".

Publié le 18/01/2016 à 15:00 par caroleewan Tags : livre background amitié livre jeunesse sorcière tolérance livres centerblog roman enfants histoire fille

 

Je prends enfin le temps de vous présenter « Frisette, la petite sorcière » et son histoire !

Tout d’abord, je ne me sentais pas capable d’écrire des livres jeunesse, car je n’avais jamais eu de formation ni étudiante ni professionnelle concernant les enfants. Je n’étais ni institutrice ni éducatrice spécialisée.

 

Je ne me sentais pas non plus capable de faire des dessins…

Puis, ma famille m’a beaucoup encouragée : ma mère, ma sœur, mon mari. Mon amie d’enfance aussi Isabelle Le Tarnec qui écrivait déjà à l’époque ses livres-outils à l’usage des parents.

Je me suis donc lancée, avec l’état d’esprit de le faire avant tout pour ma fille Deborah, qui avait à l’époque 6 ans.

J’aimais et j’aime toujours les univers extraordinaires dans lesquels l’on voit des fées, des sorcières ou bien encore des lutins ou des sirènes.

J’ai donc choisi d’écrire une série d’histoires dont l’héroïne serait « Frisette, la petite sorcière ».

J’ai tout d’abord envoyé mes deux premières histoires à quelques éditeurs et magazines et j’ai attendu quelques mois en espérant une réponse positive. En vain !

Comme je trouvais vraiment dommage que mes histoires dorment dans un tiroir, je me suis finalement décidée à en faire les illustrations. Cela ne fut pas facile, mais malgré tout, j’ai aimé dessiner !

Et finalement, fin novembre 2015, est sorti mon premier livre pour enfants « Frisette, la petite sorcière ». Je sais qu’il n’est pas parfait, j’aurais voulu qu’il soit encore plus beau, avec une couverture rigide etc., mais l’auto-édition ne m’a pas permis de faire tout ce que je voulais, j’ai donc dû faire avec ce qui était proposé…

Malgré tout, je reste contente du résultat. Voici donc « Frisette, la petite sorcière » !

Frisette - Livre jeunesse pour enfants

 

 

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