Un beau portrait radiophonique sur France Bleu Besançon

Merci à Dominique Morize, qui m’a ouvert son micro, pour son émission Ils font bouger la Franche-Comté ! 

20 minutes d’échange autour de mon métier et du plaisir de lire, à écouter par ici à midi pile, si ça vous dit !

En haut à droite de la page, vous cliquer simplement sur « écouter le direct ».

Fastoche !


*** EDIT : En raison d'un mouvement de grève, l'émission est repoussée au lundi 18 septembre ! ***

Départ pour La crèche

Alors ce voyage et ces rencontres, c’est du 100% émotion garantie !

Déjà, quand j’ai reçu le mail de Fanny Souchard de la médiathèque de La crèche, j’ai été toute émue. Je vous explique pourquoi : cette petite ville, je l’ai traversée des centaines et des centaines de fois avec mon papy et ma mamie adorés, puisqu’elle se trouve à quelques tous petits kilomètres de chez eux. C’est donc à la fois, un petit bout de mes racines et un retour sur les lieux de mon enfance.
 

Ensuite, Fanny m’a expliqué qu’elle et son équipe souhaitaient m’inviter pour les 25 ans de la médiathèque et elle m’a demandé si je voulais être l’invitée d’honneur de cet anniversaire festif. A votre avis, est-ce que j’aurais pu répondre non ?

 

 J’ai donc dit un grand et joyeux « oui ! » (vous l’aviez compris ! ^^) et maintenant, j’attends avec impatience (après un loooong voyage en train) de rencontrer mercredi et jeudi, les jeunes lecteurs, leurs professeurs et les bibliothécaires de La crèche !

Et si vous êtes dans le coin (Niort, Saint-Maixent-l’Ecole, et tout le reste des Deux-Sèvres), vous pourrez venir pour une rencontre tout public, demain mercredi à 16h30 à la médiathèque de La Crèche. A cette occasion, vous découvrirez également l'exposition réalisée par les élèves qui ont travaillé sur mes livres et (ô joie ! ^^) un goûter sera offert à l'issue de la rencontre.

A très bientôt, alors !

Un lundi matin sur la Terre

Ah qu’il fait bon travailler au chaud, quand dehors, la neige tombe, tombe et retombe…

 (Regardez les balançoires, pour apprécier pleinement la hauteur de neige !) 

(Sur le chemin de l’école…

en pleine préparation de munitions pour la récré, éhéhé !) 

Pendant ce temps, moi, je suis avec Vanina, ma petite pirate,

qui vit sur une île avec une plage bordée de cocotiers. 

Vive le pouvoir de l’imagination ! 😊 

Premiers jours de 2017

Ça y est, on a passé le cap des fêtes et je vous souhaite de dévorer cette nouvelle année avec gourmandise, rires et amour !

(Je corrige, tu corriges, nous corrigeons...) 

Par ici, elle a démarré sur les chapeaux de roues, avec la poursuite du feuilleton des Incos (je vais bientôt poster à mes lecteurs mon 12ème chapitre), un nouvel épisode de notre JB-BD « Polar City », l’écriture de deux séries premières lectures, la préparation d’ateliers d’écriture (je file d’ailleurs à Marnay juste après ce billet), l’échange de mails avec les bibliothécaires et enseignants que je vais rencontrer avec leurs élèves dans les semaines qui arrivent et un GROS boulot de correction pour un polar qui va sortir le mois prochain.

Attention, devant vos yeux ébaubis, voici en avant première la couv’… Tadaaaaam !

Un petit coup d’œil sur le pitch ?
Suffit de demander :  
Maman avait tout préparé, le sac de voyage, l’itinéraire... Au cas où elle ne reviendrait plus, m’avait-elle dit. J’ai toujours pensé que cela n’arriverait pas. Jusqu’à aujourd’hui. Me voilà seule avec ma petite soeur, toutes les deux sur la route pour retrouver maman, avec un dangereux individu à nos trousses...

Et un bout du chapitre deux :

J’ai commencé cette histoire en 2011, je l’ai terminée l’été 2015… autant vous dire à quel point elle m’est précieuse ! Alors, j’attends février avec fébrilité et j’espère fort qu’elle enchantera ses futurs lecteurs :-)  

Traquées, Alice Jeunesse, février 2017

Livres dans la boucle

C’est le nouveau salon du livre de Besançon, après l’arrêt brutal du salon des Mots Doubs par le conseil général qui avait changé de bord politique (je vous laisse deviner lequel…)

Le maire de Besançon et les libraires, désolés de voir tomber à l’eau ce grand rendez-vous littéraire et culturel de Franche-Comté (31 000 visiteurs quand même, lors de la dernière édition !), ont donc décidé de lancer dans l’urgence une autre manifestation.

C’est comme ça qu’est né « Livres dans la boucle » et, pour un évènement monté en si peu de temps, moi je dis chapeau, quand on voit la liste des auteurs invités et des rendez-vous proposés. Regardez un peu ! 

Je fais donc partie des invités de la Librairie L’intranquille et vous pouvez passer me voir, si le cœur vous en dit aujourd’hui et demain dimanche à partir de 10 h.

(En plus, je suis drôlement contente, ça va être aussi l’occasion de revoir Clémentine Beauvais et Hubert Ben Kemoun, 2 auteurs XXL question talent qui sont aussi 2 personnes adorables !)

(Vous voyez, ça fait deux raisons supplémentaires de venir nous voir !)

Alors, à bientôt :-) 

Gâtée que je suis !

Une toile rien que pour moi. 

Des sardines pour une Sardine, une aquarelle signée Valy. 

Avec un GRAND merci ému ♥ 

Les Incos m’emmènent de l'autre côté de la Méditerranée !

Dans une semaine tout pile, je serai à… Casablanca !
(hiiiiiiiiiii ! hiiiiiiiiiiii !) (désolée, c’est l’émotion !)

Casablanca… Nom mythique, qui jusqu’à présent évoquait seulement pour moi, un long baiser langoureux sur un tarmac (humpf…) Un long baiser entre la sensuelle Ingrid Bergman et le mââââle Humphrey Bogart (les jeunes –ou moins jeunes- qui ne connaissez pas, ruez-vous sur ce film !)

Chaud bouillant, un peu... Pfiou ! 

Bref (fin de la pause cinémato-phrasesquituent-yeuxdebraise), je serai bientôt à Casablanca, grâce à un de mes livres !

Un rêve que j’avais, depuis un moment déjà, et qui va prendre forme pour de vrai ! C’est mon Petit chaperon qui n’était pas rouge et sa super sélection au Prix des Incorruptibles, qui me permet de vivre cette nouvelle aventure littéraire.

Cet incroyable prix s’adresse en effet à toutes les écoles françaises qui souhaitent y participer. Y compris les écoles françaises, situées à l’étranger !
(Youhouuuuuuuuuuuuu !) (désolée, voilà que ça me reprend !)

Vous imaginez donc ma joie quand j’ai été contactée par l’adorable Céline, enseignante à l'école française Louis Massignon de Casablanca, qui me demandait si j’aimerais venir rencontrer ses élèves. J’ai mis à peu près deux secondes un quart à me décider.

« Ma vie à Casablanca », 

un feuilleton que vous pourrez donc suivre, ici même,

à la fin de la semaine prochaine ! 

:-)

Quand je passe à la radio dans les Cévennes…

Mon cœur fait boum !

Pourquoi ? Parce que les Cévennes, c’est la terre des ancêtres de mon amoureux et que j’en suis tombée amoureuse, en même temps que de lui.

Amoureuse de cet endroit magnifique, amoureuse des gens qui y vivent. Au point d’y passer du temps chaque été. Au point aussi d’y avoir situé l’intrigue d’une série de romans (La tribu, écrit avec Anne-Gaëlle Balpe et Séverine Vidal –autre amoureuse des Cévennes !-, illustré par Jess Pauwels, Frimousse éditions).

(Vous le voyez, le petit bout de l’observatoire sur le Mont Aigoual ?) 

Et cette année, grande émotion et grosse grosse joie, je suis invitée aux Eclats de Lire du Vigan !

(Le Vigan, là où nous allons aux marchés nocturnes, écouter des batucadas qui défilent autour de la place, là où a lieu le feu d’artifice du 14 juillet… en gros, LA ville juste à 3 pas et demi de la rivière où nous trempons nos orteils, tous les étés ! ♥)

Mardi matin (pour en revenir au sujet de ce billet !), j’ai passé une demi-heure sur Radio Escapades, en compagnie de Julie Souvant. C’était l'émission Éclats de Lire, pour l'association Kamishibaî !

Si vous avez envie de profiter d’une séance de rattrapage, l’émission sera rediffusée dimanche (demain donc) à 18h, en suivant ce lien.

Pour les plus impatients, le podcast est disponible dès maintenant, en allant faire un tour ici !

Et si vous avez la chance d’être dans les Cévennes, vous pouvez écouter directement Radio Escapades à Ganges et au Vigan sur 103,3 !

Ma « Parole d’écrivain »

"Elle est drôle, attachante, donne une multitude de conseils de lecture, et derrière le ton léger de son interview se cache une femme citoyenne, concernée et impliquée."

Quand Clémentine Pillon-Vallée du site Des livres et vous me présente, je ne suis pas loin de ronronner ;-)

Interview à lire ici :
http://www.deslivresetvous.eu/content/sandrine-beau 


Et puis des élèves de 5ème (de Clémentine Pillon-Vallée, qui a plusieurs casquettes, liées à son amour des livres) ont fait ce beau travail sur mon roman La porte de la salle de bain :

Je suis très touchée, merci ! 

C’est reparti !

Parfois, on bloque. 

Parfois, non...

Enfin, ça se débloque ! 

Et ouuuuuuuuuuuf, ça repart. 

Merci Anne !

Pendant 5 ans, Anne Loyer a lu, aimé et partagé. Des albums, des romans, des BD… tout un tas de livres qui lui ont plu et qu’elle nous a ensuite donné envie de lire à notre tour.

Parmi tous ces livres qu’Anne a lu, il y en a plusieurs à moi. C’était toujours une émotion, mêlée de trac et de joie de découvrir ses mots et sa lecture pertinente sur les nôtres.

Pour tout ça, un très grand merci, Anne !

Aujourd’hui, Enfantipages, le blog des coups de cœur lecture d’Anne s’arrête. Et quand on imagine le rythme et la quantité de travail que ça représente, on ne peut pas lui en vouloir.

Evidemment, ça n’empêche pas d’être triste… (Quand on aime quelque chose, on voudrait que ça dure toujours, pas vrai ?) Mais pour que la tristesse soit remplacée par la joie, sur une idée de Séverine Vidal, aujourd’hui, on est plusieurs (Séverine, Clémentine, Gaël, Ingrid, Véronique, Claire, Leila…) à lui faire une petite surprise.

Aujourd’hui, après avoir été tous à l’honneur si souvent chez Anne, c’est elle qui l’est chez nous !

Anne, tu as parlé de mes livres.

Moi aujourd’hui, je parle d’un de tes livres (tout beau, tout chaud, et d’une couleur qui n’est pas pour me déplaire ^^), qui m’a particulièrement émue : La Belle Rouge. Ce roman paru dans la collection Tertio chez Alice Jeunesse raconte deux histoires qui s’entremêlent.

Celle de Marje et celle de Kader, qui n’auraient jamais dû se croiser. Marje, la soixantaine, est camionneuse et sillonne les routes au volant de son gros bahut « La belle rouge ». Kader, 16 ans, fuit un centre pour mineurs, où il étouffe et se sent incompris.

Un jour, alors que ça ne lui arrive jamais, Marje oublie de fermer sa Belle Rouge. Kader, qui cherche de quoi manger, s’introduit dans le camion et s’endort dans la couchette moelleuse qui lui tendait les bras. Leur première rencontre, quand Marje revient, est électrique.

Mais contre toute attente, ces deux-là vont se retrouver à faire un bout de chemin ensemble. Un chemin, à bord de la Belle Rouge, où petit à petit, eux qui n’avaient à priori rien à se dire, vont s’apprivoiser. Les langues vont se délier et les secrets, depuis si longtemps enfouis, vont être révélés.

La Belle Rouge, c’est l’histoire d’un de ces moments de vie, où une rencontre fait basculer notre petit quotidien un peu trop confortable. Après ce voyage, ces deux-là ne seront plus jamais les mêmes.

La Belle Rouge, c’est aussi la découverte de deux beaux personnages, forts comme on les aime, et qui restent encore présents dans notre mémoire, après la dernière page tournée. La Belle Rouge, c’est enfin une histoire pleine d’humanité, comme Anne Loyer sait si bien les écrire.

Merci Anne !

La Belle Rouge, d’Anne Loyer, chez Alice Jeunesse.

Ma page sur le site du Centre Régional du Livre de Franche-Comté

C'est tout nouveau, tout beau... Juste en cliquant ici... 

Avec mes livres, mes lauriers, ma bobine

et mes moufles (indispensables !) 

pour lutter contre le climat tropical polaire qui m’entoure ;-) 

Les félicitations du Maire de Besançon !

Quand j’ai ouvert la lettre qui m’était adressée à mon retour de vacances, je n’en suis pas revenue.

Suite au Prix Chronos, reçu par mon roman Toute seule dans la nuit, le Maire de ma ville m’a envoyé un petit mot d’encouragement !

 

Et bien moi, ça m’a fait chaud au cœur :-) 

Le dur quotidien de l’auteur jeunesse dans les trains

Partir de chez soi, une heure et demi en avance, parce que la gare TGV est excentrée et qu’il y a des embouteillages.

Arriver avec 45 minutes d’avance, parce que –pour une fois - il n’y a eu pratiquement pas d’embouteillages.

Découvrir que son train a une heure et demi de retard.

 
Se préparer mentalement à 2 heures et quart d’attente.
Respirer. Fort.

Aller échanger ses billets parce qu’on va rater sa correspondance.

Se rendre compte qu’on ne va plus prendre une correspondance, mais deux et qu’on arrivera plus tard que prévu.

Envoyer un message à la personne qui nous accueille pour prévenir et s’excuser.

Patienter en riant jaune devant les affiches de la gare.

(Des sommets… ouais, tu m’étonnes !)

 (Je voudrais bien justement, faire un pas, moi !)

Monter enfin dans son train.

Prendre conscience au bout de quelques minutes, qu’il roule à la vitesse d’un TER.

Entendre le chef de bord annoncer, qu’effectivement le TGV progresse à la vitesse d’une Micheline parce que la région a donné la priorité à un TER… et que le TGV est coincé derrière.

Respirer. Fort.

Regarder anxieusement son billet pour le train suivant.

Réaliser que si la situation ne s’améliore pas, il faudra piquer un sprint pour peut-être réussir à avoir son second train.

Respirer. Fort.

Être la première derrière les portes, avec sa valise et son sac... et le mental d’Usain Bolt.

Piquer un sprint, tout en cherchant frénétiquement les panneaux d’affichage pour savoir quel est le quai.

Repérer le bon quai, zigzaguer entre les gens, les valises et les sacs.

Monter dans le train, juste au moment où les portes se referment.

Haleter. Eponger ce qui dégouline.

Après quelques minutes, entendre le chef de bord du 2ème train annoncer un quart d’heure de retard.

S’exclamer : « Wéééééééééééé ! Géniaaaal ! C’est pile le temps pour avoir ma correspondance suivante ! »

Respirer. Fort.

Se préparer à piquer un 2ème sprint, en espérant que le quai pour la correspondance sera annoncée.

En courant partout dans la gare de Marseille, se dire qu’on est décidément bien naïve.

Apercevoir un TER le long d’un quai, sans rien d’indiqué. Courir quand même derrière les autres voyageurs qui sont devant.

Entendre le contrôleur siffler.

Accélérer (Usain Bolt, merci pour ton mental !)

Demander au contrôleur, en haletant comme un bœuf : « C’est bien le train pour Toulon ? »

Sauter dedans quand les portes se referment.

Essayer de retrouver une respiration normale.

Re-éponger ce qui re-dégouline.

Avoir envie de faire pipi (ça fait maintenant 9 heures qu’on est parti de chez soi) mais trop tard ! Dans un TER, c’est mort : pas de toilettes.

Penser soudain qu’on n’a pas pu composter son billet avec tous ces sprints.

Espérer que le contrôleur sera cool.

Juste après, se visualiser en train de lui mordre sauvagement le bras, s’il sort son carnet d’amendes.

 Respirer. Fort.

Lutter contre le sommeil pour ne pas rater l’arrivée (ben oui, parce que la nuit avant le départ, souvent l’auteur jeunesse dort un peu moins bien).

Entendre l’annonce de sa gare. Ne pas en croire ses oreilles.

Descendre du train et offrir la meilleure image de soi à ceux qui nous accueillent : un peu sur les nerfs… un peu stressée… un peu fatiguée… beaucoup transpirante…

 Miam !

 C’est quand déjà le prochain voyage en train ?

Qu’est-ce que c’est que ce truc ?

 

La bande annonce (version playmobil) de mon nouveau projet ! 

Ça y est, je me suis lancée dans l’écriture d’un nouveau polar,

pour les 9 ans et plus. 

 Y a un autre élément de décor très important,

qui n’apparaît pas au-dessus :

la neige. 

Et ça tombe bien parce qu’il y a tout ce qui faut dans mon jardin ! 

Souhaitez-moi bonne chance ;-) 

Un peu de joie dans ce mois de janvier ?

Moi je vote pour !

Et j’ai de la chance, parce qu’on m’y aide bien !

Marie-Ange Pinelli, d’abord, a invité à la radio Waouh, quel chat ! (Belin Jeunesse). C’était cet après-midi sur France Bleu Besançon, dans son émission "La grande Librairie".

Maman Baobab, ensuite, a eu un coup de cœur pour notre Super-Poilu, à Gwen et moi (chez Frimousse). Regardez ce qu’elle en dit :
« Le récit d'aventure cadencé par Sandrine Beau est ici prétexte à divers jeux et activités à réaliser dès 5 ans. Quand ça fait du bien de se poiler en crayonnant, parfaitement guidé par une illustratrice de talent, il ne faut pas se gêner ! » 

Et enfin, Gilles Bachelet, dont je suis une grande fan, nous a rappelé qu’aujourd’hui, c’était une journée particulière :

© Gilles Bachelet 

Mais bon, évidemment, comme avec toutes les choses qui font du bien, ça vaut le coup de ne pas s’arrêter à UN jour, hein, on est d’accord ?

Alors, pour poursuivre dans la joie ce mois de janvier 2015,

sortez vos cahiers de conjugaison : 

Je câline 

Tu câlines 

Il câline 

Nous câlinons 

Vous câlinez 

Ils… 

♥ 

Montreuil, le off

Montreuil, c’est des chouettes rendez-vous, des projets qui pointent le bout de leur nez ou qui se concrétisent, des retrouvailles joyeuses, des rencontres pas prévues qui vous collent un sourire XXL… Mais ça, tout le monde vous l’a déjà raconté.

Alors, aujourd’hui, on change et on découvre le off !

Parce que Montreuil, c’est aussi autre chose, pour les non-parisiens. Pour résumer : quand on vient d’ailleurs, c’est toute une organisation. Une organisation, qui fait un peu colo de vacances.

Montreuil, le off, c’est tout de suite pour vous en images (et en exclusivité mondiale) :

 Ça commence le jeudi soir, par une colocation pénible ! 

 Vraiment pénible… 

 Ensuite, on prend ses marques

 

Certaine (belge, pour ne pas les dénoncer !) plus que les autres !!! 

Et puis, même après 52 fous rires, arrive ce qui doit arriver : 

une légère faiblesse s'installe dans les troupes.

Certaine (niçoise, pour ne pas les dénoncer !) plus que les autres !!! 

 Chuuuut !, on vous dit ! 

Hop, dès le matin, lève-toi gaiement ! 

 Hop dès le soir, repose tes pieds harassés ! 

 Et blablabli, et blablabla...

Et rignochage...

Et mails à nos petits...

 Et lecture des chouettes livres de nos copines…
Rien que du classique "colo pénible", quoi !

(On a eu chaud, quand même !)

Et puis, voilà, c’est déjà dimanche. 

Comme à chaque fois, on n’a pas vu le temps passer.

 Allez, un dernier hôtel-selfie avant de se quitter. 

Gwen, Hélène, c’était trop bien… 

Alors, j’ai juste une question : 

c’est quand notre prochaine colo ?