Gatsby, Le Magnifique ou L´éternel Adolescent du Grand "American Dream".
Le roman de Fitzgerald, Scott adapté une fois de plus au cinéma. Cette fois, Leonardi Di Caprio et la jeune et douce Carey Sullivan. À Cannes, les voilà.... Ils représentent la follie des années 20 qui est un peu la notre.
Comment ne pas se laisser ausi séduire par cette "Magifique" histoire? Plus qu´une Publicité de Champagne!!
Merveilleuse, éblouissante traduction visuelle d´un livre-roman qui s´inspire sur "Le Grand Meaulnes" d´Alain Fournier.
À la recherche du temps perdu, de l´Amour, du Premier Amour Perdû, Retrouvé....Comme Scott Fitzegerald, qui a construit le personnage de Daisy inspiré par son premier et grand amour de jeunesse, d´adolescence: il y avait toujours Guinevere avant Zelda, son épouse.
"Nous ne sommes que comme des bâteaux toujours repoussés en arrière par notre passé".
"Gatsby croyait à la lumière verte de l´espoir"/"Gatsby sí creía en aquella luz de color verdosa, ese futuro de orgías que al pasar de los años va retrocediendo ante nosotros" (la traducción es mía del texto inglés).
En espagnol: El Gran Gatsby, en todas las traducciones publicadas. Prefiero el título en francés que se inspira de la novela "Le Grand Meaulnes" que se tradujo al inglés como "The Magnificent Meaulnes".
Les critiques n´ont pas été très favorables. Mais, pour moi le film, sans comparaison avec les autres versions (sûrement celle de Robert Redford et Mia Farrow que nous adorons, sans doute forme part aussi de nos premiers amours et scéances de cinéma adolescent), a la lecture post-moderne que le roman méritait: la musique, les images visuelles, le rhythme du jazz, le luxe, le glamour, l´art visuel et numérique du design. Le nouveau cinéma qui nous attend.
Une histoire toujours unique et terrible: la noblesse d´un Magnifique et Éternel Adolescent qui n´avançait que pour cet Amour de Jeunesse première: un fantôme qui nous poursuit toute la vie. Mais un e lumière verte laquelle une fois retrouvée ne peut plus s´illuminer à l´infini. The American Dream qui s´épanouit...
miércoles, 29 de mayo de 2013
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