Un beau Noël! Toujours ceux que nous aimons avec nous même et malgré si ils n´y sont pas ou bien si ils nous ont laissé. À Paris nous y sommes toujours fidèlement, encore plus à Noël même: une ville qui se prête aussi... Je regardais ce film magnifique de Rivette il ya quelques jours sur la désillusion de la jeunesse à la dérive et je suis tombée sur Le MOMA qui célébrait aussi cet été un cine forum sur le cinéma avant garde français et la Nouvelle Vague. Et voilà!!
Mais moi je proclame: "Paris m´appartient!"
Joyeux Noël si vous n´avez pas eu l´occasion de me visiter sur place...
http://www.moma.org/explore/inside_out/2013/06/11/jacques-rivettes-paris-belongs-to-us/
miércoles, 25 de diciembre de 2013
martes, 24 de diciembre de 2013
Noël, Années soixantes à Paris.
J´ai toujours imaginé les Noëls de mes parents un peu comme ça! C´est bien pour celà que j´aime sans doute ce beau vidéo qui résume ces moments doux (même si doux qu´ils ne sont pas vrais...) qui sont guère bien difficiles de se répéter de nos jours.Mais il coûte si peu de rêver: je vous le laisse pour que vous le regardiez en cas que vous veniez sur mon blog! Joyeux Noël, Alain et surtout Romy...dans tes cieux, dans tes yeux, ou n´importe quel soit ton beau prénom, joyeux noël!
http://www.youtube.com/watch?v=q8Tl9MyNAuI
J´ai toujours imaginé les Noëls de mes parents un peu comme ça! C´est bien pour celà que j´aime sans doute ce beau vidéo qui résume ces moments doux (même si doux qu´ils ne sont pas vrais...) qui sont guère bien difficiles de se répéter de nos jours.Mais il coûte si peu de rêver: je vous le laisse pour que vous le regardiez en cas que vous veniez sur mon blog! Joyeux Noël, Alain et surtout Romy...dans tes cieux, dans tes yeux, ou n´importe quel soit ton beau prénom, joyeux noël!
http://www.youtube.com/watch?v=q8Tl9MyNAuI
domingo, 22 de diciembre de 2013
Paris à Londres: Southbank Center
Il y a quelque temps que je ne viens pas sur mon blog... Pourquoi pas aller à Londres, qui toujours s´est sentie si attirée par Paris? Voilà ce que le South Bank Center organisait.
http://therestisnoise.southbankcentre.co.uk/explore/paris/74fbMZizOh0#1
Magnifiques expos et activités sur le Paris Fin de Siècle et le Modernisme et L´Avant Garde.
http://therestisnoise.southbankcentre.co.uk/explore/paris/74fbMZizOh0#1
Magnifiques expos et activités sur le Paris Fin de Siècle et le Modernisme et L´Avant Garde.
jueves, 15 de agosto de 2013
Still Life in Seville et Henri Matisse/Naturaleza Muerta en Sevilla.
Le peintre Henri Matisse a voyagé de Paris à Séville en 1911 où il realisa son oeuvre "Still Life in Seville I et II" et "Joaquine". Il peignait dans sa chambre d´hôtel (certains disent que dans une "pension" (L´hôtel Inglaterra qui existe toujours à la Plaza Nueva) avec le peintre espagnol Francisco Iturrimo. Il y passait donc quelques mois avant de partir pour Grenade où il s´inspirait de l´Art Musulman avant de continuer ses voyages au Maroc. L´Andalousie a toujours été une inspiration riche pour les artistes: ses couleurs et la fusion des cultures diverses. Mais à la fois, aujourdh´hui il nous semble que la ville dort de tristesse et de faute d´imagination renouvelée: de là, la regarder comme l´aurait fait Matisse: un coin d´une belle chambre de couleurs "fauves" qui de leurs silences et présences, laissent entrevoir la sagesse et la mort des objets qui nous entourent et accompagnent, plus vivants même que les gens... Séville est de nos jours a "still life" (una naturaleza muerta) qui aurait besoin de cette vision multicolore que le peintre nous laissa comme univers privé: son interprétation de la fusion arabe et ethnique de la ville, avec ses odalisques plus tard et ses tissus...voluptueux comme les corps des femmes qu´il reflétait et qu´il aimait sans doute.
http://www.henri-matisse.net/paintings/bia.html
Le peintre Henri Matisse a voyagé de Paris à Séville en 1911 où il realisa son oeuvre "Still Life in Seville I et II" et "Joaquine". Il peignait dans sa chambre d´hôtel (certains disent que dans une "pension" (L´hôtel Inglaterra qui existe toujours à la Plaza Nueva) avec le peintre espagnol Francisco Iturrimo. Il y passait donc quelques mois avant de partir pour Grenade où il s´inspirait de l´Art Musulman avant de continuer ses voyages au Maroc. L´Andalousie a toujours été une inspiration riche pour les artistes: ses couleurs et la fusion des cultures diverses. Mais à la fois, aujourdh´hui il nous semble que la ville dort de tristesse et de faute d´imagination renouvelée: de là, la regarder comme l´aurait fait Matisse: un coin d´une belle chambre de couleurs "fauves" qui de leurs silences et présences, laissent entrevoir la sagesse et la mort des objets qui nous entourent et accompagnent, plus vivants même que les gens... Séville est de nos jours a "still life" (una naturaleza muerta) qui aurait besoin de cette vision multicolore que le peintre nous laissa comme univers privé: son interprétation de la fusion arabe et ethnique de la ville, avec ses odalisques plus tard et ses tissus...voluptueux comme les corps des femmes qu´il reflétait et qu´il aimait sans doute.
http://www.henri-matisse.net/paintings/bia.html
miércoles, 29 de mayo de 2013
Gatsby, Le Magnifique ou L´Eternel Adolescent.
Gatsby, Le Magnifique ou L´éternel Adolescent du Grand "American Dream".
Le roman de Fitzgerald, Scott adapté une fois de plus au cinéma. Cette fois, Leonardi Di Caprio et la jeune et douce Carey Sullivan. À Cannes, les voilà.... Ils représentent la follie des années 20 qui est un peu la notre.
Comment ne pas se laisser ausi séduire par cette "Magifique" histoire? Plus qu´une Publicité de Champagne!!
Merveilleuse, éblouissante traduction visuelle d´un livre-roman qui s´inspire sur "Le Grand Meaulnes" d´Alain Fournier.
À la recherche du temps perdu, de l´Amour, du Premier Amour Perdû, Retrouvé....Comme Scott Fitzegerald, qui a construit le personnage de Daisy inspiré par son premier et grand amour de jeunesse, d´adolescence: il y avait toujours Guinevere avant Zelda, son épouse.
"Nous ne sommes que comme des bâteaux toujours repoussés en arrière par notre passé".
"Gatsby croyait à la lumière verte de l´espoir"/"Gatsby sí creía en aquella luz de color verdosa, ese futuro de orgías que al pasar de los años va retrocediendo ante nosotros" (la traducción es mía del texto inglés).
En espagnol: El Gran Gatsby, en todas las traducciones publicadas. Prefiero el título en francés que se inspira de la novela "Le Grand Meaulnes" que se tradujo al inglés como "The Magnificent Meaulnes".
Les critiques n´ont pas été très favorables. Mais, pour moi le film, sans comparaison avec les autres versions (sûrement celle de Robert Redford et Mia Farrow que nous adorons, sans doute forme part aussi de nos premiers amours et scéances de cinéma adolescent), a la lecture post-moderne que le roman méritait: la musique, les images visuelles, le rhythme du jazz, le luxe, le glamour, l´art visuel et numérique du design. Le nouveau cinéma qui nous attend.
Une histoire toujours unique et terrible: la noblesse d´un Magnifique et Éternel Adolescent qui n´avançait que pour cet Amour de Jeunesse première: un fantôme qui nous poursuit toute la vie. Mais un e lumière verte laquelle une fois retrouvée ne peut plus s´illuminer à l´infini. The American Dream qui s´épanouit...
Le roman de Fitzgerald, Scott adapté une fois de plus au cinéma. Cette fois, Leonardi Di Caprio et la jeune et douce Carey Sullivan. À Cannes, les voilà.... Ils représentent la follie des années 20 qui est un peu la notre.
Comment ne pas se laisser ausi séduire par cette "Magifique" histoire? Plus qu´une Publicité de Champagne!!
Merveilleuse, éblouissante traduction visuelle d´un livre-roman qui s´inspire sur "Le Grand Meaulnes" d´Alain Fournier.
À la recherche du temps perdu, de l´Amour, du Premier Amour Perdû, Retrouvé....Comme Scott Fitzegerald, qui a construit le personnage de Daisy inspiré par son premier et grand amour de jeunesse, d´adolescence: il y avait toujours Guinevere avant Zelda, son épouse.
"Nous ne sommes que comme des bâteaux toujours repoussés en arrière par notre passé".
"Gatsby croyait à la lumière verte de l´espoir"/"Gatsby sí creía en aquella luz de color verdosa, ese futuro de orgías que al pasar de los años va retrocediendo ante nosotros" (la traducción es mía del texto inglés).
En espagnol: El Gran Gatsby, en todas las traducciones publicadas. Prefiero el título en francés que se inspira de la novela "Le Grand Meaulnes" que se tradujo al inglés como "The Magnificent Meaulnes".
Les critiques n´ont pas été très favorables. Mais, pour moi le film, sans comparaison avec les autres versions (sûrement celle de Robert Redford et Mia Farrow que nous adorons, sans doute forme part aussi de nos premiers amours et scéances de cinéma adolescent), a la lecture post-moderne que le roman méritait: la musique, les images visuelles, le rhythme du jazz, le luxe, le glamour, l´art visuel et numérique du design. Le nouveau cinéma qui nous attend.
Une histoire toujours unique et terrible: la noblesse d´un Magnifique et Éternel Adolescent qui n´avançait que pour cet Amour de Jeunesse première: un fantôme qui nous poursuit toute la vie. Mais un e lumière verte laquelle une fois retrouvée ne peut plus s´illuminer à l´infini. The American Dream qui s´épanouit...
sábado, 11 de mayo de 2013
Roméo et Juliette: La Tragédie de Danser L´amour à Séville. Compañía Nacional de Danza.
Nous voilà au Sud pour contempler une fois de plus la Tragédie des Amants: les plus beaux et jeunes amants du Monde qui affectés par les topiques attribués de tous côtés ne se résistent pas à nouveau à nous offrir cette fois, une plus que moderne vision d´un couple qui n´est pas vraiment un couple mais, plutôt un SEUL CORPS; UNE SEULE ÂME; UN SEUL ÊTRE. De là, l´impossibilité de fuir d´un DESTIN qui parait capricieux, mais qui est vraiemnt choisi par eux- mêmes. Ils ne dansent pas comme des victimes du Hasard, ou de la Fortune ou de la Mort Spectrale qui les poursuit et guette dès leur première rencontre au Bal de Masques (qui nous rapelle l´Aesthétique du film de Stanley Kubrick, "eyes Wide Shut" dans la choréographie de Goyo Montero de Ballet National d´Espagne). Dès le début le Spectre Eternel les guette comme chez Shakespeare: ils ont eux-mêmes choisi leur destin, par propre volonté carthésienne, en niant leur familles, leur prénoms, la société. Leur courage est dans leur éblouissante jeunesse à laquelle ils s´accrochent avec désespération.
Cette fois, Juliette a choisi librement son propre Destin: Danser éternelle avec son "Soi.- Même" qu´elle épousera pour un Toujours Uni`a son corps si fragile, apparemment. Son "AUTRE", son double, sa soeur jumelle: Roméo. Libérée des tutus..et des impositions des Prénoms, des Noms, de la Haine des familles, des chaines et conventions sociales, elle apparait telle qu´elle est: nue, sans maquillages, sans faux costumes. La Tragédie de Shakespeare en traduction içi du Corps et accompagnée de la Musique de Prokoviev, au Ballet de Goyo Montero. Nous souhaitons de nombreux succès à cette extraordinaire Compagnie Nationale.
Aimera ce soir une ville comme Séville cette si Moderne Tragédie au Théatre de la Maestranza? Écrite il y a des siècles pour exprimer la faiblesse de l´Artifice des Conventions comme le Language de la Parole qui s´erase, quand les Amants s´aiment déjà même quand ils ne connaissent ni leur Noms...à travers leur Premier Bal qui permet que leurs mains se touchent, que leur lèvres se touchent, que leurs corps se frôlent...et se touchent à nouveau, ils franchissent les barrières en transformant leur propre corps. Rien ne s´oppose à la Force du Corps qui s´impose içi même avec la violence des jeunes (la mort de Mercutio), à travers le language des gestes, des pas, des regards, des frôlements timides et hasardés. La Danse exprime plus que les autres Arts la force de L´amour eternel et sublime à travers notre Corps: seul espace tangible et Réel de L´Amour. Bravo!! pour tous ces danseurs et danseuses qui forment la Compagnie dir. par José Carlos Martínes. Impécable coréographie, moderne sur un ballet classique, selon GOYO MONTERO.
Carlos Martines est actuellement une Étoile de L´Opéra de Paris (palais Garnier). Une fois de plus, les dialogues entre le Nord et L´Espagne continuent...
Cette fois, Juliette a choisi librement son propre Destin: Danser éternelle avec son "Soi.- Même" qu´elle épousera pour un Toujours Uni`a son corps si fragile, apparemment. Son "AUTRE", son double, sa soeur jumelle: Roméo. Libérée des tutus..et des impositions des Prénoms, des Noms, de la Haine des familles, des chaines et conventions sociales, elle apparait telle qu´elle est: nue, sans maquillages, sans faux costumes. La Tragédie de Shakespeare en traduction içi du Corps et accompagnée de la Musique de Prokoviev, au Ballet de Goyo Montero. Nous souhaitons de nombreux succès à cette extraordinaire Compagnie Nationale.
Aimera ce soir une ville comme Séville cette si Moderne Tragédie au Théatre de la Maestranza? Écrite il y a des siècles pour exprimer la faiblesse de l´Artifice des Conventions comme le Language de la Parole qui s´erase, quand les Amants s´aiment déjà même quand ils ne connaissent ni leur Noms...à travers leur Premier Bal qui permet que leurs mains se touchent, que leur lèvres se touchent, que leurs corps se frôlent...et se touchent à nouveau, ils franchissent les barrières en transformant leur propre corps. Rien ne s´oppose à la Force du Corps qui s´impose içi même avec la violence des jeunes (la mort de Mercutio), à travers le language des gestes, des pas, des regards, des frôlements timides et hasardés. La Danse exprime plus que les autres Arts la force de L´amour eternel et sublime à travers notre Corps: seul espace tangible et Réel de L´Amour. Bravo!! pour tous ces danseurs et danseuses qui forment la Compagnie dir. par José Carlos Martínes. Impécable coréographie, moderne sur un ballet classique, selon GOYO MONTERO.
Carlos Martines est actuellement une Étoile de L´Opéra de Paris (palais Garnier). Une fois de plus, les dialogues entre le Nord et L´Espagne continuent...
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