Volutella buxi Volutella buxi est une maladie particulièrement problématique en France puisqu'elle décime les buis par dépérissement. Les plantes meurent à petit feu, virant du vert au brun sans que les feuilles ne tombent. Elles deviennent comme pétrifiées par ce champignon. Qu'est-ce ...
BEAU DIMANCHE à Vous toutes et tous avec cette fleur du Palais Royal offerte par ses jardiniers.
... le sapin placé traditionellement au balcon du Palais Royal à Oslo a été illuminé hier, jour du solstice d'hiver. Noël se prépare également dans la Famille Royale de Norvège. Crédit photo: FB des jardiniers du Palais Cliquer sur la photo pour l'agrandir
Eté 2016 pour le jubilé d'argent des Souverains le parc du Palais Royal s'enrichit de clichés historiques. Mises en perspective d'événements sur les lieux où ils se sont déroulés. L'hiver le Prince Olav faisait du patin à glace sur un d...
Un bonus à notre promenade du samedi dans le comté Sogn og Fjordane ... ... le parc du palais royal a revêtu ses habits d'or une visite en vidéo mise en ligne par les jardiniers du Palais ICI Un peu plus d'une minute de pure poésie !
De toute son attention, sous sa parure de mousse, au lierre le sculptant à sa manière sous le temps, en douce, le petit pont de pierre raconte à la rivière sous une candeur d'hiver, tous les potins secrets aux alentours, d'une manière sans détour,de toutes ces histoires d'amour, peuplan...
Une chaise repliée ne craignant pas l'orage, reposait sur la souche pourtant hier, sans un message; quand soudain, mon regard se fige, devant ce dessin talentueux façonné par quelle ivresse de vivre? Serait une attention en vue d'une intention, à la page de mon imagination de coeur? La nature...
Le vieux chapeau en disait long sur ses couleurs martelant de sa joie, son bonheur. Affichant hors et fort le ton de ses heures au décor porteur de sa bonne humeur, et qu'importe le dilemme, il hurlait de sa paille pourtant vieille _ je survivrai à la plaie de votre absence, car un peu de vous r...
Tu joues avec la vie, tu joues avec le feu, et quand tout se finit, tu pleures de tout, tes yeux. Elle était si jolie, elle t'aimait de son mieux, elle te disait toujours, Oh! Fleur mon amie, console bien des jours de ces hommes en folie, de ces vents qui dispersent sous tous ces temps maudits, d...
Un champ sans son blé, une vieille grange ébouriffée, par des ronces acérées qui au-delà des lunes protégeaient son entrée. Un soupçon de fortune, un éclat de beauté, un pêcher en fleurs d'une aubade de rose, attirait l'attention pour redorer son heure, se souvenant sûrement de quelq...
Sur la route seul, il attend, comme perdu d'un cheminement difficile, me suivant au gré de ma promenade, cherchant désespérément quelqu'un pour lui tendre la main. Partout, le silence s'imprègne, son allure près de la mienne, il marche tranquille sans se laisser toucher. Arrivée au terme de m...
L'hiver frappe à la vitre, tranquillement dormant sur mon tapis, les bûches dans la petite brouette attendent la flambée du soir qui commence à tomber. Lentement, je ronronne personne pour me déranger au bureau en conseil, sans des doigts pour taper, ces lignes qui martèlent les touches du c...
Ce désir nous invoque d'une drôle de note. Prendre, comprendre, donner, partir ou bien lister, sur la planche d'une vie sifflant sous les embruns ses multiples harmonies, de refrains. Et puis! s'envoler au-delà d'un tout, pour ne plus rester l'otage de tous ces beaux clivages, justes de passa...
Regarde cet espace d'aimer, si vert parfois, si fané à d'autres instants, selon l'humeur du moment. Ne trouves tu pas une ressemblance à nos vies? Avec ces hauts, ces bas, et ces petits noeuds ou gros plis. Ne vois tu pas l'affection briller pour ta peau, aux multitudes d'un regard bien chaud. P...
Aux mûres enlacées dans ce couplet de ronces épineuses, toujours prêtes à garder des mains indiscrètes qui viennent au paradis, cueillir leur tendre fruit. Et le temps passe aux amitiés trouvées sur l'espace d'un jour, venant nous raconter un peu de nos vies enjolivées sous le regard des ch...
Je t'écris une ligne, toi qui lentement te dessine, au parcours fragile du jardin si docile d'une application de mes mains, pour un peu, qu'aux cimes des cieux, le rêve s'attache, à nous deux. Pardonne moi cet oubli d'herbes folles galopant sur ton sol, mais parfois elles divaguent plus vites, d'...
Dans cette aurore qui se lève, sous une lueur laissant entrer des canaux de lumière au travers du rideau qui dessine des ombres chinoises, que l'on devine; et je pense à toux ceux qui un jour s'en vont, au-delà de nos yeux, alors! que l'on pensait heureux cette réalisation de leurs voeux. Po...
Le doute détruit à petit feu, l'âme comme un jeu, ne laisse personne dans cette détresse intérieure, donne lui, les mots de la vérité pour guérir, si, possible, ses pensées. Même si cela paraît difficile, si tu es sûr(e) de ton choix, avant que tout ne soit différent par ces sentiments ...
Au marché dans la chaleur de l'été, une dame toute de blanche vêtue, m'a photographiée. _ Quel intérêt? Avais-je, d'attirer son attention, toute particulière, dans ce drôle de manège de gens si joliment apprêtés de leurs atours brillant, d'une vie de clarté, comme chantant. Surprise!...
Voici mon petit jardin! J'y ai semé des graines. Je les recouvre de terre noire. Voici la bonne et douce pluie! Le soleil brille dans le ciel! Et voici une, deux, trois, quatre, cinq petites fleurs...
Récolter d‘une offense, le punissant encore de sa sortie de route, confus de tant de mille doutes s'étant abattus un jour sur son statut d'être, menaçant les siens, de chagrin, ils lâchait des aveux, en tuant son coeur avec l'amour qu'ils possédaient si grand, d'un effet d'enfant, se flagell...
Et par de là les montagnes se dessinent les cieux, les nuages pompeux qui défilent par deux s'extasient de leur mieux pour paraître heureux, courant sur la prairie comme une maladie, laissant juste entrevoir un signe chaleureux, d'une guérison bizarre d'une franche apparition, revenue de caval...
A toi qui ne dit mot et qui endure sans jamais ne pouvoir pleurer ou parler de ton sacrifice de ton dilemme office, je donne ces mots. De ta douleur d'être à part entière de ce statut statutaire d'être vivant, tu consommes par fois outre manière tant de désagrément qu'il te faut bon gré,...
Fleurs coupées sous l'opale d'un ciel en bataille, de nuages éphémères qui trainent leur tristesse à la fraiche venue d'un automne qui lèche d'un appétit étrange, tout, de son roux, orange. En dessous, poussent sous ces joues de mouvance, qui doucement se balancent, de leur charme de pla...