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AU FIL DE MES LECTURES ET DE MES RÉFLEXIONS... CE QUE NOUS VOULONS OU NE VOULONS PAS "SA-VOIR"... !
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Date de création : 08.07.2020
Dernière mise à jour :
06.11.2020
32 articles
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"Parmi les gens qui avaient moins de 80 ans, plus de la moitié avait moins d'un an d'espérance de vie..."
"... Je ne vais pas changer votre cervelle, elle est comme elle est..."
" Vous faites semblant d'être binaire, ou vous l'êtes, je ne sais pas..."
Publié dans le journal de Monteux du mois de novembre 2020...
Merci à Simon Berthe de ses recherches et de ses analyses et réflexions pertinentes...
Tribune de l'opposition "Une nouvelle majorité pour Monteux" - article paru dans le journal de Monteux de novembre 2020...
Et voilà une belle idée de l'Europe... !
Malheureusement "avec la construction économique et politique qui nous a été imposée, au mépris des résultats d'un référendum populaire qui s'était déroulé en 2005 et dont chacun doit se souvenir...
Cette Europe dont le modèle nous a été imposé, je ne la cautionne pas (une opinion qui n'engage que moi, bien sûr, et qui peut faire débat). "
Texte de E. Croisile.
De Jean-Claude OBER pour Monteux-Avenir
Une opposition active au conseil municipal
29 élus étaient présent, 4 pourvoir donné, le maire Christian Gros a ouvert la séance du conseil municipal ce mardi 15 septembre à 18h00.
Pour l’approbation du procès-verbal de la séance du 21 juillet 2020-
PATRICE, demande à ajouter la mention « les documents d’information des élus nécessaires pour l'étude préalable au vote du budget n'ont pas été envoyés à P. de CAMARET dans les délais légaux»
D'entrée la première question (très débattue) portait sur le règlement intérieur du conseil municipal fixant, entre autres, les règles relatives aux questions orales des conseillers et les modalités d'expression de l'opposition dans le bulletin municipal. Le projet de ce règlement a été discuté durant plus d'une heure.
Patrice de Camaret au nom de Monteux Avenir a indiqué que ce texte n'est pas acceptable car non conforme au Code général des collectivités territoriales, allant à l'encontre des droits des élus et restreignant la libre information des citoyens et conclu qu'il saisirait sur ce sujet le tribunal administratif en cas de non modification du projet. Le maire lui a répondu que cela était << un procès d'intention injustifié>>.
Dans le règlement intérieur votre intention et de créer des entraves à votre Opposition. Un exemple vous demandez la tribune le 10 du mois pour le mois suivant (demander la tribune 20 jours à l’ avance n’est pas acceptable).
Patrice demande au maire de changer d'état d'esprit.
Le règlement intérieur a été voté par 26 voix pour et 7 contre.
Par la suite une modification des statuts de la communauté de communes a été votée. Concernant sa compétence sur l'aménagement de l'espace communautaire, et sur les mobilités intégrant les enjeux environnementaux. L'objectif est de favoriser les infrastructures qui réduiront la dépendance vis-à-vis de la voiture.
Dans le cadre du soutien à l'économie locale, et des mesures destinées à réduire les conséquences du confinement, il a été proposé d'annuler certains loyers et redevances de commerçants et artisans pour un montant de 17 786€. Proposition acceptée par 31 voix et 2 abstentions.
Suite à la visite la DRAC (Direction Régionale des Affaires Culturelles) il est proposé de solliciter une subvention en vue d'établir un diagnostic concernant le Portail neuf, l'église, et la tour Clémentine. Nous approuvons cette initiative, mais Patrice de CAMARET regrette en notre nom le retard pris dans ce domaine, après plus de 30 ans de municipalité ‘’GROS’’.
Annie Garnéro, adjointe à la culture lors du précédent mandat, lui a répondu que "de nombreux bâtiments ont été restaurés.
Patrice a dans son intervention précisé que chacun en prenant le temps de regarder le triste état du patrimoine de Monteux et de le compare à celui des communes alentours, peut se faire facilement une idée de la hauteur de l'effort consenti par la mairie sur l'entretien de notre patrimoine pendant les 30 dernières années.
La proposition a été votée par 31 voix et 2 abstentions.
La séance s'est achevée par les questions orales posées par Jean-Claude OBER
Concernant les questions posées par les Montiliens à la municipalité et qui restaient sans réponse. Michel Mus a répondu que toutes ces questions seraient traitées et a affirmé que toutes ont une réponse
-Ceux qui sont dans l'attente d'une réponse depuis un certain temps peuvent être rassurés et juger de la valeur des intentions de l'équipe en place pour prendre en compte le sujet.
".............................................................................................................
Crois-tu que la vérité puisse être uniquement certaines illusions ? Ce sont des rêves parce qu'elles ne sont pas vraies. Leur égal manque de vérité, devient la base du miracle, ce qui signifie que tu as compris que les rêves sont des rêves ; et que l'évasion dépend non point du rêve mais seulement du réveil. Se pourrait-il que certains rêves soient gardés, et que d'autres aient un réveil ? Tu ne choisis pas quels rêves garder, mais seulement si tu veux vivre dans les rêves ou t'en réveiller. Ainsi le miracle ne choisit pas certains rêves à laisser intouchés par sa bienfaisance. Tu ne peux pas faire certains rêves et te réveiller des autres, car tu es soit endormi, soit éveillé. Et rêver ne va qu'avec l'un des deux.
Les rêves que tu penses aimer te retiennent autant que ceux dans lesquels la peur est vue. Car chaque rêve n'est qu'un rêve de peur, peu importe la forme qu'il semble prendre. La peur est vue au-dedans, au-dehors ou les deux. Ou elle peut être déguisée sous une forme plaisante. Mais jamais elle n'est absente du rêve, car la peur est le matériau des rêves, dont ils sont tous faits. Leur forme peut changer, mais ils ne peuvent pas être faits d'autre chose. Le miracle serait certes traître s'il permettait que tu sois encore apeuré parce que tu n'as pas reconnu la peur. Alors tu ne serais pas désireux de te réveiller, pour quoi le miracle pave la voie.
Formulé le plus simplement, il peut être dit que l'attaque est une réponse à l'inaccomplissement d'une fonction comme tu perçois la fonction. Elle peut être en toi ou en quelqu'un d'autre, mais là où elle est perçue, c'est là qu'elle sera attaquée. La dépression ou l'assaut doit être le thème de chaque rêve, car ils sont faits de peur. Le mince déguisement de plaisir et de joie dont ils peuvent être emballés, ne voile que légèrement la lourde masse de peur qui est leur noyau. Et c'est elle que le miracle perçoit, et point l'emballage dans lequel elle est enveloppée.
...................................................................................................................."
Extrait de "Un Cours En Miracles".
PROPOSITION DE LOI
visant à faciliter l’expulsion des squatteurs des domiciles
des particuliers,
(Renvoyée à la commission des affaires économiques, à défaut de constitution d’une commission spéciale
dans les délais prévus par les articles 30 et 31 du Règlement.)
présentée par
député.
– 1 –
EXPOSÉ DES MOTIFS
Mesdames, Messieurs,
L’augmentation du nombre d’occupations illicites de domiciles ne peut laisser indifférent le législateur. Les exemples se multiplient de personnes qui, de retour de vacances, d’un déplacement professionnel d’un séjour à l’hôpital, ou simplement parce qu’elles possèdent une résidence secondaire, ne peuvent plus rentrer chez elles, parce que des squatteurs ont changé les serrures et s’y sont installés.
L’article 38 de la loi n° 2007‑290 du 5 mars 2007 instituant un Droit Au Logement Opposable et portant diverses mesures en faveur de la cohésion sociale, dispose « en cas d’introduction et de maintien dans le domicile d’autrui à l’aide de manœuvres, menaces, voie de fait ou de contrainte, le propriétaire ou le locataire du logement occupé peut demander au Préfet de mettre en demeure l’occupant de quitter les lieux après avoir déposé plainte, apporté la preuve que le logement constitue son domicile et fait constater l’opposition illicite par un Officier de Police Judiciaire ».
En pratique, cette possibilité, pour un propriétaire spolié, d’obtenir une expulsion accélérée par voie de décision administrative est extrêmement rare. Pourquoi ? Parce qu’elle n’est possible que s’il y a flagrant délit, lequel, passé un délai de 48 heures, ne peut plus être caractérisé.
Le propriétaire doit alors se tourner vers la justice et engager des démarches fastidieuses et coûteuses, dont la conclusion est d’autant plus aléatoire lorsqu’il s’agit de familles avec enfants en bas âge ou d’occupants âgés ou handicapés.
On comprend ainsi que, sous le double effet de la rareté et de la cherté du logement d’une part, et des difficultés à obtenir une décision judiciaire d’expulsion d’autre part, le phénomène des maisons et appartements squattés s’amplifie de façon préoccupante.
La proposition de loi qui vous est soumise vise à faciliter les expulsions d’occupants illégaux, en allongeant de 48 heures à 7 jours francs la durée pendant laquelle le flagrant délit d’occupation sans titre d’un logement peut être constaté, et l’expulsion par voie administrative, exécutée.
Elle vise ensuite, en son article 2, à permettre au maire qui aura cherché par tous moyens à contacter le propriétaire ou le locataire du logement occupé illégalement, dans le cadre de l’application de l’article 38 de la loi Dalo du 5 mars 2007, de demander au Préfet de mettre en demeure l’occupant de quitter les lieux.
Tel est l’objet de la proposition de loi que je vous demande d’adopter.
PROPOSITION DE LOI
Article 1er
Après le premier alinéa de l’article 53 du code de procédure pénale, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
« Dans le cas de l’infraction visée à l’article 226‑4 du code pénal, le délit flagrant peut être constaté dans le délai de 7 jours francs suivant le début de la commission de l’infraction. »
Article 2
Après le premier alinéa de l’article 38 de la loi n° 2007‑290 du 5 mars 2007 instituant le droit au logement opposable et portant diverses mesures en faveur de la cohésion sociale, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
« Le cas échéant, lorsque le maire a connaissance de l’occupation du domicile d’un de ses administrés ou de l’occupation d’un logement vacant, dans les conditions déterminées au premier alinéa, il peut, après avoir cherché par tous moyens à contacter le propriétaire ou le locataire du logement occupé, demander au préfet de mettre ne demeure l’occupant de quitter les lieux ».
Extrait de « Résistance » de Nicolas Dupont-Aignan - 2019
Le boomerang du référendum bafoué de 2005
"Pour comprendre l’élection d’Emmanuel Macron, il faut revenir au référendum de 2005, qui a traumatisé l’oligarchie au pouvoir depuis vingt ans. Pour la première fois, ce que je nomme – comme Jacques Chirac dans son fameux discours de Cochin en 1976 – le « parti de l’étranger » a découvert que, malgré la victoire sur le fil de Maastricht en 1992, nous voulions demeurer les maîtres de notre destin. Treize ans après, le NON au référendum sur la constitution européenne n’exprimait pas le refus de l’Europe mais le rejet définitif de la mauvaise Union européenne engendrée par l’Acte unique de 1986. Une Union européenne désincarnée, ouverte aux quatre vents de la mondialisation, qui renie tous les principes qui l’ont façonnée durant des siècles et qui détruit méticuleusement notre structure d’Etat-nation républicain et social.
En 2007, avant son élection, j’avais supplié Nicolas Sarkozy d’entendre ce vote populaire et de s’appuyer sur lui pour, comme le général de Gaulle avec sa « politique de la chaise vide », réorienter totalement la construction européenne.
Héla, il ne m’écouta pas et, une fois à l’Elysée, fit voter par les parlementaires ce traité de Lisbonne qui était la copie conforme de la constitution européenne que le peuple avait déclinée. C’est à ce moment-là que j’ai quitté l’UMP et créé Debout la France.
Ce jour de février 2008, à Versailles, Nicolas Sarkozy saborda son quinquennat, se privant à la fois de votre confiance, des moyens de relancer la croissance et de bloquer l’immigration. François Hollande fit la même erreur en acceptant le traité budgétaire qui enferme l’UE dans un malthusianisme sans fin. Il avait d’ailleurs promis de ne pas signer ce traité pendant sa campagne électorale, une énième trahison !"
Dans un chemin montant, sablonneux, malaisé,
Et de tous les côtés au soleil exposé,
Six forts chevaux tiraient un coche.
Femmes, moine, vieillards, tout était descendu.
L’attelage suait, soufflait, était rendu.
Une mouche survient, et des chevaux s’approche,
Prétend les animer par son bourdonnement,
Pique l’un, pique l’autre, et pense à tout moment
Qu’elle fait aller la machine,
S’assied sur le timon, sur le nez du cocher ;
Aussitôt que le char chemine,
Et qu’elle voit les gens marcher,
Elle s’en attribue uniquement la gloire,
Va, vient, fait l’empressée : il semble que ce soit
Un sergent de bataille allant en chaque endroit
Faire avancer ses gens et hâter la victoire.
La mouche en ce commun besoin
Se plaint qu’elle agit seule, et qu’elle a tout le soin,
Qu’aucun n’aide aux chevaux à se tirer d’affaire.
Le moine disait son bréviaire :
Il prenait bien son temps ! Une femme chantait :
C’était bien de chansons qu’alors il s’agissait !
Dame mouche s’en va chanter à leurs oreilles,
Et fait cent sottises pareilles.
Après bien du travail, le coche arrive au haut.
Respirons maintenant, dit la mouche aussitôt :
J’ai tant fait que nos gens sont enfin dans la plaine.
Ça, Messieurs les chevaux, payez-moi de ma peine. »
Ainsi certaines gens, faisant les empressés,
S’introduisent dans les affaires.
Ils font partout les nécessaires,
Et, partout, importuns, devraient être chassés.
Jean de la Fontaine