Publié le 20/03/2009 à 12:00 par segregationtpe
bricabraque,histoire-des-afro-americains-en-musique-1ere-partie-negro-spirituals-et-blues/
Publié le 20/03/2009 à 12:00 par segregationtpe
sites: www.africamaat.com/la-lutte-pour-les-Droits-Civiques-43K-
Publié le 14/03/2009 à 12:00 par segregationtpe
http://images.google.fr/imgres?imgurl=http://www.poster.net/stern-phil/stern-phil-louis-armstrong-and-billie-holiday-7200040.jpg&imgrefurl=http://tpe-musique-noir-social.blogspot.com/&usg=__X5mwa51yF2hdBYnPm44L_oZicY0=&h=318&w=450&sz=45&hl=fr&start=21&um=1&tbnid=IeT0iLtcfyYQFM:&tbnh=90&tbnw=127&prev=/images%3Fq%3DLes%2BNoirs%2BAm%25C3%25A9ricains%2BPauvres%2BUSA%26hl%3Dfr%26client%3Dfirefox-a%26rls%3Dorg.mozilla:fr:official%26sa%3DN%26um%3D1
Publié le 04/03/2009 à 12:00 par segregationtpe
segregation raciale petit resumePosté le 04.03.2009 par segregationtpe
u racismeLA SEGREGATION RACIALE AUX ETATS-UNIS
Le 4 novembre 2008 restera dans les mémoires collectives comme un des plus grands moments de l'histoire des Etats-Unis. Le peuple américain a élu pour la première fois un président noir.
Ces descendants d'esclaves pour la plupart qui festoyaient ce 4 novembre suite à l'élection de Barack Obama qui était alors sénateur de l'Illinois. Ces scènes de joie sont celles de ces afro-américains qui ont souffert plus que nuls autres de la ségrégation raciale bien ancrée dans les moeurs. Une victoire qui met un terme à cette idéologie vieille de plusieurs siècles de la supériorité du blanc...Ils furent nombreux à protester contre cette injustice. D'abord, ce pasteur de l'Alabama du nom de Martin Luther King qui soutenait en décembre 1955 l'afro-américaine Rosa Parks, laquelle avait refusé de céder sa place à un blanc dans un bus de Montgomery. Ce qui avait valu à Martin Luther King que sa maison soit brûlée le mois suivant... Ce même pasteur qui avait choisi non sans hasard de faire son plus célèbre discours (en partie improvisé) devant le mémorial Lincoln de Washington un certain 28 août 1963. On honorait ici la mémoire d'Abraham Lincoln, républicain et défenseur de la cause afro-américaine qui avait débouché d'abord sur son assassinat le 14 avril 1865 puis sur l'abolition de l'esclavage le 18 décembre de la même année.C'est donc devant le mémorial que Martin Luther King Jr disait avoir le rêve "qu'un jour, sur les rouges collines de Géorgie, les fils des anciens escalves et les fils des anciens propriétaires d'esclaves pourront s'asseoir ensemble à la table de la fraternité". Ses actions en faveur des "siens" furent récompensées le 10 décembre 1964 par le prix Nobel de la paix...Cette année 1964 qui venait effacer les tristes souvenirs du racisme et l'explosion de la bombe posée le 15 septembre 1963 dans une église de Birmingham par Bobby Franck; et qui avait eu pour conséquence de soustraire la vie à quatre filles de couleur noire. Cette année 1964, celle-là même qui abolissait la ségrégation raciale via le Civil Rights Act, mettant un terme aux funestes lois Jim Crow.Alors que certains choisissaient de répandre leurs idées par des mouvements pacifiques, d'autres à l'image de Wali Farad, Elijah Muhammad ou encore Malcolm X choisissaient quant à eux la force et les armes. Ce dernier qui avait vu le viol de sa grand-mère par un blanc et qui rejoignait vite les Blacks Muslims dirigés par le célèbre E.Muhammad. Ce Malcolm Little qui renonçait à son nom d'esclave et se convertissait à l'islam, ce Malcolm qui avait vu, âgé de deux ans seulement sa maison incendiée. Ce Malcolm qui se faisait abattre le 21 février 1965. Ce Malcolm qui s'était souvenu des actes de barbarie du Ku Klux Klan, groupe crée dans le Tennessee suite à la Guerre de Sécession en 1866. Cet Etat du Tennessee qui fut fatal à Martin Luther King assassiné à Memphis le 4 avril 1968 par James Earl Ray.Barack Obama a su se souvenir de ces défenseurs de la cause afro-américaine et saura vraisemblablement se remémorer ses illustres prédecesseurs. En digne héritier de ces personnages, il fut élu 44ème président de ces cinquante Etats, qui espérons-le, seront unis face a...
Publié le 04/03/2009 à 12:00 par segregationtpe
u racismeLA SEGREGATION RACIALE AUX ETATS-UNIS
Le 4 novembre 2008 restera dans les mémoires collectives comme un des plus grands moments de l'histoire des Etats-Unis. Le peuple américain a élu pour la première fois un président noir.
Ces descendants d'esclaves pour la plupart qui festoyaient ce 4 novembre suite à l'élection de Barack Obama qui était alors sénateur de l'Illinois. Ces scènes de joie sont celles de ces afro-américains qui ont souffert plus que nuls autres de la ségrégation raciale bien ancrée dans les moeurs. Une victoire qui met un terme à cette idéologie vieille de plusieurs siècles de la supériorité du blanc...Ils furent nombreux à protester contre cette injustice. D'abord, ce pasteur de l'Alabama du nom de Martin Luther King qui soutenait en décembre 1955 l'afro-américaine Rosa Parks, laquelle avait refusé de céder sa place à un blanc dans un bus de Montgomery. Ce qui avait valu à Martin Luther King que sa maison soit brûlée le mois suivant... Ce même pasteur qui avait choisi non sans hasard de faire son plus célèbre discours (en partie improvisé) devant le mémorial Lincoln de Washington un certain 28 août 1963. On honorait ici la mémoire d'Abraham Lincoln, républicain et défenseur de la cause afro-américaine qui avait débouché d'abord sur son assassinat le 14 avril 1865 puis sur l'abolition de l'esclavage le 18 décembre de la même année.C'est donc devant le mémorial que Martin Luther King Jr disait avoir le rêve "qu'un jour, sur les rouges collines de Géorgie, les fils des anciens escalves et les fils des anciens propriétaires d'esclaves pourront s'asseoir ensemble à la table de la fraternité". Ses actions en faveur des "siens" furent récompensées le 10 décembre 1964 par le prix Nobel de la paix...Cette année 1964 qui venait effacer les tristes souvenirs du racisme et l'explosion de la bombe posée le 15 septembre 1963 dans une église de Birmingham par Bobby Franck; et qui avait eu pour conséquence de soustraire la vie à quatre filles de couleur noire. Cette année 1964, celle-là même qui abolissait la ségrégation raciale via le Civil Rights Act, mettant un terme aux funestes lois Jim Crow.Alors que certains choisissaient de répandre leurs idées par des mouvements pacifiques, d'autres à l'image de Wali Farad, Elijah Muhammad ou encore Malcolm X choisissaient quant à eux la force et les armes. Ce dernier qui avait vu le viol de sa grand-mère par un blanc et qui rejoignait vite les Blacks Muslims dirigés par le célèbre E.Muhammad. Ce Malcolm Little qui renonçait à son nom d'esclave et se convertissait à l'islam, ce Malcolm qui avait vu, âgé de deux ans seulement sa maison incendiée. Ce Malcolm qui se faisait abattre le 21 février 1965. Ce Malcolm qui s'était souvenu des actes de barbarie du Ku Klux Klan, groupe crée dans le Tennessee suite à la Guerre de Sécession en 1866. Cet Etat du Tennessee qui fut fatal à Martin Luther King assassiné à Memphis le 4 avril 1968 par James Earl Ray.Barack Obama a su se souvenir de ces défenseurs de la cause afro-américaine et saura vraisemblablement se remémorer ses illustres prédecesseurs. En digne héritier de ces personnages, il fut élu 44ème président de ces cinquante Etats, qui espérons-le, seront unis face a...
Publié le 19/02/2009 à 12:00 par segregationtpe
III) Aujourd'hui, ont-ils leur place dans la société américaine ?
1)Une évolution économique et sociale
Aujourd'hui, on recense plus de 39.7 millions de Afro-Américains, soit 12.4 % de la population. (compris la population d'Afro-Américains, la population d'Africains récemment arrivés et celle de Noirs d'origine antillaise.).
La communauté blanche (dont les hispaniques) ,à elle seule, comptabilise 74.1 %.
Malgré la grande place démographique des Noirs, Les ménages Afro-Américains ont la moyenne des revenus la plus faible. En 2005, elle était de 30 858$ /an.
Prenons l'exemple de Harlem, borough de Manhattan, dans la ville de New York, à East Harlem, on comptait 17 % de chômeurs en 2004 et à Central Harlem, il demeure stable depuis les années 1990, il s'établit à environ 9 % de la population active. Il faut savoir que Central Harlem abrite une grande communauté noire alors que East Harlem est composé d'une importante population hispaniques.
Malgré une importante différence de taux de chômage entre ces deux secteurs de Harlem, Le nombre de personnes n'ayant pas d'emploi est très élevé par rapport au reste de la Ville (New York compte 7.4% de chômeurs).
Les Afro-Américains installés dans les ghettos urbains vivent dans des conditions inimaginables en ce XXIeme Siècle: logements vétustes et insalubres, écoles de qualité inférieure, familles désunies, grossesses précoces, délinquance liée à la drogue, prolifération du sida. (Exemple: South Side, à Chicago). Ceci constitue la classe inférieure (Underclass).
Mais on voit l'émergence d'une classe moyenne noire. 20% des Noirs en font partie bien que pour les mêmes professions les revenus soient inférieurs à ceux de leurs homologues blancs.
Pour qu'il n'y est pas de discriminations à l'emploi, l'Etat Américain a mis en place une politique dite "d'action positive". Elle consiste à imposer des quotas d'embauche de représentants de groupes minoritaires tels les Noirs aux entreprises travaillant pour le gouvernement. Cela a permis à la classe moyenne afro-américaine d'augmenter son effectif. Cependant l'effet péjoratif de cette politque est qu'elle met en concurrence des ethnies dans le marché de l'emploi.
Généralement, les Américains blancs détestent la discrimination raciale sauf quand elle les concerne directement. Les barrières sociales continuent d'être un obstacle à l'essor économique de la classe moyenne noire. Les Noirs qui en ont les moyens ne peuvent toujours pas louer ou acheter une résidence où bon leur semble et envoyer leurs enfants dans de bonnes écoles.
Même si les deux communautés se rencontrent au lieu de travail, ils ne se mélangent pas socialement. "Ils sont collègues mais pas voisins". Ceci génère chez les Noirs un sentiment de ne pas appartenir à la société.
Publié le 19/02/2009 à 12:00 par segregationtpe
http://bricabraque.unblog.fr/2007/09/24/la-segregation-aux-etats-unis/
Publié le 19/02/2009 à 12:00 par segregationtpe
http://www.grioo.com-info9666.htmn
Publié le 18/02/2009 à 12:00 par segregationtpe
-Robert L. Johnson (né le 8 avril, 1946) est un homme d'affaires américain et le fondateur de Black Entertainment Television (BET), et en fut le président et le directeur exécutif. Johnson est également le propriétaire de l'équipe de basket-ball des Charlotte Bobcats, une franchise de National Basketball Association.
-Oprah Gail Winfrey, née le 29 janvier 1954 à Kosciusko dans le Mississippi, est une actrice, productrice et animatrice de télévision américaine. Personnalité extrêmement influente aux États-Unis, elle est aussi l'une des premières femmes noires à être devenue milliardaire, grâce notamment à ses activités de productrice. Depuis 1986, elle vit à Chicago dans l'Illinois.
-Jay-z et Beyonce , chanteur de hip-hop et r'n'b est le couple le plus riche en tant que chanteur.
-La Chanson Hip Hop connait un grand nombre de chanteurs afro-américains (Timbaland, Snoop Dogg...)
-Le cinéma : Will Smith ...
Publié le 18/02/2009 à 12:00 par segregationtpe
Le Sud Américain:
Officiellement il n'est pas plus présent. Dans la réalité, il y a de tout: des racistes, des anti-racistes et des neutres.
Quoi qu'il en soit, une certaine ségrégation est toujours présente et elle le restera encore pour un bon bout de temps. Deux exemples pour vous montrer la réalité des choses:
Les jobs les plus minables sont toujours tenus par des noirs (ramasseurs de caddie, serveuses dans les fast-food, ramasseurs de crasses,...)
A l'université les noirs restent entre eux et les blancs entre eux. Il y a (officiellement) des fraternités/sororités pour noirs et d'autres pour les blancs. Il y a des soirées de noirs et des soirées de blancs (bien que cela ne soit pas clairement affiché c'est la réalité).
Bref le racisme malgré qu'il ne soit plus présent officiellement, d'une manière ou d'une autre on l'aperçoit un peu partout.
De plus dans certains sites américains rascites, il y a les réponses à ces questions : "pourquoi les blancs et les noirs ne doivent pas se métisser" et "pourquoi il ne faut pas se marier avec un noir". Des exemples de réponses: Aux E-U : 1 noir sur 33 aurait le Sida contre 1 blanc sur 100 ; Les gènes noires sont dominantes à un ratio de 4-1 : la race blanche disparaîtrait donc. La violence conjugale est plus présente dans les couples métissés (même chose pour les divorces). Le QI des noirs serait plus bas et cela serait héréditaire.
http://www.bouletchelin.be/blog/archives/38-Le-racisme-au-sud-des-Etats-Unis.html