Ah que coucou !

Oui, comme vous vous en apercevez sur l’image ci-dessus, l’arbre a gagné quelques individus comme naturellement cela doit arriver quand on passe du temps à décrypter des actes.

Pourtant tous ceux que j’ai découverts pendant le week-end n’ont pas été mis en ligne… en effet, malgré que les patronymes étaient ceux que je recherchais, je n’ai pas encore trouvé le lien entre « ces cousins » et mes aïeux. C’est ainsi que j’ai découverte de nombreux membres de la famille Menetrier, dont plusieurs Nicolas – et oui, j’ai l’impression qu’il va y avoir encore un schmilblick, mais bon, pas grave, ils sont tous les 2 parmi mes ancêtres, donc ;)…

Quoi qu’il en soit de nombreux descendants de ma branche Bossu ont été découverts. Par contre, je suis étonnée de ne pas avoir trouvé plus de Vincent et aucun Rousselot (sauf la mention d’un certain chirurgien).

Autre chose aussi que j’ai découvert parmi les actes, j’ai appris qu’au 18^e siècle aussi on ne portait pas trop d’attention aux dangers. Alors qu’aujourd’hui l’excuse principale, quand un accident arrive, est de parler de la volonté de faire un maximum de bénéfice pour satisfaire les actionnaires, nous nous apercevons qu’au 18^e cet état de fait existait déjà sans que nous ne puissions pas accuser des actionnaires, mais simplement, des gens d’Eglise. En effet, en consultant les actes au-delà de 1732 de la commune de Roches-sur-Rognon nous apprenons que l’église de cette commune est interdite pour cause de vétusté… or, que lisons-nous sur les actes ? que l’Evêque autorise à y officier toutes les cérémonies : baptême, mariage, inhumation… C’est vrai que, quand on est mort, ça ne nous ferait rien de recevoir l’église sur la tête, mais… ceux qui sont vivants ??? Mais bon, à la décharge de l’Evêque, la chapelle du comte du coin, devait être trop petite pour accueillir toute la population…

Bisous,

@+

Sab