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Date de création : 10.06.2009
Dernière mise à jour : 03.09.2010
64 articles


IL AVAIT RAISON .....

Publié le 27/02/2010 à 10:09 par paranormalblog
IL AVAIT RAISON  .....

Les scientifiques donnent raison à Edgar Cayce

Le basculement des pôles ? Certains vous diront : « Vous plaisantez ? C'est de la science-fiction ! » Mais en réalité, c'est une vieille histoire qui intéresse depuis longtemps les savants. Les géologues ont mis en évidence ce qu'ils appellent "la migration" des pôles magnétiques au cours des âges. On a trouvé, par exemple, que dans les coulées de lave sortant des volcans, les particules ferromagnétiques s'orientent - pendant le refroidissement de la coulée - selon le champ magnétique terrestre. Elles indiquent le Nord magnétique au moment de l'éruption. On s'est aperçu en étudiant les coulées anciennes que le Nord magnétique a beaucoup voyagé !

Le même phénomène a pu être identifié dans des poteries préhistoriques qui sont restées à la place où elles avaient été cuites. On a pu observer que les particules métalliques contenues dans l'argile se sont orientées pendant la cuisson et le refroidissement vers le Nord magnétique de l'époque, qui, dans bien des cas, n'était pas au même endroit que l'actuel. Ainsi, on a la preuve scientifique du déplacement du pôle Nord magnétique.

Est-ce pour autant la preuve que le pôle nord géographique s'est, lui aussi déplacé ? La Terre est un gigantesque aimant qui, comme tous les aimants, comporte un pôle négatif et un pôle positif. Les boussoles indiquent le pôle nord magnétique et non le pôle nord géographique qui n'est jamais très loin. Les scientifiques ont longtemps pensé que ces déplacements du nord magnétique étaient simplement dus aux variations naturelles du champ magnétique de la Terre et ne pouvaient en aucun cas déclencher une catastrophe géographique. Mais les plus éminents spécialistes ne sont désormais plus de cet avis...

Immanuel Velikovsky, auteur de "Mondes en collision", a été le premier à soutenir, dès 1950, que la Terre avait eu une histoire des plus "sportives", parsemée de collisions avec d'autres corps célestes, de galipettes apocalyptiques... bref, de plaies et de bosses, sans douceur aucune ! Velikovsky a mené une recherche historique très approfondie, qui montre que la mémoire des peuples antiques conserve le souvenir d'un basculement de la Terre.

La Terre a probablement eu une histoire parsemée de collisions, de plaies et de bosses apocalyptiques.

Ainsi, dans un ouvrage de l'auteur latin Pomponius Melaque, il est écrit : « Les Égyptiens ont déjà vu la course des étoiles changer quatre fois de direction, et le Soleil s'est couché déjà deux fois dans la partie du ciel où il se lève aujourd'hui. »

Hérodote rapporte la même chose d'ailleurs - et Velikovsky de citer des textes indiens, chinois, mayas, sumériens, etc. Bien entendu, le monde de la science tenta alors de le tourner en ridicule. Mais d'autres vinrent conforter son hypothèse, notamment Wegener, avec sa théorie de "la dérive des continents". Wegener, méprisé, rejeté, il y a encore quelques années commence enfin à être reconnu. Il croit, lui aussi, que la Terre a basculé jadis de façon brutale, ce qui aurait provoqué de vastes inondations, ce que l'on a appelé "le déluge".

Récemment, des observations plus précises ont confirmé que l'axe de la Terre n'était pas aussi stable qu'on l'avait cru. On a constaté que le pôle Nord géographique était sujet à différentes sortes d'oscillations encore mal connues. Si bien qu'au fond, le basculement subit de l'axe des pôles est la seule explication rationnelle qui rendrait compte de tout ce que les savants constatent sans pouvoir l'expliquer : les changements de climat, les glaciations, la dérive des continents et la tectonique des plaques, la surrection des chaînes alpines, les éruptions volcaniques, les tremblements de terre, les raz-de-marée, tout !

L'homme est-il responsable oui ou non, de ce phénomène de basculement de l'axe des pôles ? D'après les nombreux messages qui nous parviennent actuellement des mondes de Lumière, il semble qu'il y ait une sorte de cycle géophysique inévitable, mais aggravé par l'activité destructrice de l'homme. Cette activité s'exerce bien évidemment au plan physique mais aussi et même principalement au plan psychique.

Chacun d'entre nous est ainsi personnellement responsable de l'avenir de l'ensemble de l'humanité. Il est temps non seulement d'en prendre conscience, mais d'en tirer les conséquences.
Extraits du magazine "Sacrée Planète" N°12
Ère Nouvelle – février 2006

photo non agrandi

Publié le 26/02/2010 à 14:25 par paranormalblog
photo non agrandi

 photo faite avec un appareil numerique en octobre 2009  a 23H  par moi_ même

Orbe ??? photo prise par moi- même 2009

Publié le 26/02/2010 à 14:14 par paranormalblog
Orbe ??? photo prise par moi- même  2009

PHOTO PRISE PAR MOI MËME   NORMAL  ET AGRANDI .........23 HEURES OCTOBRE  2009    AVEC UN NUMERIQUE

zone 51

Publié le 26/02/2010 à 14:01 par paranormalblog
zone 51

La zone 51 base secrete des USA (avions expérimentaux, armement secret, contact extraterestres)

La base de Groom Lake, isolée dans les recoins d'une région militaire du Nevada (USA), n'existait officiellement pas il y a encore quelques temps. Signalée sur aucune carte publique, son existence est pourtant un secret de polichinelle depuis des années.

Le voile officiel tombe définitivement le 18 avril 2000, quand est diffusée sur le site Internet de TerraServer une série de photographies récentes de la base, prises par un satellite lancé conjointement par Aerial Images Inc., une compagnie américaine privée, et l'Agence Spatiale Russe. Elles sont de grande qualité, montrant tout depuis les bus et hangars jusqu'à un appareil recouvert d'une bâche.

Un lieu propice

L'histoire de Groom Lake débute véritablement au début du Printemps 1955. A l'époque la CIA recherche un site pour procéder aux essais du nouvel avion espion mis au point par Lockheed, le U-2. L'appareil doit être testé à l'abri des regards indiscrets, mais aussi en un lieu offrant une piste suffisamment longue et résistante pour supporter le poids du nouvel appareil, des réserves de carburant considérables, et la proximité d'une administration militaire pour la logistique. On pense tout d'abord naturellement à la base d’Edwards, spécialisée dans les essais d'avions expérimentaux, mais ce candidat est finalement rejeté, étant donné le niveau de secret requis : Edwards est déjà trop connue et forcément déjà le sujet de trop d'observations.

C'est donc un lieu entièrement nouveau qui est choisi, dans une région isolée du Nevada. Plus exactement, il s'agit d'une petite installation près du lac asséché de Groom, cachée entre deux montagnes dans Emigrant Valley. Le lieu se situe dans une zone administrative référencée par d'anciennes cartes du gouvernement comme la « Zone 51 ». Dans cette petite base, utilisée pour des essais aériens durant la guerre, ne se trouvent que deux hangars, quelques caravanes, et une piste d'atterrissage trop courte. Beaucoup de travaux en perspective. Cependant, l'avantage de sa localisation est sans pareil, dans une zone déjà largement interdite au public : elle est entourée de la zone militaire de Nellis (Nellis Bombing and Gunnery Range) où se trouve l'installation secrète de Mercury, du Site d'Essais nucléaires du Nevada (Nevada Test Site) dont les retombées n'épargneront pas Groom Lake et son personnel.

La base de Nellis (au Sud-Est de la zone, près des installations de Blue Diamond également) servira de centre administratif responsable de la base. Les travaux commencent donc près du lac asséché de Groom, à commencer par les éléments les plus importants : la piste, que l'on allonge de 5000 à 8000 pieds, et les réservoirs de carburant.

situation géographique

Peut-être est-ce l'aspect aride et quelque peu désolé de la zone qui donnent à la base le nom ironique de « Watertown » - qu'elle gardera jusqu'en 1960 - mais ce serait oublier la petite ville du même nom de l'état de New York, où est né Allen Dulles, directeur de la CIA de l'époque et principal sponsor du projet U-2. Les quelques misérables bâtiments de l'endroit vont amener les ouvriers qui y travaillent à lui donner le surnom ironique de « ranch du paradis », ou « le ranch ».

S'il est difficile de cacher l'existence de cette base (dont l'existence est en fait déclarée dès 1955 par l’AEC qui en a la responsabilité administrative), on va surtout s'attacher à dissimuler sa véritable activité. Les employés, qu'ils soient manutentionnaires ou autres, sont tous déclarés comme « consultants du gouvernement », en raison d'une loi du Nevada obligeant à déclarer l'activité de tout travailleur de l'état... sauf des employés gouvernementaux. Il n'est bien sûr pas question d'indiquer que la base a été construite pour tester un nouvel avion espion et entraîner ses pilotes, et en 1957 un livret d'information de l’AEC, s'il ne nie par l'existence du U-2, lui prête des objectifs d'observation météo à haute altitude, sous la responsabilité du NACA (ancêtre de la NASA).

On ira même jusqu'à, dans l'hypothèse où l'un des appareils serait perdu hors du site, peindre les insignes du NACA sur les appareils pour plus de crédibilité. En fait le programme U-2 est sous la responsabilité conjointe de la CIA et de l’USAF.

Tout le monde croit que cet endroit dépend de l'armée de l'air, parce que Nellis est une base aérienne. En réalité, la Zone 51 est sous le contrôle de la Navy. Il en est de même de la Zone 2, qui fut construite pour servir d'entrepôt souterrain pour l’AEC.

Nouveaux appareils

Après le U-2 vient le A-12, une réponse de la CIA aux U-2 abattus par les Soviétiques. Cet appareil - dont les SR-71 de l’USAF ne seront que des versions moins élaborées par la suite- est élaboré dans le cadre du projet "Oxcart" (charrette à bœufs !) ou du nom plus sexy de "Cygnus". Il est testé à Groom Lake de avril 1962 à juin 1968.

C'est au milieu des années 1970, où l'activité de la base, un temps ralentie, reprend avec des programmes allant du XST au missile de croisière Senior Prom, que l'on décide subitement de changer l'identification de la zone aérienne environnante. On l'appellera dorénavant Dreamland, probablement en raison d'un poème d'Egard Poe du même nom.

Suivent divers autres avions expérimentaux, tels que le SR-71, le chasseur F-117A (programme Senior Trend), le bombardier B-2, et enfin le fameux Aurora.

L'Aurora

L’Aurora (1984 ?), dont le nom mythologique fait penser à un programme d'appareil de reconnaissance Lockheed, et à un niveau de classification supérieur à celui d'autres programmes à plusieurs mots tels que celui du F-117.

En 1986 apparaît dans une demande de budget du Département de la Défense une ligne désignée Aurora associée à un budget de 80 millions $, avec une augmentation de la dépense à 2,272 milliards $ prévue pour l'année suivante. En fait le financement n'est pas accordé pour cette désignation, mais une augmentation équivalente est attribuée pour les Special Update Program et Selected Activities.

Les médias en parlent en 1987 et 1988. En août 1989 en Mer du Nord, Chris Gibson, ingénieur en exploration pétrolière à l'époque et membre du British Royal Observer Corps (ROC) observe un appareil de la forme d'un triangle isocèle en plein ravitaillement depuis un Stratotanker, accompagné de deux F-111. S'agissait-il de l’Aurora ou d'un chasseur furtif Northrop A-17 ?

On dit l'appareil capable d'évoluer à Mach 8. L'endroit est donc un endroit privilégié pour observer des objets volants à la fois secrets et peu communs, et c'est là où commence le folklore de la zone 51.

Étranges observations

Diverses observations sont faites dans la région : lumières, objets triangulaires, que beaucoup expliquent par le vol du bombardier furtif B-2, de la famille des "ailes volantes". Bien que quasiment indétectable au radar, il donna lieu en 1988 à des témoignages similaires à ceux des années 1950, portant sur des objets triangulaires.

Dans son « Rôle de la CIA dans l'étude des ovnis », l'agence de renseignement reconnaît que certains cas étudiés par le projet Blue Book furent secrètement identifiés comme des vols de U-2, bien qu’ officiellement expliqués par d'autres phénomènes (ballons, reflets, etc.). En effet à ses débuts l'appareil n'était pas peint en noir mais avait un aspect métallique, argenté, susceptible de générer de forts reflets lumineux, au coucher du soleil par exemple. En fait, la CIA n'hésite pas à affirmer que la moitié des observations est due à cet appareil.

L'Aurora également, va faire des siennes. Succédant en 1984 au SR-71. Lockheed est chargé du développement et la division Rocketdyne de Rockwell responsable des moteurs. Les années suivantes, les habitants de Californie du Sud et d'autres régions comme l'Europe du Nord commencent à entendre des grondements ressemblant à des tremblements de terre et à voir des objets volants extraordinaires volant à plusieurs fois la vitesse du son. Les appareils ressemblent à des triangles géants. En 1990, des reporters de Aviation Week & Space Technology deviennent convaincu qu'un "bond quantique à eu lieu" dans l'aviation dans le plus grand secret. Cependant, le gouvernement américain continue de nier l'existence de L’Aurora.

En 1995, une bande vidéo issue d'une caméra de sécurité de la base de Nellis est communiquée clandestinement à des ufologues. Sur cette vidéo, on voit un engin métallique s'élevant dans le ciel.

Ces images seront authentifiées par plusieurs analystes militaires, experts dans les questions de défense, notamment par Bill Sweetman, spécialiste de la technologie des avions furtifs. En 1996, les journalistes de l'émission de télévision Sightings comparèrent l'engin filmé par la caméra de sécurité de la base de Nellis avec l'un des objets filmés au Mexique lors de l'éclipse de 1991.

Considérant les deux objets comme identiques, ils concluent que les ovnis aperçus au-dessus de Mexico pourraient faire partie d'un programme militaire secret de l'armée des Etats-Unis.

Ndlr : Voici quelques-unes des meilleures vidéos tournées au Mexique lors de l’eclipse de 1991. Nous connaissons 17 vidéos de ce phénomène exceptionnel. Ces documents montrent clairement un objet métallique brillant non identifié planant au-dessus de la ville à la vue de tout le monde. Cet évènement filmé à partir de différents emplacements compte d’innombrables témoins.

L’événement de Phoenix et la Zone 51

Le 13 mars 1997, un ovni en forme de V est filmé en train de survoler la ville de Phoenix (Arizona) sur près de 2 km. L'analyse vidéo a révélé qu'il s'agit bien de la structure d'un appareil qui fut filmée depuis 9 endroits différents. Plus de 200 témoins oculaires se sont manifestés.

Le directeur du CSETI indique que l'ovni venait de la direction de la Zone 51.

De nombreux ovnis ont été aperçus avec parfois la constatation de cas de mutilation de bétail. Des personnels de la base ont disparu lors d'observations nocturnes d'ovnis.

La zone 51 a un système de sécurité redoutable (la région est protégée par un groupe de bérets verts). Récemment L’USAF a pris le contrôle d'une colline près de Groom Lake, d'où l'on pouvait observer l'installation. Une photo de satellite soviétique de 1988 montre un complexe de haute sécurité à l'une des extrémités de la base, dont le but est inconnu.

Bob Lazar ou le projet "Galileo"

Afin d'en savoir plus sur les rumeurs qui courent sur la base, on pourrait chercher des témoins qui attestent de son activité. Malheureusement, les seules personnes acceptant de témoigner bénéficient d'une réputation sulfureuse dans la communauté ufologique.

Bombe médiatique

Il y a peu de rumeurs concernant la Zone 51 jusqu'en 1988, où un homme désirant garder l'anonymat déclare avoir travaillé sur un projet top secret dans la zone, visant à faire de la rétro-ingéniérie sur le système de propulsion d'un appareil d'origine extraterrestre.

Pressé de questions, il jette le masque en novembre 1988 : son nom est Robert Lazar, et donne encore plus de détails : son activité, dans le cadre d'un projet nommé « Galiléo », a eu lieu dans un site nommé « S-4 » (Section 4), situé près du lac Papoose, où 9 appareils extraterrestres seraient entreposés. Il précise les fonctions qui ont été les siennes sur le site : au sein d'une équipe de 22 ingénieurs, il aurait été engagé pour tenter de comprendre le système de propulsion de ces ovnis.

Si l'on se cantonne au témoignage de Lazar, on peut dire qu'à lui seul, bien qu'extraordinaire, il garde une certaine cohérence.

Il fournit de nombreux détails sur le lieu, la manière de s'y rendre, les procédures de sécurité qu'il subissait avec ses collègues, la tâche qui lui était affectée, et surtout des éléments techniques sur l'appareil sur lequel il travaillait (un "modèle sport" de 16 m de diamètre) et son fonctionnement : un réacteur à antimatière relativement petit (45 cm de diamètre) en contradiction avec les lois de la thermodynamique actuellement admises, alimenté par un élément non trouvé sur Terre, que Lazar place au numéro atomique 115.

(ndlr : voir à ce sujet notre dossier sur l’extraordinaire affaire de la comète SL9 dans notre dossier « Science Interdite »)

Le principe final est d'utiliser des « amplificateurs gravitationnels » et de distordre l'espace-temps, afin d'attirer la destination plutôt que de s'y rendre.

Enfin, Lazar indique avoir eu l'occasion de lire certaines parties de rapports. Certains faisaient remonter les visites extraterrestres à plus de 10000 ans, d'autres relataient l'établissement d'un contact officiel, et un autre la provenance de l'appareil, bien connue des conspirationnistes : Zeta Reticuli.

(ndlr : voir notre article « les aliens dans l’univers » extraits des messages des Zetas dans notre rubrique Premiers Pas »)

Le récit de Lazar est tellement précis mais aussi extraordinaire qu'en 1989, lors de l'émission télévisée OVNI : La Meilleure Preuve sur KLAS-TV, on ira jusqu'à lui faire passer un test de détection de mensonge préparé par Georges Knapp, le présentateur de l'émission.

En fait l'activité décrite par Lazar (rétro-ingéniérie d'appareils extraterrestres), correspond à celle d'un projet hypothétique, régulièrement cité par des thèses conspirationnistes : le projet « Redlight ».

Le but de ce projet aurait été de comprendre le fonctionnement d'appareils extraterrestres récupérés, de les faire voler, et à terme de développer nos propres engins de forme discoïdale basés sur cette technologie. Ce projet est aujourd'hui décrit comme ayant été mis en oeuvre dans la zone S-4, et démarré en 1954, ce qui semble incompatible avec le démarrage de Groom Lake en 1955.

Redlight se serait cependant rapidement arrêté suite à de nombreux échecs, et n'aurait été repris qu'en 1972, avec l'aide de nos supposés visiteurs.

Zone fantôme ?

Différents points ne jouent pas en faveur du récit de Lazar. Tout d'abord la zone S-4 : si le lac "Papoose" existe bien au Sud de Groom Lake, les images satellite dont nous disposons ne montrent aucune installation dans la zone décrite par Lazar, y compris dans les dernières images à haute définition fournies par TerraServer.

Bien sûr les descriptions de Lazar ne mentionnent que des installations camouflées dans le paysage ou souterraines, mais on s'explique mal pour les mêmes techniques de construction et de camouflage n'aient pas été appliquées aux installations de Groom Lake, également très secrètes.

Si l'on interroge d'anciens employés de la Zone 51, aucun ne semble avoir de souvenir de Lazar. Etonnamment, Lazar ne met pas en avant le secret qui leur serait imposé, mais explique que lorsqu'il se rendait à « S-4 », il ne faisait qu'un "stop" à la Zone 51.

Il empruntait un vol journalier accompagné de centaines d'autres employés. La base étant ultra top secrète, il est donc impossible de vérifier ces affirmations.

Selon Lazar, les employés ne communiquaient pour ainsi dire pas du tout entre eux à « S-4 » et ils n'étaient qu'une vingtaine à s'occuper de la propulsion des soucoupes. Dans ces conditions, difficile d'obtenir une quelconque corroboration.

Cependant, il se peut que la Section-4 existe, mais soit tout à fait banale, comme l'indique un témoin oculaire des opérations à Groom Lake. Ce dernier décrit les activités des diverses sections comme la S-2 ou Northrup/Grumman ont exploité des bombardiers B-2, le Tacit Blue et les successeurs du A-12, S-6 où stationnent diverses variantes du C-135, S-9 où Teledyne Ryan Aero expérimente ses drônes (Tier 2+ et Tier 3+ UAVs), et enfin « S-4 », réservé à Lockheed pour les essais de A-11, U-2, SR-71, F-117 (Have Blue) et de drônes Darkstar (Tier 3-UAV).

Témoin fantôme

Ensuite, si la plupart des déclarations de Lazar concernant la zone S-4 sont invérifiables, ce qui l'est ne concorde pas vraiment.

Son passé académique semble flou. Lazar déclare avoir travaillé de1982 à 1984 au Laboratoire National de Los Alamos, au labo de Physique des Mesons, avec un niveau de sécurité 'Q'. En fait, s'il est bien établi que Lazar a travaillé à Los Alamos, il n'est pas mentionné dans les annuaires des services qu'il cite, et l'on ne sait ce qu'il y fit exactement. Lorsque l'on interroge l’USAF au sujet de Lazar, celle-ci déclare n'avoir aucun commentaire à faire sur l'Espace Aérien de Nellis. Dans le même temps, le Sergent Technique Henderson, des Affaires Publiques, indique que l’USAF n'a aucune trace d'un quelconque travail effectué par Lazar à la Base USAF de Nellis, bien que nous ayons réuni une grande liste d'investigations à son sujet. Lazar répond en montrant ses papiers.

Élément fantôme

En ce qui concerne l'élément 115, les physiciens admettent que l'existence d'un tel élément est théoriquement possible, mais que nous ne savons ni le fabriquer ni simplement le trouver.

Que Lazar déclare avoir travaillé avec cet élément n'est donc pas forcément insensé, mais reste complètement invérifiable.

Cependant, il semble en savoir assez pour avoir réellement travaillé dans la Zone 51 ou Dreamland où des appareils secrets sont testés, mais cette histoire reste un mystère ténébreux.

En résumé : C'est impossible à vérifier. Nous n'avons pu, malgré nos investigations, trouver personne pouvant corroborer les dires de Lazar.

Un passé trouble

Suite aux "révélations" tapageuses de Lazar, on se penche sur son profil, à commencer par son passé. On découvre alors qu'en 1985, alors qu'il était en vacances au Nevada, il décide d'acheter une maison de prostitution légale ; l'investissement se révélera si profitable qu'il n'aura pas besoin de retrouver un travail à temps plein pour un moment. C'est en 1988, alors qu'il désirait retravailler dans le milieu scientifique, que selon lui, il fut engagé pour travailler sur le projet Galiléo. Cependant son casier judiciaire, garni de 6 crimes dont proxénétisme et incitation à la prostitution, gestion d'une maison de prostitution, et vie avec les revenus d'une prostituée, ne joue pas en sa faveur.

L'ensemble de ces charges est rapidement mué en un seul crime "d'incitation au vice". Cette "discréditation" aux yeux du public ne semble pas trop perturber Lazar, qui déclare enfin ne plus subir les pressions et filatures que lui imposaient ses supposés anciens employeurs : Je suppose qu'ils ont considéré que le jugement d'incitation au vice m'a discrédité commente-t-il. Depuis, Lazar vit des revenus de ses deux petites compagnies, une firme indépendante de réparation d'appareillages nucléaires et un laboratoire de photo.

Il construit et effectue également des courses de jet cars et, chaque année depuis 1984, le week-end précédent le 4 juillet (la fête nationale américaine), il organise le "Feu d'Artifice du Désert". Il a également vendu les droits de son film et travaille sur un film en vidéocassette.

En résumé peu de personnes croient aujourd'hui aux dires de Lazar, y compris dans le milieu ufologique. Richard Hall par exemple, membre des premiers jours du NICAP, ne voit pas dans la zone 51 autre chose qu'une base militaire où sont développés des engins volants secrets mais n'ayant rien à voir avec les extraterrestres. Il ne croit pas aux déclarations de Lazar.

Du folklore

Le récit de Lazar fit le tour du monde et fut à la source de l'engouement populaire et de la « publicité » faite autour de la Zone 51 ou Dreamland. Une route fut baptisée « Extraterrestrial Highway » à proximité de la base de Nellis et de petites localités, comme Rachel, Nevada accueillent de nombreux touristes venus en pèlerinage ou encore pour tenter d'observer, aux alentours de la base, une des soucoupes volantes décrite par Lazar.

Lors du tournage du film Independence day, l'armée perd encore une occasion d'améliorer les choses, en indiquant aux producteurs qu'ils sont prêts à collaborer au film à une seule dernière condition : que toutes les références à la Zone 51 soient enlevées.

L'histoire de la zone étant capitale pour le thème du film, les producteurs, bien que désirant ardemment la coopération des militaires, ont finalement refusé.

A la recherche du secret perdu

Autour de la Zone 51 et de ses secrets gravitent encore d'autres mystères : la Zone 19, ou la Zone 2, également désignée comme la base de Lake Mead, un dépôt d'armes nucléaires situé près de la base de Nellis.

C'est en fait à se demander si, le secret de la base maintenant éventé et rien de vraiment probant n'étant ressorti des recherches des uns et des autres, on ne cherche pas un nouveau lieu plus secret et inconnu sur lequel on pourra supputer à loisir.

Dans la lignée de ce mouvement visant à déplacer le secret plutôt que de reconnaître qu'il n'est pas là où on avait cru le voir, la dernière histoire en vogue est le déplacement de l'activité secrète qui avait lieu naguère aux alentours de Groom Lake : en juin 1997, un article de Popular Mechanics fait sensation, indiquant que la Zone 51 est probablement fermée depuis un an et que les essais de nouveaux avions expérimentaux sont maintenant effectués en Utah, dans la zone 6413.

Cependant, rien de probant n'appuie cette thèse. On parlera également d'une zone de 300 miles au Nord de l'Alaska, que les avions ne sont pas autorisés à survoler sous peine d'être abattus.

Le 15 décembre 1999, le DOE cède officiellement le contrôle de la Zone 51 à l’USAF.

Visitez le site : http://www.rr0.org/

 

Remedes meconnus

Publié le 26/02/2010 à 13:58 par paranormalblog
Remedes meconnus

Le chlorure de magnésium un remède méconnu

Le chlorure de magnésium est un remède simple, peu coûteux et remarquablement efficace pour un grand nombre de problèmes mais hélas peu connu.


Ce produit présenté sous forme de poudre blanche se trouve facilement dans toutes bonnes pharmacies, pour un prix raisonnable et sans ordonnance. Son seul inconvénient est son mauvais goût comme la plupart de certains médicaments ou sirop. Le chlorure de magnésium n’est pas un produit récent, ses différentes qualités curative ont été mises en évidence par le professeur Delbet Pierre (1861-1957) lauréat à plusieurs reprises de la faculté et de l’académie de médecine. Mobilisé durant la 1ère guerre mondiale comme chirurgien, il se posa différentes questions sur l’efficacité des antiseptiques et de leurs effets secondaires, il en vient alors à penser qu’il valait mieux stimuler et renforcer le système immunitaire des malades. Il commença alors différentes recherches sur le sujet et sur le fonctionnement de notre système immunitaire. Ces travaux l’amenèrent à découvrir et à tester sous différentes formes le chlorure de magnésium, notamment à l’hôpital Necker à Paris. Il testa aussi celui-ci sur les animaux et constata les mêmes résultats, il fit même l’expérience sur lui même qui souffrait de lésions cutanées précancéreux, et là encore il obtient un résultat positif. Le chlorure de magnésium aurait donc une action préventive contre certaines infections y compris le cancer mais il est aussi efficace en application externe pour nettoyer ou traiter une plaie ou une maladie de la peau comme l’eczéma.

L’action du chlorure de magnésium serait de nourrir les cellules de l’organisme afin de stimuler la résistance du corps contre les maladies. Il est un traitement efficace et indiscutable contre la polio s’il est utilisé dès les premiers signes de la maladie mais il est aussi efficace pour : un abcès, de l’acné, une amygdalite, une angine, l’arthrose, l’asthénie, l’asthme, la bronchite, en prévention du cancer, les caries, la coqueluche, les crampes, les dermatoses, la diarrhée, la diphtérie, l’eczéma, la fièvre, les oreillons, la gale, les gingivites, la grippe, l’hypertension, l’impétigo, les otites, les panaris, la polio, les rhino, les rhumes, la rougeole, la scarlatine, la tuberculose, l’urticaire, etc...

Pour vous même, vos enfants, vos animaux, ayez toujours sous la main un sachet de chlorure de magnésium il peut vous être très utile. Attention toutefois le chlorure de magnésium n’est pas un remède miracle et cela n’empêche pas de consulter son médecin traitant et surtout ne pas arrêter un traitement médical. Mais celui ci peut être un plus alors il ne faut pas hésiter à le prendre cela ne coûte rien et c’est sans danger.

Conseils d’utilisation du chlorure de magnésium : 20 gr pour 1 litre d’eau,

Adultes et enfants à partir de 5 ans : 123 cm3 de la solution toutes les 6 heures pendant 48 heures puis toutes les 8 heures jusqu’au rétablissement totale. Pour les cas graves débuter par 2 doses rapprochée de 2 heures puis prendre les doses normales.

Pour les enfants de 4 ans prendre 100 cm3 toutes les 6 heures Pour les enfants de 3 ans prendre 80 cm3 toutes les 6 heures Pour les enfants d’un et 2 ans prendre 60 cm3 toutes les 6 heures.

Pour atténuer le mauvais goût, la dose peut être prise dans un verre d’eau sucré, jus de fruit. En cas de problèmes intestinaux espacer les doses.

pouvoir des mineraux

Publié le 26/02/2010 à 13:53 par paranormalblog
pouvoir des mineraux

L'INFINI POUVOIR DES PIERRES

Dans la Tradition, la pierre occupe une place de choix. Il existe entre l'homme et la pierre un rapport étroit. Suivant la légende de Prométhée, procréateur du genre humain, des pierres ont conservé une odeur humaine. La pierre et l'homme présentent un double mouvement de montée et de descente. L'homme naît de Dieu et remonte à Dieu. La pierre brute descend du ciel ; transmuée, elle s'élève vers lui". [1]

De tout temps, les hommes ont été fascinés par les pierres et particulièrement par les pierres précieuses, ne serait-ce que pour leur mystérieuse beauté voulue par Dieu créateur de toutes choses ici bas. C'est ainsi que sont apparus ces recueils que nous appelons lapidaires.

Le terme ne remonte pas au-delà du XIIe siècle : c'est un calque du latin lapidarius qui, dans les textes médiévaux, désignait ces traités sur les propriétés des pierres rares et précieuses, aussi bien que celui qui taillait les gemmes ; il fut étendu, par commodité, à tous les ouvrages décrivant les minéraux en général.

Les historiens des sciences ne sont pas toujours d'accord entre eux pour établir les sources des lapidaires médiévaux, mais grâce notamment aux auctoritates que citent les compilateurs du XIIIe siècle, on peut, entre autres, nommer le lapidaire du grec Damigeron (vers le 1er siècle, traduit en latin au Ve siècle), le Polyhistor de Solin (qui vivait au IIIe siècle semble-t-il), les Etymologiae vel Origines de saint Isidore de Séville (560-636, l'auteur le plus lu du moyen âge occidental), le De physicis ligaturis de Costa ben luca, ainsi que des traités médicaux comme le De materia medica du grec Dioscoride (1er siècle, traduit en latin au VIe siècle, puis mis dans l'ordre alphabétique de la lettre et enrichi d'éléments divers au XIe siècle, sans doute par Constantin l'Africain) et le De gradibus du même Constantin enfin. Il s'agit là des sources principales.

Le premier en date et le plus célèbre des lapidaires proprement médiévaux est le De Lapidibus de Marbode de Rennes. Né en Anjou vers 1035, chancelier de l'école cathédrale d'Angers en 1069, élu évêque de Rennes en 1096, Marbode est mort au monastère de Saint-Aubin près d'Angers en 1123 ; il rédigea son lapidaire avant 1096 et sa célébrité fut telle que les écrivains des siècles suivants citent auteur et son ouvrage confondus sous le titre de "lapidarius" et dans les versions françaises "Le lapidaire". Il est le modèle de tous les traités ultérieurs sur les minéraux, ou pratiquement.

En 1968, John M. Riddle, historien américain de la pharmacie, afin d'étudier les lapidaires médiévaux, a recensé les manuscrits des bibliothèques d'Europe, en a trouvé 616, pour la plupart en latin, dont 125 de celui de Marbode [2]. Le nombre de ces manuscrits conservés jusqu'à nos jours prouve avant tout que le lapidaire était l'un des genres les plus populaires, si ce n'est le plus populaire, de la littérature scientifique médiévale. Quant au traité de Marbode, il a été de loin le plus grand "best-seller" dans cette catégorie, et ce pour plusieurs siècles : à côté des textes latins, il subsiste de nombreuses traductions vernaculaires, et d'abord du De Lapidibus [3].

En général, on distingue trois type de lapidaires : les lapidaires magiques ou astrologiques, les lapidaires symboliques chrétiens et les lapidaires scientifiques. Notons toutefois que, bien que repris par des historiens des sciences comme Joan Evans ou George Sarton [4], ce classement en trois types est commode; mais ceux-ci ne sont pas exclusifs l'un de l'autre et interfèrent le plus souvent en fait : les lapidaires symboliques décrivent aussi les pierres et les lapidaires scientifiques rappellent parfois leur sens symbolique ; les uns comme les autres citent leurs propriétés magiques. Le De Lapidibus de Marbode peut ainsi apparaître comme un exemple du genre scientifique, mais il est évident que son auteur n'a jamais eu conscience d'une quelconque classification ; il a écrit en outre trois lapidaires plus courts qui sont consacrés aux douze pierres de la Bible, mais on ne peut les classer catégoriquement comme lapidaires symboliques, surtout le deuxième qui expose les utilisations des douze pierres en médecine.

Nous passerons rapidement sur les lapidaires magiques ou astrologiques qui remontent à quelques auteurs de l'Ecole d'Alexandrie mais ne connaissent pas la diffusion des deux genres suivants. Ils établissent une correspondance entre les pierres précieuses, les métaux et les planètes :

Le Cristal correspond à l'Argent et à la Lune ;
l'Aimant au Mercure et à la planète du même nom ;
l'Améthyste, la Perle, au Cuivre et à Vénus ;
le Saphir et le Diamant à l'Or et au Soleil ;
l'Emeraude et le Jaspe au Fer et à Mars ;
la Cornaline et l'Emeraude à l'Etain et à Jupiter ;
la Turquoise et les pierres noires au Plomb et à Saturne. [5]

Ils sont certainement d'origine orientale. Dans la tradition islamique, les pierres précieuses sont utilisées, comme dans l'Antiquité gréco-romaine, pour d'innombrables pratiques magiques multipliant les jeux de correspondances. On en trouve quelques échos dans les traités chrétiens par la compilation de certains ouvrages arabes.

I.
Le second genre, celui des lapidaires symboliques, a connu un indéniable succès puisqu'il en reste 94 manuscrits dans le relevé de John M. Riddle ; ces lapidaires chrétiens décrivent essentiellement les douze pierres mentionnées dans la Bible, sur le pectoral (ou rational) d'Aaron dans l'Exode ou dans la description de la Nouvelle Jérusalem dans l'Apocalypse de saint Jean :

Les assises de la muraille de la ville sont parées de toute pierre précieuse ; la première assise est de jaspe, la deuxième de saphir, la troisième de calcédoine, la quatrième d'émeraude, la cinquième de sardonyx, la sixième de sardoine, la septième de chrysolithe, la huitième de béryl, la neuvième de topaze, la dixième de chrysoprase, la onzième de hyacinthe, la douzième d'améthyste.[6]

Cela signifie que, dans cet univers nouveau toutes les conditions et tous les niveaux d'existence auront subi une transmutation radicale dans le sens d'une perfection sans égale ici-bas et de nature toute lumineuse ou spirituelle. [7]

Nous avons un bon exemple de l'exploitation littéraire de cette tradition dans la première vision du Paradis qu'ont le bon abbé Brandan et ses moines, au terme de leur errance sur les eaux de l'Océan, vision que décrit ainsi Benedeit au début du XIIe siècle :

Ils voient d'abord un mur qui s'élève jusque dans les nuages [...]. C'est le Roi céleste qui l'a érigé [...]. Il est parsemé de gemmes qui projettent une grande lumière éclatante : chrysolithes de choix tachetées d'or en grande quantité ; le mur flamboie, resplendissant de topazes, chrysoprases, hyacinthes, calcédoines, émeraudes sardoines ; en bordure, des jaspes et des améthystes luisent avec éclat ; il y a aussi la jacinthe brillante, le cristal et le béryl qui se renvoient leur luminosité. [8]

Quittons un instant les lapidaires pour nous attarder sur la tradition perpétuée par certains évêques de l'Église d'Occident de porter le pectoral d'Aaron où les douze gemmes figuraient les douze tribus d'Israël. Le texte de l'Exode décrit minutieusement les vêtements du Grand Prêtre investi par Moïse sur le commandement de Dieu. A propos du pectoral, nous lisons ceci :"

Tu lui sertiras une sertissure de pierres : quatre rangées de pierres. Sur une rangée, une sardoine, une topaze et une émeraude, la première rangée ; la deuxième rangée : une escarboucle, un saphir et un diamant ; la troisième rangée : une opale, une agate et une améthyste ; la quatrième rangée : une chrysolithe, un onyx et un jaspe. Elles seront piquées dans l'or par leurs sertissures. Les pierres seront au nom des fils d'Israël". [9]

Selon Guy Denys [10], les noms de ces douze pierres, qui ne sont pas tous traduits par la tradition rabbinique, posent un problème car les traducteurs chrétiens, à partir de la Septante ou de la Vulgate, leur donnent des noms en grec ou en latin, mais ces vocables, interprétation du texte juif primitif, ne concordent pas tous. Nous n'entrerons pas dans le détail de ces traductions, nous contentant ici de renvoyer à l'article fort documenté de Guy Denys qui donne un tableau des noms des douze pierres selon les versions les plus courantes. Nous reprendrons seulement la liste de la Vulgate, légèrement différente de celle de la traduction du chanoine Osty citée ci-dessus : sardoine, topaze, émeraude ; escarboucle, saphir, jaspe ; hyacinthe, agate, améthyste ; chrysolithe onyx, béryl. [11]

Guy Denys a relevé quelques exemples qui prouvent que l'Eglise catholique connaissait aussi le pectoral à douze pierres précieuses. Il cite d'abord Viollet-Le-Duc :

Au moyen âge, on portait à côté du Rational d'étoffe un pectoral de métal directement imité du pectoral du Grand prêtre. On en trouve mention chez Guillaume de Poitiers (né vers 1020, décédé comme Archidiacre dans le diocèse de Lisieux à une date inconnue) dans son Histoire de Guillaume le Conquérant ; lors de la conquête de l'Angleterre, il décrit l'habillement d'Hugues, évêque de Lisieux, et énonce avec précision qu'il portait sur ses habits le Rational". [12]

Viollet-le-Duc rappelle également la statue de saint Sixte, le premier évêque de Reims, au trumeau de la porte centrale du transept nord de la cathédrale de Reims (vers 1230). Guy Denys, en application des coutumes de l'emblématique et de l'héraldique médiévales, fait observer que le saint, sur sa chasuble, porte le rational dont le pectoral n'est plus de quatre fois trois pierres mais de trois fois quatre pierres:

la lecture symbolique médiévale n'acceptant pas que le chef soit relégué à un rang inférieur [...] les quatre tribus dirigeantes sont sur la ligne du haut". [13]

L'un des plus importants théologiens du XIIIe siècle, Guillaume Durand dit "le Spéculateur" (né près de Béziers v. 1230, mort à Rome en 1296), fut un temps évêque de Mende où il écrivit en 1286 le Rationale divinorum officiorum [14]. Dans le chapitre "Des vêtements de l'ancienne loi", il décrit le pectoral :

[Il] s'appelait en hébreu heen, en grec logion et en latin rationale [...]. Or, on l'appelait le rational du jugement parce qu'il contenait les pierres par la splendeur desquelles les Israëlites connaissaient que Dieu leur était propice". (La liste de ces pierres est celle de la Vulgate).

D'après l'archiviste paléographe François Eygun, "le Pectoral ou Rational a été porté jusque dans les années 1930, sous des formes diverses", par les archevêques de Paderborn en Rhénanie et de Cracovie en Pologue, et aussi par l'évêque de Toul, après avoir été "très répandu du Xe au XVIe siècle parmi les évêques membres ou voisins du Saint Empire Germanique" [15]. Le sens de cette tradition nous est donné par Durand de Mende :

Porter comme le Grand Prêtre le jugement des fils d'Israël sur sa poitrine et en la présence du Seigneur, c'est discuter les causes de Ses sujets par la seule considération du Juge des coeurs.

Constatant que, de son temps, il est difficile de faire un ornement correspondant au Rational "parce que nous n'avons pas l'abondance des pierres précieuses", il en voit la réplique dans le livre de l'Evangile que le pontife porte devant sa poitrine en présence de tout le peuple :

Or, là était écrit : Doctrine et Vérité, et l'évêque doit avoir dans le coeur la vérité de l'Evangile et sa doctrine dans la bouche, en tant que pour le manifester, et cela peut être la cause pour laquelle, en quelques églises, on orne les plats du Livre des Evangiles d'or, d'argent et de pierres précieuses [...]. C'est que dans ce livre resplendissent l'or de la sagesse, l'argent de l'éloquence et les pierres précieuses des miracles.

Cette fascination que l'or et les pierres précieuses ont exercés sur les puissants du monde féodal conduit certains jusqu'à l'extase mystique : la contemplation de leur beauté permet d'accéder à la splendeur divine. Ainsi Suger, plus d'un siècle avant Guillaume de Mende (v. 1081-1151) écrit :

En transposant ce qui est matériel en ce qui est immatériel, le charme des gemmes multicolores m'a conduit à réfléchir sur la diversité des vertus sacrées. [16]

Et il fit graver sur la porte de bronze de son abbaye de Saint-Denis :

Par la beauté sensible, l'âme engourdie s'élève à la vraie Beauté et, du lieu où elle gisait engloutie, elle ressuscite au Ciel en voyant la lumière de ces splendeurs. [17]

II
Nous changeons tout à fait de registre avec le lapidaire scientifique ; c'est, des trois, le genre le plus populaire. Nous en avons cité les sources principales au début de cette étude, mais il faut y ajouter, à partir du XIIIe siècle, les emprunts à Aristote, et aussi à l'un des maîtres de l'Ecole de Salerne, le médecin italien Mattheus Platearius, cité en français comme "le Platéaire". Les lapidaires scientifiques représentent environ les cinq sixièmes des manuscrits et des éditions qui nous soient connus.

Le De lapidibus de Marbode de Rennes, que nous prenons comme premier exemple, décrit en vers soixante pierres et suit en général un même plan pour chacune : description, endroit où l'on peut la trouver, ses pouvoirs (magiques) et son utilisation, presque toujours en médecine. Parfois, il donne seulement la description, ailleurs uniquement les propriétés, les vertus de la pierre. La vertu d'une pierre, c'est en quelque sorte sa "personnalité"[18]. Cette vertu est décrite dans des termes que l'on appellerait aujourd'hui médicaux, physiques ou magiques, mais de telles distinctions sont bien évidemment modernes. La question que se posent les gens du moyen âge est simple : quelles sont les vertus de telle pierre ? Marbode trouve ses réponses, parfois incomplètes, nous l'avons vu, chez les "autorités"; mais il n'en retient pas tout : c'est en fait la pratique de tous les compilateurs, qui n'utilisent pas toutes les informations dont ils disposent, et nous ne pouvons déterminer sur quelles bases ils ont fondé leur jugement critique.

Dans ce lapidaire que nous qualifions de scientifique, le magique et le surnaturel sont mêlés sans référence au Christianisme ; mais Marbode, dans le début de son poême, dit que le merveilleux pouvoir des pierres est d'origine divine. Du reste, la critique moderne a pu mettre en évidence que la tradition médiévale, suivant en cela les Institutions de Cassiodore sur les oeuvres sacrées et profanes, sépare complètement (sauf comme partie d'un tout) les études sacrées, bibliques, des spéculations scientifiques[19].

Mais avant tout, et ses utilisateurs ne s'y trompent pas, le lapidaire de Marbode est un guide médical et pharmaceutique. Toujours dans son prologue, l'auteur, en effet, souligne combien ce serait bénéfique pour l'homme si les pouvoirs des pierres pouvaient être connus par "l'art de médecine", car elles peuvent même protéger de la mort : "Le pouvoir des herbes est grand, dit-il, mais celui des pierres est plus grand encore".

Les compilateurs du XIIIe siècle vont accroître assez considérablement les premiers lapidaires et y ajoutant diverses roches et minerais. Pour donner un rapide aperçu du contenu de ces traités sur les minéraux, nous prendrons comme modèle le De proprietatibus rerum du franciscain Barthélemy l'Anglais dont le livre XVI est intitulé "De gemmarum", et plus prosaïquement mais plus justement dans la traduction de Jean Corbechon, Le livre des proprietez des choses (1372) : "Des pierres et des metaulx". Barthélemy traite de quelque 104 pierres, roches et terres, minerais et métaux en 102 chapitres d'inégale longueur et selon le même schéma de présentation que Marbode[20], suivant la même méthode d'emprunts sélectifs aux "autorités" ; les chapitres se suivent dans l'ordre alphabétique de l'époque, seule la première lettre de chaque nom de "pierre" étant prise en compte ; dans la translation française, l'ordre des chapitres reste celui de l'original latin quel que soit le nom vulgaire de la pierre. On passe ainsi du sable (arena, "araine ou sablon") à l'argile (argilla, "arsille"), à l'albâtre (alabastrus, "alebastre"), à l'or (aurum, "or"), au laiton (auricalcum, "laiton"), à l'arsenic (auripigmentum vel lapis arsenicus, "orpin ou arcenic") et ainsi de suite.

Les savants du moyen âge se sont bien sûr demandé comment s'étaient formées toutes ces pierres. Nous retiendrons ici deux réponses. Barthélemy l'Anglais, au livre VIII de son encyclopédie, dit que les pierres et les métaux sont engendréés dans les "veines de la terre" par la "lueur" qu'il distingue soigneusement de la lumière :

Dans le ventre de la terre où la lumière ne peut entrer pénètre la lueur, comme on peut s'en rendre compte par les mines d'or, d'argent, de fer et des autres minéraux qui y sont engendrés. Car tout corps composé des quatre éléments a besoin de la lueur qui diminue la contrariété des éléments qui le composent[21].

Avicenne, pourtant source fréquente de Barthélemy, donne une autre origine aux minéraux :

Ce qui reste de vapeur et de fumée dans la terre est l'origine des couches de substances minérales. En certains groupes de ces substances, il y a davantage de fumée : par exemple le sel ammoniac et le soufre. En d'autres groupes, la vapeur l'emporte et devient comme une eau solidifiée : par exemple le rubis et le cristal de roche qui fondent difficilement tant ils sont solides, inaltérables et résistants aux coups[22].

Pour donner une idée de contenu de ces traités savants sur les minéraux, nous résumerons quelques chapitres, choisissant par exemple une roche commune, le sable, une gemme, le diamant, et un métal, l'or, avant de nous introduire quelques instants dans la "pharmacie" de Barthélemy.

Araine que nous appelons sablon" (Corbechon). Il est si sec que, lorsqu'on le presse entre les mains ou sous le pied il "crie" (il brait) et si on en jette sur un vêtement, il n'en reste rien quand on le secoue (référence : Isidore). Le sable se trouve dans l'eau de la mer "sans lymon et sans ordure" ; il est si sec qu'il ne peut former un bloc comme la pierre ; il est plus dur que la terre mais plus mou que les pierres. Il est froid, sec, menu, très lourd et "coulant" ; il est stérile par manque de chaleur et d'humidité naturelles. La pluie ne le ramollit pas : au contraire, il devient plus dur et se tasse (référence : Aristote, Livre des propriétés des éléments). Le sable arrête le flot de la mer et l'empêche de dépasser la limite que Dieu lui a assignée, comme le dit saint Jérôme (glose sur le XVe chapitre de Jérémie, et plus loin Barthélemi se réfère à une autre glose pour décrire les mouvements du sable dans le delta du Nil). Le sable enfin est utilisé pour filtrer l'eau qui le traverse ; il "éclaircit" les métaux et ote la rouille quand on les en frotte. En médecine, il refroidit les abcès et les enflures et les fait désenfler (référence : Constantin).

Le diamant, "petite pierre que l'on trouve en Inde", est plus dur que le fer et les Grecs l'appelaient "la force qu'on ne peut apprivoiser". Remarquons que le diamant aurait été découvert environ 800 ans avant J.C., effectivement aux Indes. Selon Guy Denys, "bien que connu des Grecs et des Romains, il n'a été réellement apprécié qu'au moyen âge, époque où l'on découvrit la taille de cette pierre" qui était considérée comme la substance la plus dure que l'on puisse trouver dans la nature. On a longtemps cru que le diamant ne pouvait être brisé, comme l'atteste l'expression "c'est un diamant sous les marteaux" que Furetière (1690) explique ainsi :

homme ferme et constant, qui résiste aux persécutions. Par une vieille erreur populaire qui a fait croire qu'un diamant ne peut être brisé par les marteaux ; ce qui est si faux qu'un orfèvre en cassera autant qu'on voudra.

Cette propriété du diamant en fait un symbole de constance au Moyen Age (et l'article du dictionnaire de Furetière nous atteste que cette croyance n'est pas éteinte à la fin du XVIIe siècle) : le diamant, dit Barthélemy se référant à Dioscoride, est la "pierre d'amour" et de réconciliation" ; en effet, si un mari est courroucé envers sa femme et que celle-ci porte un diamant, il lui pardonne plus facilement. Cette pierre a bien d'autres propriétés magiques : si un "vrai diamant" est mis sous la tête d'une femme pendant son sommeil, son mari peut savoir si elle le trompe car elle le prend par le cou, tout en dormant, si elle est chaste, mais dans le cas contraire, elle s'écarte de lui et se laisse tomber du lit "comme indigne de sa compagnie". Dioscoride et Marbode rapportaient la même chose mais à propos de l'aimant et non du diamant. Barthélemy déclare ensuite comme Marbode que cette pierre, quand on la porte au côté gauche, protège contre "les ennemis, la folie, les disputes, les fantômes et les mauvais rêves, les poisons" et enfin "les diables qui couchent avec les femmes sous l'aspect d'hommes" (il n'y a pas d'utilisation à proprement parler médicale).

L'or tire son nom de l'air, selon Isidore, parce qu'il "brille par la réverbération de l'air" (c'est d'ailleurs la nature de tous les métaux) ; plus l'or est fin et de bonne qualité, plus il resplendit. Selon Aristote, il est formé comme les autres métaux de "fin soufre rouge et de vif argent" (les différences de proportions donnent les différents métaux). L'or est le plus lourd et le plus résistant des métaux : il garde son poids et ne diminue pas de volume quand on le fait fondre. Il est aussi le plus souple des métaux, le plus facile à travailler au marteau sans se briser : on peut en faire les feuilles les plus minces et le fil le plus fin. L'or est enfin le plus beau des métaux, c'est pourquoi "la couleur dorée est la plus belle". L'or est très employé en médecine, car il est "le plus vertueux métal" qui soit grâce à sa pureté, selon le Platéaire. Par sa "vertu confortante", il ôte les superfluités qui sont assemblées dans le corps ; d'après Avicenne, il empêche que la lèpre soit trop visible "par dehors". Citons quelques recettes, dans l'ordre où elles figurent dans le texte :

- La limaille d'or mêlée à du jus de bourrache est bonne contre les défaillances du coeur et contre une maladie très dangereuse que l'on appelle la "passion cardiaque.

- Le vin dans lequel on a "éteint de l'or ardent" est très utile contre les maladies de la rate et bien d'autres "passions", notamment la mélancolie.

- Quand il est nécessaire de cautériser une plaie, il vaut mieux le faire avec un instrument en or qu'en fer ou en un autre métal, car on évite qu'il s'infecte ("l'on garde le membre de puantise")

- La poudre d'or ote les tâches des yeux "quand on la met dedans".

- Pour enlever les poils, Constantin conseille de frotter les parties du corps à épiler avec de l'or brûlant, et jamais plus ils ne repousseront.
Le chapitre se termine par des conseils pour la réalisation des alliages d'or et d'argent.

Toutes les pierres n'ont cependant pas une vertu soignante ou préventive dans le De proprietatibus rerum. La liste qui suit des organes, des affections pour lesquels Barthélemy indique un ou plusieurs remèdes donne un aperçu des pratiques médicales de son temps, bien que dans la moitié des cas à peu près il se contente de dire que telle pierre "vaut contre" ou "guérit" telle maladie sans préciser comment on doit l'utiliser. Nous n'avons pas retenu ce qui relève de la magie ; pour plus de clarté, nous établissons un classement alphabétique ; lorsqu'une pierre n'est pas identifiée dans un dictionnaire latin ou français, nous conservons la graphie du manuscrit 22531 du fonds français de la Bibliothèque Nationale et indiquons si nécessaire le nom latin médiéval ; lorsqu'une source est précisée enfin, nous la signalons.

ANESTHESIE
- "ménophite" en poudre, ou en onguent avec du vinaigre(anesthésie le membre que l'on doit opérer)

.BRULURES
-aimant en boisson

CAUCHEMARS, "ILLUSIONS DIABOLIQUES"
-calcédoine ; corail rouge ;
- chrysolithe enchâssée dans de l'or et portée au côté gauche ("chasse les diables") ;
- "dyadoque" (diadocos), "trouble les diables et les fantômes"
- hyacinthe (donne un sommeil paisible).

COEUR
- limaille d'or dans du jus de bourrache avec "l'os qui est dans le coeur du cerf" (contre les défaillances cardiaques) ;
- "margarite" ou perle.

DENTS
- agate en poudre (raffermit les dents qui se déchaussent) ;
- "resten" brûlé et pulvérisé (nettoie les dents, Avicenne).

ENFLURES
-poudre de nitre (nitrum, le potassium) dans du vinaigre en onguent ;
- eau salée, mais le sel "brûlé" est plus efficace, Avicenne
- terre sigillée mêlée au blanc d'oeuf en emplâtre (spécialement contre l'enflure des pieds et la goutte, Platéaire).

ENROUEMENT
- "kalcéphane" gardée dans la bouche (Lapidaire).

EPILATION
- or brûlant dont on frotte la partie du corps à épiler ;
- orpin jaune cuit avec de la chaux vive, laver aussitôt.

LANGUE
- poudre de nitre dans du miel (guérit la paralysie de la langue, Platéaire et Dioscoride).


LANGUEUR
-"silénite" (silenites).

LEPRE
- limaille d'or mangée ou bue (contre les manifestations externes de la lèpre); - aimant dans du jus de "favorel", à boire (Avicenne).


MELANCOLIE
- or ardent éteint dans du vin, à boire ;
- hyacinthe ; saphir (Lapidaire).

NERVOSITE
- hyacinthe (calme les nerfs) ;
- topaze (contre la "passion lunatique", Lapidaire).

ONGLES
- orpin jaune (fait tomber les ongles abîmés et en repousser de plus beaux, Platéaire).

OREILLES
- poudre de nitre dans du miel (tue les vers des oreilles).

PLAIES PURULENTES, ABCES, FURONCLES
- chaux mêlée d'huile, en onguent ;
- orpin brûlé et pulvérisé ;- écume d'argent (aseptise) ;
- ciment en poudre (cicatrise) ;
- jaspe vert en poudre dans du lait, en onguent ;
- aimant en poudre (fait sortir le fer resté dans une plaie)
- plomb (contre les "apostumes" ;
- "resten" brûlé et pulvérisé (sèche les plaies, Avicenne) ;
- saphir (désenfle les furoncles et les apostumes quand on les en touche) ;
-saphir en poudre dans du lait (furoncles, clous et plaies infectées, Dioscoride) ;
- eau salée, ou sel "brûlé" (plus efficace, Avicenne) ;
- sel mêlé à du miel et de la mie de pain, en emplâtre (Avicenne).

PODAGRE
- "mede" (medus) trempé dans du lait de femme "qui a un enfant mâle.

PHTISIE
- "silenite".

PURGES
- or (réconforte les organes en les purgeant des déchets) ;
- argent ; nitre.

RATE
- or ardent éteint dans du vin, en potion ;
- fer ardent éteint dans du vin ou du lait (Constantin) ;
-"ferruge" ou limaille de fer rouillé (Platéaire) ;
-"kabiate" (Dioscoride) ;
- aimant dans du jus de "favorel", potion (Avicenne).

REINS
- "mede" (medus. contre le mal de reins).


ROGNE (gale), GRATELLE, CROUTES, PARASITES DE LA TETE
-orpin jaune mêlé à du savon (laver aussitôt après) ;
- poudre de nitre dans du miel ("guérit la rogne et tue les parasites) ;
-"resten" brûlé et pulvérisé (contre la rogne, Avicenne) ;
- sel ajouté à du savon ;
- tartre ("tartare ou gravelle", tartarum, Platéaire).

SAIGNEMENTS, HEMORRAGIES
- poudre de la "queux" (cotis) ;
- chaux mêlée d'huile ;
- "corgnieule" (corneolus, spécialement chez les femmes, Lapidaire) :
- hématite (spécialement le flux des femmes, Dioscoride) ;
- hématite (contre le saignement des gencives, dioscoride, pour ceux qui "jettent le sang par la bouche", Platéaire) ;
- argile mouillée de vinaigre mise sur le front et les tempes (arrête les saignements de nez, Constantin) ;
- jaspe vert (étanche le sang) ;
- "margarite" ou perle (Platéaire) ;
- plomb (cicatrise) ;
-saphir (étanche le sang), sur la tempe (saignements de nez) ;
-terre sigillée dans du blanc d'oeuf (saignements de nez) ;
-corail rouge : héliotrope (elitropia) : "rabri" ou "mortel d'Arménie" ; émeraude, topaze (Lapidaire).

SOIF
- agate d'Inde (ôte la soif) [23];
- "aletoire" (alectaria, la pierre de coq).

SUEUR ET "MAUVAISES HUMEURS"
- jaspe vert ; saphir ; sel (Platéaire, Avicenne) ;
- poudre de nitre dans du miel (nettoie le visage) ;
-soufre vif (fait sortir et détruit les "mauvaises humeurs".

TACHES DU VISAGE
- sel dans de l'eau de rose camphrée, en lotion (Avicenne).

Maux de TETE
- ciment en poudre sur des braises, en fumigations (contre les maux de tête et la léthargie) ;
- saphir (contre les maux de tête).

TOUX
- soufre vif (empêche de tousser).

VENINS ET POISONS
- diamant porté au côté gauche ;
- agate d'Inde ; "kabiate" ; hyacinthe (Platéaire) ; saphir ;
- "crapoudine" (noset) ;
- plomb (adoucit les piqûres de scorpion et les morsures de serpent) ; "resten" brisé et mis en emplâtre (guérit la piqûre de scorpion, Avicenne) ;
- sel dans du miel avec une grosse noix (guérit les morsures et les piqûres vénimeuses).

Maux de VENTRE
- cristal "quand on le boit" (contre la colique et les douleurs des "boyaux" à condition que la personne ait le ventre très dur) ;
- hématite (contre la dysenterie, Platéaire) ;
- "ferruge" ou limaille de fer rouillé (contre la diarrhée, Platéaire) ;
- agate (contre les maux de ventre "quand l'estomac est tout retourné") ;
- "ligure" (restreint le "flux du ventre") ; "margarite" ou perle (même effet, Platéaire) ;
- poudre de nitre dans du miel (nettoie le ventre) ;
- poudre de nitre (laxatif, Constantin) ; sel en poudre (id°).
- sel en poudre chaude en cataplasme sur l'estomac (fait disparaître les "ventosités") ;
- "rabri" ou "mortel d'Arménie" (restreint le "flux de ventre").

YEUX
- chélidoine lavée d'eau ;airain brûlé et pulvérisé ;
- poudre d'or (ôte les taches des yeux) ;
- jaspe vert en poudre dans du lait (purge les yeux et rend la vue plus aiguë);
- poudre de nitre dans du miel (nettoie les yeux) ;
- plomb (ôte l'humeur des yeux) ;
- "resten" brûlé et pulvérisé (sèche les yeux larmoyants, Avicenne) ;
- saphir (nettoie les yeux et réconforte la vue) ;
- émeraude (fait revenir la vue qui faiblissait) ;
- turquoise (réconforte la vue) ;
- hématite ; agate d'Inde ; "mede".

Pour conclure, nous évoquerons la question posée ici ou là de savoir si les compilateurs médiévaux étaient médecins.

En ce qui concerne Marbode, certains copistes, dès le moyen áge, puis plus tard certains éditeurs lui donnent le titre de "physicus" mais rien apparemment ne prouve qu'il ait exercé la médecine. Pour Barthélémy l'Anglais, la question est également sans réponse bien qu'elle ait été évoquée[24]. Quoi qu'il en soit, 70 copies du De lapidibus de Marbode se trouvent dans les mêmes manuscrits que le De herbis de Macer qui est l'un des herbiers les plus diffusés au Moyen Age, composé en vers comme notre lapidaire dans la seconde moitié du XIe siècle ; en outre, le De Lapidibus est souvent dans les mêmes manuscrits et copié de la même main que les grands traités d'Hippocrate et de Galien, de Dioscoride, de Constantin et autres médecins. Dans le De proprietatibus rerum, les livres XVI sur les minéraux, XVII sur les plantes et XVIII sur les animaux forment comme un ensemble où médecins et apothicaires pouvaient trouver des centaines de remèdes [25].

En tout état de cause, nos auteurs sont parfaitement au courant des conceptions de base sur lesquelles se fonde la médecine de leur temps : en particulier, ils soulignent les effets bénéfiques des minéraux qui agissent par sympathia et les effets de contre-poison qui, par antipathia, neutralisent les substances nocives comme notre recension le montre. Aller plus loin reviendrait à pénétrer dans le monde des médecins médiévaux, ce qui n'est pas ici notre propos

Michel SALVAT.
Université de Rouen
C.E.C.M.





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[1] Marie-Madeleine DAVY, Initiation à la symbolique romane, Paris, (Flammarion), 1977, p. 191. L'A. renvoie à T. BASILIDE, "Essai sur la pierre", dans Le voile d'Isis. XXXIX, 1934, p. 93 sq., article "très précieux pour l'étude de la pierre", et à GOUGENOT DES MOUSSEAUX. Dieu et les dieux, Paris, 1854.

ALIENS et cie .....

Publié le 26/02/2010 à 13:49 par paranormalblog
ALIENS et cie .....

Les types d’aliens sur la Terre

diffusion des informations de Cooper

Traduction de "The release of Cooper's informations", du "National Security Council".

Note : Ce texte est signé de la source anonyme "Falcon", ayant contacté William Moore en 1980 pour lui proposer de participer "à l'étude du gouvernement sur les ovnis". Falcon est connu comme étant en fait Richard Doty, un agent de l'AFOSI qui contribua avec William Moore à la campagne de désinformation menée contre Paul Bennewitz.

Une fois de plus, je vous le livre tel quel, mais rappelez-vous que la désinformation consiste à mêler le faux au vrai.

William Moore Cooper

TOP SECRET

Nom de code : Falcon

Il y a beaucoup de risques à diffuser certaines informations à propos des ovnis. C’est pourquoi Cooper préféra carrément diffuser ses informations très largement - journaux, législateurs, officiels d'état, et nombre de personnes à des positions importantes de par le monde - sans quoi il aurait eu à en souffrir.

Comme ces informations furent diffusées rapidement, ceux qu’ils dénonçaient se trouvèrent dans l’impossibilité de le réduire au silence, et choisirent de le discréditer.

Au début de 1990, une campagne d'environ un million de dollars fut donc préparée. Cette manœuvre ne devait pas être effectuée au travers des médias traditionnels, mais de magazines et bulletins sur les ovnis, sous la forme d'articles et d'exposés, ainsi qu'au travers de groupes ufologiques, dont la plupart sont contrôlés.

Des scénarios ufologiques alternatifs devaient également être diffusés. Ainsi, fin 1990, beaucoup de théories différentes se mirent à circuler de sorte que le public fut dans l’incapacité de discerner le véritable scénario du faux.

Dans le même temps d'énormes quantités d'informations hautement classifiées furent dévoilées en profitant de cette brèche, car au lieu d'être forcés de se taire par peur pour leur vie, de nombreux individus osèrent enfin dire ce qu’ils avaient vu. Ceci marqua le début de la fin de la confidentialité planant sur cette affaire OVNI. Par conséquent, l'information qui suit, concernant les aliens en contact direct avec la Terre va enfin pouvoir être diffusée.

Les espèces classées

Le nombre actuel de types d'entités extraterrestres actuellement en contact avec la terre est de 9.

7 races l'étant de manière relativement permanente, et 5 exerçant une influence directe sur les gouvernements.

1947,
Première rencontre avec des Entités biologiques mortes :
les gris de Roswell

1954 :
Eisenhower et son staff à la table de négociation ?

Contrairement à une information pouvant provenir du gouvernement américain, tous les occupants d'ovnis ne sont pas des êtres amicaux représentatifs de la Confédération Spatiale Galactique.

Les Gris de Zeta Reticuli - Petits

Les Gris de Zeta Reticuli viennent de Zeta Reticulan, près de l'étoile de Barnard, qui est un système stellaire voisin d'Orion. Ils sont très petits (entre 1 m et 1,20 m), de couleur argent-gris, et leur corps ne comprend aucun appareil digestif ou génital. Ils sont créés à partir d'un processus de clonage génétique de conception extraterrestre.

Ils représentent une race ancienne et se reproduisent depuis des milliers d'années. Ils n'ont qu'une capacité d'expression facile très limitée, possèdent de grands yeux, un très petit trait pour leur bouche et pas de nez à proprement parler. Leurs yeux sont grands, noirs, et en forme d'amande.

Leur évolution ayant dépassé le processus de reproduction sexuelle, leurs organes sexuels et leur appareil digestif sont totalement atrophiés. Ils ne sont plus capables de manger ou de se livrer à des activités sexuelles, et se rapprochent en fait de la famille des insectes.

Les Zetas sont impliqués dans les mutilations de bétail. L'absorption de certaines substances provenant de certaines parties du bétail leur permet de se stabiliser durant le processus de clonage. Ces substances peuvent être placées sous la langue afin de fournir une alimentation et une stabilité pour une certaine période. Cette substance provient de certaines membranes muqueuses : les lèvres, le nez, les organes génitaux, le rectum, ainsi que quelques autres organes. Ces substances glandulaires leur servent de substances nutritives et remplacent l'activité consistant à manger.

Un Volontaire zeta sacrifié pour un premier contact avec l’homme ?

Mais déposer de telles substances sous leur langue n'est pas pour eux la seule manière de se nourrir. Peut-être avez-vous noté que les mutilations de bétail aboutissent généralement à une absence totale de sang dans le corps de la bête. Les Zetas possèdent dans leurs bases des containers et des cuves dans lesquelles des organes animaux ou humains flottent au sein d'un liquide pourpre afin de garder ceux-ci en suspension.

Les Zetas nagent dans cette mixture et en absorbent les éléments nutritifs au travers de leur peau. Ils utilisent le peroxyde d'hydrogène dans les processus d'absorption et d'élimination. Le peroxyde d'hydrogène permet également au liquide et aux organes qu'il contient d'éviter de pourrir.

Ils ne disposent d'aucun appareil digestif et éliminent par leur peau. Ils ont besoin pour cela de faire passer la substance au travers d'une partie de leur corps, de la même manière que les plantes éliminent au travers de leur peau ou de leur enveloppe extérieure. Ils utilisent toujours le peroxyde d'hydrogène pour aider à cette élimination.

Les Zetas ont également été désignés comme étant les Petits Hommes Verts parce qu'ils tendent à prendre une teinte verte lorsqu'ils n'ont pas reçu assez de nourriture. Lorsqu'ils sont dans cet état, ils deviennent très dangereux.

Le clonage de ces extraterrestres peut être réalisé relativement rapidement, par la reproduction de répliques synthétiques. Ils disposent d'une technologie dépassant de loin celle des humains ayant débouché sur les accords avec le gouvernement des Etats-Unis spécifiant que des échanges de ces techniques pourraient être effectués.

Les Gris de Zeta Reticuli ne sont pas maître de leur propre destin. Ils sont les serviteurs d'une race reptilienne de leur planète d'origine. Les Zetas cherchent à se libérer du joug de leurs maîtres. Ils semblent désireux de travailler avec les humains dans le but de maintenir la liberté dont ils disposent sur Terre, liberté dont ils n'avaient jamais fait l'expérience auparavant. Ils espèrent, dans cet objectif, devenir maîtres de la Terre, ou du moins exercer un contrôle suffisant leur permettant de ne plus subir d'esclavage de la part d'autres espèces.

Les Zetas ont deux classes sociales, l'une étant de véritables rapaces, et l'autre étant plus douce. Les Zetas les plus doux sont plus raffinés et plus capables d'entretenir des rapports « commerciaux » avec les humains, tandis que les autres sont plus abrupts, carrés et crûs dans leurs directives. Les Zetas désirent l'aide des humains dans la perspective d'une confrontation future avec leurs maîtres reptiliens attendus pour bientôt, dans les 20 années à venir. Ceci se réfère à un astéroïde qui arrive en direction de la terre, abritant approximativement 30 millions d'extraterrestres reptiles.

Ce dernier a cependant détourné temporairement son chemin vers la constellation de Draco.

Les Gris de Bellatrax - Très Petits

Le petit Gris, qui est plus petit que celui de Zeta Reticuli, vient d'un système stellaire proche de la constellation d'Orion, appellé Bellatrax. Ils sont plus petits, comme le sont les nains (environ 45 cm). Ils sont plus indirects, mais tout aussi dangereux envers les humains que peuvent l'être les Zetas.

Les Gris de Bellatrax et de Zeta Reticuli ont la même race pour origine génétique, et se ressemblent beaucoup mis à part leur taille.

Les Gris d'Orion - Grands

L'autre type de Gris est le Gris grand, à gros nez. Ils possèdent de grosses narines et mesurent entre 2,10 m et 2,50 m. Ils sont basés dans les îles Aleutian et ont récemment été aperçus dans un parc de l'Est de la Russie. Ces créatures sont hostiles, bien que moins vicieuses envers les humains. Ils tentent d'exercer leur influence par le biais de contrôles politiques. Ils disposent de certains pouvoirs et technologies leur permettant d'effectuer des actions paraissant miraculeuses.

Dans l'incident Russe, une femme dont la jambe était mal formée fut enlevée par les Gris d'Orion puis fut relâchée des milliers de kilomètres plus loin. Sa jambe était redevenue normale, mais les extraterrestres n'avaient pas soigné cette jambe. Ils avaient transplanté une nouvelle jambe sur son corps.

Les Gris d'Orion donnent l'impression d'être bienveillant envers les humains, mais sont experts en manipulation génétique.

Ils utilisent les humains comme nous utiliserions des cobayes afin de conduire diverses expériences. Ils ont fait pousser bras et jambes ainsi que d'autres parties du corps au sein d'une matrice informe faite de chair humaine. Une jambe peut pousser depuis un torse, et des mains depuis le milieu du ventre. Tout cela est effectué en injectant certains génomes dans la chair et en y appliquant certaines charges électromagnétiques. Ils peuvent de cette manière faire pousser diverses parties du corps humain afin de venir en aide à des humains mal formés ou handicapés - ou dans le but de cultiver leur propre nourriture. Ils sont intéressés par le contrôle des masses sur la terre via certains accords négociés avec les personnes au pouvoir.

Tous les Gris

Les Gris influencent tout actuellement, à leur degré, l'histoire de l'humanité. La nature des Gris, spécialement ceux de Zeta Reticuli et les très petits, n'inclut pas de sentiments émotionnels profonds ou de compassion.

Ils sont très calculateurs, réfléchissent froidement et considèrent les humains comme inférieurs, comme un fermier considérerait ses vaches. Ils ne comprennent les passions et la compassion des humains qu'au degré à laquelle ils les observent, mais ils n'ont pas de sentiments.

Ces extraterrestres sont d'un niveau humain comparable à celui des cannibales. Ils considèrent les êtres humains comme une espèce inférieure, et sont carnivores. Les Gris de Zeta Reticuli se nourrissent des sécrétions glandulaires des humains et sont tout à fait capables de tuer ou d'enlever des humains pour les obtenir.

La manipulation génétique est l'une des solutions imaginées par les extraterrestres pour l'évolution de leur race en voie de disparition. D'une certaine manière, les humains sont les sauveurs des âmes des extraterrestres. Ceci est au moins une façon pour les humains d'avoir une influence sur eux.

Ce n'est pas la première fois qu'une civilisation tente d'absorber un ennemi plutôt que de le combattre. Alors que l'ennemi envahisseur pense prendre possession, il est en fait absorbé. Les Tartares envahirent la Russie et furent absorbés dans la société Russe en une centaine d'années.

Les Pleiadiens

Parmi les cinq races influençant l’humanité, ceux venant des Pléiades sont des entités éloignées du genre humain. Ils sont connus pour être et sont la race mère responsable de la création génétique du genre humain.

Ils ont un développement spirituel supérieur à la plupart des gens sur terre aujourd'hui. Ils ont un lien de parenté avec les humains, et sont à peu près les seuls extraterrestres envers qui les humains puissent avoir confiance.

Ils sont blonds et ont une belle peau. Ils font partie de la Confédération Spatiale Intergalactique. Ceci ne signifie pas que l'on puisse et doive faire confiance à toutes les entités à l'apparence humaine provenant d'un vaisseau spatial, parce que divers humains de notre planète travaillent pour les Gris de Zeta Reticuli.

Certains des Pléiades sont d'ailleurs subordonnés aux Gris, ayant été enlevés enfants ou étant descendants de ceux-ci. Ils ont été dressés et entraînés par les Gris à être des serviteurs. Les humains des Pléiades ont eu divers contacts avec la terre, mais ont récemment suspendu leurs visites.

La raison fournie au gouvernement était qu'une loi de l'espace établissait que la destinée d'un peuple ne devrait subir aucune interférence à moins qu'elle ne soit menacée ou ne menace d'autres dans la galaxie. Ces entités indiquèrent qu'elle pourrait décider d'interférer si la menace d'une guerre nucléaire devenait trop importante, mais seulement dans le sens d'une réduction de cette menace. Ceci pourrait également créer un conflit entre les Pléiadiens et les Gris de Zeta, pour qui une guerre nucléaire limitée ne serait pas une mauvaise chose.

Les humains ayant passé un accord et signé un pacte avec les Gris de Zeta en dépit des avertissements des Pléiadiens, une politique de « laisser faire » est aujourd'hui en vigueur.

Les Pléiadiens considèrent que les humains ont fait leur lit et qu'il leur faut maintenant coucher dedans. Les humains ne seront pas si simplement sauvés des conséquences d'événements programmés et libérés de maîtres avec qui ils ont choisi de travailler.

Draco Mothmen

Il existe dans la constellation de Draco une autre race d'entités ayant visité la Terre. Ils mesurent 2,50 m, et sont des extraterrestres noirs, nocturnes, apparaissant autour des cimetières et des parcs. Ils ont des yeux rouges brillant dans l'obscurité et des ailes pour voler. Nous leur avons donné le nom de mothmen. Ils sont également la source d'anciennes légendes relatives aux gargouilles et aux Valkyries.

Certaines caractéristiques des vampires ont même été inspirées des caractéristiques de ces créatures - la capacité de voler et les habits nocturnes.

Les Mothmen n'ont actuellement aucune autre influence sur terre que d'être la cause de paniques et l'objet de curiosité. Ils sont la plupart cachés sous terre et ne souhaitent pas attirer l'attention.

Deros/Teros

Il existe également des civilisations souterraines d'êtres non humains, désignés comme Deros et Teros. Les Teros sont les plus amicaux et aident à empêcher les Deros, plus fous, d'acquérir un pouvoir excessif.

Ils vivent sous terre dans des tunnels, des cités, et parfois sous la mer. La plupart des légendes anciennes sur les leprechauns et les trolls se réfèrent à ces non-humains originaires de l'intérieur de la terre. Les Deros sont en compétition avec les Gris, mais ont des caractéristiques similaires et on ne peut leur faire confiance.

Visitez le site : http://membres.lycos.fr/rr0/

L’article original : http://www.multimania.com/rr0/Cooper.html

CODEX ALIMENTARIUS ATTENTION DANGER

Publié le 08/12/2009 à 19:45 par paranormalblog
La réalité cachée

Derrière des atours séducteurs d'apparence philanthropique, le Codex n'est que le bras séculier d'une organisation occulte (made in U.S.A), dont la vocation secrète n'est que l'exploitation à outrance, quelles qu'en soient les conséquences et la mise en esclavage de l'humanité.
D'ailleurs, il est clair que la mise en place de cet organisme mondial n'a fait que créer ou aggraver les disparités socio-économiques, contrairement à ce qui était promis au départ. Il s'agit en fait, d'une redoutable dictature tenant sous son joug les gouvernements eux-mêmes avec la menace permanente de terribles moyens de rétorsion commerciale.
Par exemple, l'Europe paye actuellement tous les ans, une amende de 116.8 millions de dollars pour son refus d'importation de veau aux hormones.

Les vrais objectifs du Codex

Le Codex Alimentarius entend mettre hors la loi toute information alternative de santé en rapport avec les vitamines, les thérapies naturelles, les compléments alimentaires et tout ce qui constitue de près ou de loin un concurrent potentiel. Cet état d'esprit qui préside à la mondialisation pharmaco-chimique explique en grande partie la destruction systématique de tous les novateurs scientifiques indépendants depuis 50 ans. Cette industrie emploie tous les moyens pour garder ses parts de marché en matière de cancer, sida, maladies cardio-vasculaires...
Nous sommes en mesure depuis des décennies de soigner et de guérir dans bien des cas toutes ces maladies, mais des procédés de désinformation puissants sont en place pour cacher ces vérités au grand public. La mise hors la loi de toute information sur les médecines alternatives bloquera l'éradication de certaines maladies assurant toujours plus de profit à cette industrie mondiale qui ne traite que les symptômes sans s'attaquer aux causes.
Le docteur Rath, dénonce cette situation en ces termes : « la vraie nature de l'industrie pharmaceutique (mondiale) est de gagner de l'argent avec les maladies chroniques, et non point de s'occuper de la prévention ou de l'éradication des maladies... L'industrie pharmaceutique a un intérêt financier direct à ce que les maladies perdurent afin d'assurer la croissance du marché des médicaments. C'est pour cela que les médicaments sont conçus pour soulager les symptômes et NON pour traiter les causes des maladies... les trusts pharmaceutiques sont responsables d'un génocide disséminé permanent, tuant des millions de personnes... »

Une insulte à la démocratie

Le 13 mars 2002, nos euro-députés adoptèrent des lois en faveur de l'industrie pharmaceutique, fixées par des dispositions du Codex Alimentarius visant à élaborer une réglementation coercitive pour toutes les thérapies naturelles et suppléments alimentaires. Une fronde citoyenne de 438 millions de pétitions inonda pourtant les messageries des euro-députés, à tel point que les communications internes en furent bloquées. Malgré près d'un demi milliard de pétitions, les directives du Codex Alimentarius furent adoptées. Ce vote fut un véritable déni de démocratie augurant de futures difficultés pour la construction de l'Europe.
En fait, une légion de lobbyistes pharmaceutiques est employée en permanence pour influencer les législateurs, pour contrôler les organismes de réglementation, pour manipuler la recherche médicale et l'éducation.
L'information des médecins est intégralement financée par ces trusts qui cachent soigneusement un grand nombre d'effets secondaires dangereux en les reniant publiquement.
Après avoir établi la genèse de ces crimes en col blanc et prouvé la responsabilité des industries pharmaceutiques concernant la mise en place d'une politique mondiale de génocide disséminé, le Docteur Matthias Rath a remis un acte d'accusation pour crime contre l'humanité à la Cour Internationale de Justice de la Haye en juin 2003.

La directive que le Codex voulait mettre en application dès 2005.

A partir de juillet 2005, les directives du Codex Alimentarius, nommées Directives Européennes sur les Suppléments Alimentaires, devront être appliquées sous peine de sanctions financières.
En quoi consistent-elles ?

  1. Il s'agit de supprimer tout supplément alimentaire naturel. Tous seront remplacés par 28 produits de synthèse pharmaceutique à bas dosage (car toxiques) et seront uniquement disponibles en pharmacie sur prescription médicale.
  2. Les médecines alternatives telles que l'acupuncture, la médecine énergétique, ayurvédique, tibétaine... se verront progressivement interdites.
  3. L'agriculture et l'alimentation animale se verront réglementées selon les normes du complexe pharmaco-chimique, interdisant du même coup l'agriculture dite bio-dynamique.
  4. L'alimentation humaine certifiée légale devra être irradiée (ex : irradiée au Cobalt - le terme technique employé pour rassurer la population étant « ionisé ».)

Le Codex Alimentarius contrôlera l'accès aux acides aminés essentiels, les huiles de poisson, les vitamines et minéraux. L'élargissement des contrôles opérera progressivement, mettant à mal toutes les médecines alternatives ancestrales ou naturelles.

ATTENTION : L'ECHEC PROVISOIRE DE CE PROJET N'EST QUE PARTIE REMISE - VIGILANCE OBLIGE !

L'histoire secrète du trust pharmaco-chimique

Le trust de la pharmaco chimie tel que nous le connaissons actuellement fut conçu par une association de la Rockefeller avec l'IG Farben de l'Allemagne nazie. D'ailleurs, l'industrie IG Farben en Allemagne ne fut pas bombardée, pour préserver les intérêts de la Rockefeller.
Depuis 1932, l'industrie pharmaco-chimique IG Farben finançait Adolph Hitler. Sans ce soutien, selon le tribunal de Nuremberg, le deuxième guerre mondiale n'aurait pas pu avoir lieu...
En 1941, l'IG Farben a établi la plus grande industrie chimique du monde à Auschwitz, tirant profit de la main d'½uvre du camp de concentration. Au procès de Nuremberg, 24 responsables de la IG Farben ont été déclarés coupables de génocide, d'esclavage, de pillage et d'autres crimes. Le Tribunal de Nuremberg avait alors scindé la IG Farben en BASF, BAYER et HOECHST. Tous ces anciens responsables furent cependant libérés après leur condamnation en 1952, avec l'aide de Nelson Rockefeller, leur ancien partenaire commercial. Il était alors ministre des Affaires étrangères des U.S.A.
Une fois libérés, les dirigeants d'IG Farben infiltrèrent les plus hauts fonctions de l'économie allemande ; jusque dans les années 70, les PDG des sociétés BASF, BAYER et HOECHST étaient des anciens membres du parti nazi.
Ils financèrent à partir de 1959 le jeune Helmut Kohl.
Avec le support politique de ce dernier, les trois filiales issues d'IG Farben sont actuellement 20 fois plus grandes que la maison mère initiale de 1941.
L'organisation nazie de mondialisation, associée à Rockefeller, est une réussite totale. Depuis longtemps, la planète est quadrillée, organisée et gérée pour assurer une expansion mondiale de la pharmaco-chimie.
Puis, la « tradition » du cartel de la IG Farben s'est poursuivie sous un nouveau nom : Association de l'Industrie Chimique.
En 1955, l'industrie chimique pharmaceutique mondiale s'est regroupée sous les auspices de la Chambre de Commerce Internationale des Nations Unies et du gouvernement allemand. Leurs efforts communs furent camouflés sous le nom de code Codex Alimentarius.
Un grand nombre de partis politiques européens, dits de droite et de gauche furent financés par cette industrie pour assurer son hégémonie économique mondiale.

L'origine de la dynastie Rockefeller

Aux environs de 1860, « Old Bill » Rockefeller, marchand forain de spécialités pharmaceutiques, vendait des flacons de pétrole brut aux paysans naïfs, leur faisant croire que c'était un traitement contre le cancer. Il appelait son pétrole brut en flacon : « Nujol (New Oil : nouvelle huile) ».
L'affaire était prospère, il achetait une fiole de pétrole brut de 30 grammes à la Standard Oil pour 21 cents et la revendait 2 dollars.
Très peu cultivé, peu scrupuleux, sans connaissance ou formation médicale, avec quelques notions de comptabilité et une avidité féroce, il sut s'imposer. Le Nujol fut baptisé « cure contre la constipation » et fut largement commercialisé.
Cependant, des médecins découvrirent que le Nujol était nocif et provoquait des maladies graves, éliminant les vitamines liposolubles du corps.
La Standard Oil lutta contre la chute des ventes en ajoutant du carotène au pétrole brut pour parer à toute carence. Le sénateur Royal S. Coperland de New York était payé 75 000 dollars par an pour promouvoir le Nujol.
L'empire Rockefeller s'est construit grâce à cette formidable supercherie qui consiste à faire ingérer un dérivé de pétrole brut, enrichi au carotène, aux populations. C'est ainsi que les fondations de l'industrie pharmaco-chimique furent posées. Nous sommes bien loin des fondements des médecines chinoises, tibétaines ou perses...
Le succès commercial du Nujol permit de diversifier la production pharmaco-chimique et d'atteindre des sommets en terme de bénéfices. En 1948, le chiffre d'affaire annuel de la Rockefeller s'élevait à 10 millions de dollars. Le médicament Nujol existe toujours sous forme de paraffine pure, classé comme laxatif doux : il est recommandé pour la constipation chronique rebelle. Il est fabriqué par le laboratoire Fumouze. Hélas, il capitonne l'intestin et entraîne rapidement des carences graves.

L'heure de vérité

Dans l'idéologie Rockefeller, l'unique objectif est de vendre sans scrupule, d'asseoir une hégémonie et un pouvoir mondial. Breveter le vivant, tout refaire en molécules chimiques, nier toute médecine autre que la pharmaco-chimie, c'est l'idée de progrès affichée par tous les Trusts.
Cette politique n'a rien de démocratique et vise à modeler les masses à son gré en fonction de ses besoins (fondation, éducation, fausses normes scientifiques, propagande, destruction des médecines ancestrales et naturelles).
Le Codex Alimentarius croit pouvoir faire fi de l'opinion des peuples.
Le Codex pense pour vous, agit pour vous et vous protège de vous-même, selon des normes qui causeront votre perte.
Pendant ce temps, 800 000 personnes meurent tous les ans, dans la seule Amérique du Nord, sur ordonnances allopathiques.
Un rapport de l'ONU affirme d'ailleurs que sur 205 000 médicaments de ces industries, seuls 26 seraient indispensables.

Une résistance internationale s'organise

L'Afrique du Sud a affirmé qu'elle ne se conformerait pas aux directives du Codex Alimentarius. Le Ministre de la Santé Manto Tshabalata-Msimang a déclaré que son pays est en désaccord avec cette dichotomie entre médecine naturelle et médecine allopathique.
Selon ses conclusions, ces dispositions ne visent qu'à faire de l'argent à partir de remèdes brevetés et à discréditer l'usage des produits naturels.

L'Inde ne se conformera pas non plus aux directives du Codes Alimentarius, car il a fait la promotion de formules pour bébés contenant des ingrédients chimiques, causant une inflammation destructrice du cerveau chez les bébés sensibles. Le délégué indien chargé de plaider l'affaire auprès du Codex a été ignoré, et lorsqu'il insista pour un débat, il fut expulsé de la chambre.

Aux Etats-Unis, l'association des médecins et des chirurgiens américains a exprimé son opposition au Codex afin d'avoir recours à des remèdes naturels.

Au Royaume Uni, les médecins exerçant des médecines naturelles, supportés par les Membres de la Chambre des Lords, se sont fermement opposés à la politique pro-Codex de Tony Blair. Ce dernier est taxé d'hypocrisie, puisqu'il à été révélé publiquement qu'il utilise pour sa famille des remèdes naturels, des compléments alimentaires et l'homéopathie. Tony Blair sera président de l'Union Européenne précisément à partir du premier juillet 2005, jour d'application des directives du Codex.

Le réveil des consciences est amorcé

Fort heureusement, il existe les vrais biologistes, les authentiques médecins, les vrais thérapeutes ou chercheurs souvent violentés par l'arrogance des Cartels pharmaco-chimiques. Ils ont établi le concept de la bio-individualité fondé sur la liberté du choix thérapeutique des patients.
Cette conception suscite chez le patient l'esprit de recherche, offre des alternatives dans la manière de se soigner.
Cette approche s'adapte au patient plutôt que d'imposer un protocole thérapeutique de masse non individualisé.
La maladie a une connotation spécifique dans la vie d'un individu, ne pas en tenir compte c'est ramener l'homme au rand de machine sophistiquée. Or l'homme est bien plus qu'une machine mécanico-chimique.
Sans que la plupart des électeurs en ait conscience, le non massif à la Constitution européenne a été aussi par chance, un non au Codex Alimentarius. Les grands retards dont nous avaient menacés les marionnettes politiques vendues à la cause du « oui » concerneront surtout le camp des exploiteurs et en particulier, celui du Codex.


Climat Copenhague

Publié le 07/12/2009 à 13:48 par paranormalblog

Copenhague est figée dans un brouillard bleuté. 2°C. « C'est la première fois depuis de très nombreuses années que le thermomètre ne descend pas en dessous de zéro pendant tout le mois de novembre. Ici aussi nous ressentons les effets du réchauffement climatique », explique le membre d'une association de protection de l'environnement danoise à une jeune femme tout droit arrivée du Guatemala pour présenter un projet de parc naturel dans son pays. Le monde s'est donné rendez vous dans la capitale Danoise. Il fallait plus de trois heures, hier, pour se faire accréditer.

Ce matin, plus de 40 000 participants investiront le centre des congrès du Bella Center. Les délégations officielles d'abord, nommées par chaque gouvernement, qui vont mener les débats pendant deux semaines.....

suite nature et zen

Publié le 06/12/2009 à 10:54 par paranormalblog

Le romarin tire son nom du latin ros marinus, qui signifie « rosée de mer » par allusion au fait qu'il est natif du littoral méditerranéen, où il bénéficie d'un sol riche en calcium, d'un climat sec et des embruns maritimes. À l'état sauvage, il pousse en compagnie de la lavande, du thym et de la sauge. À elles quatre, ces plantes fortement aromatiques embaument le maquis du sud de la France comme ce n'est pas possible.

Une légende qui vieillit bien

Je me demande s'il existe une seule personne en ce bas monde qui n'ait jamais entendu parler de la fameuse légende de la reine de Hongrie, mais au cas où cette personne existerait, voici l'histoire. Vieille, paralytique et percluse d'arthrite, Élisabeth de Hongrie consulta un ermite, tout aussi usé qu'elle, paraît-il, mais plein de ressources, qui lui concocta un esprit de romarin pas piqué des vers et grâce auquel elle fut transformée en une délicieuse jeune femme que le roi de Pologne de l'époque - cela se passait en 1370 - s'empressa de demander en mariage. L'histoire ne dit toutefois pas à combien s'élevait la dot apportée par la dite reine...

Bref, traditionnellement, le romarin était considéré comme la plante antivieillissement par excellence, particulièrement pour ce qui a trait aux fonctions intellectuelles. Il y a d'ailleurs un adage qui dit que le romarin est à l'esprit ce que la lavande est à l'âme. En effet, le romarin était réputé pour stimuler l'activité cérébrale et améliorer la mémoire. C'est pour cette raison que les lettrés grecs le portaient en couronne lorsqu'ils devaient se livrer à des exercices intellectuels particulièrement exigeants.

Le médecin hygiéniste Kneipp considérait que c'était le tonique idéal pour les personnes âgées. Il recommandait de le prendre macéré dans du vin ou, encore, de prendre un bain dans lequel il avait trempé. Il a d'ailleurs servi à soigner nombre de maladies qui touchaient essentiellement les personnes âgées : faiblesse générale, surmenage physique et intellectuel, accompagné de perte de mémoire, hypotension, impuissance, divers troubles cardiaques d'origine nerveuse, vertiges, syncopes, rhumatismes, séquelles de paralysie, faiblesse des membres, hypercholestérolémie, cirrhoses, faiblesse de la vue.

L'industrie agroalimentaire a récemment découvert les puissantes propriétés antioxydantes du romarin. La plante pourrait en effet remplacer le BHT et le BHA, deux antioxydants de synthèse utilisés pour la conservation des aliments, mais qui ont l'inconvénient de présenter un risque cancérogène. En fait, ces propriétés, on les connaissait depuis longtemps puisque, avant l'avènement du réfrigérateur, on s'en servait pour conserver la viande, mais l'odeur et la saveur fortement aromatiques de la plante ne permettaient de l'utiliser que dans quelques rares mets avec lesquels elle est compatible. Ceci a changé dans les années 90 lorsqu'on a réussi à extraire ses principes antioxydants sans son huile volatile. En théorie, on peut donc l'utiliser en remplacements des contestés et contestables BHT et BHA. En théorie seulement, puisque l'extrait n'est toujours pas approuvé par les autorités américaines ou canadiennes.

Entretemps, consommons-le nature et, pour l'avoir bien frais et exempt de tout résidu de produits chimiques, cultivons-le. Et puis tiens, pourquoi ne pas offrir un plant à l'occasion de la fête des Pères. Avec une carte qui dirait quelque chose du genre : « Cher paternel, comme je voudrais te garder encore bien longtemps, voici un agent de conservation de premier ordre. »

Culture

Le romarin ayant un très faible taux de germination, il est préférable de se procurer un ou des plants en jardinerie ou dans des maisons spécialisées. Richter's (http://www.richters.com) vend une quinzaine de variétés différentes à des prix qui vont de 3 à 6 dollars. Plantez-le dans un coin ensoleillé du jardin ou dans la plate-bande de fleurs en évitant les endroits où le sol est mal drainé. Dès la première saison, il prendra une bonne envergure (je dirais environ 30 centimètres de diamètre), alors tenez-en compte.

Le romarin n'est pas rustique sous nos climats. Même le cultivar « Arp », supposé être résistant au froid, ne survit que dans les zones 6 et plus (le sud du Québec se trouve en zone 4b - 5), et encore, avec une bonne protection d'hiver. Il pourra peut-être survivre à des hivers particulièrement doux si on le protège adéquatement, mais rien n'est moins garanti. Dans tous les cas, procédez ainsi: à l'automne, taillez les tiges environ de moitié. Paillez le plant de façon à l'enterrer entièrement et recouvrez-le d'une toile de jute.

La meilleure chose à faire, c'est peut-être d'empoter le plant avant les gelées d'automne et de le garder à l'intérieur dans un endroit relativement frais. La déshydratation étant son pire ennemi (n'oublions pas que dans son milieu naturel, il est constamment exposé aux embruns de la mer), il faut éviter de le mettre à proximité d'une source de chaleur ou de le placer devant une fenêtre exposée au sud. D'un autre côté, il ne doit pas avoir les pieds dans l'eau, au risque de pourrir par la racine. On recommande donc de placer le pot sur un plateau contenant du gravier ou de l'argile expansée et rempli d'eau à mi-hauteur ou encore de vaporiser ses feuilles un jour sur deux. La variété « Blue Boy » serait particulièrement adaptée à la culture en pot à l'intérieur. Il faut éviter de le fertiliser durant l'hiver. Attendez de le transplanter en pleine terre au printemps suivant pour lui mettre un peu de compost et, si la terre est acide, une poignée de chaux.

Et si, malgré tous ces conseils, vous perdez votre romarin, et bien sachez que c'est parce que vous n'êtes tout simplement pas assez vertueux. En effet, d'après un autre adage, la plante ne tolère que la compagnie des êtres de très grande vertu.

Essayez le romarin dans...

Tout ce qui est pâte à pain, à fougasse, à pizza.

La gelée de pomme.

Les plats de viandes rôties, particulièrement l'agneau et le porc, ou insérez quelques tiges dans la cavité des volailles que vous avez l'intention de cuire au four.

Les marinades pour viandes braisées ou pour brochettes.

L'huile d'olive, que vous préparerez ainsi : remplissez un bocal de verre de branches de romarin, recouvrez d'une bonne huile d'olive pressée à froid, laissez macérer au soleil deux semaines, filtrez en exprimant et conservez au frais dans un flacon opaque; arrosez une tranche de pain, des pommes de terre bouillies ou des légumes cuits d'un filet de cette puissante huile aromatique.

Le vin : faites macérer une poignée de tiges dans 2 litres de vin blanc pendant quelques jours, puis filtrez.

Les herbes de Provence : une partie de chacune des herbes suivantes, séchées : sarriette, marjolaine, origan, romarin; 4 parties de thym séché; mélangez intimement les herbes et conservez-les dans un flacon de verre ou de céramique.

Une infusion : deux cuillerées à thé de feuilles ou de fleurs par tasse d'eau bouillante. Infusez 10 minutes. Prenez une tasse avant ou après les repas.

Un bain : à prendre de préférence le matin, car il est stimulant. La dose est de 500 grammes pour les adultes et 250 grammes pour les enfants.

Le truc du cuistot

Débarrassez les tiges de leurs feuilles, en ne gardant qu'une petite touffe au sommet, et utilisez-les pour les brochettes. Ou jetez des feuilles sur le gril du barbecue lors de la cuisson.