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Date de création : 07.03.2018
Dernière mise à jour : 16.08.2024
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Les "Chiasseurs" dans toute leur bassesse

Publié le 08/03/2018 à 11:42 par nohunting Tags : chasseurs imposteurs chasse psychopathes
Les "Chiasseurs" dans toute leur bassesse

 

Les chasseurs, ces individus en grande majorité méprisables qui pourrissent la vie des animaux sauvages, mais aussi celles de beaucoup de gens qui se passeraient volontiers de ces psychopathes, plus dangereux que les malades mentaux. Les animaux sauvages ont dû malheureusement s’habituer, non seulement à leurs coups de feu, mais également aux hurlements poussés par ces prédateurs, dont beaucoup sont en rut, cherchant leur jouissance lors de battues. L’Europe compte plus de 7 millions de chasseurs ; la France s’y distingue en étant le premier pays cynégétique (loin devant l’Espagne et le Royaume-Uni) et un des rares pays qui connaît une hausse des chasseurs.

 

 

Petit résumé historique  :

Source:https://www.alimentarium.org/fr/savoir/l%E2%80%99histoire-de-la-chasse

 

« Apparue il y a environ trois millions d’années, la chasse a perduré depuis, en parallèle avec d’autres activités nourricières comme l’élevage. Dès le Moyen Âge, la chasse est le privilège de la noblesse lié au droit de propriété des terres. Après la Révolution française, elle se démocratise massivement mettant à mal l’écosystème forestier. Devenue principalement une activité de loisir, elle obéit désormais à des législations strictes pour la préservation de la faune et de son environnement. »

À la lecture du dernier paragraphe, on ne peut s’empêcher de ricaner…

 

Les humains sont passés de la nécessité au loisir. D’abord alimentaire pour une question de survie, l’agriculture a fait son apparition au Néolithique et l’élevage a relégué la chasse au second plan, devenant une pratique défensive ayant pour but de protéger des animaux « dévastateurs » les cultures des populations d’agriculteurs (et oui, l’homme ne partage pas avec la vie sauvage ; il se sert sans vergogne de la nature, prend sans rien donner en échange et surtout, ne partage pas avec les autres mammifères !).

 

La chasse comme privilège apparaît durant l’Antiquité ; les cultures et l’élevage couvrant les besoins alimentaires de base, la chasse offrait un choix plus large de viandes aux classes privilégiées, se doublant d’une signification symbolique et sociale ; les élites chargées des armées pouvaient montrer et prouver par la chasse leurs aptitudes de guerrier (sous-entendu assouvir leurs bas instincts de tueurs). La pratique de la chasse se codifie durant le Moyen Âge. En France, à la Renaissance, la chasse à courre, ou vénerie, devient un art de vivre sous le règne de François premier (et dire que cette pratique honteuse perdure encore…). Grâce à la « merveilleuse » Révolution, le privilège aristocratique est abolit et la démocratisation de la pratique entraîne une vague de chasse généralisée qui met à mal l’écosystème forestier en causant en certains endroits la disparition de certaines espèces. Sous Napoléon premier, des permis sont introduits pour préserver la faune, permis qui circonscrivent tant la période que les lieux de chasse (ça ne devait pas fonctionner plus mal qu’aujourd’hui, quelle évolution…). Au 19ème siècle, le coût du permis étant exorbitant, le braconnage a repris de plus belle, pour la nourriture ou la fourrure.

 

De nos jours, la chasse est principalement devenue une pratique de loisir, visant soi-disant à réguler les populations de gibier. Depuis longtemps, ce prétexte fallacieux a été démystifié et n’est plus invoqué que par les détracteurs de la vie sauvage qui n’ont d’autres buts que d’induire la population en erreur, afin de favoriser l’économie, au détriment de l’écosystème ; la mauvaise foi de ces ennemis de la nature n’a d’égale que leur prévarication. Quant à la question ; « Les chasseurs sont-ils nécessaires pour « réguler » la faune, la réponse est NON. La nature se débrouille bien mieux toute seule, à condition qu’on lui en laisse la possibilité, ce que l’homme ne fait que rarement, Les prédateurs naturels sont trop souvent exterminés, classés injustement dans la catégorie des nuisibles (entendons par là, nuisibles aux intérêts des hommes). On s’emploie à présenter la chasse comme indispensable, cette activité prétendue nécessaire à l’équilibre de la faune. Chaque année, près de 20 millions d’animaux (faisans, lièvres, lapins, perdrix, etc…) sont élevés ou importés pour être lâchés par les chasseurs dans la nature, parfois le matin même d’une partie de chasse, ceci dans l’unique but de fournir suffisamment de cibles vivantes pour garantir un bon tableau de chasse et parallèlement, justifier la régulation. Comme les prédateurs naturels sont systématiquement éliminés par les chasseurs, l’équilibre est rompu, permettant à ces tueurs patentés de pratiquer leur activité « sportive » favorite. Les renards, les martres, les fouines, les belettes, les putois sont même classés « nuisibles », un non-sens écologique, et sont ainsi tués toute l’année. Quant aux espèces protégées comme l’ours, le loup, le lynx et certains rapaces, leurs populations sont devenues très faibles à cause des chasseurs, des braconniers, et subissent la pression des chasseurs qui obtiennent chaque année des autorisations de tirs lorsque ce n’est pas en toute illégalité que ces animaux sont tués. Tuer les prédateurs et en même temps, élever et lâcher des millions d’animaux pour ensuite se mettre en position de « sauveurs » « régulateurs » indispensables relève de la pure imposture et de l’hypocrisie. La chasse aggrave et précipite la disparition des prédateurs naturels. La faune s’équilibrait naturellement depuis des milliers d’années. Cet équilibre a été rompu par l’homme et ses chasseurs ; les petits prédateurs ne peuvent plus compenser leur mortalité artificielle et contrairement à leur prétendue pullulation, nous assistons au contraire à leur disparition, un état de fait qui contribue à détruire les écosystèmes.

 

 

Quelques aberrations :

 

- En 2018, tout comme en 2017, 450 candidats à la chasse vont pouvoir bénéficier d’une formation gratuite. Un permis à 0 euro alors qu’il coûte 140 euros. But avoué : augmenter le nombre de chasseurs qui diminue (pas assez à notre goût), ce qui est un problème car si la chasse est un loisir, c’est aussi une économie qui profite aux territoire (on cite au passage Decathlon qui fait de scandaleuses campagnes publicitaires pro chasse dans certaines de ses succursales). Dans certaines régions, on compte 15% de femmes candidates à la chasse ; il y a parfois jusqu’à 5 membres de la même fratrie dans certaines familles.  Les bouffons de la détente ont encore de la ressource…

 

- Il y a encore beaucoup trop de députés qui subventionnent la chasse. Il n’y a qu’à voir les récentes prises de position de M. le Président de la République concernant la chasse à courre notamment. Certains élus prennent des décisions abusives pour soutenir la chasse et ses pratiquants (il y a régulièrement des dérogations pour autoriser le tir d’espèces protégées, y compris des oiseaux migrateurs !!!). Ségolène Royal, Hulot, Borne, aucune différence, le système est pourri jusqu’à l’os. Déni de justice, déni écologique des Ministres français de l’environnement, du chef de l’Etat, c’est à désespérer.

 

- Les chasseurs prétendent avoir besoin de la faune et de la flore, tout en sachant les préserver. La bonne blague !

 

- L’interdiction de la chasse le dimanche. Soi-disant, 78% des Français seraient pour. La question ne se pose même pas ; la chasse n’a déjà plus aucune raison d’exister depuis longtemps et devrait être complètement interdite, 7 jours sur 7. La population devrait pouvoir se promener en toute sécurité dans les forêts et campagnes tous les jours, sans devoir craindre de prendre une balle perdue (entre parenthèses, certaines ne sont pas si perdues que ça…). Les vrais nuisibles sont les chasseurs et ceux qui les soutiennent ; en gros, tous les ennemis de la nature et de la vie sauvage.

 

- La clémence dont bénéficient les chasseurs est tout à fait scandaleuse ; homicides à peine condamnés (des chasseurs ont été condamnés trois ans après une battue), conduite et chasse en état d’ivresse presque tolérées, intimidation de riverains ou de promeneurs sans être poursuivi, les plaintes sont souvent classées sans suite, quand ce n’est pas la police qui soutient ouvertement les méthodes musclées, les pratiques abusives ou les comportements agressifs des chasseurs (en Angleterre par exemple, pour la chasse à courre. En France, on se souvient bien de l’affaire Alain DRACH en forêt de Compiègne). Quand à l’Office national de la chasse et de la faune sauvage, quand on sait que son financement est assuré à 70% par les seuls chasseurs au moment de la validation annuelle de leur permis, tout est dit !

 

- Les lieutenants de louveterie, dont les prérogatives sont totalement inadmissibles. Ils figurent parmi les pires ennemis de la faune sauvage. Ces individus sont les sbires des préfets et sont placés sous leur autorité pour intervenir localement dans le domaine de la chasse ; ils sont bénévoles. Ils peuvent préparer, coordonner et mettre en œuvre des opérations, avec l’aide d’autant de chasseurs qu’ils jugent nécessaires. Une ineptie complète.

 

 

Quelques chiffres :

Au niveau des accidents de chasse, quelques exemples de la dangerosité des chasseurs :

 

Un chasseur prend sa tante pour un lapin et lui tire dessus.

Un petit-fils tire sur sa mamie, son papy condamné.

Un cheval abattu. Le chasseur l’avait confondu avec… une biche. Il a déclaré que l’animal était au mauvais endroit au mauvais moment !!!

Un chasseur voit arriver un cochon, tire, et la balle frappe un enfant de 5 ans.

Un car transportant une quarantaine d’adolescents touché par une balle sur l’autoroute.

Un chasseur croit tirer sur un loup et tue la chienne d’un couple de randonneurs.

Quatre âne tué par le même chasseur ; il aurait confondu (4 fois !) les ânes avec des cervidés…

Une balle de chasse traverse la portière d’une voiture en marche.

Un chasseur exécute un loup (le loup étant soi-disant une espèce protégée).

Une promeneuse blessée par le tir d’un chasseur.

Un couple de loups exécuté.

Une femme tuée par un chasseur alors qu’elle se trouvait dans son jardin.

Un husky abattu par un chasseur.

Il vise un sanglier et tire sur une génisse.

Un étalon abattu d’une balle dans sa prairie.

Des plombs sur les maisons de riverains.

Un cerf abattu dans une propriété privée avec l’aide des gendarmes.

 

La liste est beaucoup trop longue, on va s’arrêter là.

 

 

Profil psychologique :

 

Habitat : principalement les bistros de poivrots et les cabanes de chasse ravitaillées régulièrement en boissons spiritueuses. Les lisières de forêts bien sûr, pour leurs jeux de massacre ; les abords des autoroutes sont très prisées et la proximité d’habitations est un plus. Tout seul le chasseur est déjà incurable ; en groupe, cette catégorie de dangers publics est une véritable calamité.

 

Véhicules : ces parasites ambulants adorent les gros 4x4 avec beaucoup de place à l’arrière pour y transporter leurs esclaves chiens de chasse (accessoirement) mais surtout les caisses de boissons alcoolisées, les cartouches… de clopes, le fusil étant posé sur la banquette arrière et pour les plus fêlés, accroché à un emplacement spécial dans l’habitacle. Dans certains pays de tarés, le must est d’avoir une rampe de phares sur le toit pour chasser la nuit, si possible avec des pick-ups, véhicules qui permettent à plusieurs illuminés de se tenir debout à l’arrière tout en pouvant tirer sur tout ce qui bouge.

 

Vêtements : les chasseurs aiment s’affubler de gilets aux couleurs vives ; l’orange est très tendance… La casquette ou le chapeau est de mise. Pantalons peu moulants avec de grandes poches (pour le sauciflard et le tire-bouchon), veste de chasse avec beaucoup de poches dont certaines prévues pour les cartouches et les canettes de bière, de grosses bottes genre éclaffe-m…, etc. Pour entrer un peu plus dans le détail, quelques exemples d’accessoires utilisés par ces braves gens : compteur de gibier, couteau à dépecer, fanions de sécurité, tir gibier, savon anti-UV et anti-odeur (si, si…), agent neutralisant d’odeurs, détecteur de brise, humus agent masquant d’odeurs en spray, câble de tirage, révélateur de sang, hache, luge et câble de traction avec poignée, mallette de premiers secours pour chien, capteur et détecteur de mouvement pour gibier, détecteur photographique de mouvement (caméra de chasse ou piège photographique, certaines à infrarouges), trompes et cornes d’appel, chaufferette, masque de visage chauffant, trépied pliant ou siège de battue ou canne siège ou fauteuil pliable (le sport, ça fatigue...), lunettes anti-plombs (dommage, pour une fois qu’ils en auraient dans la tête), amortisseur de recul pour leurs pétoires (petits joueurs va !), bouchons d’oreilles (peu utilisés ; avec la crasse qu’ils ont dedans, pas besoin), talkies walkies, portable anti-chocs (vu leurs doigts de fées…), etc.

 

Equipement : le fusil phallus bien sûr (avec réducteur de son pour les plus vicieux), plein de cartouches (important les cartouches; pratique pour laisser un maximum de déchets polluants en forêt), la trompe ou corne de chasse (un long couinement pour l’heure du coup de rouge… et plein d’autres codes pas forcément unifiés sur tout le territoire qu’ils retiennent mieux que les consignes de sécurité ; le code de l’accident de chasse n’est pas le moins utilisé…), jumelles, mouchoirs pour essuyer la bave aux lèvres et les yeux injectés lors de la curée, téléphones portables pour ameuter les autres tarés. Lunettes de vue mais certains les oublient (déjà qu’ils sont fin bourrés) et tirent sur tout ce qui bouge en prétextant après coup avoir vu un animal sauvage ; en fait, la liste des victimes d’erreurs de chasse est longue, sans compter les balles perdues qui viennent se ficher un peu partout, y compris dans des habitations. On ne compte plus les accidents de chasse mortels, dont sont victimes d’innocentes personnes (les chasseurs sont aussi victimes d’accidents parfois mortels, mais ils ne peuvent être considérés comme totalement innocents).

 

 

Morceaux choisis :

Source : http://lest.forums-actifs.com/t12-analyse-psychologique-du-chasseur

 

Psychopathologie

Le futur chasseur, souvent, a évolué dans un environnement familial où l’animal est peu considéré et la chasse banalisée. Si l’enfant ne devient pas chasseur à son tour, il est considéré par les membres de sa famille comme déloyal. Sa "virilité" peut être remise en question. La violence est transmise de génération en génération.


Nous trouvons chez ses sujets des traits de la perversion sexuelle comme la jouissance, la domination et l’hostilité envers l’animal qui peut être dénommé « nuisible ». Il manipule la population par des arguments tels que la régulation. Cet argument ne tient pas debout puisqu’il est responsable d’avoir tué les prédateurs provoquant ainsi le déséquilibre de la nature, d’où "le lâché d’animaux d’élevage".


Il utilise le terme de « tradition » pour justifier son plaisir de tuer. Encore un argument sans valeur. Le passé est là pour nous aider à ne pas refaire les mêmes erreurs par l’apprentissage et la transmission du savoir. A une époque donnée, un acte peut être adapté aux contextes mais ne l’est plus à un autre moment. La chasse était nécessaire dans les temps préhistoriques ; nous ne connaissions pas toutes les données scientifiques de l’animal comme être sensible. De plus, la chasse est inutile dans notre société qui surexpose de l’animal en tranche dans les supermarchés !!!


Aujourd’hui, la chasse est un plaisir que certains nomment « un sport ». Un sport est une activité ludique qui a pour but de se faire du bien sans nuire à autrui. Or, dans cette activité là, il y a une victime.


On retrouve des éléments de perversité comme le sadisme où le plaisir est recherché dans la souffrance de l’animal. Celui-ci est considéré comme un objet ; le droit à la vie est nié. Lorsqu’il parle de sa victime, le chasseur n’a aucune compassion pour elle, ni empathie, ni regret, ni culpabilité ; au contraire, il ressent de la jouissance. La domination d’un être sensible lui donne de la jouissance sexuelle.


L’activité des chasseurs se pratique le plus souvent en groupe, cela peut faire penser à ce qu’on appelle les "tournantes". Plusieurs personnes se regroupent autour d’une même victime dont le but est de se prouver à chacun sa "virilité". Non seulement la victime est traquée mais elle n’a aucune chance de pouvoir s’en sortir ; c’est un piège qui se referme sur elle...

 


Devenir

Le chasseur ne peut pas s’arrêter de tuer. De plus, ses meurtres sont banalisés par la société et autorisés. Contrairement aux tueurs en série, ils sont plus nombreux et ne sont pas hors la loi car la victime est un animal non humain. La récidive est de 100/100. Il n’y a ni compassion, ni empathie, ni remord, ni culpabilité pour leurs victimes. Leur nombre va en décroissant avec l’évolution de la société dite plus civilisée.

 

 

DIFFERENCE ENTRE TUEURS EN SERIE ET CHASSEUR


La seule différence est le statut des victimes dans notre société. L’animal non humain est considéré comme un objet utilitaire et sous la domination de l’homme car dans le Droit français, l’animal est considéré comme "un matériel", "un objet" que l’on possède alors que les animaux humains sont considérés comme le « roi de la création » où "tout" lui est permis. Donc, la chasse aux animaux non humains est légale car l’animal n’a aucun droit....


De plus, le chasseur français a droit à 10% de perte d’où les nombreux accidents qui passent inaperçus et l’absence de poursuites pénales...


L’animal non humain est victime de l’indifférence des humains et de son injustice. La fuite de l’animal montre son envie de vivre, lui aussi...


Un chasseur est un prédateur, tel un tueur en série qui chasse, traque sa proie et la tue, pour en retirer une jouissance sexuelle dans sa toute puissance. Il s’agit d’acte de cruauté envers la victime. Le résultat est le même : la mort d’un innocent.


« J’ai ça dans le sang ! (…) on a beaucoup comparé la chasse à l’acte sexuel. Il y a le plaisir des préparatifs, puis celui, crescendo, de l’approche, de l’attente. Puis la jouissance de la capture ! Et après, quand on a l’animal encore chaud dans la main, il y a cette petite mort post-coitum, ce moment de dépression où l’on regrette presque de l’avoir tué…car la mort est indissociable de la chasse (…) » Paul Havet, chasseur d’animaux non humains . Télérama hors série, 146H, « bêtes et hommes ».

 

 

En résumé, ces individus commencent à nous faire sérieusement ch..., ainsi que tous ceux qui les soutiennent, que ce soit ce pitoyable gouvernement, son paltoquet de président et sa conna... de ministre de la transition écologique (qui dépasse les "Bornes"), ou encore les couards, les tordus et les vicieux qui abondent dans une population majoritairement dégénérée.

 

 

 

Sources :

Commentaires (1)

Anonyme le 24/05/2019
Tout à fait d accord


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