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lolita1902
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26.04.2008
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02.07.2025
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Derniers commentaireset un autre aussi beau comme un latino.. http://thelirz achronicles.ce nterblog.net
Par Lars de Winter, le 24.10.2024
encore un autre! http://thelirz achronicles.ce nterblog.net
Par Lars de Winter, le 24.10.2024
bonjour depuis baku. vous etes bien? beau mec celui la! http://thelirz achronicles.ce nterblog.net
Par Lars de Winter, le 24.10.2024
grand merci !!! de la part du marquis de vissec ... http://vissec. free.fr
Par Anonyme, le 28.08.2024
bjr
Par Anonyme, le 19.08.2024
Amphitrite (Gr. 'Aμφιτρίτη; Lat. Amphitrite), la Néréide, fille de Doris et de Nérée, (Théogonie, 243 et Apollodore I,2,7) toutefois ce même Apollodore (I,2,2 et I,4,7) parle d'elle comme une Océanide née de l'union de d'Océan et Téthys. Triomphe d'Amphitrite Frans FRANCKEN © Museo del Prado, Madrid Elle fut recherchée en mariage par Poséidon, depuis qu'il l'avait vue danser sur les plages de Naxos; mais elle préféra se cacher chez le Titan Atlas pour lui échapper car elle craignait ce dieu aux colères redoutables qui ne faisait que se disputer avec toutes les autres divinités. Partout, il lui envoya des messagers parmi lesquels Delphinos qui sut si bien plaider la cause de Poséidon qu'elle céda et accepta de devenir sa femme et la personnification féminine de la mer. Pour le récompenser, l'image de Delphinos fut placée au milieu des étoiles pour devenir la constellation du dauphin. Amphitrite et Poséidon Mosaïque du IV ième siècle © Musée du Louvre Elle lui donna trois enfants: un fils Triton, et deux filles: Rhodè qui donna son nom à l'île de Rhodes et fut mère des Héliades par Hélios selon Pindare, mais certains pensent qu'elle serait la fille de Poséidon et d'Halia soeur des Telchines; Benthésicymé, qui s'établit en Éthiopie et se maria avec Enalos dont elle eut deux filles et qui éleva Emolpos, le fils de Poséidon et de Chioné. Le rôle d'Amphitrite est assez secondaire; elle n' a pas de culte connu et n'apparait que très brièvement dans les légendes. On sait qu'elle a assisté à l'accouchement de Léto. Epouse calme, Amphitrite supporta patiemment les multiples infidélités de Poséidon. Une seule fois elle manifesta sa jalousie : ce fut à l'égard de la nymphe Scylla, qui était d'une grande beauté. Furieuse de l'amour que Poséidon lui témoignait, Amphitrite jeta des herbes magiques dans la source où Scylla se baignait, et la nymphe fut changée en un monstre affreux. Cette métamorphose est en général attribuée à Circé. ❖ Arts. Tableau Amphitrite Cliquer pour obtenir d'autres œuvres La représentation d'Amphitrite est peu abondante dans l'art grec où elle est le plus souvent aux cotés de son époux, les cheveux retenus par un filet et des crabes en guise de broches. Chez les Romains on la représentait allant sur les eaux sur un char trainé par des dauphins ou des chevaux marins et accompagnée de Tritons et de Néréides. Dans la période moderne les représentations d'Amphitrite se limitent principalement à son triomphe avec de nombreuses créatures marines ou en compagnie de son époux le plus souvent sur son char.
Trouver sur le site :
https://mythologica.fr/grec/amphitrite.htm
Aphrodite (gr. Αφροδιτη, lat. Aphrodita) est la déesse de la Beauté, de l'Amour, du Plaisir et de la Procréation. Elle fait partie des douze grands dieux Olympiens et elle a une place très importante dans les récits mythologiques et poétiques. Elle fut assimilée à Vénus chez les Romains. ❖ Fonctions. Vénus, Cérès et Bacchus Ses fonctions et ses épithètes étaient très variées et reflètent les trois principaux aspects de la déesse : terrestre, marine et céleste. Elle était à la fois la déesse de l'amour céleste (Ourania ou Urania; Aphrodite fut adorée sous ce nom à Argos, Athènes et Scyon. Elle y apparaît sous les traits d'une déesse digne et grave), déesse du mariage (Nymphia), ou protectrice des courtisanes (Hétaïra), la déesse marine (Pontia), ou protectrice des acropoles (Akraia).
Trouver sur le site :
https://mythologica.fr/grec/aphrodite.htm
Artémis (Gr. Aρτεμις; Lat. Artemis) était une des grandes divinités du panthéon grec, qui sera identifiée plus tard à Diane chez les Romains. Fille de Zeus et de Léto, elle était la sœur jumelle d'Apollon et souvent associée à ses exploits. Elle fait partie des douze Olympiens. En réalité, il y eut sous ce nom plusieurs divinités très différentes: l'Artémis hellénique, déesse lunaire, est bien différente de l'Artémis sanguinaire de Tauride ❖ Fonctions & Attributs. Diane Diane de Versailles ©Musée du Louvre Belle et grande jeune femme aux boucles d'or (Hippolyte, Euripide, 73 sqq.) qui dépassait d'une tête toutes ses suivantes, Artémis se plaisait dans les champs, dans les bois et près des sources elle aimait la chasse, et poursuivait les bêtes fauves. Elle était la déesse de la Chasse mais aussi la patronne des animaux sauvages. Farouche et vindicative, les anciens lui attribuaient certaines morts comme celles des femmes en couches ou des morts subites. C'est la déesse des jeunes filles vierges qui lui consacrent les objets chers de leur adolescence. Au moment de se marier, Timaréta t'a consacré ses tambourins, le ballon qu'elle aimait, la résille qui retenait ses cheveux, à toi la Limnatis. Et ses poupées, elle les a dédiées, comme il convenait, elle vierge, à la déesse vierge Artémis, avec ses vêtements de jeune fille. En retour, fille de Léto, étends la main sur la fille de Timarétos, et veille pieusement sur cette pieuse fille. (Épigrammes poétiques, traduction Pierre Waltz) Mais c'est aussi la déesse des parturientes qui la remercient lorsque l'accouchement s'est bien terminé. Des sandales, un magnifique bandeau, une boucle détachée de ses beaux cheveux, frisée et parfumée, une ceinture, ce fin tissu qu'elle revêtait sous sa tunique et l'élégante bande d'étoffe qui soutenait sa poitrine : voilà ce qu'Euphrantê, délivrée par un heureux accouchement du fardeau qu'elle portait dans son ventre, a consacré dans le temple d'Artémis. (Épigrammes poétiques, traduction Pierre Waltz) Elle aussi présidait au chant, escortée par les Muses, les Charites ou les Nymphes. Elle était la déesse protectrice des Amazones qui étaient, comme elle, chasseresses et indépendantes du joug des hommes. Elle était aussi la protectrice des jeunes enfants et des jeunes animaux. ▼ OLYMPIENS ▼ Ses attributs sont l'arc d'or, les flèches, le carquois ou encore la torche (statues du Vatican) et le croissant de lune qui ornait son front. Son char était tiré par quatre cerfs aux bois dorés. Le chien, le cerf ou la biche, la chèvre, le taureau, la tortue étaient souvent représentés à ses côtés.
Trouver sur le site :
https://mythologica.fr/grec/artemis.htm
Athéna (gr. Αθηνη; Lat. Athena) est la grande déesse olympienne aux sages conseils, elle est à la fois la déesse de la Guerre et la défense des cités, de la Sagesse, protectrice des héros et patronne des artisans et de l'artisanat (poterie, tissage, sculpture...) Elle fait partie des douze Olympiens. Les Romains l'assimilèrent à Minerve. Les diverses étymologies de son nom ne sont pas réellement satisfaisantes. Hérodote a le premier identifié Athéna avec Neith, la déesse égyptienne de Saïs; cette identification a été par la suite justifiée par toutes sortes de légendes, telles que l'origine égyptienne de Cécrops. De même l'assimilation d'Athéna avec la déesse perse Anaïtis ou Anâhita dérive d'un passage assez peu clair de Plutarque. Certains ont voulu retrouver dans son nom une racine sanscrite "vadh" qui signifie "frapper". Les origines grecques comme "fleur" (αθοζ) ou "nourrice" (τιθηνη) ne sont pas meilleures. Il semble, en tout cas, que le nom de la déesse et celui de la ville d'Athènes soient étroitement liés ; l'un dérive de l'autre"; mais on ne saurait dire lequel fut le premier. Attributions. Personnification des Arts de la Paix mais aussi de la Guerre, Athéna avait des attributions les plus variées. ① Attributions poliades. Protectrice de la cité, Athéna était la gardienne des villes, elle habitait les temples situés sur les lieux ayant une importance stratégique au point de vue défensif, comme l'acropole ou la citadelle de la ville. ② Attributions guerrières. Divinité guerrière, elle représentait la bravoure réfléchie. Elle n'aimait pas les batailles; au contraire, elle était heureuse quand elle pouvait faire cesser une querelle ou lorsqu'elle pouvait soutenir le droit par des moyens pacifiques. En temps de paix elle ne portait pas d'armes, quand elle en avait besoin, elle les empruntait généralement à Zeus. Elle était encline à la clémence: lorsque les voix des juges étaient à égalité dans un procès à l'Aréopage, elle votait toujours de manière à faire libérer l'accusé. Cependant une fois engagée dans la bataille elle n'était jamais vaincue, même contre Arès, car elle possédait une meilleure connaissance de la stratégie et les sages capitaines s'adressaient toujours à elle lorsqu'ils avaient besoin d'un conseil. Elle paraissait souvent dans la mythologie, lutta contre les Titans, entra en rivalité avec Poséidon, protégea des héros: Héraclès, Persée, Bellérophon, Ulysse, etc. ③ Attributions industrielles et commerciales. Elle passe pour avoir inventé divers instruments aratoires comme la charrue ou le râteau et l'attelage du boeuf. En Arcadie, on lui attribuait l'invention du quadrige. Elle préside au travail du bronze d'art et de tous les objets d'art fabriqués de main d'homme. Elle dirige notamment les travaux de la femme, où elle excelle. (voir Arachné) ④ Attributions agricoles. Divinité agricole elle dota l'Attique de l'olivier et du figuier; elle a appris aux Cyrénéens et aux Barcéens à élever et à atteler les chevaux. ⑤ Attributions politiques et pacifiques. Protectrice de la ville d'Athènes et des acropoles. La déesse joue aussi le rôle de protectrice de ses guerriers favoris, Diomède, Ulysse, Achille, Agamemnon. Elle fait jaillir du feu de la tête et des épaules de Diomède (Iliade V,7), entoure Achille de flammes (Iliade XXVIII, 203). Athéna est la déesse du bon gouvernement et la protectrice du droit. Elle inspire les conseils de l'État, les assemblées, les tribunaux et veille sur les institutions de la cité en temps de paix. ⑥ Attributions intellectuelles. Divinité de la Sagesse et de l'Intelligence, elle présidait aux arts, aux inventions, aux assemblées, à l'éloquence. Athéna inventa la flûte, la trompette. C'est elle la première qui enseigna les nombres et tous les arts pratiqués par les femmes. ❖ Attributs Egide Et, au milieu d'eux, Athéna aux yeux clairs portait l'Egide glorieuse, impérissable et immortelle. Et cent franges d'or bien tissées, chacune du prix de cent boeufs, y étaient suspendues. la chouette, • le casque d'or, • l'égide (empruntée à Zeus) , • le bouclier orné de la tête de Méduse, • la lance d'or, • l'olivier, • le Serment, • la Victoire ailée.
Trouver sur le site :
https://mythologica.fr/grec/athena.htm
Déméter (Gr. Δημητηρ; Lat. Demeter) dont le nom, sans doute une altération d'un mot grec qui signifie de "Terre-mère", était la déesse de l'agriculture et des moissons. Elle représentait la terre cultivée et féconde contrairement aux autres déesses comme Gaïa ou Rhéa qui personnifiait la terre en tant que matière. C'est elle qui facilitait la germination et la pousse des plantes. Elle était la fille de Cronos et Rhéa. Elle fait partie des douze Olympiens même si elle préférait résider à Eleusis au contact de la terre que sur l'Olympe. Elle fut assimilée par les romains sous le nom de Cérès qui était une divinité latine très ancienne associée aux moissons. ❖ Attributions La base de l'économie grecque reposait principalement sur la culture des céréales (orge et blé) c'est pourquoi elle était particulièrement vénérée en assurant l'abondance et l'épanouissement des cités. Elle resta toujours très proche des Hommes qui construisirent en son honneur un grand nombre de temples à travers toute la Grèce. En tant que déesse de la terre elle avait aussi un caractère chthonien qui fut par la suite dévolu à sa fille Perséphone. ❖ Attributs ▼ OLYMPIENS ▼ La truie, le bélier, la grue et la tourterelle ainsi que la couronne d'épis de blé, le flambeau, et la gerbe de blé sont ses emblèmes. ❖ Amours Cérès de Jean-Antoine Watteau (CP) Sa beauté sévère attira toutefois quelques prétendants à qui elle tenta de résister. ① POSEIDON Alors qu'elle était en Arcadie, Poséidon la convoita mais elle se transforma en cavale et se mêla aux juments du roi Oncos. Cependant il en fallait plus pour décourager le maitre des eaux qui à son tour prit la forme d'un fougueux étalon et la rendit mère du cheval Arion (ou Areion) qui était immortel, doué de parole. et avait une magnifique crinière verte. (Apd. II, 77). Pausanias (VIII, 25,5) donne une autre version en faisant Gaïa la mère d'Arion; il existe aussi une filiation par Zephyr et Podarge. Héraclès, l'avait chevauché quand il fit la guerre aux Eléens et il le donna par la suite à Adraste. Ils eurent aussi une fille que l'on connait seulement sous le nom de Despoina ou Despina, "la maîtresse" , car son nom réel n'était révélé qu'aux seuls initiés. ② ZEUS Déméter se refusa pareillement à Zeus qui, lui aussi, arriva à ses fins en se transformant en un puissant taureau et la rendit mère de Perséphone. ③ MACRIS Déméter tomba amoureuse de Macris, une nymphe de Corcyre et par amour pour elle, elle enseigna l'art des semailles et de la moisson aux Titans sur son île appelée Drépané (la faux). Ce nom viendrait du fait que sous l'île se trouvait la faucille de Déméter ou bien celle qui avait émasculé Ouranos. Cérès et sans doute Ploutos ④ IASION Elle fut rendue mère par Iasion, "le laboureur", fils de Zeus et de la Pléiade Électre. Ils se rencontrèrent lors du mariage de Cadmos et d'Harmonie. Echauffés par le nectar qui coulait à flots les amoureux se glissèrent hors de la maison et s'unirent dans un champ trois fois labouré. A leur retour, en voyant les traces de boue sur les jambes et les bras, Zeus comprit ce qui venait de se passer entre eux; jaloux à l'idée que Iasion ait osé toucher Déméter, il le frappa à mort de sa foudre ou l'estropia gravement. Selon d'autres sources il vécut auprès de Déméter et introduisit son culte en Sicile. Cette union donna naissance à Ploutos, dieu aveugle de la richesse et de l'abondance et Philomélos qui inventa la charrue etpour le remercier de son invention, Déméter le plaça dans le ciel sous la forme de la constellation du bouvier..
Trouver sur le site :
https://mythologica.fr/grec/demeter.htm
Déméter (Gr. Δημητηρ; Lat. Demeter) dont le nom, sans doute une altération d'un mot grec qui signifie de "Terre-mère", était la déesse de l'agriculture et des moissons. Elle représentait la terre cultivée et féconde contrairement aux autres déesses comme Gaïa ou Rhéa qui personnifiait la terre en tant que matière. C'est elle qui facilitait la germination et la pousse des plantes. Elle était la fille de Cronos et Rhéa. Elle fait partie des douze Olympiens même si elle préférait résider à Eleusis au contact de la terre que sur l'Olympe. Elle fut assimilée par les romains sous le nom de Cérès qui était une divinité latine très ancienne associée aux moissons. ❖ Attributions La base de l'économie grecque reposait principalement sur la culture des céréales (orge et blé) c'est pourquoi elle était particulièrement vénérée en assurant l'abondance et l'épanouissement des cités. Elle resta toujours très proche des Hommes qui construisirent en son honneur un grand nombre de temples à travers toute la Grèce. En tant que déesse de la terre elle avait aussi un caractère chthonien qui fut par la suite dévolu à sa fille Perséphone. ❖ Attributs ▼ OLYMPIENS ▼ La truie, le bélier, la grue et la tourterelle ainsi que la couronne d'épis de blé, le flambeau, et la gerbe de blé sont ses emblèmes.
Trouver sur le site :
https://mythologica.fr/grec/demeter.htm
Dans la mythologie grecque, Dioné (en grec ancien Διώνη / Diốnê) est une déesse archaïque, mère d'Aphrodite. Parèdre de Zeus (son nom est la version féminine de « Zeus » en grec), elle était assimilée à la Déesse mère et faisait l'objet d'un culte important dans le sanctuaire oraculaire de Dodone. À ce titre, Dioné était considérée à la fois comme une puissance agraire et comme une déesse du Chêne, l'arbre tutélaire de ce bois sacré1.Elle apparaît au chant V de l’Iliade : c'est auprès d'elle que se réfugie sa fille, Aphrodite, blessée au cours du combat par Diomède. Elle passait d'ailleurs pour l'épouse de Zeus avant que les mythes ne donnent à Aphrodite une tout autre ascendance et que Zeus ne soit associé à Héra. Plus tard, les auteurs grecs en ont fait une déesse ou une Hyade assumant diverses fonctions très variables mais souvent secondaires (voir notamment Dioné l'Hyade, qui semble avoir été une hypostase tardive). Dioné semble même parfois être un synonyme pour Aphrodite.
Trouver sur le site : wikipedia.org
Dans la mythologie grecque, Ényo (en grec ancien Ἐνυώ / Enuố) est une déesse des batailles, étroitement associée à Arès. Elle est mentionnée à deux reprises dans l’Iliade. Dans la première occurrence, elle est citée avec Athéna comme une déesse guerrière, au contraire de la faible Aphrodite1. Dans la seconde, elle marche à la tête d'Arès et, tenant à la main Kudoimos (le Tumulte), elle mène les Troyens au combat2. Ses ascendants ne sont pas mentionnés3, mais la tradition postérieure en fait le plus souvent la fille, l'épouse ou la sœur d'Arès4. Ényo incarne les aspects les plus horribles des batailles : Homère la décrit comme la « destructrice de villes2 » (πτολίπορθος / ptolíporthos), une épithète qu'elle partage avec Arès5. Elle est essentiellement la compagne ou l'hypostase féminine d'Ényalos, une divinité distincte d'Arès à l'origine mais qui se confond avec lui par la suite, devenant l'une des épiclèses du dieu6. Elle est invoquée avec Phobos (la Terreur), fils d'Arès, dans le serment des Sept contre Thèbes7, et avec Arès et Ényalos dans le serment des éphèbes athéniens8. L'étymologie de son nom est inconnue, probablement d'origine préhellénique9. Elle est assimilée par les Romains à Bellone4, et les Grecs la reconnaissent dans la déesse anatolienne Ma10. Peu de représentations d'Ényo sont connues. Elle a sa statue, œuvre de Timarchos et Céphisodote le Jeune, dans le temple d'Arès à Athènes, aux côtés d'Arès, d'Athéna et d'Aphrodite.
Trouver sur le site :
https://mythologica.fr/grec/menu1.htm
Éris était la déesse de la Discorde mais aussi de l'Émulation. Eris Eris Elle était la fille de Nyx (la Nuit), mère d'un certain nombre d'androktasiai (démones malfaisantes) comme la Douleur, la Famine, conçues sans partenaire. "L'odieuse Eris fit naître à son tour le Travail importun, la Souffrance (Ponos), l'Oubli (Léthé), la Famine (Limos), les Douleurs (Algae) qui font pleurer, les Batailles (Hysminai), les Meurtres (Phonoi), les Guerres (Makhai), les Querelles (Neikea), les Discours mensongers (Pseudea), les Contestations (logoi), les litiges (Amphillogiai), le Mépris des lois (Dysnomia) et Illusion (Até), qui vont de compagnie, enfin les Serments (Horcos), si fatal aux habitants de la terre quand l'un d'eux se parjure volontairement." Hésiode, Théogonie Toutefois Até apparait chez Homère comme la fille aînée de Zeus, déesse de la Folie et de l'Egarement. Elle l'avait empêché de s'apercevoir des manigances d'Héra lors la naissance difficile d'Héraclès. Zeus fit le serment qu'elle ne reviendrait jamais plus sur l'Olympe. Il fit tournoyer Até, en la tenant par ses cheveux d'or, et la lança violemment sur la terre où elle atterrit en Phrygie sur une colline qui prit son nom, et où Ilos fondera par la suite la ville de Troie. Mais il se repentit de ce triste présent et envoya les Lites, les Prières, pour s'attacher à ses pas. Hercule à la croisée des chemins Pompeo BATONI (c.1753) © Galleria Sabauda, Turin Eris se mêlait aux combats avec Arès et Enyo où les gémissements des blessés la ravissaient. Zeus l'avait chassé de l'Olympe car elle y maintenait une ambiance détestable en dressant les divinités les unes contres les autres. Virgile la décrivait avec une chevelure hérissée de serpents et entourée de bandelettes sanglantes. On oublia de l'inviter aux noces de Thétis et Pélée. Elle se vengea en jetant au milieu des convives une pomme d'or gravée de ces mots: "A la plus belle". Cette "pomme de discorde" engendra la contestation entre Héra, Aphrodite et Athéna, puis le jugement de Pâris et enfin par contre coup, l'enlèvement d'Hélène et la guerre de Troie. Mais il ne faut pas voir que l'aspect négatif de cette personnification (à moins qu'il y ait deux Eris comme certains auteurs le prétendent puisque dans l'Iliade elle parait être la soeur et la compagne d'Arès) car il ne faut pas oublier que c'est elle qu'Héraclès choisit lorsqu'il rencontre deux femmes au début de ses exploits car elle est aussi la personnification de l'Emulation. De même Zeus va faire appel à ses services lors de la guerre de Troie pour ranimer l'ardeur des guerriers grecs (Iliade XI, 3-14).
Trouver sur le site :
https://mythologica.fr/grec/eris.htm
Fille des titans Cronos et de Rhéa, Héra (Gr. Ηρα; Lat. Hera) était la reine du ciel et de l'Olympe. Le char de Junon par TIEPOLO (détail) Elle avait été avalée dès sa naissance par son père mais son frère Zeus avait su la rendre à la vie. Epouse et sœur aînée (selon Homère) de Zeus, elle partageait avec lui la souveraineté sur le ciel et la terre. Héra était primitivement la souveraine du ciel, la vierge céleste (d'où son surnom de Parthénia), tout à fait indépendante de Zeus. Son mariage avec celui-ci fut imaginé plus tard, pour expliquer la fusion de deux cultes d'abord distincts. Son nom semble être une survivance d'un nom pré-grec d'une grande déesse, sans doute une des puissantes divinités du panthéon des Minoens, ou des Pélasgiens non identifiée. Ses temples d'Argolide et de Samos datent du VIII ième siècle avant notre ère et comptent parmi les toutes premières constructions élevées en Grèce. Elle fut identifiée de bonne heure à Junon par les Romains. Junon, avant d'être hellénisée, personnifiait la lumière céleste chez les Latins, Sabins, Osques, Ombriens et Etrusques. Elle fait partie des douze Olympiens. ❖ Attributions Héra perdit rapidement son caractère cosmique pour ne garder que des attributs moraux. Par excellence, elle était la protectrice de la femme et la déesse du mariage légitime, la protectrice de la fécondité du couple et des femmes à tous les âges et dans toutes les conditions de son existence et en particulier des femmes en couches avec l'aide de sa fille Ilithyie. Elle avait le pouvoir de conférer le don de prophétiser à un homme aussi bien qu'à un animal de son choix. Elle état aussi la protectrice d'Argos et de l'Argolide qu'elle avait disputée à Poséidon. ❖ Attributs Le paon d'Héra Son type plastique est peu caractérisé; debout ou trônant, elle portait avec beaucoup de majesté les attributs royaux traditionnels : le diadème et le sceptre surmonté d'un coucou (par allusion aux circonstances de son mariage). La tête recouverte de voiles est le symbole du mariage. Parfois elle tenait dans l'une de ses mains une grenade, emblème de la fécondité. Le paon lui était consacré en souvenir d'Argos, dont elle prit les cent yeux, lorsqu' il eut été tué, pour les placer sur le plumage de l'oiseau. Voici quelques épithètes utilisés par les poètes ou qui rappellent ses fonctions: - la déesse aux bras blancs; - Hera Boopis, (aux yeux de vache) - Hera Gamelia (mariage), - Hera Krusothronos (au trône d'or), - Hera Zygia (mariée), - Hera Argoia (de l'Argo), - Hera Parthenia ou Hera Ataurote (vierge)
Trouver sur le site :
https://mythologica.fr/grec/hera.htm