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Photo montage imaginaire

Publié le 21/11/2011 à 16:18 par illusoire Tags : image photos montage création déco peinture dessin blog internet insolite photo
Photo montage imaginaire

Un photomontage est un assemblage de photographies par collage ou par logiciel donnant d'une photo un aspect différent, par incorporation d'une ou plusieurs parties ou de la totalité d'une autre photo et permettant toutes retouches et trucages.

On appelle aussi « photomontage » une photo mise en scène par le scrapbooking, qui est une façon de mettre en page, ou faire un collage de photos.
Au debut du XXième, la photographie prend son essor et la technique du photomontage commence aux environ de 1916, en Russie, avec le mouvement constructiviste dont Alexander Rodtchenko est l'un des pionniers, et en France avec les dadaïstes. En Allemagne, l’artiste John Heartfield est également un des premiers à développer cette technique. Le photomontage se développe dans deux directions : la poésie et l'onirisme, et la propagande politique. Certains gouvernements ont par moment eu recours à la technique du photomontage afin de propager la doctrine communiste. D'un point de vue artistique, il se propose de transformer ce qui est réel de manière poétique ou humoristique. Les artistes surréalistes et dadaïstes l’ont utilisé de cette manière assez souvent.

Le trucage photographique consiste à altérer une image photographique dans le but de surprendre ou de tromper le lecteur.

De nos jours, la plupart des photos diffusées dans les médias sont retouchées. La retouche consiste à corriger des petits défauts d'aspect, éclaircir ou assombrir l'image, augmenter ou diminuer les contrastes, saturer des couleurs etc.. Parmi ces images retouchées, il y en a dont on peut dire qu’elles sont truquées. Il existe de nombreuses techniques de trucage qui dépendent du type de photographie utilisé : argentique ou numérique.
Les trucages argentiques sont compliqués à réaliser mais peuvent avoir des résultats très réalistes. Avec l'avènement du numérique ceux-ci ont aujourd'hui quasiment disparu.

* Utilisation de lentilles ou de filtres :

Lors de la prise de vue, on place un filtre devant l’objectif. Il existe des filtres colorés, (exemple : un filtre orange renforcera les teintes chaudes) ou des filtres à effets colorés qui permettent de créer des dégradés.

Il existe plusieurs types de lentilles. Les lentilles à effet de scintillement, qui créent une étoile sur les points lumineux, les lentilles à flou, à effet brouillard, etc..

* La surimpression :

Pour superposer des images, on peut déclencher l'obturateur plusieurs fois sans faire avancer la pellicule. Il est nécessaire de réduire le temps de chaque pose pour tenir compte des multiples exposition.
Ce procédé permet d’assembler plusieurs images sur une même photographie. Il consiste à assembler plusieurs négatifs avant de les agrandir sur le positif.

* Le détourage et masquage :

Si l’on veut garder une seule partie d’une image, on peut, avec une peinture masque, colorer sur le négatif la partie à enlever avant d’agrandir l’image sur le positif, ce procédé repose sur le fait que le support exposé n'est pas impressionné en l'absence de lumière. Lors de l'agrandissement sur le positif, la partie masquée ne sera pas exposée.

Une variante de ce procédé consiste à créer un système de cache et d’anti-cache, permettant d’assembler deux images. Sur un premier négatif, on colore une partie à enlever ; sur un second négatif, on colore la partie opposée. On impressionne ensuite le positif avec les deux négatifs l’un après l’autre, les parties colorées n’ayant pas d’effet sur ce dernier, il contiendra les deux images assemblées.
* La photo déformation :

On peut déformer une photographie pendant l’agrandissement en déformant le positif (en le pliant, tordant…) ou optiquement, en altérant la projection. On obtiendra alors une image finale déformée.

* Retouche « mécanique » :

On altère le négatif ou le tirage avec une plume ou un pinceau.
La création de logiciels gratuits de retouche d'image comme Paint (intégré au système d'exploitation Microsoft Windows) en passant par Picasa (le logiciel de gestion d'image développé par Google) et Krita, jusqu'au logiciel libre GIMP, permet aujourd'hui à tous d'améliorer l'aspect des images produites par un appareil numérique ou un scan.

Les logiciels professionnels, comme Adobe Photoshop, considéré comme la référence mondiale (mais très onéreux), Corel Photo-Paint édité par Corel, AceDesign Pro édité par Visicom Media, ou même GIMP et Krita permettent de réaliser de véritables trucages photographiques qui peuvent détourner la réalité.

Le tampon, la pipette à couleur et le pinceau sont les principaux outils de trucages présents dans tous les logiciels professionnels. Les calques, les outils de détourage, les fonctions de distorsion et rotation, permettent toutes sortes de photomontages.

Où s'arrête la retouche ?

Avec le numérique, le terme de "retouche photo" à pris une place bien plus importante. Possibilités pour les uns, à la limite du sacrilège pour les autres, qu'en est-il vraiment, et le numérique est-il seul coupable ?
Quelques principes de base.

Passons les étapes de la chambre noire (le sténopé d'Aristote), des plaques d'étain, de verre, pour nous focaliser sur la photographie argentique moderne tel que nous la connaissons.  Le principe repose sur l'exposition à la lumière d'un film (la pellicule) sensible à cette lumière. Ce film est recouvert d'une émulsion contenant des cristaux d'halogenure d'argent ou de bromure d'argent. Les photons arrivant sur le film réagissent avec les électrons de cette émulsion et forment des atomes d'argent. Plus il y a de photons à un endroit, plus la réaction est importante, c'est ainsi que l'image se forme. Il faut ensuite développer ce film grâce à des procédés chimiques.
En numérique, on remplace le film par un capteur, qui va "capter" les photons dans des milliers de surfaces sensibles (photosites), sorte de puits à photons, et convertir ces photons en charges électriques analogiques, elles-même numérisées par un convertisseur A/D puis amplifiées. Ces données sont ensuite traitées et assemblées pour former l'image. En fait, le photosite n'est pas si loin des agrégats d'atomes d'argents ...  L'image formée, brute de capteur, peu alors être enregistrée telle quelle (à quelques raccourcis prêts) en fichier raw en vue d'un développement numérique, ou traitée par le DSP de l'appareil pour fournir un fichier jpg "finit", prêt à être imprimé.
La photographie argentique

Comme dit plus haut, une fois l'image fixée sur le film, il faut la développer pour en obtenir un tirage. Que ce travail soit fait par le photographe dans son propre laboratoire ou par le laborantin auquel vous laissez vos pellicules, ce travail est le même. A ceci prêt qu'en le faisant vous même vous avez bien sur plus de contrôle.
Agrandisseur omegaLe développement consiste à projeter le film sur un support au travers d'un agrandisseur.  A ce stade, on peux déjà agir sur le développement, notamment au niveau du cadrage, de l'exposition (temps de pose, ouverture de l'objectif de l'agrandisseur), en réalisant certains masquages à l'aide de découpes de carton sur certaines portions de l'image pour plus ou moins l'exposer et déboucher ainsi des zones trop sombres et inversement. La lumière utilisée sur l'agrandisseur permet aussi de jouer sur la balance des blancs. Enfin, le support lui même joue également un rôle important ! L'utilisation de différents papiers permet d'obtenir des tirages plus ou moins saturés, contrastés ou net. Il existe même des papiers multigrades, réagissant différemment aux différentes longueurs d'ondes (couleurs) de la lumière.
Le support est ensuite plongé dans différents bains chimiques pour révéler l'image, puis la fixer (fixateur, pour arrêter la réaction) pour la conservation. Les conditions de ces bains peuvent changer le résultat (durée, température, agitation), mais aussi les composants chimiques que l'ont y met, et leur dilution. L'exposition sous l'agrandisseur et la durée des bains sont indissociables, et permettent différents rendus. Si l'exposition sous l'agrandisseur est trop courte, il faudra allonger la durée dans le révélateur, mais on perdra beaucoup en contraste, allant même jusqu'à obtenir des blancs ... gris.
On vois donc bien ici, que d'une manière ou d'une autre, il est impossible d'avoir un tirage parfaitement conforme à l'originale. La seule exception pourrai être la projection de diapos, à quelques réserves prêts.
on peux ensuite intervenir localement sur le support avec divers moyens, comme le pinceau (repique), l'aérographe, le grattoir, ou des bains chimiques divers.
Certains traitement, plus radicaux, sont possibles, comme les virages : virage sépia (blanchiment et sulfuration), rouge (chlorure d'or), bleu, à l'argent colloïdal, au sulfate de cuivre, au sélénium, à l'aide de différents composés chimiques.

Il ne faut pas oublier non plus que différentes pellicules existent, chacune produisant un rendu différent, bien avant l'étape de l'agrandisseur. La Provia 100F est par exemple très appréciée pour ses couleurs neutre et son grain très fin, la reala100 souvent préférée en portrait pour son rendu des tons chair, et une Velvia pour ses couleurs très saturées et contrastées. De même, suivant les sensibilités utilisées (iso), le grain n'aura pas non plus le même aspect, produisant des effets différents. Certains utilisent même des pellicules 400iso "poussées" à 1600iso pour sortir plus de grain.
La photographie numérique
Une fois la prise de vue réalisée, qu'on choisisse le raw ou le jpg, la "récuperation" de l'image est on ne peux plus simple : on copie simplement un fichier informatique de la carte mémoire du boitier (CompactFlash, SD, etc) sur le disque dur !
Le RAW est un fichier brut de capteur, non dématricé (matrice de Bayer), non interprété par le DSP du boîtier (Digital Signal Processor, comme le Digic de Canon par exemple). Il est ainsi exempt de tout traitement de netteté, saturation, antibruit etc. Il est de plus codé sur 12bits (voir 16 sur certains boîtiers), au contraire des fichiers jpg où les valeurs sont compressées en 8bits par le DSP selon une courbe propre au fabricant. Le raw offre ainsi un véritable négatif numérique, que l'on peut développer avec un derawtiseur comme Lightroom ou CaptureOne, en ajustant l'exposition, la balance des blancs, les courbes tonales, la saturation de certaines couleurs, le contraste, etc.

Au stade du raw, le développement ne consiste à intervenir que sur l'image globale, à l'exception d'outil de suppression de poussières. Il en résulte un fichier tiff, psd, jpg ou autre, qui pourra ensuite être imprimé, ou traité plus profondément dans un logiciel comme Photoshop.
Dans la définition littérale du terme, un raw ne peux pas ne pas être traité, puisque par définition il faut le dématricer pour l'utiliser, et ce dématriçage, même le plus neutre possible, est une interprétation par le derawtiseur. On en est donc au même point qu'en argentique.
De même, un jpg sorti directement du boîtier est également traité, puisqu'il est dématricé selon des algorithmes du fabricant, compressé en 8bits, traité contre le bruit, et passé à la moulinette saturation/contraste/netteté d'après vos réglages boîtier. Au final, le jpg n'est qu'un raw dérawtisé automatiquement. Vous l'aurez donc compris, un fichier numérique subira toujours un traitement ! Ou plutôt, un développement !

Le JPG (ou tiff, psd etc), issu du boîtier ou d'un raw, est un fichier numérique standard, qui peu être traité dans photoshop comme n'importe quel fichier numérique. Et là, les possibilités sont énormes. Vous pouvez trafiquer l'image à l'infini, au niveau du pixel, et ainsi refaire la peau d'un modèle, ou lui enlever 10cm de tour de taille, changer un ciel, supprimer une personne dans un groupe,corriger les "yeux rouge", tout est imaginable et réalisable. D'autant plus simplement que beaucoup de photographes amateurs ont un ordinateur, et trouvent sur internet toute l'aide nécessaire pour oser de telles manipulations. Et c'est bien là, et seulement là, que ce situe la différence avec l'argentique. Mais est-ce encore de la photographie ?

Conclusion

On se rend compte qu'en fait, le développement d'un film ou d'un raw offrent quasiment les même libertés, si on met de coté l'outil en lui même, qui apporte une souplesse énorme en numérique. En effet, film ou fichier, on peut sous ou sur-exposer tout ou partie de l'image, jouer sur les contrastes, la tonalité, la saturation des couleurs, etc. Et quoiqu'il arrive, ce traitement à lieu dans les deux cas.

Par contre, là où la retouche numérique est bien plus puissante, c'est sur la manipulation de petites parties de l'image, pas seulement pour gommer des poussières, mais en allant jusqu'au photomontage. De plus, si autrefois il fallait son propre laboratoire, du matériel (agrandisseur, produits chimiques, cuves) et des connaissances certaines, aujourd'hui tout un chacun peux s'y adonner avec son ordinateur (qui n'est sommes toute pas gratuit non plus), même si les techniques pour parvenir à de bons résultats necessitent beaucoup d'expérience. L'outil numérique, soit avec un boîtier numérique ou en scannant des films, à indubitablement démocratisé ces pratiques, et les as surtout porté à la connaissance du grand public, qui autrefois laissait sa pellicule au laborantin, et récupérait ses tirages, sans aucune intervention ... de sa part !
Certaines "disciplines", comme le reportage ou la presse par exemple, se doivent de coller à la réalité. Mais alors, est-ce de la manipulation que de retoucher un fichier pour qu'il corresponde mieux à la réalité ? Parce que la photo à été malencontreusement sous-exposée, ou que telle couleur passe mal sur telle pellicule ? Certains crieront à la retouche, alors qu'il ne s'agit que de corriger une erreur matériel pour mieux coller à cette réalité. Au fond que cherche t-on ? Un tirage conforme à l'originale, même si l'originale n'est pas conforme à la réalité ?

Il ne faut pas oublier non plus que la photographie est un art, et qu'elle est là pour retranscrire le regard de l'artiste sur le monde, et pas forcement ce monde tel qu'il est. Ansel Adams n'as pas attendu le numérique pour inventer le zone system, et personne ne lui en voudra. D'ailleurs on ne peux pas franchement dire que le noir et blanc colle à la réalité ... Ansel Adams se plaisait d'ailleurs à considerer ses negatifs comme des partitions (c'était aussi un pianiste) et ses impressions comme des interprétations, en reprenant certaines à la fin de sa vie pour exprimer certaines variations.
Suivant les choix du photographe lors du développement, une même prise de vue n'aura pas le même impact. Or, ce que cherche le photographe, c'est précisément cet impact, et qu'il corresponde à sa vision. Le développement, et donc une certaine forme de traitement, sont donc parfaitement dans la continuité de la prise de vue. Il faut bien différencier le développement, qui est loin d'une opération purement technique, de la retouche, voir de la manipulation.

Il m'arrive très souvent de réaliser des prises de vues en sachant déjà comment les développer ensuite pour en sortir l'essence de ce que j'y vois, "reste" alors à peaufiner la prise de vue. Car cette avalanche de retouches et de traitements ne doit pas faire oublier que le plus important, et de loin, reste et doit rester la prise de vue !  C'est là que s'exprime le regard du photographe, le cadrage qu'il va choisir, la perspective, l'instant !

Toutes ces techniques ne doivent en aucun cas justifier de bâcler la prise de vue pour "corriger" ensuite, ce qui de toute façon ne finira jamais par une bonne photo. Le cadrage, la profondeur de champ, la lumière de l'instant, ne pourront jamais être rattrapés en retouche, ou alors au travers d'efforts et de techniques sortant totalement du domaine de la photographie ! Et c'est là, pour moi, que s'arrête la retouche. Elle ne doit pas sauver un cliché, mais le valoriser et lui donner son sens, sens que vous aurez vue sur le terrain et su cueillir sur votre pellicule ou votre capteur. Car c'est sur le terrain qu'est la poésie, le reste n'est que de la mise en forme, en rien le fond.

image gif cheval paysage

Publié le 20/11/2011 à 17:49 par illusoire Tags : paysage nature chevaux animaux images blog déco zen photos inter mode animation cheval image gif
image gif cheval paysage

Le Graphics Interchange Format (littéralement « format d'échange d'images »), plus connu sous l'acronyme GIF [?if], est un format d'image numérique couramment utilisé sur la Toile.
GIF a été mis au point par CompuServe en 1987 pour permettre le téléchargement d'images en couleur. Ce format utilise l'algorithme de compression sans perte LZW, nettement plus efficace que l'algorithme RLE utilisé par la plupart des formats alors disponibles (PCX, ILBM puis BMP).
En théorie GIF supporte 16 777 216 nuances de couleur : 8 bits par composante RVB, soit 224 nuances. Toutefois GIF n'enregistre pas directement la couleur de chaque pixel, car pour chaque image, une palette de 2 à 256 couleurs est construite. Ensuite chaque pixel de l'image fait référence à l'une des entrées de la palette. Cette méthode limite donc à 256 le nombre maximal de couleurs différentes présentes dans chaque calque d'une même image (GIF89a supportant les calques multiples). On parle donc de format 8 bits car chaque pixel est codé sur 8 bits, représentant donc au maximum 256 valeurs. L'usage d'une palette permettait un affichage beaucoup plus rapide sur les ordinateurs de l'époque dont les cartes graphiques contenaient elles-mêmes une palette d'au plus 256 couleurs.

La limitation à 256 couleurs n'est pas gênante pour les logos, les graphiques et la plupart des images synthétiques, ainsi que les photographies en noir et blanc. En revanche une photographie couleur de qualité nécessite plus de nuances.

GIF permet de spécifier qu'une entrée de la palette est transparente. C'est notamment utile lorsqu'une image non rectangulaire est intégrée à un document comme une page web : on voit le document à travers les pixels transparents. GIF propose un mode entrelacé permettant de commencer par transmettre quelques lignes d'une image, puis les lignes placées entre elles. Ce mode permet de donner plus rapidement un aperçu de l'image lorsque la transmission est lente.

Le principe de compression est en fait de simplifier le code des parties de rangées de pixels de même couleur. C'est pour cela que ce format est utilisé sur les images comportant un nombre plutôt limité de couleur et sans dégradés, avec de préférences des grandes zones de couleur unies.
En 1989, le format GIF a été étendu (format GIF89a au lieu de GIF87a) pour permettre le stockage de plusieurs images dans un fichier. Ceci permet de créer des diaporamas, voire des animations si les images sont affichées à un rythme suffisamment soutenu. Chaque image d'une animation peut avoir sa propre palette, ce qui permet de créer des images contenant 16 777 215 couleurs simultanément, mais d'une taille non négligeable.

Ce qui est très intéressant à propos de ce format GIF est la possibilité de créer ou d'éditer des animations pour la Toile facilement.

image gif pluie

Publié le 18/11/2011 à 18:34 par illusoire Tags : image animation gifs photos créations paysage nature femme photo blog déco ze

Le Graphics Interchange Format (littéralement « format d'échange d'images »), plus connu sous l'acronyme GIF [?if], est un format d'image numérique couramment utilisé sur la Toile.
GIF a été mis au point par CompuServe en 1987 pour permettre le téléchargement d'images en couleur. Ce format utilise l'algorithme de compression sans perte LZW, nettement plus efficace que l'algorithme RLE utilisé par la plupart des formats alors disponibles (PCX, ILBM puis BMP).
En théorie GIF supporte 16 777 216 nuances de couleur : 8 bits par composante RVB, soit 224 nuances. Toutefois GIF n'enregistre pas directement la couleur de chaque pixel, car pour chaque image, une palette de 2 à 256 couleurs est construite. Ensuite chaque pixel de l'image fait référence à l'une des entrées de la palette. Cette méthode limite donc à 256 le nombre maximal de couleurs différentes présentes dans chaque calque d'une même image (GIF89a supportant les calques multiples). On parle donc de format 8 bits car chaque pixel est codé sur 8 bits, représentant donc au maximum 256 valeurs. L'usage d'une palette permettait un affichage beaucoup plus rapide sur les ordinateurs de l'époque dont les cartes graphiques contenaient elles-mêmes une palette d'au plus 256 couleurs.

La limitation à 256 couleurs n'est pas gênante pour les logos, les graphiques et la plupart des images synthétiques, ainsi que les photographies en noir et blanc. En revanche une photographie couleur de qualité nécessite plus de nuances.

GIF permet de spécifier qu'une entrée de la palette est transparente. C'est notamment utile lorsqu'une image non rectangulaire est intégrée à un document comme une page web : on voit le document à travers les pixels transparents. GIF propose un mode entrelacé permettant de commencer par transmettre quelques lignes d'une image, puis les lignes placées entre elles. Ce mode permet de donner plus rapidement un aperçu de l'image lorsque la transmission est lente.

Le principe de compression est en fait de simplifier le code des parties de rangées de pixels de même couleur. C'est pour cela que ce format est utilisé sur les images comportant un nombre plutôt limité de couleur et sans dégradés, avec de préférences des grandes zones de couleur unies.
En 1989, le format GIF a été étendu (format GIF89a au lieu de GIF87a) pour permettre le stockage de plusieurs images dans un fichier. Ceci permet de créer des diaporamas, voire des animations si les images sont affichées à un rythme suffisamment soutenu. Chaque image d'une animation peut avoir sa propre palette, ce qui permet de créer des images contenant 16 777 215 couleurs simultanément, mais d'une taille non négligeable.

Ce qui est très intéressant à propos de ce format GIF est la possibilité de créer ou d'éditer des animations pour la Toile facilement.

image lune - fée

Publié le 17/11/2011 à 16:28 par illusoire Tags : gifs images blog photos lune zen déco création internet fée

Le Graphics Interchange Format (littéralement « format d'échange d'images »), plus connu sous l'acronyme GIF [?if], est un format d'image numérique couramment utilisé sur la Toile.
GIF a été mis au point par CompuServe en 1987 pour permettre le téléchargement d'images en couleur. Ce format utilise l'algorithme de compression sans perte LZW, nettement plus efficace que l'algorithme RLE utilisé par la plupart des formats alors disponibles (PCX, ILBM puis BMP).
En théorie GIF supporte 16 777 216 nuances de couleur : 8 bits par composante RVB, soit 224 nuances. Toutefois GIF n'enregistre pas directement la couleur de chaque pixel, car pour chaque image, une palette de 2 à 256 couleurs est construite. Ensuite chaque pixel de l'image fait référence à l'une des entrées de la palette. Cette méthode limite donc à 256 le nombre maximal de couleurs différentes présentes dans chaque calque d'une même image (GIF89a supportant les calques multiples). On parle donc de format 8 bits car chaque pixel est codé sur 8 bits, représentant donc au maximum 256 valeurs. L'usage d'une palette permettait un affichage beaucoup plus rapide sur les ordinateurs de l'époque dont les cartes graphiques contenaient elles-mêmes une palette d'au plus 256 couleurs.

La limitation à 256 couleurs n'est pas gênante pour les logos, les graphiques et la plupart des images synthétiques, ainsi que les photographies en noir et blanc. En revanche une photographie couleur de qualité nécessite plus de nuances.

GIF permet de spécifier qu'une entrée de la palette est transparente. C'est notamment utile lorsqu'une image non rectangulaire est intégrée à un document comme une page web : on voit le document à travers les pixels transparents. GIF propose un mode entrelacé permettant de commencer par transmettre quelques lignes d'une image, puis les lignes placées entre elles. Ce mode permet de donner plus rapidement un aperçu de l'image lorsque la transmission est lente.

Le principe de compression est en fait de simplifier le code des parties de rangées de pixels de même couleur. C'est pour cela que ce format est utilisé sur les images comportant un nombre plutôt limité de couleur et sans dégradés, avec de préférences des grandes zones de couleur unies.
En 1989, le format GIF a été étendu (format GIF89a au lieu de GIF87a) pour permettre le stockage de plusieurs images dans un fichier. Ceci permet de créer des diaporamas, voire des animations si les images sont affichées à un rythme suffisamment soutenu. Chaque image d'une animation peut avoir sa propre palette, ce qui permet de créer des images contenant 16 777 215 couleurs simultanément, mais d'une taille non négligeable.

Ce qui est très intéressant à propos de ce format GIF est la possibilité de créer ou d'éditer des animations pour la Toile facilement.

Lune image gif

Publié le 15/11/2011 à 18:04 par illusoire Tags : image gif création images photos insolite déco blog zen paysage imaginaire photo créa

Le Graphics Interchange Format (littéralement « format d'échange d'images »), plus connu sous l'acronyme GIF [?if], est un format d'image numérique couramment utilisé sur la Toile.
GIF a été mis au point par CompuServe en 1987 pour permettre le téléchargement d'images en couleur. Ce format utilise l'algorithme de compression sans perte LZW, nettement plus efficace que l'algorithme RLE utilisé par la plupart des formats alors disponibles (PCX, ILBM puis BMP).
En théorie GIF supporte 16 777 216 nuances de couleur : 8 bits par composante RVB, soit 224 nuances. Toutefois GIF n'enregistre pas directement la couleur de chaque pixel, car pour chaque image, une palette de 2 à 256 couleurs est construite. Ensuite chaque pixel de l'image fait référence à l'une des entrées de la palette. Cette méthode limite donc à 256 le nombre maximal de couleurs différentes présentes dans chaque calque d'une même image (GIF89a supportant les calques multiples). On parle donc de format 8 bits car chaque pixel est codé sur 8 bits, représentant donc au maximum 256 valeurs. L'usage d'une palette permettait un affichage beaucoup plus rapide sur les ordinateurs de l'époque dont les cartes graphiques contenaient elles-mêmes une palette d'au plus 256 couleurs.

La limitation à 256 couleurs n'est pas gênante pour les logos, les graphiques et la plupart des images synthétiques, ainsi que les photographies en noir et blanc. En revanche une photographie couleur de qualité nécessite plus de nuances.

GIF permet de spécifier qu'une entrée de la palette est transparente. C'est notamment utile lorsqu'une image non rectangulaire est intégrée à un document comme une page web : on voit le document à travers les pixels transparents. GIF propose un mode entrelacé permettant de commencer par transmettre quelques lignes d'une image, puis les lignes placées entre elles. Ce mode permet de donner plus rapidement un aperçu de l'image lorsque la transmission est lente.

Le principe de compression est en fait de simplifier le code des parties de rangées de pixels de même couleur. C'est pour cela que ce format est utilisé sur les images comportant un nombre plutôt limité de couleur et sans dégradés, avec de préférences des grandes zones de couleur unies.
En 1989, le format GIF a été étendu (format GIF89a au lieu de GIF87a) pour permettre le stockage de plusieurs images dans un fichier. Ceci permet de créer des diaporamas, voire des animations si les images sont affichées à un rythme suffisamment soutenu. Chaque image d'une animation peut avoir sa propre palette, ce qui permet de créer des images contenant 16 777 215 couleurs simultanément, mais d'une taille non négligeable.

Ce qui est très intéressant à propos de ce format GIF est la possibilité de créer ou d'éditer des animations pour la Toile facilement.

gif imaginaire

Publié le 15/11/2011 à 17:10 par illusoire Tags : image paysage nature imaginaire insolite déco photos images zen blog internet

Le Graphics Interchange Format (littéralement « format d'échange d'images »), plus connu sous l'acronyme GIF [?if], est un format d'image numérique couramment utilisé sur la Toile.
GIF a été mis au point par CompuServe en 1987 pour permettre le téléchargement d'images en couleur. Ce format utilise l'algorithme de compression sans perte LZW, nettement plus efficace que l'algorithme RLE utilisé par la plupart des formats alors disponibles (PCX, ILBM puis BMP).
En théorie GIF supporte 16 777 216 nuances de couleur : 8 bits par composante RVB, soit 224 nuances. Toutefois GIF n'enregistre pas directement la couleur de chaque pixel, car pour chaque image, une palette de 2 à 256 couleurs est construite. Ensuite chaque pixel de l'image fait référence à l'une des entrées de la palette. Cette méthode limite donc à 256 le nombre maximal de couleurs différentes présentes dans chaque calque d'une même image (GIF89a supportant les calques multiples). On parle donc de format 8 bits car chaque pixel est codé sur 8 bits, représentant donc au maximum 256 valeurs. L'usage d'une palette permettait un affichage beaucoup plus rapide sur les ordinateurs de l'époque dont les cartes graphiques contenaient elles-mêmes une palette d'au plus 256 couleurs.

La limitation à 256 couleurs n'est pas gênante pour les logos, les graphiques et la plupart des images synthétiques, ainsi que les photographies en noir et blanc. En revanche une photographie couleur de qualité nécessite plus de nuances.

GIF permet de spécifier qu'une entrée de la palette est transparente. C'est notamment utile lorsqu'une image non rectangulaire est intégrée à un document comme une page web : on voit le document à travers les pixels transparents. GIF propose un mode entrelacé permettant de commencer par transmettre quelques lignes d'une image, puis les lignes placées entre elles. Ce mode permet de donner plus rapidement un aperçu de l'image lorsque la transmission est lente.

Le principe de compression est en fait de simplifier le code des parties de rangées de pixels de même couleur. C'est pour cela que ce format est utilisé sur les images comportant un nombre plutôt limité de couleur et sans dégradés, avec de préférences des grandes zones de couleur unies.
En 1989, le format GIF a été étendu (format GIF89a au lieu de GIF87a) pour permettre le stockage de plusieurs images dans un fichier. Ceci permet de créer des diaporamas, voire des animations si les images sont affichées à un rythme suffisamment soutenu. Chaque image d'une animation peut avoir sa propre palette, ce qui permet de créer des images contenant 16 777 215 couleurs simultanément, mais d'une taille non négligeable.

Ce qui est très intéressant à propos de ce format GIF est la possibilité de créer ou d'éditer des animations pour la Toile facilement.

Image Bateau

Publié le 13/11/2011 à 16:28 par illusoire Tags : image nature paysage mer photos déco création internet images zen blog
Image Bateau

Une image est une représentation visuelle voire mentale de quelque chose (objet, être vivant et/ou concept). Elle peut être naturelle (ombre, reflet) ou artificielle (peinture, photographie), visuelle ou non, tangible ou conceptuelle (métaphore), elle peut entretenir un rapport de ressemblance directe avec son modèle ou au contraire y être liée par un rapport plus symbolique. Pour la sémiologie ou sémiotique, qui a développé tout un secteur de sémiotique visuelle, l'image est conçue comme produite par un langage spécifique. Une des plus anciennes définitions de l'image est celle de Platon : « j'appelle image d'abord les ombres ensuite les reflets qu'on voit dans les eaux, ou à la surface des corps opaques, polis et brillants et toutes les représentations de ce genre ». Le mot image vient du latin imago, qui désignait les masques mortuaires. Selon Olivier Boulnois :

«  Qu'entend-on par image ? Dans le monde romain, l'imago désignait un portrait de l'ancêtre en cire, placé dans l'atrium et porté aux funérailles. Le droit d'images, réservé aux personnes nobles, leur permettait d'établir et de conserver leur lignage. Étymologiquement, l'image figure donc le portrait d'un mort. (p.13). L'image est le langage commun de l'humanité. Elle apparaît sur les voûtes des grottes préhistoriques bien avant que l'homme songe à édifier des temples et des tombeaux. Des millénaires la séparent de l'écriture, projection abstraite de la pensée. L'image abolit le temps et l'espace. Elle est lecture instantanée et présence immédiate du monde. À travers elle l'homme se reconnaît ; pourtant sa richesse est ambiguë et son pouvoir d'aliénation extrême. L'image sert de vérité. Elle s'offre à tous et se refuse à chacun. La mythologie moderne consacre le règne de l'image. Pour mieux imposer ses fables et ses slogans, elle révoque l'esprit qui anime la lettre (la publicité, aujourd'hui, fait de la lettre une image) »

On peut distinguer sept types d'images .

Il convient tout d'abord de distinguer les images mentales (conscientes et inconscientes) des images perceptives. Parmi ces dernières, il est de nouveau possible de distinguer la vision naturelle des images matérielles (ou représentations) qui se déclinent en fonction de leurs caractéristiques comme suit :

* la vision naturelle : image unique + vision unique
* peinture-dessin : image unique (non reproductible) + vision multiple
* affiche-photographie : reproductibilité + vision multiple
* cinéma-vidéo : reproductibilité + vision multiple + mouvement
* télévision : reproductibilité + vision multiple + mouvement + transmission instantanée
* image numérique internet : reproductibilité + vision multiple + mouvement + transmission instantanée + interactivité


Partout à travers le monde l'homme a laissé les traces de ses facultés imaginatives sous forme de dessins sur les rochers, qui vont des temps les plus anciens du paléolithique à l'époque moderne. Ces dessins étaient destinés à communiquer des messages. Ces figures, dessinées, peintes, gravées ou taillées représentent les premiers moyens de la communication humaine. On les considèrent comme des images dans la mesure où elles imitent, en les schématisant visuellement, les personnes et les objets du monde réel. On pense que ces premières images pouvaient avoir aussi des relations avec la magie et la religion.

Image Insolite

Publié le 12/11/2011 à 18:18 par illusoire Tags : image insolite art noir et blanc photos images internet déco création homme portrait
Image Insolite

Une image est une représentation visuelle voire mentale de quelque chose (objet, être vivant et/ou concept). Elle peut être naturelle (ombre, reflet) ou artificielle (peinture, photographie), visuelle ou non, tangible ou conceptuelle (métaphore), elle peut entretenir un rapport de ressemblance directe avec son modèle ou au contraire y être liée par un rapport plus symbolique. Pour la sémiologie ou sémiotique, qui a développé tout un secteur de sémiotique visuelle, l'image est conçue comme produite par un langage spécifique. Une des plus anciennes définitions de l'image est celle de Platon : « j'appelle image d'abord les ombres ensuite les reflets qu'on voit dans les eaux, ou à la surface des corps opaques, polis et brillants et toutes les représentations de ce genre ». Le mot image vient du latin imago, qui désignait les masques mortuaires. Selon Olivier Boulnois :

«  Qu'entend-on par image ? Dans le monde romain, l'imago désignait un portrait de l'ancêtre en cire, placé dans l'atrium et porté aux funérailles. Le droit d'images, réservé aux personnes nobles, leur permettait d'établir et de conserver leur lignage. Étymologiquement, l'image figure donc le portrait d'un mort. (p.13). L'image est le langage commun de l'humanité. Elle apparaît sur les voûtes des grottes préhistoriques bien avant que l'homme songe à édifier des temples et des tombeaux. Des millénaires la séparent de l'écriture, projection abstraite de la pensée. L'image abolit le temps et l'espace. Elle est lecture instantanée et présence immédiate du monde. À travers elle l'homme se reconnaît ; pourtant sa richesse est ambiguë et son pouvoir d'aliénation extrême. L'image sert de vérité. Elle s'offre à tous et se refuse à chacun. La mythologie moderne consacre le règne de l'image. Pour mieux imposer ses fables et ses slogans, elle révoque l'esprit qui anime la lettre (la publicité, aujourd'hui, fait de la lettre une image) »

On peut distinguer sept types d'images .

Il convient tout d'abord de distinguer les images mentales (conscientes et inconscientes) des images perceptives. Parmi ces dernières, il est de nouveau possible de distinguer la vision naturelle des images matérielles (ou représentations) qui se déclinent en fonction de leurs caractéristiques comme suit :

* la vision naturelle : image unique + vision unique
* peinture-dessin : image unique (non reproductible) + vision multiple
* affiche-photographie : reproductibilité + vision multiple
* cinéma-vidéo : reproductibilité + vision multiple + mouvement
* télévision : reproductibilité + vision multiple + mouvement + transmission instantanée
* image numérique internet : reproductibilité + vision multiple + mouvement + transmission instantanée + interactivité


Partout à travers le monde l'homme a laissé les traces de ses facultés imaginatives sous forme de dessins sur les rochers, qui vont des temps les plus anciens du paléolithique à l'époque moderne. Ces dessins étaient destinés à communiquer des messages. Ces figures, dessinées, peintes, gravées ou taillées représentent les premiers moyens de la communication humaine. On les considèrent comme des images dans la mesure où elles imitent, en les schématisant visuellement, les personnes et les objets du monde réel. On pense que ces premières images pouvaient avoir aussi des relations avec la magie et la religion.

Belles Images Gifs

Publié le 12/11/2011 à 16:42 par illusoire Tags : images photos art peintures déco gifs création zen insolite humour animaux chats félins

Le Graphics Interchange Format (littéralement « format d'échange d'images »), plus connu sous l'acronyme GIF [?if], est un format d'image numérique couramment utilisé sur la Toile.
GIF a été mis au point par CompuServe en 1987 pour permettre le téléchargement d'images en couleur. Ce format utilise l'algorithme de compression sans perte LZW, nettement plus efficace que l'algorithme RLE utilisé par la plupart des formats alors disponibles (PCX, ILBM puis BMP).
En théorie GIF supporte 16 777 216 nuances de couleur : 8 bits par composante RVB, soit 224 nuances. Toutefois GIF n'enregistre pas directement la couleur de chaque pixel, car pour chaque image, une palette de 2 à 256 couleurs est construite. Ensuite chaque pixel de l'image fait référence à l'une des entrées de la palette. Cette méthode limite donc à 256 le nombre maximal de couleurs différentes présentes dans chaque calque d'une même image (GIF89a supportant les calques multiples). On parle donc de format 8 bits car chaque pixel est codé sur 8 bits, représentant donc au maximum 256 valeurs. L'usage d'une palette permettait un affichage beaucoup plus rapide sur les ordinateurs de l'époque dont les cartes graphiques contenaient elles-mêmes une palette d'au plus 256 couleurs.

La limitation à 256 couleurs n'est pas gênante pour les logos, les graphiques et la plupart des images synthétiques, ainsi que les photographies en noir et blanc. En revanche une photographie couleur de qualité nécessite plus de nuances.

GIF permet de spécifier qu'une entrée de la palette est transparente. C'est notamment utile lorsqu'une image non rectangulaire est intégrée à un document comme une page web : on voit le document à travers les pixels transparents. GIF propose un mode entrelacé permettant de commencer par transmettre quelques lignes d'une image, puis les lignes placées entre elles. Ce mode permet de donner plus rapidement un aperçu de l'image lorsque la transmission est lente.

Le principe de compression est en fait de simplifier le code des parties de rangées de pixels de même couleur. C'est pour cela que ce format est utilisé sur les images comportant un nombre plutôt limité de couleur et sans dégradés, avec de préférences des grandes zones de couleur unies.
En 1989, le format GIF a été étendu (format GIF89a au lieu de GIF87a) pour permettre le stockage de plusieurs images dans un fichier. Ceci permet de créer des diaporamas, voire des animations si les images sont affichées à un rythme suffisamment soutenu. Chaque image d'une animation peut avoir sa propre palette, ce qui permet de créer des images contenant 16 777 215 couleurs simultanément, mais d'une taille non négligeable.

Ce qui est très intéressant à propos de ce format GIF est la possibilité de créer ou d'éditer des animations pour la Toile facilement.

Image création

Publié le 10/11/2011 à 20:27 par illusoire Tags : création photos nature paysage images gifs photo déco internet insolite créas

Un photomontage est un assemblage de photographies par collage ou par logiciel donnant d'une photo un aspect différent, par incorporation d'une ou plusieurs parties ou de la totalité d'une autre photo et permettant toutes retouches et trucages.

On appelle aussi « photomontage » une photo mise en scène par le scrapbooking, qui est une façon de mettre en page, ou faire un collage de photos.
Au debut du XXième, la photographie prend son essor et la technique du photomontage commence aux environ de 1916, en Russie, avec le mouvement constructiviste dont Alexander Rodtchenko est l'un des pionniers, et en France avec les dadaïstes. En Allemagne, l’artiste John Heartfield est également un des premiers à développer cette technique. Le photomontage se développe dans deux directions : la poésie et l'onirisme, et la propagande politique. Certains gouvernements ont par moment eu recours à la technique du photomontage afin de propager la doctrine communiste. D'un point de vue artistique, il se propose de transformer ce qui est réel de manière poétique ou humoristique. Les artistes surréalistes et dadaïstes l’ont utilisé de cette manière assez souvent.

Le trucage photographique consiste à altérer une image photographique dans le but de surprendre ou de tromper le lecteur.

De nos jours, la plupart des photos diffusées dans les médias sont retouchées. La retouche consiste à corriger des petits défauts d'aspect, éclaircir ou assombrir l'image, augmenter ou diminuer les contrastes, saturer des couleurs etc.. Parmi ces images retouchées, il y en a dont on peut dire qu’elles sont truquées. Il existe de nombreuses techniques de trucage qui dépendent du type de photographie utilisé : argentique ou numérique.
Les trucages argentiques sont compliqués à réaliser mais peuvent avoir des résultats très réalistes. Avec l'avènement du numérique ceux-ci ont aujourd'hui quasiment disparu.

* Utilisation de lentilles ou de filtres :

Lors de la prise de vue, on place un filtre devant l’objectif. Il existe des filtres colorés, (exemple : un filtre orange renforcera les teintes chaudes) ou des filtres à effets colorés qui permettent de créer des dégradés.

Il existe plusieurs types de lentilles. Les lentilles à effet de scintillement, qui créent une étoile sur les points lumineux, les lentilles à flou, à effet brouillard, etc..

* La surimpression :

Pour superposer des images, on peut déclencher l'obturateur plusieurs fois sans faire avancer la pellicule. Il est nécessaire de réduire le temps de chaque pose pour tenir compte des multiples exposition.
Ce procédé permet d’assembler plusieurs images sur une même photographie. Il consiste à assembler plusieurs négatifs avant de les agrandir sur le positif.

* Le détourage et masquage :

Si l’on veut garder une seule partie d’une image, on peut, avec une peinture masque, colorer sur le négatif la partie à enlever avant d’agrandir l’image sur le positif, ce procédé repose sur le fait que le support exposé n'est pas impressionné en l'absence de lumière. Lors de l'agrandissement sur le positif, la partie masquée ne sera pas exposée.

Une variante de ce procédé consiste à créer un système de cache et d’anti-cache, permettant d’assembler deux images. Sur un premier négatif, on colore une partie à enlever ; sur un second négatif, on colore la partie opposée. On impressionne ensuite le positif avec les deux négatifs l’un après l’autre, les parties colorées n’ayant pas d’effet sur ce dernier, il contiendra les deux images assemblées.
* La photo déformation :

On peut déformer une photographie pendant l’agrandissement en déformant le positif (en le pliant, tordant…) ou optiquement, en altérant la projection. On obtiendra alors une image finale déformée.

* Retouche « mécanique » :

On altère le négatif ou le tirage avec une plume ou un pinceau.
La création de logiciels gratuits de retouche d'image comme Paint (intégré au système d'exploitation Microsoft Windows) en passant par Picasa (le logiciel de gestion d'image développé par Google) et Krita, jusqu'au logiciel libre GIMP, permet aujourd'hui à tous d'améliorer l'aspect des images produites par un appareil numérique ou un scan.

Les logiciels professionnels, comme Adobe Photoshop, considéré comme la référence mondiale (mais très onéreux), Corel Photo-Paint édité par Corel, AceDesign Pro édité par Visicom Media, ou même GIMP et Krita permettent de réaliser de véritables trucages photographiques qui peuvent détourner la réalité.

Le tampon, la pipette à couleur et le pinceau sont les principaux outils de trucages présents dans tous les logiciels professionnels. Les calques, les outils de détourage, les fonctions de distorsion et rotation, permettent toutes sortes de photomontages.

Où s'arrête la retouche ?

Avec le numérique, le terme de "retouche photo" à pris une place bien plus importante. Possibilités pour les uns, à la limite du sacrilège pour les autres, qu'en est-il vraiment, et le numérique est-il seul coupable ?
Quelques principes de base.

Passons les étapes de la chambre noire (le sténopé d'Aristote), des plaques d'étain, de verre, pour nous focaliser sur la photographie argentique moderne tel que nous la connaissons.  Le principe repose sur l'exposition à la lumière d'un film (la pellicule) sensible à cette lumière. Ce film est recouvert d'une émulsion contenant des cristaux d'halogenure d'argent ou de bromure d'argent. Les photons arrivant sur le film réagissent avec les électrons de cette émulsion et forment des atomes d'argent. Plus il y a de photons à un endroit, plus la réaction est importante, c'est ainsi que l'image se forme. Il faut ensuite développer ce film grâce à des procédés chimiques.
En numérique, on remplace le film par un capteur, qui va "capter" les photons dans des milliers de surfaces sensibles (photosites), sorte de puits à photons, et convertir ces photons en charges électriques analogiques, elles-même numérisées par un convertisseur A/D puis amplifiées. Ces données sont ensuite traitées et assemblées pour former l'image. En fait, le photosite n'est pas si loin des agrégats d'atomes d'argents ...  L'image formée, brute de capteur, peu alors être enregistrée telle quelle (à quelques raccourcis prêts) en fichier raw en vue d'un développement numérique, ou traitée par le DSP de l'appareil pour fournir un fichier jpg "finit", prêt à être imprimé.
La photographie argentique

Comme dit plus haut, une fois l'image fixée sur le film, il faut la développer pour en obtenir un tirage. Que ce travail soit fait par le photographe dans son propre laboratoire ou par le laborantin auquel vous laissez vos pellicules, ce travail est le même. A ceci prêt qu'en le faisant vous même vous avez bien sur plus de contrôle.
Agrandisseur omegaLe développement consiste à projeter le film sur un support au travers d'un agrandisseur.  A ce stade, on peux déjà agir sur le développement, notamment au niveau du cadrage, de l'exposition (temps de pose, ouverture de l'objectif de l'agrandisseur), en réalisant certains masquages à l'aide de découpes de carton sur certaines portions de l'image pour plus ou moins l'exposer et déboucher ainsi des zones trop sombres et inversement. La lumière utilisée sur l'agrandisseur permet aussi de jouer sur la balance des blancs. Enfin, le support lui même joue également un rôle important ! L'utilisation de différents papiers permet d'obtenir des tirages plus ou moins saturés, contrastés ou net. Il existe même des papiers multigrades, réagissant différemment aux différentes longueurs d'ondes (couleurs) de la lumière.
Le support est ensuite plongé dans différents bains chimiques pour révéler l'image, puis la fixer (fixateur, pour arrêter la réaction) pour la conservation. Les conditions de ces bains peuvent changer le résultat (durée, température, agitation), mais aussi les composants chimiques que l'ont y met, et leur dilution. L'exposition sous l'agrandisseur et la durée des bains sont indissociables, et permettent différents rendus. Si l'exposition sous l'agrandisseur est trop courte, il faudra allonger la durée dans le révélateur, mais on perdra beaucoup en contraste, allant même jusqu'à obtenir des blancs ... gris.
On vois donc bien ici, que d'une manière ou d'une autre, il est impossible d'avoir un tirage parfaitement conforme à l'originale. La seule exception pourrai être la projection de diapos, à quelques réserves prêts.
on peux ensuite intervenir localement sur le support avec divers moyens, comme le pinceau (repique), l'aérographe, le grattoir, ou des bains chimiques divers.
Certains traitement, plus radicaux, sont possibles, comme les virages : virage sépia (blanchiment et sulfuration), rouge (chlorure d'or), bleu, à l'argent colloïdal, au sulfate de cuivre, au sélénium, à l'aide de différents composés chimiques.

Il ne faut pas oublier non plus que différentes pellicules existent, chacune produisant un rendu différent, bien avant l'étape de l'agrandisseur. La Provia 100F est par exemple très appréciée pour ses couleurs neutre et son grain très fin, la reala100 souvent préférée en portrait pour son rendu des tons chair, et une Velvia pour ses couleurs très saturées et contrastées. De même, suivant les sensibilités utilisées (iso), le grain n'aura pas non plus le même aspect, produisant des effets différents. Certains utilisent même des pellicules 400iso "poussées" à 1600iso pour sortir plus de grain.
La photographie numérique
Une fois la prise de vue réalisée, qu'on choisisse le raw ou le jpg, la "récuperation" de l'image est on ne peux plus simple : on copie simplement un fichier informatique de la carte mémoire du boitier (CompactFlash, SD, etc) sur le disque dur !
Le RAW est un fichier brut de capteur, non dématricé (matrice de Bayer), non interprété par le DSP du boîtier (Digital Signal Processor, comme le Digic de Canon par exemple). Il est ainsi exempt de tout traitement de netteté, saturation, antibruit etc. Il est de plus codé sur 12bits (voir 16 sur certains boîtiers), au contraire des fichiers jpg où les valeurs sont compressées en 8bits par le DSP selon une courbe propre au fabricant. Le raw offre ainsi un véritable négatif numérique, que l'on peut développer avec un derawtiseur comme Lightroom ou CaptureOne, en ajustant l'exposition, la balance des blancs, les courbes tonales, la saturation de certaines couleurs, le contraste, etc.

Au stade du raw, le développement ne consiste à intervenir que sur l'image globale, à l'exception d'outil de suppression de poussières. Il en résulte un fichier tiff, psd, jpg ou autre, qui pourra ensuite être imprimé, ou traité plus profondément dans un logiciel comme Photoshop.
Dans la définition littérale du terme, un raw ne peux pas ne pas être traité, puisque par définition il faut le dématricer pour l'utiliser, et ce dématriçage, même le plus neutre possible, est une interprétation par le derawtiseur. On en est donc au même point qu'en argentique.
De même, un jpg sorti directement du boîtier est également traité, puisqu'il est dématricé selon des algorithmes du fabricant, compressé en 8bits, traité contre le bruit, et passé à la moulinette saturation/contraste/netteté d'après vos réglages boîtier. Au final, le jpg n'est qu'un raw dérawtisé automatiquement. Vous l'aurez donc compris, un fichier numérique subira toujours un traitement ! Ou plutôt, un développement !

Le JPG (ou tiff, psd etc), issu du boîtier ou d'un raw, est un fichier numérique standard, qui peu être traité dans photoshop comme n'importe quel fichier numérique. Et là, les possibilités sont énormes. Vous pouvez trafiquer l'image à l'infini, au niveau du pixel, et ainsi refaire la peau d'un modèle, ou lui enlever 10cm de tour de taille, changer un ciel, supprimer une personne dans un groupe,corriger les "yeux rouge", tout est imaginable et réalisable. D'autant plus simplement que beaucoup de photographes amateurs ont un ordinateur, et trouvent sur internet toute l'aide nécessaire pour oser de telles manipulations. Et c'est bien là, et seulement là, que ce situe la différence avec l'argentique. Mais est-ce encore de la photographie ?

Conclusion

On se rend compte qu'en fait, le développement d'un film ou d'un raw offrent quasiment les même libertés, si on met de coté l'outil en lui même, qui apporte une souplesse énorme en numérique. En effet, film ou fichier, on peut sous ou sur-exposer tout ou partie de l'image, jouer sur les contrastes, la tonalité, la saturation des couleurs, etc. Et quoiqu'il arrive, ce traitement à lieu dans les deux cas.

Par contre, là où la retouche numérique est bien plus puissante, c'est sur la manipulation de petites parties de l'image, pas seulement pour gommer des poussières, mais en allant jusqu'au photomontage. De plus, si autrefois il fallait son propre laboratoire, du matériel (agrandisseur, produits chimiques, cuves) et des connaissances certaines, aujourd'hui tout un chacun peux s'y adonner avec son ordinateur (qui n'est sommes toute pas gratuit non plus), même si les techniques pour parvenir à de bons résultats necessitent beaucoup d'expérience. L'outil numérique, soit avec un boîtier numérique ou en scannant des films, à indubitablement démocratisé ces pratiques, et les as surtout porté à la connaissance du grand public, qui autrefois laissait sa pellicule au laborantin, et récupérait ses tirages, sans aucune intervention ... de sa part !
Certaines "disciplines", comme le reportage ou la presse par exemple, se doivent de coller à la réalité. Mais alors, est-ce de la manipulation que de retoucher un fichier pour qu'il corresponde mieux à la réalité ? Parce que la photo à été malencontreusement sous-exposée, ou que telle couleur passe mal sur telle pellicule ? Certains crieront à la retouche, alors qu'il ne s'agit que de corriger une erreur matériel pour mieux coller à cette réalité. Au fond que cherche t-on ? Un tirage conforme à l'originale, même si l'originale n'est pas conforme à la réalité ?

Il ne faut pas oublier non plus que la photographie est un art, et qu'elle est là pour retranscrire le regard de l'artiste sur le monde, et pas forcement ce monde tel qu'il est. Ansel Adams n'as pas attendu le numérique pour inventer le zone system, et personne ne lui en voudra. D'ailleurs on ne peux pas franchement dire que le noir et blanc colle à la réalité ... Ansel Adams se plaisait d'ailleurs à considerer ses negatifs comme des partitions (c'était aussi un pianiste) et ses impressions comme des interprétations, en reprenant certaines à la fin de sa vie pour exprimer certaines variations.
Suivant les choix du photographe lors du développement, une même prise de vue n'aura pas le même impact. Or, ce que cherche le photographe, c'est précisément cet impact, et qu'il corresponde à sa vision. Le développement, et donc une certaine forme de traitement, sont donc parfaitement dans la continuité de la prise de vue. Il faut bien différencier le développement, qui est loin d'une opération purement technique, de la retouche, voir de la manipulation.

Il m'arrive très souvent de réaliser des prises de vues en sachant déjà comment les développer ensuite pour en sortir l'essence de ce que j'y vois, "reste" alors à peaufiner la prise de vue. Car cette avalanche de retouches et de traitements ne doit pas faire oublier que le plus important, et de loin, reste et doit rester la prise de vue !  C'est là que s'exprime le regard du photographe, le cadrage qu'il va choisir, la perspective, l'instant !

Toutes ces techniques ne doivent en aucun cas justifier de bâcler la prise de vue pour "corriger" ensuite, ce qui de toute façon ne finira jamais par une bonne photo. Le cadrage, la profondeur de champ, la lumière de l'instant, ne pourront jamais être rattrapés en retouche, ou alors au travers d'efforts et de techniques sortant totalement du domaine de la photographie ! Et c'est là, pour moi, que s'arrête la retouche. Elle ne doit pas sauver un cliché, mais le valoriser et lui donner son sens, sens que vous aurez vue sur le terrain et su cueillir sur votre pellicule ou votre capteur. Car c'est sur le terrain qu'est la poésie, le reste n'est que de la mise en forme, en rien le fond.