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chatdomino,
les femmes bien en chair sont une beauté et d'une séduction pour attirer la virilité d'un homm
Par georges, le 17.12.2016
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Par georges, le 17.12.2016
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une femme ronde blonde belle de visage c'est l'extrême beauté de la femme. engendre la romance et la
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j'aime les femmes ronde elle sont toutes belles en regardant les je m'arrive pas distinguées la quelle qui est
Par madou70, le 02.05.2016
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Par Denis Giroux, le 04.03.2016
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Date de création : 12.09.2011
Dernière mise à jour :
17.02.2017
611 articles
Je suis toujours ravie de recevoir un petit "J'aime". Cela me permet de savoir si vous appréciez le blog et si je ne vous ennuie toujours pas !!!
Après l'entrée depuis des années des coupeurs de feu dans les hôpitaux de grands brûlés, l'hypnose dans les blocs opératoires à visée d'anesthésie... enfin l'appellation MAC ou médecines alternatives complémentaires fait son apparition dans les hôpitaux plus généralistes.
Encore peu connues et peu reconnues, les MAC concernent les coupeurs de feu, les hypnoses, les magnétiseurs, l'acupuncture, les soins par les plantes, l'auriculothérapie... Ces thérapies visent aux mieux être des patients, aux conforts... complémentaires aux soins ou aux médicaments, à l'alternative dans certains cas difficilement soignables par la médecine dite "Allopathique".
Issues de nombreuses cultures et parfois même millénaires comme les soins de médecine chinoise, les MAC ont sans doute leur place dans le mieux être des hommes. L'ouverture d'esprit des hommes de science et des médecins est nécessaire dans une société où les maladies psycho-somatiques et psychiques sont de plus en plus fréquentes. Notamment le stress, les angoisses ou la dépression qui font fureur dans nos sociétés dites modernes. Ces grandes douleurs de la psyché s'inscrivent sur le plan corporel. Les médicaments classiques ont prouvé une certaines efficacité mais aussi de nombreux effets secondaires.
Ainsi, l'acupuncture, les médecines par les plantes, la sophrologie, l'hypnose sont bien moins délétères sur l'organisme humain. Toutefois, et pour y croire depuis longtemps, attention aux charlatans et profanes qui ignoreraient le bon usage de ses soins si spécifiques. S'il faut des années pour apprendre l'acupuncture, c'est bien qu'il s'agit là d'une spécialité qui n'est pas anodine.
Alors : Médecine Alternative Complémentaire oui, mais a bon escient et avec des professionnels. Sans oublier le bon équilibre entre médecine allopathique et médecine parallèle. N'ignorez ni la chirurgie, ni la chimiothérapie lors d'un cancer...
Les soins ne sont pas que des actes mais une réflexion, une remise en question... une philosophie. Elle est issue de maintes théories. Mais la seule et unique qui soit vraie est l'exemple. Exemple de bientraitance, d'humanitude, d'humanité, de réflexion. Parce que chacun de nous peut un jour être malade, souffrir et assurément vieillir et mourir... pensons correctement notre accompagnement aux autres comme nous souhaitons être accompagnés nous-même !
VOICI UNE LISTE ASSEZ EXHAUSTIVE DES PHOBIES
De quoi avez-vous donc peur ????
Acarophobie
Peur des parasites de la peau.
Acérophobie
Peur de ce qui a un goût sûr.
Achluophobie
Peur de l'obscurité.
Achmophobie
Peur des objets pointus, des pointes.
Acrophobie
Peur des hauteurs, des lieux élevés, souvent accompagnée de vertiges.
Aérodromphobie
Peur de l'avion, des voyages en avion.
Aérophobie
Peur maladive des courants d'air.
Agoraphobie
Phobie des espaces libres et des lieux publics.
Aichurophobie
Peur de ce qui est pointu.
Ailourophobie
Peur des chats.
Akousticophobie
Peur des sons.
Algophobie
Peur de la douleur.
Amatophobie
Peur de la poussière.
Ancraophobie
Peur du vent.
Anemophobie
Peur du vent.
Anginophobie
Phobie de l'étroitesse (on trouve aussi : peur de l'angine de poitrine).
Anglophobie
Aversion pour les anglais et ce qui est anglais.
Anthropophobie
Peur de l'homme.
Antlophobie
Peur des inondations.
Antophobie
Peur des fleurs.
Apéirophobie
Peur de l'infinité.
Apiphobie
Peur des abeilles.
Apopathodiaphulatophobie
Peur de la constipation.
Apopathophobie
Peur d'avoir à rester debout.
Arachnophobie
Peur des araignées.
Asthénophobie
Peur de la faiblesse.
Astrapephobie
Peur des éclairs (on trouve aussi : astraphobie).
Astrophobie
Peur des étoiles.
Atélophobie
Peur de l'imperfection.
Atéphobie
Peur de la ruine.
Aulophobie
Peur de la flûte.
Aupniaphobie
Peur de l'insomnie.
Auroraphobie
Peur des aurores boréales.
Autocheirothanatophobie
Peur du suicide.
Autodysosmophobie
Peur de répandre des mauvaises odeurs.
Autographophobie
Peur de devoir signer.
Bacillophobie
Peur des bacilles.
Ballistophobie
Peur des missiles.
Barophobie
Peur de la gravité, pesanteur.
Basophobie
Peur de devoir marcher.
Bathophobie
Peur des profondeurs.
Batrachophobie
Peur des reptiles.
Bélonéphobie
Peur des aiguilles.
Bibliophobie
Peur des livres.
Biennophobie
Peur de la vase.
Bitrochosophobie
Peur des bicyclettes.
Blemmophobie
Peur du regard d'autrui.
Bronthemophobie
Peur du tonnerre.
Brontophobie
Peur du tonnerre.
Cancérophobie
Phobie du cancer.
Cardiophobie
Peur des maladies de coeur.
Carpophobie
Peur des fruits.
Chaetophobie
Peur des cheveux (on trouve aussi : peur du froid).
Cheimophobie
Peur des tempêtes, des orages.
Chérophobie
Peur de la gaieté.
Chionophobie
Peur de la neige.
Chrométophobie
Peur de l'argent.
Chromophobie
Peur de la couleur.
Chronophobie
Peur de la durée.
Claustrophobie
Phobie des lieux clos; angoisse d'être enfermé.
Climacophobie
Peur des escaliers.
Clinophobie
Peur des espaces fermés (mais aussi trouvé : peur de se mettre au lit !)
Cnidophobie
Peur des piqûres d'insectes.
Coprophobie
Peur des excréments.
Créatophobie
Peur de la viande.
Cremnophobie
Peur des précipices.
Cristallophobie
Peur des cristaux.
Cryophobie
Peur de la glace, du froid.
Cyclophobie
Peur des bicyclettes.
Cymophobie
Peur des mers agitées.
Cynophobie
Peur des chiens.
Démonophobie
Peur des démons.
Démophobie
Peur des foules.
Dendrophobie
Peur des arbres.
Dermatophobie
Peur des maladies de la peau.
Dextrophobie
Peur de ce qui est à droite.
Diabétophobie
Peur du diabète.
Diapnophobie
Peur de la transpiration.
Diképhobie
Peur de la justice.
Doraphobie
Peur de la fourrure.
Dysmorphophobie
Phobie d'une anomalie anatomique.
Elaionophobie
Peur de l'huile.
Elektrophobie
Peur de l'électricité.
Eleuthérophobie
Peur de la liberté.
Enduophobie
Peur de devoir s'habiller.
Entomophobie
Peur des insectes.
Epidémiophobie
Peur des épidémies.
Erémitophobie
Peur de la solitude.
Ereutophobie
Crainte excessive, pathologique, de rougir.
Ergophobie
Peur du travail.
Erpétophobie
Peur des serpents.
Gallophobie
Peur de ce qui est français.
Gamétophobie
Peur du mariage.
Géniophobie
Peur du bavardage.
Génophobie
Peur du sexe.
Géophobie
Peur du contact avec la terre.
Géphyrophobie
Peur de franchir les ponts.
Germanophobie
Peur des allemands.
Geumatophobie
Peur du goût.
Glossophobie
Peur des maladies de la langue.
Gonoccophobie
Peur de la blennorhagie.
Graphophobie
Peur de devoir écrire.
Gymnophobie
Peur de la nudité.
Gynéphobie
Peur des femmes
Haptophobie
Peur de toucher.
Hédonophobie
Peur du plaisir.
Hématophobie
Peur du sang.
Hippophobie
Peur des chevaux.
Hodophobie
Peur des voyages.
Homichlophobie
Peur de la brume.
Homophobie
Peur de l'homosexualité.
Horméphobie
Peur des chocs.
Hyalophobie
Peur du verre.
Hydrophobie
Peur morbide de l'eau.
Hygrophobie
Peur de l'humidité (hygrophobe : qui ne peut s'adapter à un habitat humide).
Hypégiaphobie
Peur des responsabilités.
Hypnophobie
Peur du sommeil.
Hystérophobie
Peur de l'hystérie.
Idéophobie
Peur des idées.
Kainotêtophobie
Peur de la nouveauté.
Katagélophobie
Peur du ridicule.
Kathisophobie
Peur de s'asseoir.
Kénophobie
Peur de l'obscurité.
Keptophobie
Peur du vol.
Kinétophobie
Peur du mouvement.
Kopophobie
Peur de la fatigue.
Korephobie
Peur des poupées.
Kyphophobie
Peur de se voûter.
Lachanophobie
Peur des légumes.
Lalophobie
Peur des discours.
Leucoselophobie
Peur de la page blanche.
Leukophobie
Peur de la couleur blanche.
Lévophobie
Peur de ce qui est à gauche.
Limnophobie
Peur des lacs.
Linonophobie
Peur de la ficelle.
Logophobie
Peur des mots (trouvé aussi : de devoir parler).
Lyssophobie
Peur de la folie (trouvé aussi : peur de la rage).
Machairophobie
Peur des armes blanches.
Maniaphobie
Peur de la folie.
Maniphobie
Peur de devenir maniaque.
Mastigophobie
Peur de la flagellation.
Méchanophobie
Peur de la machinerie.
Métallophobie
Peur des métaux.
Météorophobie
Peur des météores.
Méthyphobie
Peur des boissons alcoolisées.
Microbiophobie
Peur des microbes.
Mnémophobie
Peur des souvenirs.
Monophobie
Peur d'une seule chose.
Musicophobie
Peur de la musique.
Musophobie
Peur des souris.
Mysophobie
Peur de la poussière.
Myxophobie
Peur de la vase (trouvé aussi : peur de la poussière).
Nécrophobie
Peur des cadavres.
Nélophobie
Peur du verre.
Néphobie
Peur de l'inédit.
Néphophobie
Peur des nuages.
Nosophobie
Peur de la maladie.
Nyctophobie
Peur de l'obscurité (trouvé aussi : peur de la nuit).
Ochlophobie
Peur des foules.
Ochophobie
Peur des véhicules.
Odonthophobie
Peur des atteintes des dents.
Oesophobie
Peur de l'aube.
Oicophobie
Peur des maisons.
Oïkophobie
Peur de la maison.
Olfacophobie
Peur de l'odorat.
Ommétaphobie
Peur des yeux.
Onéirophobie
Peur des rêves.
Onomatophobie
Peur d'entendre prononcer un nom ou un mot.
Ophiophobie
Peur des serpents.
Ornithophobie
Peur des oiseaux.
Orophobie
Peur des lieux en pentes, montagnes.
Ouranophobie
Peur du ciel.
Pantophobie
Peur de tout.
Parthénophobie
Peur des jeunes filles.
Pathophobie
Peur de la maladie.
Patroiophobie
Peur de l'hérédité.
Peccatophobie
Peur du péché.
Péladophobie
Peur des personnes chauves.
Péniaphobie
Peur de la pauvreté.
Phagophobie
Peur d'avaler.
Pharmacophobie
Peur des médicaments.
Phantasmophobie
Peur des fantômes.
Phigérophobie
Peur d'étouffer.
Phobophobie
Peur de la peur.
Phonémophobie
Peur de réfléchir.
Phonéophobie
Peur de tuer.
Phonophobie
Peur de parler haut.
Photoangiophobie
Peur des lumières éblouissantes.
Photophobie
Crainte morbide de la lumière. Sensibilité excessive des yeux dans certaines maladies oculaires.
Physiophobie
Peur d'une anomalie du fonctionnement corporel.
Phronémophobie
Peur de réfléchir.
Phtysiophobie
Peur de la tuberculose.
Pogonophobie
Peur des barbes.
Poinéphobie
Peur des châtiments.
Polyphobie
Peur de plusieurs choses.
Pornophobie
Peur des rapports sexuels et de la sexualité.
Potamophobie
Peur des rivières.
Potophobie
Peur de boire.
Probophobie
Peur d'avoir peur.
Psychopathophobie
Peur de devenir fou.
Ptéronophobie
Peur des plumes.
Pyrophobie
Peur du feu.
Rupophobie
Peur de la saleté.
Russophobie
Peur de ce qui est russe.
Rypophobie
Peur de la souillure.
Saccharophobie
Peur du sucre.
Satanophobie
Peur de Satan.
Scaléophobie
Peur des maladies de la peau.
Sciophobie
Peur des ombres.
Scopophobie
Peur d'être vu.
Sélaphobie
Peur des éclairs.
Sidérodromophobie
Peur des trains, des voyages en train.
Sidérophobie
Peur des étoiles.
Sinophobie
Peur de ce qui est chinois.
Sitophobie
Peur de la nourriture.
Spélaionphobie
Peur des grottes et des sous-sols.
Spermatophobie
Peur des germes.
Spermatorhéophobie
Peur de la spermatorhée.
Stasophobie
Peur d'être debout.
Straphobie
Peur de la foudre.
Stygiophobie
Peur de l'enfer.
Syphiliphobie
Peur de la syphilis.
Tachophobie
Peur de la vitesse.
Taphophobie
Peur d'être enterré vivant.
Telephonophobie
Peur du téléphone.
Tératophobie
Peur des monstres.
Thaasophobie
Peur de rester inactif.
Thalassophobie
Peur des océans, de la mer.
Thanatophobie
Peur de la mort.
Théophobie
Peur de Dieu.
Thermophobie
Peur de la chaleur.
Thixophobie
Peur du toucher.
Tocophobie
Peur de l'enfantement.
Topophobie
Peur des lieux géographiques.
Toxicophobie
Peur des poisons.
Toxiphobie
Peur du poison.
Traumatophobie
Peur des blessures.
Trémophobie
Peur de trembler.
Trichophobie
Peur des poils.
Triskaïdékaphobie
Peur du chiffre 13 ou d'être 13 à table.
Tryponophobie
Peur des vaccins.
Tuberculophobie
Peur de la tuberculose.
Uranophobie
Peur des cieux.
Urinophobie
Peur d'être pris de l'envie d'uriner.
Vermiphobie
Peur des vers.
Xénophobie
Hostilité à ce qui est étranger.
Zélophobie
Peur de la jalousie.
Zoophobie
Peur morbide de certains animaux
Trouvé sur DOCTISSIMO
LA CÂLINOTHERAPIE est, une véritable thérapie.
Il n'est pas rare dans les écoles qu'on nous bassine les oreilles avec la "distance professionnelle". Je suis d'accord avec une CERTAINE distance professionnelle, celle qui vous permet de ne pas confondre la personne accompagnée avec un membre de sa famille et surtout de pouvoir rentrer à la maison SANS le patient (ni physiquement, ni moralement, ni sentimentalement !).
Toutefois, nous sommes humains et nous sommes des êtres d'émotions. Pouvez-vous réellement laisser à l'abandon la demande d'un patient dément qui cherche la relation tactile (vous prendre dans les bras, vous tenir la main, vous faire un bisou) ?
Vous ne rencontrerez pas le besoin de pratiquer la câlinothérapie dans tous les services. Mais essentiellement dans les services qui accueillent des personnes atteintes de pathologies démentielles (Alzheimer, corps de Lewy, démence sénile liée à l'âge...), les handicaps mentaux, certaines névroses.
Pourquoi le câlin peut-être demandé ?
Parce que la personne est "branchée" sur une phase non mentale mais émotionnelle. Elle ne conçoit plus les "limites " culturelles et/ou religieuses liées à l'éducation. Elle a envie d'être rassurée corporellement et émotionnellement !
Parce que le "moi corporel" de la personne disparaît ou a disparu : c'est ce qu'on appelle parfois le "démembrement psychologique" pour ne pas dire psychotique. La personne ne conçoit plus les limites de son corps. Le câlin redonne de la "forme" et de la "limite" au corps physique. Pour preuve, le concept d'emmaillotement qui est utilisé pour rassurer les bébés et parfois la personne âgée.
Parce que l'aphasie s'installe ou la surdité et que les modes de communication (physiques ou cognitifs) sont altérés. Et comme nous sommes des êtres de communication, la personne atteinte de ces troubles va chercher à communiquer de façon "différente". Elle va montrer son chagrin en pleurant, son désaccord en criant ou en frappant, son besoin de rentrer en contact par l'approche corporelle.
La thérapie :
The free hugs - Le câlin gratuit. Gratuit veut donc dire sans conditions.
Il s'agit simplement de répondre de façon sensée à la demande de la personne qui vient chercher ce contact physique.
Le câlin est tabou ?
Hélas et 100 fois hélas dans notre culture. Il ne l'est pas dans d'autres pays, bien au contraire, dès l'enfance et tout au long de la vie.
Chez les animaux, la recherche de la relation corporelle est liée à la recherche de la chaleur, de la sureté, une expression du "lien" familial ou tribal, une recherche de communication olfactive et tactile.
Alors à vos bras puissants, poilus ou pas ! Et vive les câlins !
Sandra
ANALYSE AU DELA DES BESOINS FONDAMENTAUX :
DE LA NOTION DES POSSIBILITES :
Nous étudions, évaluons, analysons selon les Besoins Fondamentaux (et c’est une bonne chose, personnellement, je n’ai guère trouvé mieux pour ne rien « oublier » pour collecter les données chez un patient ou un résident). Mais à l’école, j’ai aussi appris ceci :
Chercher pourquoi la personne peut présenter une perte d’autonomie :
Le résident ne PEUT pas :
Il n’est pas en capacité physique de pratiquer ses actes de la vie quotidienne tout seul.
è En phase aigue : maladie, fracture…
è En phase chronique : difficulté articulaire, handicap, grabatarisé…
Le résident ne VEUT pas :
Il refuse de pratiquer certains de ses actes de la vie quotidienne.
è En phase aigue : maladie, fatigue, dépression liée à un traumatisme…
è En phase chronique : Dépression chronique, syndrome de glissement, mode de vie différent du notre, déni…
Le résident ne SAIT pas :
Il n’est pas en capacité intellectuelle de pratiquer ses actes de la vie quotidienne tout seul.
è En phase aigue : déshydratation, désorientation liée à un traumatisme,
è En phase chronique : démence, psychose…
L’environnement ne PERMET pas :
L’environnement matériel, humain… ne permet pas au résident de pratiquer ses actes de la vie quotidienne tout seul :
è Du matériel : Il manque des serviettes, des vêtements, de quoi s’asseoir, du savon, un miroir…
è De l’humain : Manque d’envie, de temps, d’empathie, d’analyse des pratiques, de personnel soignant ou accompagnant… manque d’un membre de la famille et dépression, glissement…
SI JE RAJOUTE A CECI :
è Les besoins fondamentaux altérés par les pathologies,
è Les besoins individuels liés à la culture, la religion, les connaissances, les croyances (pas religieuse mais les croyances que chacun de nous possèdent en terme de « je pense que ceci est bon pour moi ou pas » comme la polémique de la vaccination par exemple)…
è Les personnalités, les caractères, l’expérience de vie, l’éducation, la philosophie individuelle de vie…
ET SI JE RAJOUTE ENCORE :
Pour les soignants, la « médecine » et les différentes écoles du soin :
è Que chacun de nous possède ou non une certaine formation, toutes différentes (médecins, infirmières, AMP, AS, faisant fonction...),
è Que chacun de nous possède sa propre culture, éducation, expérience de vie, philosophie de vie, religion ou foi, valeurs…
è Que chacun de nous a sa propre personnalité, identité, des défauts, des qualités, nos propres besoins fondamentaux (altérés aussi parfois), nos propres possibilités (pouvoir, vouloir, savoir, l’environnement nous permet-il ?).
MAINTENANT, je prends le TOUT, je mélange,
JE MULTIPLIE, DIVISE, AJOUTE, SOUSTRAIT…
Et bien cela me donne :
è Des millions de possibilités en matière de relation,
è Des milliers de possibilités en matière d’observation,
è Des centaines de possibilité en matière de conception de soins,
è Une seule idée reçue :
PARCE QUE JE SUIS SOIGNANT,
JE PENSE QUE MON IDEE EST LA MEILLEURE !!!
Quand tout le monde aura compris que c’est une connerie !!!
Nous nous unirons pour mieux réfléchir avant d’agir,
Nous comprendrons que chaque individu présente une relation différente d’une personne à une autre,
Nous nous remettrons en question,
Nous arrêterons de faire des gueguerres d’équipe, d’équipe et contre-équipe,
Nous respecterons mieux les résidents,
Nous respecterons mieux le rôle et l’importance de chacun d’entre nous dans son rôle, ses fonctions,
Nous aiderons mieux nos résidents, nous ferons toujours du mieux que l’on peut, l’on sait, l’on veut et l’environnement nous permet,
Nous aurons plus de compassion les uns pour les autres, et pour les résidents,
Nos actes seront plus personnalisés, individualisés, adaptables…
…
Avec beaucoup d’espoir… SANDRA G.
Parce que mon corps m'appartient
Le Monde.fr | 02.11.2012 à 11h13Par Anne Hidalgo, première adjointe au Maire de Paris et Jean-Luc Romero, président de l'Association pour le Droit à Mourir dans la Dignité (ADMD).
Le droit de mourir dans la dignité, l'aide active à mourir, l'euthanasie, le suicide assisté, selon nos affinités sémantiques, ne saurait être une question médicale. Certes, ce droit implique les médecins, qui sont les artisans – au sens noble – de notre choix de fin de vie. Certes, c'est sur la base de leur diagnostic, avec leurs connaissances et leur expertise, que la fin de vie se dessine.
Nous rappelons au passage que la mort est un événement considérable, c'est notre lot commun, notre terme à tous. Gageons que tous les lecteurs de cette tribune seront morts dans une centaine d'années. Alors, autant s'y préparer sereinement.
Ce droit de mourir dans la dignité, dans sa propre dignité, porté depuis 32 ans par l'Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité et qui a fait l'objet de la proposition de campagne n°21 de François Hollande, remporte l'adhésion des Français qui se déclarent très majoritairement favorables à l'euthanasie (entre 86 % et 94 % selon les sondages, de manière constante depuis plus de 20 ans).
Comprenons donc précisément ce dont il s'agit, en dehors de toutes caricatures et de soupçons de vouloir tuer nos chères têtes blanches.
Depuis de trop longues années, depuis que la médecine a fait des progrès considérables et a allongé l'espérance de vie jusqu'à des records, les désirs de vie des femmes et des hommes ont été occultés.
"Laissez-nous faire, nous savons ce qui est bien pour vous", nous dit-on dans nos vastes hôpitaux et d'une technologie parfois effrayante.
Pourtant, la seconde loi Kouchner, celle du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, avait renforcé les droits du patient.
Forts de l'expérience des années sida, les patients, qui demeurent des citoyens à part entière quel que soit leur état sanitaire, décidaient des protocoles et des thérapies qu'ils auraient à suivre. A leur convenance, bien informés, ils décidaient de ce qui était bon pour eux-mêmes.
Mais quelques années après, une loi votée sans conviction par les parlementaires (plus de la moitié des sénateurs – 175 sur 343 – ont préféré quitter l'hémicycle, ce 12 avril 2005), une loi faite par des par des parlementaires peut-être pour protéger leurs collègues praticiens dans les décisions de fin de vie qu'ils prennent, une loi qui porte le nom de son rapporteur, Jean Leonetti, qui n'hésitait pas à déclarer au magazine Le Point (n°1854) le 27 mars 2008, qu'il lui est arrivé d'arrêter "des respirateurs. Souvent sous la pression car il fallait libérer des lits", cette loi du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie renversait les rôles et rendait aux médecins leur pouvoir presque absolu sur leurs malades.
Pour faire simple, ni les directives anticipées en matière de fin de vie, ni l'avis de la personne de confiance pourtant légalement désignée n'ont une force supérieure à l'opinion et aux choix du médecin.
Ce que nous demandons, comme responsables politiques, comme militants de ce droit de mourir dans la dignité, conformément à l'engagement du président de la République élu le 6 mai dernier, aux revendications des 50 000 adhérents de l'ADMD et des 86 à 94% des Français qui s'y déclarent favorables, c'est que le patient en fin de vie retrouve, pour lui et pour lui seul, sa capacité de choisir et d'énoncer ce qui a sa préférence pour finir ses jours.
Soit, et c'est tout à fait respectable, il demande à être prolongé, parce qu'il est inscrit dans un parcours de vie, spirituel, familial, qui lui commande de voir ce que sera demain. Et il faut refuser les 25 000 décès consécutifs à une décision de limitation thérapeutique prise en réanimation, par des médecins, sur des personnes inconscientes.
Soit, il demande à obtenir une place dans une unité de soins palliatifs pour lesquels les moyens, dans notre pays n'existent pas2, contrairement à ce qui se passe par exemple aux Pays-Bas et en Belgique, pays qui ont légalisé l'euthanasie.
Soit, et c'est le cœur des revendications de l'ADMD, il demande à bénéficier d'une aide active à mourir – euthanasie ou suicide assisté, selon ses capacités àaccomplir le geste lui-même – parce qu'il considère que le temps qui lui reste àvivre n'est plus que de la survie et qu'il veut s'en épargner les douleurs et la déchéance.
Ne nous y trompons donc pas. Militer pour le droit de mourir dans la dignité c'estmiliter pour un cadre légal qui interdise les dérives, la clandestinité et les transgressions qui existent aujourd'hui pour assurer à chacun le libre choix et la libre maitrise de son propre parcours de fin de vie lorsque la mort, inéluctable, se profile au bout de notre chemin.
Après le droit à l'avortement, après l'abolition de la peine de mort, est venu le temps du droit de mourir dans la dignité. C'est une simple question de liberté individuelle et de dignité.
Votre cerveau ne meurt jamais
(Trouvé sur Wikistrike)
Contrairement à l'idée communément admise, nous pouvons fabriquer des neurones à tout âge. Mais à plusieurs conditions, dont celles-ci : ne pas s'ennuyer et continuer à s'émerveiller
Bonne nouvelle : contrairement à une idéee reçue, notre cerveau ne cesse pas de produire des neurones à l'âge adulte! C'est l'équipe du neurobiologiste Pierre-Marie Lledo, à la tête de l'unité Perception et mémoire à l'Institut Pasteur et de l'unité GèneS, synapseS et cognition au CNRS*, qui a contribué à mettre en évidence l'existence d'une "pouponnière" dans laquelle de nouveaux neurones se fabriquent en continu. Pour cela, un traceur (une sub-stance fluorescente issue d'une méduse) a été introduit dans un virus désactivé, qui n'infecte que les cellules occupées à se diviser. En injectant ce virus dans le cerveau de rongeurs, les chercheurs ont "illuminé" ces néo-neurones. "Ils se forment dans une zone située sous les ventricules puis migrent comme sur un tapis roulant", explique le scientifique. Soit vers l'avant du cerveau, dans la structure qui gère l'odorat et la mémoire olfactive ; soit dans l'hippocampe, qui régit la mémoire spatiale.
Au fil des expériences, l'équipe a compris que cette plasticité du cerveau, fondée sur sa capacité à s'auto-régénérer, ne perdure qu'à cinq conditions : se préserver de la pollution visuelle et sonore ; éviter la consommation chronique de psychotropes ; pratiquer 15 minutes d'activité physique par jour ; lutter contre l'isolement social ; enfin, continuer à s'émerveiller, "c'est-à-dire comprendre plutôt que savoir. Notre cerveau ne s'use que si l'on ne s'en sert pas ! Chacun possède cette fontaine de jouvence et peut, par son comportement et son environnement, aider son cerveau à se reconfigurer."
L'indispensable protéine-aimant
Deux autres découvertes majeures ont suivi. En 2005, l'équipe de Pasteur a identifié une protéine clé, la ténascine, secrétée dans le cerveau : comme un aimant, c'est elle qui attire les néo-neurones dans les deux régions "cibles". "Deux conditions sont nécessaires pour la produire : la stimulation sensorielle, lorsque nos circuits échappent à l'ennui en étant soumis à une stimulation toujours différente, et le plaisir lié à cette stimulation." Ainsi, chez des rats exposés à des parfums désagréables, la production de cette protéine s'effondre. "À l'inverse, lorsqu'on leur fait respirer des mélanges d'épices qu'ils aiment, le taux de renouvellement des neurones est multiplié par trois!" L'autre bond en avant date de juin 2012. L'équipe a eu recours à l'"optogénétique" : un gène introduit dans ces néo-neurones permet de les rendre sensibles à la lumière. En les soumettant à des flashes lumineux, on peut donc les stimuler. Et ainsi les activer pour booster la mémoire.
Vers une mémoire "augmentée"
Ces avancées ouvrent la voie à une médecine "régénérative". Un grand espoir pour les malades d'Alzheimer ou de Parkinson, pour les victimes d'AVC ou les traumatisés crâniens. "Plutôt que de stopper l'évolution d'une maladie, le cerveau retrouverait son état antérieur", explique Pierre-Marie Lledo. En identifiant cette protéine "aimant", brevetée par l'Institut Pasteur, les chercheurs sont désormais capables d'acheminer les néo-neurones vers d'autres zones du cerveau que leurs cibles initiales. Chez une personne devenue aphasique après un accident, on pourrait un jour les attirer vers le circuit du langage endommagé pour le réparer. Par ailleurs, de nouvelles molécules pourraient être mises au point en ciblant la neurogenèse adulte, avec un début de phase clinique d'ici cinq à sept ans. Ces travaux pourraient aussi déboucher sur la découverte d'une nouvelle famille d'antidépresseurs. Autre perspective futuriste : celle d'un cerveau "augmenté", dont on démultiplierait la mémoire. Autant d'enjeux éthiques futurs cruciaux selon le neurobiologiste : "Si les femmes se souvenaient de la douleur de l'accouchement, auraient-elles plus d'un enfant? L'oubli aussi est parfois vital."
*Le Cerveau sur mesure, avec Jean-Didier Vincent ( éd. Odile Jacob, 2012)
J'avais déjà lu ceci quelque part !!!
Je suis bien heureuse retrouver cette information qui permet d'imaginer une évolution du traitement des maladies dégénératives du cerveau. Et en plus, ces traitements semblent pouvoir être de l'ordre du médicament mais aussi et surtout non médicamenteux.
"Stimuler sensoriellement" : Je suis prête a donner du chocolat, des odeurs de roses, des parfums d'agrumes, des couleurs du soleil... à la vie des personnes que j'accompagne au quotidien si cela peut prolonger leur plaisir.
Je dis bien "plaisir" car en travaillant en structure pour personnes agées, il n'est guère question de prolonger leur vie dans des conditions de douleurs ou de souffrances physiques ou psychiques juste pour ma bonne conscience ! Mais tant que la vie est là... faisons qu'elle soit belle pour eux !
En tout cas cet article informe aussi que la prévention est essentielle et qu'elle peut se faire pour soi, pour ses proches, pour les patients atteints de maladies débutantes.
C'est coooool !