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je suis accort avec il vont droit dans le mur dommage avoir tant d etudes et en arriver la quel malheur
Par CUVELLIER.RENEE, le 12.03.2017
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Date de création : 16.07.2016
Dernière mise à jour :
30.07.2017
26 articles
Poète et troubadour, d'idées, de concepts, je crée les mots pour former une mer " une conscience " un jour peut être, cette mer " cette conscience " donnera naissance à des mots nouveaux habillés de couleurs et d’odeurs, des larmes de tendresse pour la terre. Les mots portent le symbole d'un quelque chose de défini , et pourtant au seuil d'une conscience , ils vont vivre un destin unique , ces mots qui deviennent , phrases et textes , lu ou prononcés existent un quelque chose " de possible " on se pose souvent la question ! C’est quoi l'âme ? et bien , ne cherchez plus l'âme , c'est ; cette chose curieuse , abstraite qui parfume les mots , les couleurs , les odeurs et qui est la part intime de l'être. (Le pire et les meilleurs) Relisez cette phrase, vous venez de mettre un doigt " de réalité sur la foi. Horobindo.
La vérité n'a pas de chemin, je peux écrire sur n'importe quel sujet, dessiner ma vérité, aimer, ne pas aimer , croire, ne pas croire, peindre la toile qui nous sert de faire valoir, je peux renier mes certitudes pour demain peut être ne plus être celui dont je pense être. Le monde change, bouge et tente de nier l’être. L'être humain oublie de s'interroger sur sa condition. J''aime passer l'actualité à la lumière de mes filtres, nul besoin d'être un grand psychologue pour savoir que nous ne sommes que le fruit des milles couleurs et senteurs de la vie, qui un peu à la manière de Claudel, dessine les lois qui vont régenter nos - à priori, donner des formes, des expressions aux images qui fixeront notre Univers. Les mêmes lois gouvernent la nature de ce qui sera notre être, avec ses dépressions, ses humeurs, ses saisons, ses constances, son espace et le temps qui passe. Je pourrais ajouter que c'est logique pour moi qui croit que l'univers est en nous pour ne pas dire que l'univers c'est nous. A ma mort s'éteindra la lumière, ce sera la fin du monde. La fin de mon univers qui n'est qu'un des reflets d'autres qui à travers les millénaires donnent du bleu au ciel .horobindo
La planète bleue.
De brasier d'énergie liquide en phases solides ce nouveau monde s'organisa de façon à créer des organes autonomes qui seraient très utile pour son avenir. Déjà l'intelligence au cœur de la matière qui pensait au lendemain difficiles. Ses débuts furent assez explosif des millions de débris venus des restes du festin que l'on appelle aujourd’hui, système solaire. S’écrasèrent sur sa croûte naissante, c'était un feu d'artifice extraordinaire de vitalité, de l'énergie en profusion, des éléments lourds, toute une cargaison utile et vitale pour son avenir .Puis ce fut des milliers et des milliers de comètes qui apportèrent de l’eau, que vous avez tant besoin terriens avides, vous qui ne connaissez pas le partage. Une planète qui s'organisa et qui avait déjà en son sein, l'idée de la vie qui pourtant n'apparaîtra qu’un milliards d'années plus tard. Il s'agit naturellement des prémices, que ce soit l'idée de la vie, des premiers phénomènes, entres autres, réactions chimiques vers la réunion de deux atomes, un assemblage chimique électriquement neutre, mais que des réactions nucléaires propulsent vers des agrégats atomiques, la molécule était née et la vie aussi, curieuse façon de raconter l'histoire de la planète et l'histoire de la naissance la vie. Pourquoi aller chercher l'idée de la vie, ailleurs que sur notre planète, nous avons tous les éléments , la chimie parce que ne croyez pas que les savants, l'on inventée, tous ces bouleversements, au cœur des choses existent, avec et depuis la naissance du temps et de l’espace. Les réactions nucléaires sont l'œuvre de générations passées d'étoiles , la terre a sa formation a héritée de ces matériaux , comme je le disais plus haut , l'eau en partie venue de comètes et de dégazage des entrailles de la terre , toujours cette chimie inscrite dans la matière , cette - ci porte , en son cœur , une histoire vieille de milliards d'années. Aussi simplement racontée, l'histoire de la terre, de la vie... de la matière, démontre que l'ensemble est liée intimement, enlevez une brique et rien n’existera. racontée de cette manière , très peu scientifiques validerons , mais vous pourrez vous documenter , vous verrez que la ligne d'expression est juste, vous venez de lire , notre histoire , la vrai, les formules et autres études , serviront aux spécialistes qui se plantent très souvent quand ils s'agit de parler de notre berceau .
Ils oublient, quand il s'agit d’écologie et du devenir de la terre de raconter sa genèse, ses multiples variations, Bigbang, Tralala. Ils oublient que la terre a ses raisons, qu'elle porte en elle des ressources extraordinaires d'organisations et possède le pouvoir de s'auto-régénérer. Quand bien plus tard , quand peut être l'humain sera rentré dans l'ère de la " sagesse" il comprendra enfin qu'au cœur de la matière existe, depuis le commencement , un quelque chose " d'indéfini " peut être une mémoire commune, et universelle .Des scientifiques vous raconterons que des réactions de saisons , se déroulent au cœur de notre étoile , ces réactions ont des incidences sur notre planète , pourquoi ne pas imaginer que nous sommes relié au soleil , au niveau atomique , une mer de particules existe dans chaque atome , ces particules portent la marque commune des premiers temps. Tralala, tallerai. Tralala, tallerai, la planète est malade. On invente une taxe carbone pour sauver la planète, tralala, tallerai. Notre mère la terre se tord de douleur, en rappelant que ses entrailles sont comme les nôtres, sujette à des contractions, mais à son niveau, c'est un énorme tremblement qui provoque la désolation, des ravages et des morts par dizaines de milliers. Terrible destin d'un peuple " Haïti " déjà martyrisé par l'arrogance de quelques uns, par la cupidité aussi, (esclavage). Rappel singulier que notre planète, tousse parfois, gèle quelquefois (glaciations multiples) à la fièvre aussi, quand des variations importantes d’énergie, viennent troubler et réveiller ses nombreuses cheminées volcaniques, tous ces évènements naturels, inscrits dans ce qui lui sert d’ADN. Les hommes font semblant d'oublier que la terre vie et a son histoire, des lobbyistes malade d'écologie, blindés de diplômes décrètent que la terre est malade, elle l'est certainement. Mais comme trop souvent, l'intégrisme fait la loi et les lois, alors qu'elle respire la Terre, qu'il respire ce berceau qui nous a fait. Ces nouveaux chevaliers de l'ordre" décrètent et culpabilisent " le pauvre retraité ou le quidam qui a besoin de sa bagnole pour aller gagner le smic, oui cette auvergne natale ou l’hiver, il fait si froid, un assoiffé de pouvoir, blindé de certitudes. Qui décide de faire payer une taxe carbone à celui qui parfois n'a que 800 euros de retraite. Tralala, tallerai. Alors que la véritable pollution, vient des industriels et de la gangrène nommé pétrole, La terre rit et pleure de nous voir dans un tel embarras, elle qui sait ou trouver les vrais pollueurs.horobindo
J'écris pour vous, des larmes de mots, des larmes de sel.
Quelque part sur la terre, la conscience d'un être dessine des mots pour exister, elle le fait machinalement et pourtant c'est le miracle de chaque instant.
Loin dans le temps, la naissance du ciel à obligé les premiers êtres à donner de la couleur et un parfum aux choses, des raisons aux premiers sons qui ont inventé le monde.
Puis un peu de lumière, qui devait éclairer la terre entière .Du temps pour que des millions de générations puissent inventer les étoiles, celles qui illuminent notre réel.
Horobindo.
Des mots pour briser les chaînes du silence,
Des mots pour briser les chaînes du silence , ce silence qu'on éprouve , parfois quand les mots ne sont pas là .Le parfum des mots d'un vécu , ou le mot mort hante l'esprit , au point de transformer chaque phrase en cimetière de regrets , pour les mots , qui n'ont pas eu de vie .Des mots , des phrases qui vous " glacent " ou qui vous donnent le plaisir , selon le parfum des expériences de la vie , et de la sensibilité acquise . Regardez tous ces mots , ils attendent le moment ou vous , moi , quelqu'un , voudra bien leurs donner vie , ils sont prêt à partager leur magie , vous leurs donnez la vie et en contrepartie , ils vous existent , vous habillent , ils donnent de la couleur et du volume aux choses qui n'ont pas de nom , qui sans vous , sans les mots ne seraient que les ombres de néant . Ces mots, ces choses qui vous existent, vous et moi, ces mots parfumés d'expériences ou le malheur et le bonheur se mélange à l'infini pour préparer les autres jours, pour que vous puissiez dire "je suis «.
Horobindo.
J'écris pour vous, des larmes de mots, des larmes de sel.
Quelque part sur la terre, la conscience d'un être dessine des mots pour exister, elle le fait machinalement et pourtant c'est le miracle de chaque instant.
Loin dans le temps, la naissance du ciel à obligé les premiers êtres à donner de la couleur et un parfum aux choses, des raisons aux premiers sons qui ont inventé le monde.
Puis un peu de lumière, qui devait éclairer la terre entière .Du temps pour que des millions de générations puissent inventer les étoiles, celles qui illuminent notre réel.
Horobindo.
JE SUIS L'AFFRANCHI DE CERTITUDES
Le temps et l'espace sont contingent et sans doute dans le même ordre d'idées qui dit que la théorie des supers cordes à sept versions différentes , le contenu de notre réalité va dans ce sens à savoir qu'il en existe plusieurs de ces réalités qu'il reste à définir , chacune comme notre fameuse théorie est un des reflets des autres et là je reviens à mes constances , celles dont j'ai parlé dans le précèdent article , tout en gardant une liberté , chaque réalité est contingente. La vie a crée sa réalité nous en somme son produit, nous l'avons colorée parce que nous avons une conscience élargie, la conscience " d'être" Tous les grands savants auront toujours besoin du philosophe puis du poète pour expliquer le monde, le notre, certains de mes articles sont répétitifs, ce blog est pour moi un institut de recherche et j'en reviens à cette phrase de mon enfance cette question : mais ou se trouve le bout du monde ?
Je suis l'affranchi de certitudes, cette phrase raisonne et trace le pourquoi des murs dans mon Univers. Curieux de tout dés mon enfance, je me souviens de mes cinq ans ou je posais la question " aux grands " je voulais savoir ou se trouvait le bout du monde, loin derrière les nuages, il y avait quoi ? J'ai pris soin dés la première phrase d'employer le mot pourquoi, parce que nous parlerons de temps, celui qui passe et aussi d'espace qui occupe le vide, pour la définition du contenu de ce vide donc également des murs nous verrons par la suite.
Mais que se passe t'il actuellement dans le monde ? De crise en crise le système s'effondre, l'Europe est malade en récession à part l'Allemagne triomphante : ce qu’ils n’ont pu faire en 1940 /1945 ils vont le faire sous une autre forme.
Voilà mon analyse, vous verrez dans quelques mois, ils reprendront mes propos.
La crise comme bien d'autres évènements est auto-auto-organisée, sa réalité est devenue réelle aux services des élites qui se gavent, la mondialisation et le système financier prédateur à créé l’emballement, une véritable petite bombe nucléaire : peu à peu nous en perdons le contrôle. (Ce qui pouvait être un moteur pour une entreprise, pour un pays est devenu un danger mortel pour notre humanité.)
.Alors braves gens réagissez , refusez que se soit les banquiers qui dirigent le monde , ne pensez vous pas que les profiteurs ne sont pas ceux que l'on montre du doigt , pensez que beaucoup de décisions sont prises à Bruxelles et que nous payons avec nos impôts des vieux croûtons au sénat qu'on voit dormir ou même ne pas se présenter lors de votes importants , plus de cinq cent sénateurs parfois logé par l'état avec bagnoles etc., et que dire de ces députés doublons , puisque déjà des élus gèrent nos villages , nos villes , je parle des maires , ajoutez les conseillers et j'en passe , ne pensez vous pas que on pourrait ne remplacer qu'un de ces élus sur deux , que penser ce ces campagnes électorales qui coûtent des fortunes , moi je dis que s'il faut montrer du doigt et faire des économies alors commençons là . Horobindo
A ma mort s'éteint la lumière et mon terrible désir de permanence rejoint mes frères qui me consolent en étant encore. Magnifique idée qui me libère de ces croyances, de ces religions d'esclaves qui sèment depuis trop longtemps la violence et la mort .horobindo
Voila du pourquoi.
Voilà le pourquoi , j'existe : l'univers le notre bien-entendu...qui a dans le temps qui passe.Et son espace. Prit sa forme et son apparat , c'est beau le ciel , les étoiles qui scintillent ; une création de la vie , mais alors pourquoi quoi ; pourquoi vouloir séparer la vie , la conscience , l'univers ; oui ils portent des habits de fête , croire , ne pas croire , mais se dire que la science porte "la vérité" mais la vérité de quoi ; pourquoi l'univers serait t'il , une création de la vie et pourquoi donnerai-je plus de réalité à la science qui raconte l'histoire d'un bigbang . Qui aurait inventé " son contenu. La vie est créatrice, au plus fort de son déploiement la vie invente, elle invente sa science et ses Dieux " la vie s'invente une âme et des reflets. La conscience encore primitive ne voit que les artifices d'un visage qui a mille reflets. Mais croire, ne pas croire, ne plus croire pourquoi, ne plus dire que la science est la seule "vérité possible est peut être le passage obligé, vers une conscience nouvelle. Et c'est là que le "je suis l'affranchi de certitudes. " prend une dimension différente, plus forte, un espace de "sagesse " naît et la compréhension des choses de notre monde devient moins nécessaire au fonctionnement de l'être". Oui amis blogueurs j'ai choisi mon habit de fête ; je regarde mes étoiles, les miennes. Et avec toutes mes incertitudes, je vais dessiner mon univers en osant aller au cœur des questions interdites par notre raison. Horobindo
Mettons du bleu dans nos ciels, accrochons des étoiles, inventons les mots qui feront nos bonheurs. La foi c'est de l’air.chargé d'espoir, c'est danser sous des étoiles, c'est une grande roue qui tourne et qu'on nomme la vie, c'est aussi faire fructifier la semence, c'est des joies, plus fortes que la souffrance, c'est croire que chaque jour tout recommence. C'est une petite graine en attente de grandeur, parfois de décadence, c'est aller de l'avant en oubliant le moment présent.
C'est parfois croire que sous un hijab, une croix ou mille bras ; tout soit possible et que des fleurs vont remplir nos cœurs. La foi est synonyme d'espoir , synonyme de vie
On pense à tord que la foi est synonyme de croyances , de religions ; la foi est le principe " d'être " que possède l'agnosticisme , l'athéisme , le déisme , l'apachisme , le scepticisme toutes philosophies qui expliquent notre monde, l'humain est le gardien de " la foi d'être " On a fait avec de " la foi " des religions ; alors que ce que l'on nomme la foi existe naturellement dans ce que l'on nomme la vie . Ce n'est pas la foi qui fait les religions, la foi est naturelle et appartient à la vie.
Ce sont les religions qui ont emprisonné un symbole universel. La foi est au cœur de la vie c'est un autrement, mais quand on ouvre les yeux, on voit que l'on vie dans un monde aux milles reflets.
Le secret absolu est dans cette étrange corrélation ou la lumière sublime une vision de perpétuels recommencements.horobindo
..
Je ne suis pas devenu bouddhiste, je n'adhère à aucune religion, la laïcité attitude n'est pas ma tasse de thé, je vais mon chemin, nos idées, nos pensées , notre bigbang et Dieu que l'on a chaussé de sabots et habillé d'humanité, ne sont et ne resteront qu'un produit de notre condition humaine.
J'ai oublié un instant " l'égo " j'ai vu en toi mes rêves, le ciel et l'univers, j'ai compris la réalité aux multiples visages , nous héritons des nuances qu'une infinité de consciences a peint sur la grande toile , des ombres jouent avec nos certitudes et nos croyances , " dessinent " le monde qui n'est qu'une mer de possibles,
j'ai oublié un instant l'égo, je suis l' être aux multiples reflets.
Nous sommes le produit d'un million de générations, la conscience est un vase sans fond, sans bord, elle ressemble à l'Univers.
La vie ne sait plus son âge et d'ou elle vient, elle ressemble à ce qu'il y avait avant l'Univers. Nous sommes le ciel, l’Univers, la vie.
Je suis Sapiens, un être qui se dessine un monde, un visage, une raison, qui s'invente du temps, des fleurs de saison en saison. Notre réel est l'ombre du ciel, de l'univers, un des reflets de l’infinitude, c'est une invention de la vie pour dire " je suis".
La terre qui nous a fait naître, a connu des nombreuses phases de climats, comme si elle avait décidée de nous donner chacun notre tour, ses odeurs de bien être, chaque printemps, quand de sa baguette magique, elle donne l'ordre aux fleurs de s'habiller de couleurs et d'ouvrir le bal des senteurs. (Les mots sont comme la planète, une partie de ce que nous appelons "notre réalité «).
La formation du système solaire obéit à des lois répertoriées par la science, le détail n'est pas utile pour se faire un concept. Un univers qui invente son espace , imaginez des milliards de galaxies , des milliards d'étoiles , dans chacune de ces galaxies qui ressemblerait à notre soleil , parfois plus grand , parfois plus petit , parfois plus brillant , imaginez des planètes formant cortège , heureuses , d'accompagner le chef d'orchestre qui lui n'aurait qu'un but .
Ensemencer son espace d'énergie , pour peut être donner la vie , produire les atomes qui manquent aux mondes futurs , aux soleils de l'avenir , aux planètes qui attendent d'exister , produire , peut être de la vie autrement .
Un univers qui crée sa place, par la magie de galaxies qui s'éloignent les unes, des autres, dans ce quelque chose que l'on nomme " rien " et qui devient espace.
Cet Univers dont on sait presque tout et presque rien, qui se déploie depuis que, son bige à donné du temps à de simples particules, une mer de particules éphémères dont on ne connaît rien, Bigbang, Tralala.
Il y eu les premières générations d'étoiles de l’hélium, du lithium et naturellement de l’hydrogène, des étoiles, des dizaines de milliers de fois, plus grosses que notre soleil à durée de vie rapide. Ces étoiles géantes fabriquèrent des éléments nécessaires à la survie d'autres étoiles plus petites à la fin de leurs courtes vie, elles possédaient déjà ce qui permettra à d'autres générations de réaliser une nucléosynthèse, des noyaux légers, une sorte de processus chimique, et une synthèse de noyaux atomique par fusion ou fission, c'est comme vous le voulez, naîtront les noyaux lourds, puis d'autres étoiles viendront.
C'est par la nucléosynthèse que l'idée de la vie s’affirmera, déjà les cortèges d’étoiles, générations " planètes" avaient envahi l’univers, les éléments nécessaires pour l'apparition de la vie étaient à ce moment là présent.
Tourne , tourne encore et encore , il y a fort longtemps , peut être cinq petits milliards d'années, des poussières d'étoiles inventèrent la ronde , attirées , par je ne sais quoi , des éléments tellement petits à ne pas les voir , tellement nombreux à ne plus savoir, un jour de fête , ivre d'avoir trop dansé, chanté , tout ce petit monde, s'assemblera pour devenir une étoile , notre étoile .
Le trop plein de poussières, enverra une partie de ce qui venait d’ailleurs, je ne sais d’où, vers des horizons orbites, plus éloignés, il y eu pluton, peut être une autre demoiselle.
Notre mère la terre fut la préférée de l'étoile notre soleil , elle hérita d'une position privilège et la distribution des éléments , fut organisé de manière a lui donner un avenir de reine , tourne , tourne la terre , ses constituants intimes s'organisèrent pour donner la vie , et un cœur à celle qui allait inventer , se faire un destin , elle serait la magnifique , celle que l'on appellerait ,
La planète bleue.
J'ai vu en toi mes réves; " je suis la mer " .
De brasier d'énergie liquide en phases solides ce nouveau monde s'organisa de façon à créer des organes autonomes qui seraient très utile pour son avenir.
Déjà l'intelligence au cœur de la matière qui pensait au lendemain difficiles. Ses débuts furent assez explosif, des millions de débris venus des restes du festin que l'on appelle aujourd’hui, système solaire s'écrasèrent sur sa croûte naissante, c'était un feu d'artifice extraordinaire de vitalité, de l'énergie en profusion, des éléments lourds, toute une cargaison utile et vitale pour son avenir.
Puis ce fut des milliers et des milliers de comètes qui apportèrent de l’eau, que vous avez tant besoin terriens avides, vous qui ne connaissez pas le partage. Une planète qui s'organisa et qui avait déjà en son sein, l'idée de la vie qui pourtant n'apparaîtra qu’un milliards et demi d'années plus tard.
Il s'agit naturellement des prémices, que ce soit l'idée de la vie, des premiers phénomènes, entres autres, réactions chimiques vers la réunion de deux atomes, un assemblage chimique électriquement neutre, mais que des réactions nucléaires propulsent vers des agrégats atomiques, la molécule était née et la vie aussi, curieuse façon de raconter l'histoire de la planète et l'histoire de la naissance la vie.
Pourquoi aller chercher l'idée de la vie, ailleurs que sur notre planète, nous avons tous les éléments , la chimie parce que ne croyez pas que les savants, l'on inventée, tous ces bouleversements, au cœur des choses existent, avec et depuis la naissance du temps et de l’espace.
Les réactions nucléaires sont l'œuvre de générations passées d'étoiles , la terre a sa formation a héritée de ces matériaux , comme je le disais plus haut , l'eau en partie venue de comètes et de dégazage des entrailles de la terre , toujours cette chimie inscrite dans la matière , cette - ci porte , en son cœur , une histoire vieille de milliards d'années.
Aussi simplement racontée, l'histoire de la terre, de la vie, de la matière, démontre que l'ensemble est liée intimement, enlevez une brique et rien n’existera. racontée de cette manière , très peu scientifiques validerons , mais vous pourrez vous documenter , vous verrez que la ligne d'expression est juste, vous venez de lire , notre histoire , la vraie , les formules et autres études , serviront aux spécialistes qui se plantent très souvent quand ils s'agit de parler de notre berceau .
Ils oublient, quand il s'agit d’écologie et du devenir de la terre de raconter sa genèse, ses multiples variations, Bigbang, Tralala.
Ils oublient que la terre a ses raisons, qu'elle porte en elle des ressources extraordinaires d'organisations et possède le pouvoir de s'auto-régénérer. Quand bien plus tard, quand peut être l'humain sera rentré dans l'ère de la " sagesse" il comprendra enfin qu'au cœur de la matière existe, depuis le commencement, un quelque chose " d'indéfini " peut être une mémoire commune, et universelle.
Des scientifiques vous raconterons que des réactions de saisons, se déroulent au cœur de notre étoile, ces réactions ont des incidences sur notre planète, pourquoi ne pas imaginer que nous sommes relié au soleil, au niveau atomique, une mer de particules existe dans chaque atome, ces particules portent la marque commune des premiers temps. Tralala, Tralala, tralalére la planète est malade.
On invente une taxe carbone pour sauver la planète, notre mère la terre se tord de douleur, en rappelant que ses entrailles sont comme les nôtres, sujette à des contractions, mais à son niveau, c'est un énorme tremblement qui provoque la désolation, des ravages et des morts par dizaines de milliers.
Terrible destin d'un peuple " Haïti " déjà martyrisé par l'arrogance de quelques uns, par la cupidité aussi, (esclavage). Rappel singulier que notre planète, tousse parfois, gèle quelquefois (glaciations multiples) à la fièvre aussi, quand des variations importantes d’énergie, viennent troubler et réveiller ses nombreuses cheminées volcaniques, tous ces évènements naturels, inscrits dans ce qui lui sert d’ADN.
Les hommes font semblant d'oublier que la terre vie et a son histoire, des lobbyistes malade d'écologie, blindés de diplômes décrètent que la terre est malade, elle l'est certainement. Mais comme trop souvent, l'intégrisme fait la loi et les lois, alors qu'elle respire la Terre, qu'il respire ce berceau qui nous a fait.
Ces nouveaux chevaliers de l'ordre" décrètent et culpabilisent " le pauvre retraité ou le quidam qui a besoin de sa bagnole pour aller gagner le smic, oui cette auvergne natale ou l’hiver, il fait si froid, un assoiffé de pouvoir, blindé de certitudes. Qui décide de faire payer une taxe carbone à celui qui parfois n'a que 800 euros de retraite. Tralala, tallerai. Alors que la véritable pollution, vient des industriels et de la gangrène nommé pétrole, La terre rit et pleure de nous voir dans un tel embarras, elle qui sait ou trouver les vrais pollueurs.
La terre qui sait qu'il existe déjà des alternatives à ce Dieu pétrole , qui sait très bien que "ce mal " sera épuisé jusqu'à la dernière goutte, intérêts des nantis de ce monde , assoiffés de pouvoir, cette terre qui parfois se déchaîne et se venge.
Nous n'étions alors que des petites bestioles cachées , terrées , enfouies sous la terre , c'était , il y a environ 60 millions d'années ,
peut-être des dizaines de milliers de volcans ont crachés de la matière en fusion , peut-être une énorme météorite s'est écrasée sur la terre répandant , le feu et la tempête qui allait obscurcir le ciel pendant des mois , peut-être des années , modifier son bleu , éradiquer la flore , et pourtant au cœur d'elle même notre terre a su trouver les solutions et la force d'exister .
Notre terre prête à tout pour vivre le temps promis , que ce soit de la météorite venue d'ailleurs ou les inconséquences d'un être né de sa chair , ( l'être humain ) elle était prête à faire face et poursuivre sa course autour du soleil.
La terre fut bombardée pendant des millions d'années par une pluie de météorites dont on voit encore les traces, quand à l'être humain, il n'a de cesse d'inventer des bombes au risque des se détruire lui et sa planète.
Un univers qui invente son espace , imaginez des milliards de galaxies , des milliards d'étoiles , dans chacune de ces galaxies , qui ressemblerait à notre soleil , parfois plus grand , parfois plus petit , parfois plus brillant , imaginez des planètes , formant cortège , heureuses , d'accompagner le chef d'orchestre qui lui n'aurait qu'un but .
Ensemencer son espace d’énergie, pour peut être donné la vie, produire les atomes qui manquent aux mondes futurs, aux soleils de l’avenir, aux planètes qui attendent d'exister, produire peut être de la vie, autrement.
Horobindo
..
Je ne suis pas devenu bouddhiste, je n'adhère à aucune religion, la laïcité attitude n'est pas ma tasse de thé, je vais mon chemin, nos idées, nos pensées , notre bigbang et Dieu que l'on a chaussé de sabots et habillé d'humanité, ne sont et ne resteront qu'un produit de notre condition humaine.
J'ai oublié un instant " l'égo " j'ai vu en toi mes rêves, le ciel et l'univers, j'ai compris la réalité aux multiples visages , nous héritons des nuances qu'une infinité de consciences a peint sur la grande toile , des ombres jouent avec nos certitudes et nos croyances , " dessinent " le monde qui n'est qu'une mer de possibles,
j'ai oublié un instant l'égo, je suis l' être aux multiples reflets.
Nous sommes le produit d'un million de générations, la conscience est un vase sans fond, sans bord, elle ressemble à l'Univers.
La vie ne sait plus son âge et d'ou elle vient, elle ressemble à ce qu'il y avait avant l'Univers. Nous sommes le ciel, l’Univers, la vie.
Je suis Sapiens, un être qui se dessine un monde, un visage, une raison, qui s'invente du temps, des fleurs de saison en saison. Notre réel est l'ombre du ciel, de l'univers, un des reflets de l’infinitude, c'est une invention de la vie pour dire " je suis".
La terre qui nous a fait naître, a connu des nombreuses phases de climats, comme si elle avait décidée de nous donner chacun notre tour, ses odeurs de bien être, chaque printemps, quand de sa baguette magique, elle donne l'ordre aux fleurs de s'habiller de couleurs et d'ouvrir le bal des senteurs. (Les mots sont comme la planète, une partie de ce que nous appelons "notre réalité «).
La formation du système solaire obéit à des lois répertoriées par la science, le détail n'est pas utile pour se faire un concept. Un univers qui invente son espace , imaginez des milliards de galaxies , des milliards d'étoiles , dans chacune de ces galaxies qui ressemblerait à notre soleil , parfois plus grand , parfois plus petit , parfois plus brillant , imaginez des planètes formant cortège , heureuses , d'accompagner le chef d'orchestre qui lui n'aurait qu'un but .
Ensemencer son espace d'énergie , pour peut être donner la vie , produire les atomes qui manquent aux mondes futurs , aux soleils de l'avenir , aux planètes qui attendent d'exister , produire , peut être de la vie autrement .
Un univers qui crée sa place, par la magie de galaxies qui s'éloignent les unes, des autres, dans ce quelque chose que l'on nomme " rien " et qui devient espace.
Cet Univers dont on sait presque tout et presque rien, qui se déploie depuis que, son bige à donné du temps à de simples particules, une mer de particules éphémères dont on ne connaît rien, Bigbang, Tralala.
Il y eu les premières générations d'étoiles de l’hélium, du lithium et naturellement de l’hydrogène, des étoiles, des dizaines de milliers de fois, plus grosses que notre soleil à durée de vie rapide. Ces étoiles géantes fabriquèrent des éléments nécessaires à la survie d'autres étoiles plus petites à la fin de leurs courtes vie, elles possédaient déjà ce qui permettra à d'autres générations de réaliser une nucléosynthèse, des noyaux légers, une sorte de processus chimique, et une synthèse de noyaux atomique par fusion ou fission, c'est comme vous le voulez, naîtront les noyaux lourds, puis d'autres étoiles viendront.
C'est par la nucléosynthèse que l'idée de la vie s’affirmera, déjà les cortèges d’étoiles, générations " planètes" avaient envahi l’univers, les éléments nécessaires pour l'apparition de la vie étaient à ce moment là présent.
Tourne , tourne encore et encore , il y a fort longtemps , peut être cinq petits milliards d'années, des poussières d'étoiles inventèrent la ronde , attirées , par je ne sais quoi , des éléments tellement petits à ne pas les voir , tellement nombreux à ne plus savoir, un jour de fête , ivre d'avoir trop dansé, chanté , tout ce petit monde, s'assemblera pour devenir une étoile , notre étoile .
Le trop plein de poussières, enverra une partie de ce qui venait d’ailleurs, je ne sais d’où, vers des horizons orbites, plus éloignés, il y eu pluton, peut être une autre demoiselle.
Notre mère la terre fut la préférée de l'étoile notre soleil , elle hérita d'une position privilège et la distribution des éléments , fut organisé de manière a lui donner un avenir de reine , tourne , tourne la terre , ses constituants intimes s'organisèrent pour donner la vie , et un cœur à celle qui allait inventer , se faire un destin , elle serait la magnifique , celle que l'on appellerait ,
La planète bleue.
J'ai vu en toi mes réves; " je suis la mer " .
De brasier d'énergie liquide en phases solides ce nouveau monde s'organisa de façon à créer des organes autonomes qui seraient très utile pour son avenir.
Déjà l'intelligence au cœur de la matière qui pensait au lendemain difficiles. Ses débuts furent assez explosif, des millions de débris venus des restes du festin que l'on appelle aujourd’hui, système solaire s'écrasèrent sur sa croûte naissante, c'était un feu d'artifice extraordinaire de vitalité, de l'énergie en profusion, des éléments lourds, toute une cargaison utile et vitale pour son avenir.
Puis ce fut des milliers et des milliers de comètes qui apportèrent de l’eau, que vous avez tant besoin terriens avides, vous qui ne connaissez pas le partage. Une planète qui s'organisa et qui avait déjà en son sein, l'idée de la vie qui pourtant n'apparaîtra qu’un milliards et demi d'années plus tard.
Il s'agit naturellement des prémices, que ce soit l'idée de la vie, des premiers phénomènes, entres autres, réactions chimiques vers la réunion de deux atomes, un assemblage chimique électriquement neutre, mais que des réactions nucléaires propulsent vers des agrégats atomiques, la molécule était née et la vie aussi, curieuse façon de raconter l'histoire de la planète et l'histoire de la naissance la vie.
Pourquoi aller chercher l'idée de la vie, ailleurs que sur notre planète, nous avons tous les éléments , la chimie parce que ne croyez pas que les savants, l'on inventée, tous ces bouleversements, au cœur des choses existent, avec et depuis la naissance du temps et de l’espace.
Les réactions nucléaires sont l'œuvre de générations passées d'étoiles , la terre a sa formation a héritée de ces matériaux , comme je le disais plus haut , l'eau en partie venue de comètes et de dégazage des entrailles de la terre , toujours cette chimie inscrite dans la matière , cette - ci porte , en son cœur , une histoire vieille de milliards d'années.
Aussi simplement racontée, l'histoire de la terre, de la vie, de la matière, démontre que l'ensemble est liée intimement, enlevez une brique et rien n’existera. racontée de cette manière , très peu scientifiques validerons , mais vous pourrez vous documenter , vous verrez que la ligne d'expression est juste, vous venez de lire , notre histoire , la vraie , les formules et autres études , serviront aux spécialistes qui se plantent très souvent quand ils s'agit de parler de notre berceau .
Ils oublient, quand il s'agit d’écologie et du devenir de la terre de raconter sa genèse, ses multiples variations, Bigbang, Tralala.
Ils oublient que la terre a ses raisons, qu'elle porte en elle des ressources extraordinaires d'organisations et possède le pouvoir de s'auto-régénérer. Quand bien plus tard, quand peut être l'humain sera rentré dans l'ère de la " sagesse" il comprendra enfin qu'au cœur de la matière existe, depuis le commencement, un quelque chose " d'indéfini " peut être une mémoire commune, et universelle.
Des scientifiques vous raconterons que des réactions de saisons, se déroulent au cœur de notre étoile, ces réactions ont des incidences sur notre planète, pourquoi ne pas imaginer que nous sommes relié au soleil, au niveau atomique, une mer de particules existe dans chaque atome, ces particules portent la marque commune des premiers temps. Tralala, Tralala, tralalére la planète est malade.
On invente une taxe carbone pour sauver la planète, notre mère la terre se tord de douleur, en rappelant que ses entrailles sont comme les nôtres, sujette à des contractions, mais à son niveau, c'est un énorme tremblement qui provoque la désolation, des ravages et des morts par dizaines de milliers.
Terrible destin d'un peuple " Haïti " déjà martyrisé par l'arrogance de quelques uns, par la cupidité aussi, (esclavage). Rappel singulier que notre planète, tousse parfois, gèle quelquefois (glaciations multiples) à la fièvre aussi, quand des variations importantes d’énergie, viennent troubler et réveiller ses nombreuses cheminées volcaniques, tous ces évènements naturels, inscrits dans ce qui lui sert d’ADN.
Les hommes font semblant d'oublier que la terre vie et a son histoire, des lobbyistes malade d'écologie, blindés de diplômes décrètent que la terre est malade, elle l'est certainement. Mais comme trop souvent, l'intégrisme fait la loi et les lois, alors qu'elle respire la Terre, qu'il respire ce berceau qui nous a fait.
Ces nouveaux chevaliers de l'ordre" décrètent et culpabilisent " le pauvre retraité ou le quidam qui a besoin de sa bagnole pour aller gagner le smic, oui cette auvergne natale ou l’hiver, il fait si froid, un assoiffé de pouvoir, blindé de certitudes. Qui décide de faire payer une taxe carbone à celui qui parfois n'a que 800 euros de retraite. Tralala, tallerai. Alors que la véritable pollution, vient des industriels et de la gangrène nommé pétrole, La terre rit et pleure de nous voir dans un tel embarras, elle qui sait ou trouver les vrais pollueurs.
La terre qui sait qu'il existe déjà des alternatives à ce Dieu pétrole , qui sait très bien que "ce mal " sera épuisé jusqu'à la dernière goutte, intérêts des nantis de ce monde , assoiffés de pouvoir, cette terre qui parfois se déchaîne et se venge.
Nous n'étions alors que des petites bestioles cachées , terrées , enfouies sous la terre , c'était , il y a environ 60 millions d'années ,
peut-être des dizaines de milliers de volcans ont crachés de la matière en fusion , peut-être une énorme météorite s'est écrasée sur la terre répandant , le feu et la tempête qui allait obscurcir le ciel pendant des mois , peut-être des années , modifier son bleu , éradiquer la flore , et pourtant au cœur d'elle même notre terre a su trouver les solutions et la force d'exister .
Notre terre prête à tout pour vivre le temps promis , que ce soit de la météorite venue d'ailleurs ou les inconséquences d'un être né de sa chair , ( l'être humain ) elle était prête à faire face et poursuivre sa course autour du soleil.
La terre fut bombardée pendant des millions d'années par une pluie de météorites dont on voit encore les traces, quand à l'être humain, il n'a de cesse d'inventer des bombes au risque des se détruire lui et sa planète.
Un univers qui invente son espace , imaginez des milliards de galaxies , des milliards d'étoiles , dans chacune de ces galaxies , qui ressemblerait à notre soleil , parfois plus grand , parfois plus petit , parfois plus brillant , imaginez des planètes , formant cortège , heureuses , d'accompagner le chef d'orchestre qui lui n'aurait qu'un but .
Ensemencer son espace d’énergie, pour peut être donné la vie, produire les atomes qui manquent aux mondes futurs, aux soleils de l’avenir, aux planètes qui attendent d'exister, produire peut être de la vie, autrement.
Horobindo
Poète et troubadour, d'idées, de concepts, je crée les mots pour former une mer " une conscience " un jour peut être, cette mer " cette conscience " donnera naissance à des mots nouveaux habillés de couleurs et d’odeurs, des larmes de tendresse pour la terre. Les mots portent le symbole d'un quelque chose de défini , et pourtant au seuil d'une conscience , ils vont vivre un destin unique , ces mots qui deviennent , phrases et textes , lu ou prononcés existent un quelque chose " de possible " on se pose souvent la question ! C’est quoi l'âme ? et bien , ne cherchez plus l'âme , c'est ; cette chose curieuse , abstraite qui parfume les mots , les couleurs , les odeurs et qui est la part intime de l'être. (Le pire et les meilleurs) Relisez cette phrase, vous venez de mettre un doigt " de réalité sur la foi. Horobindo.
La vérité n'a pas de chemin, je peux écrire sur n'importe quel sujet, dessiner ma vérité, aimer, ne pas aimer , croire, ne pas croire, peindre la toile qui nous sert de faire valoir, je peux renier mes certitudes pour demain peut être ne plus être celui dont je pense être. Le monde change, bouge et tente de nier l’être. L'être humain oublie de s'interroger sur sa condition. J''aime passer l'actualité à la lumière de mes filtres, nul besoin d'être un grand psychologue pour savoir que nous ne sommes que le fruit des milles couleurs et senteurs de la vie, qui un peu à la manière de Claudel, dessine les lois qui vont régenter nos - à priori, donner des formes, des expressions aux images qui fixeront notre Univers. Les mêmes lois gouvernent la nature de ce qui sera notre être, avec ses dépressions, ses humeurs, ses saisons, ses constances, son espace et le temps qui passe. Je pourrais ajouter que c'est logique pour moi qui croit que l'univers est en nous pour ne pas dire que l'univers c'est nous. A ma mort s'éteindra la lumière, ce sera la fin du monde. La fin de mon univers qui n'est qu'un des reflets d'autres qui à travers les millénaires donnent du bleu au ciel .horobindo
La planète bleue.
De brasier d'énergie liquide en phases solides ce nouveau monde s'organisa de façon à créer des organes autonomes qui seraient très utile pour son avenir. Déjà l'intelligence au cœur de la matière qui pensait au lendemain difficiles. Ses débuts furent assez explosif des millions de débris venus des restes du festin que l'on appelle aujourd’hui, système solaire. S’écrasèrent sur sa croûte naissante, c'était un feu d'artifice extraordinaire de vitalité, de l'énergie en profusion, des éléments lourds, toute une cargaison utile et vitale pour son avenir .Puis ce fut des milliers et des milliers de comètes qui apportèrent de l’eau, que vous avez tant besoin terriens avides, vous qui ne connaissez pas le partage. Une planète qui s'organisa et qui avait déjà en son sein, l'idée de la vie qui pourtant n'apparaîtra qu’un milliards d'années plus tard. Il s'agit naturellement des prémices, que ce soit l'idée de la vie, des premiers phénomènes, entres autres, réactions chimiques vers la réunion de deux atomes, un assemblage chimique électriquement neutre, mais que des réactions nucléaires propulsent vers des agrégats atomiques, la molécule était née et la vie aussi, curieuse façon de raconter l'histoire de la planète et l'histoire de la naissance la vie. Pourquoi aller chercher l'idée de la vie, ailleurs que sur notre planète, nous avons tous les éléments , la chimie parce que ne croyez pas que les savants, l'on inventée, tous ces bouleversements, au cœur des choses existent, avec et depuis la naissance du temps et de l’espace. Les réactions nucléaires sont l'œuvre de générations passées d'étoiles , la terre a sa formation a héritée de ces matériaux , comme je le disais plus haut , l'eau en partie venue de comètes et de dégazage des entrailles de la terre , toujours cette chimie inscrite dans la matière , cette - ci porte , en son cœur , une histoire vieille de milliards d'années. Aussi simplement racontée, l'histoire de la terre, de la vie... de la matière, démontre que l'ensemble est liée intimement, enlevez une brique et rien n’existera. racontée de cette manière , très peu scientifiques validerons , mais vous pourrez vous documenter , vous verrez que la ligne d'expression est juste, vous venez de lire , notre histoire , la vrai, les formules et autres études , serviront aux spécialistes qui se plantent très souvent quand ils s'agit de parler de notre berceau .
Ils oublient, quand il s'agit d’écologie et du devenir de la terre de raconter sa genèse, ses multiples variations, Bigbang, Tralala. Ils oublient que la terre a ses raisons, qu'elle porte en elle des ressources extraordinaires d'organisations et possède le pouvoir de s'auto-régénérer. Quand bien plus tard , quand peut être l'humain sera rentré dans l'ère de la " sagesse" il comprendra enfin qu'au cœur de la matière existe, depuis le commencement , un quelque chose " d'indéfini " peut être une mémoire commune, et universelle .Des scientifiques vous raconterons que des réactions de saisons , se déroulent au cœur de notre étoile , ces réactions ont des incidences sur notre planète , pourquoi ne pas imaginer que nous sommes relié au soleil , au niveau atomique , une mer de particules existe dans chaque atome , ces particules portent la marque commune des premiers temps. Tralala, tallerai. Tralala, tallerai, la planète est malade. On invente une taxe carbone pour sauver la planète, tralala, tallerai. Notre mère la terre se tord de douleur, en rappelant que ses entrailles sont comme les nôtres, sujette à des contractions, mais à son niveau, c'est un énorme tremblement qui provoque la désolation, des ravages et des morts par dizaines de milliers. Terrible destin d'un peuple " Haïti " déjà martyrisé par l'arrogance de quelques uns, par la cupidité aussi, (esclavage). Rappel singulier que notre planète, tousse parfois, gèle quelquefois (glaciations multiples) à la fièvre aussi, quand des variations importantes d’énergie, viennent troubler et réveiller ses nombreuses cheminées volcaniques, tous ces évènements naturels, inscrits dans ce qui lui sert d’ADN. Les hommes font semblant d'oublier que la terre vie et a son histoire, des lobbyistes malade d'écologie, blindés de diplômes décrètent que la terre est malade, elle l'est certainement. Mais comme trop souvent, l'intégrisme fait la loi et les lois, alors qu'elle respire la Terre, qu'il respire ce berceau qui nous a fait. Ces nouveaux chevaliers de l'ordre" décrètent et culpabilisent " le pauvre retraité ou le quidam qui a besoin de sa bagnole pour aller gagner le smic, oui cette auvergne natale ou l’hiver, il fait si froid, un assoiffé de pouvoir, blindé de certitudes. Qui décide de faire payer une taxe carbone à celui qui parfois n'a que 800 euros de retraite. Tralala, tallerai. Alors que la véritable pollution, vient des industriels et de la gangrène nommé pétrole, La terre rit et pleure de nous voir dans un tel embarras, elle qui sait ou trouver les vrais pollueurs.horobindo
J'écris pour vous, des larmes de mots, des larmes de sel.
Quelque part sur la terre, la conscience d'un être dessine des mots pour exister, elle le fait machinalement et pourtant c'est le miracle de chaque instant.
Loin dans le temps, la naissance du ciel à obligé les premiers êtres à donner de la couleur et un parfum aux choses, des raisons aux premiers sons qui ont inventé le monde.
Puis un peu de lumière, qui devait éclairer la terre entière .Du temps pour que des millions de générations puissent inventer les étoiles, celles qui illuminent notre réel.
Horobindo.
Des mots pour briser les chaînes du silence,
Des mots pour briser les chaînes du silence , ce silence qu'on éprouve , parfois quand les mots ne sont pas là .Le parfum des mots d'un vécu , ou le mot mort hante l'esprit , au point de transformer chaque phrase en cimetière de regrets , pour les mots , qui n'ont pas eu de vie .Des mots , des phrases qui vous " glacent " ou qui vous donnent le plaisir , selon le parfum des expériences de la vie , et de la sensibilité acquise . Regardez tous ces mots , ils attendent le moment ou vous , moi , quelqu'un , voudra bien leurs donner vie , ils sont prêt à partager leur magie , vous leurs donnez la vie et en contrepartie , ils vous existent , vous habillent , ils donnent de la couleur et du volume aux choses qui n'ont pas de nom , qui sans vous , sans les mots ne seraient que les ombres de néant . Ces mots, ces choses qui vous existent, vous et moi, ces mots parfumés d'expériences ou le malheur et le bonheur se mélange à l'infini pour préparer les autres jours, pour que vous puissiez dire "je suis «.
Horobindo.
J'écris pour vous, des larmes de mots, des larmes de sel.
Quelque part sur la terre, la conscience d'un être dessine des mots pour exister, elle le fait machinalement et pourtant c'est le miracle de chaque instant.
Loin dans le temps, la naissance du ciel à obligé les premiers êtres à donner de la couleur et un parfum aux choses, des raisons aux premiers sons qui ont inventé le monde.
Puis un peu de lumière, qui devait éclairer la terre entière .Du temps pour que des millions de générations puissent inventer les étoiles, celles qui illuminent notre réel.
Horobindo.
JE SUIS L'AFFRANCHI DE CERTITUDES
Le temps et l'espace sont contingent et sans doute dans le même ordre d'idées qui dit que la théorie des supers cordes à sept versions différentes , le contenu de notre réalité va dans ce sens à savoir qu'il en existe plusieurs de ces réalités qu'il reste à définir , chacune comme notre fameuse théorie est un des reflets des autres et là je reviens à mes constances , celles dont j'ai parlé dans le précèdent article , tout en gardant une liberté , chaque réalité est contingente. La vie a crée sa réalité nous en somme son produit, nous l'avons colorée parce que nous avons une conscience élargie, la conscience " d'être" Tous les grands savants auront toujours besoin du philosophe puis du poète pour expliquer le monde, le notre, certains de mes articles sont répétitifs, ce blog est pour moi un institut de recherche et j'en reviens à cette phrase de mon enfance cette question : mais ou se trouve le bout du monde ?
Je suis l'affranchi de certitudes, cette phrase raisonne et trace le pourquoi des murs dans mon Univers. Curieux de tout dés mon enfance, je me souviens de mes cinq ans ou je posais la question " aux grands " je voulais savoir ou se trouvait le bout du monde, loin derrière les nuages, il y avait quoi ? J'ai pris soin dés la première phrase d'employer le mot pourquoi, parce que nous parlerons de temps, celui qui passe et aussi d'espace qui occupe le vide, pour la définition du contenu de ce vide donc également des murs nous verrons par la suite.
Mais que se passe t'il actuellement dans le monde ? De crise en crise le système s'effondre, l'Europe est malade en récession à part l'Allemagne triomphante : ce qu’ils n’ont pu faire en 1940 /1945 ils vont le faire sous une autre forme.
Voilà mon analyse, vous verrez dans quelques mois, ils reprendront mes propos.
La crise comme bien d'autres évènements est auto-auto-organisée, sa réalité est devenue réelle aux services des élites qui se gavent, la mondialisation et le système financier prédateur à créé l’emballement, une véritable petite bombe nucléaire : peu à peu nous en perdons le contrôle. (Ce qui pouvait être un moteur pour une entreprise, pour un pays est devenu un danger mortel pour notre humanité.)
.Alors braves gens réagissez , refusez que se soit les banquiers qui dirigent le monde , ne pensez vous pas que les profiteurs ne sont pas ceux que l'on montre du doigt , pensez que beaucoup de décisions sont prises à Bruxelles et que nous payons avec nos impôts des vieux croûtons au sénat qu'on voit dormir ou même ne pas se présenter lors de votes importants , plus de cinq cent sénateurs parfois logé par l'état avec bagnoles etc., et que dire de ces députés doublons , puisque déjà des élus gèrent nos villages , nos villes , je parle des maires , ajoutez les conseillers et j'en passe , ne pensez vous pas que on pourrait ne remplacer qu'un de ces élus sur deux , que penser ce ces campagnes électorales qui coûtent des fortunes , moi je dis que s'il faut montrer du doigt et faire des économies alors commençons là . Horobindo
A ma mort s'éteint la lumière et mon terrible désir de permanence rejoint mes frères qui me consolent en étant encore. Magnifique idée qui me libère de ces croyances, de ces religions d'esclaves qui sèment depuis trop longtemps la violence et la mort .horobindo
Voila du pourquoi.
Voilà le pourquoi , j'existe : l'univers le notre bien-entendu...qui a dans le temps qui passe.Et son espace. Prit sa forme et son apparat , c'est beau le ciel , les étoiles qui scintillent ; une création de la vie , mais alors pourquoi quoi ; pourquoi vouloir séparer la vie , la conscience , l'univers ; oui ils portent des habits de fête , croire , ne pas croire , mais se dire que la science porte "la vérité" mais la vérité de quoi ; pourquoi l'univers serait t'il , une création de la vie et pourquoi donnerai-je plus de réalité à la science qui raconte l'histoire d'un bigbang . Qui aurait inventé " son contenu. La vie est créatrice, au plus fort de son déploiement la vie invente, elle invente sa science et ses Dieux " la vie s'invente une âme et des reflets. La conscience encore primitive ne voit que les artifices d'un visage qui a mille reflets. Mais croire, ne pas croire, ne plus croire pourquoi, ne plus dire que la science est la seule "vérité possible est peut être le passage obligé, vers une conscience nouvelle. Et c'est là que le "je suis l'affranchi de certitudes. " prend une dimension différente, plus forte, un espace de "sagesse " naît et la compréhension des choses de notre monde devient moins nécessaire au fonctionnement de l'être". Oui amis blogueurs j'ai choisi mon habit de fête ; je regarde mes étoiles, les miennes. Et avec toutes mes incertitudes, je vais dessiner mon univers en osant aller au cœur des questions interdites par notre raison. Horobindo
Mettons du bleu dans nos ciels, accrochons des étoiles, inventons les mots qui feront nos bonheurs. La foi c'est de l’air.chargé d'espoir, c'est danser sous des étoiles, c'est une grande roue qui tourne et qu'on nomme la vie, c'est aussi faire fructifier la semence, c'est des joies, plus fortes que la souffrance, c'est croire que chaque jour tout recommence. C'est une petite graine en attente de grandeur, parfois de décadence, c'est aller de l'avant en oubliant le moment présent.
C'est parfois croire que sous un hijab, une croix ou mille bras ; tout soit possible et que des fleurs vont remplir nos cœurs. La foi est synonyme d'espoir , synonyme de vie
On pense à tord que la foi est synonyme de croyances , de religions ; la foi est le principe " d'être " que possède l'agnosticisme , l'athéisme , le déisme , l'apachisme , le scepticisme toutes philosophies qui expliquent notre monde, l'humain est le gardien de " la foi d'être " On a fait avec de " la foi " des religions ; alors que ce que l'on nomme la foi existe naturellement dans ce que l'on nomme la vie . Ce n'est pas la foi qui fait les religions, la foi est naturelle et appartient à la vie.
Ce sont les religions qui ont emprisonné un symbole universel. La foi est au cœur de la vie c'est un autrement, mais quand on ouvre les yeux, on voit que l'on vie dans un monde aux milles reflets.
Le secret absolu est dans cette étrange corrélation ou la lumière sublime une vision de perpétuels recommencements.horobindo
Pourquoi je ne suis pas Charlie! »
" Le soir ou je n'étais plus moi. "
De l’autre coté du miroir, je pourrais, un soir de grand vent dire je suis Charlie ;
Parce que je suis Français et que je mange dans la gamelle de l’économie de la France . Au diable et on s’en fout d’être taxés de prédateurs, de faiseurs de guerres. Après tout ce ne sont que des Africains, c'était bon le temps des colonies , un soir de grand vent , je dirais je suis Charlie parce que le bleu, le blanc, le rouge c’est mon drapeau, au diable s’il est taché de sang d’innocents, c’est le drapeau de ces millions de poilus sacrifiés sur l’autel de raisons occultes, c’est ma mémoire, la mémoire des soldats Français morts à travers les siècles parce qu’il faut des guerres pour faire tourner les usines qui fabriquent des armes. Je suis Charlie parce que c’est bien d’être Charlie, c'est étre dans le vent . horobindo
laissons les professionnels du décryptage de la chose informationnelle se débrouiller avec mes nuances] — J'écris pour déclarer une impuissance : celle de celui-qui bléssé par tant d'événements outranciers s'interroge!.
Pourquoi je ne suis pas Charlie! .
La dame d'Auvergne,
Les blés d’or, la ferme de mon grand-père.
Écrit par horobindo
Je suis L'Alphonsine , je suis née le premier jeudi du mois de mars 1886 , en terre d'Auvergne, l'hiver avait été rude , un vent froid et glacial soufflait dans le village , de la neige qui tombait par gros flocons , un épais manteau blanc avait lentement fantomisé la ferme de mon grand pére , elle
fut cette année là , coupée du monde , la vie y était rude et pas toujours très gaie,nous connaissions pourtant ces périodes ou personne ne passait les chemins trop enneigés .
Ce n'est pas pour rien que nous disions , en parlant de nos terres , les contrebas des replats de montagne ; des semaines , parfois , deux mois complets nous vivions isolé de tout .
Ma mère me raconta quelle avait accouchée dans l'étable des vaches , il y faisait chaud , il y avait les veaux et les chevaux , un accouchement à cette époque se faisait sans tra-la-la , on s'en faisait pas toute une histoire et à l'image de l'arrivée d'un petit veau , vous savez quand le veau se présentait bien , c'était un moment de fête , la nature une symphonie réglée par le maître des choses .
Gertrude Cheveyrands,
la bonne et amie du maître fit office de sage femme , on faisait souvent appel à elle pour aider les vaches à véler.
Ma grand mère n'avait pas eu ce don de la nature , après avoir luttée , un nuit entière , elle était morte de fatigue , ma mère fut sauvée , longtemps , mon grand père en voulu à maman..
Pour se situer dans l'histoire , 1886 , c'était l'ére de la troisième République , le temps du patriotisme avec le général Boulanger , ah que je vous dise l'armée fut dotée du fameux fusil Lebel , bien utile pour aller coloniser l'Afrique. L'hiver 1886 fut rude , plus tard , j'en connu d'autres , mais mon Dieu quand la neige fondait , les pâturages se paraient des couleurs et senteurs de fleurs , des versants devenaient jaune , rouge ou blanc , parfois multicolores selon les variétés de primevères hirsutes , reines des prés ou sabots de Venus , gentiane ou chardon bleu .
Parfois L'Anatole .
Parfois Anatole ( c'était le prénom de mon grand - père ) m'emmenait à travers les chemins , jusqu'aux étendues d'herbe fraîche que les vaches broutaient jusqu'à se faire péter la panse , je gambadais , les sabots attachés autour du cou ne les remettant que là ou la caillasse ne risquait plus de me blesser les pieds , les premières années de ma vie furent les plus belles et les meilleures .
Ma vie entière , j'ai repensée à nos promenades et à nos conversations , j'étais une petite fille attentive et curieuse , ses histoires étaient grandioses , il me parlait de son pére , mon grand pére qui avait fait la campagne de Russie , son idole était le genéral me disait t'il , le Napoléon , cet homme illustre qui avait anéantit son pays, des millions de Francais étaient morts sur des champs de batailles , plus encore de misére et de faim , pourtant plus tard on m'a dit que c'était un grand homme , comme quoi la vérité est faite par les hommes , je crois bien que j'ai supportée ma vie , en me disant que d'autres avaient connus le pire .
L'Anatole avait la barbe et les cheveux blancs , il avait 65 ans , pour ne pas tomber , il promenait sa canne , bien utile pour rassembler les vaches, la vie de paysan usait l'homme et bien peu allaient au déla de soixante dix... j'étais une petite fille heureuse , rieuse , tout au long de nos promenades , je soulais mon grand - pére de paroles , de questions , celles que pouvait poser une enfant de mon age . je n'avais pas ma langue dans ma poche.
Gertrude avant sa mort m'avait offert mon premier cadeau , c'était un baigneur et son landeau , un vrai " Petitcollin " " en celluloide incassable une merveille , son salaire du mois n'avait pas été de trop , à vrai dire c'était un peu ma maman elle aussi.
Des scénes de cette époque heureuse sont restées gravées , dans ma mémoire ; à la bonne saison , nous allions à la ville vendre de la volaille , George le frére de maman attelait deux des juments Fauvette et Caline et dans la grande carriole nous parcourions plus de trente kilometres , quand il faisait beau , le soir au retour , nous chantions , je me souviens la chanson ( Jean Misére ) composée par Eugene Pottier la musique écrite par Mongier , elle parlait de la commune de Paris , c'était pour moi la découverte du monde , et avec cette chanson , j'appris que tous les gens n'étaient pas heureux sur terre.
L'église du village de mon enfance " Valcivieres"
je n'ai jamais réussi à compter les peupliers qui bordaient la route, ma mémoire me parle de ces printemps ou sur les versants mille fleurs me disaient que les froids et les rigueurs s'en étaient allés .
Mon histoire est "l' aventure de ma mère et du valet qui s'aimèrent l'espace d'une nuit de pleine lune , en ces temps là ; il ne faisait pas bon de se faire engrosser , ma mére était la fille du maitre.
Mon père fut chassé de la ferme , avec ordre de quitter la région , il prit la route , je ne le vis que deux ou trois fois dans ma vie , Les grandes langues du village s'en donnèrent , à coeur -joie.
Mon grand père en a souffert , en ce temps là , les curés , l'état et les lois formaient les Ames , le cléricale fixait le bien et le mal , la morale surtout , c'était le temps ou les paroles d'évangiles réglaient la vie des petites gens.
Pourtant si ces paysans " connaissait " la véritable histoire des Saints Joseph , Marie Madeleine et consorts , ils ne vivraient pas leur pauvre vie , culpabilisés et soumis aux prédications et clergés de toutes sortes , Jean , c'était son prénom , son nom m'échappe , j'ai porté celui de ma mère , Jean mon père de sang était arrivé au domaine vers l'âge de 10 ans , enfant de l'assistance public , il avait été placé , élevé à la dure , il occupait depuis son arrivée une vieille grange et longtemps , il avait dormi dans la paille, on en avait fait un valet à vie , c'était un beau gars , un blond aux yeux d'un bleu magnifique .
Il est mort jeune d'un coup de pied , celui d'une vache qu'il fallait traire , maman me raconta des années plus tard . A la ferme de mon grand père , maman s'occupait des hommes , de traire les vaches , c'est la bonne Gertrude , sage femme . cuisiniére et coquine de grand-pére qui fut ma confidente et qui me choya les premières années , un peu avant Noël 91 , elle s'en est allée pour toujours, un hiver trop froid lui fut fatal .
Mes souvenirs d'enfance se sont imprimés dans ma mémoire.. Je parle des bonheurs de mes sept premiére années.. et souvent des années plus tard , quand le ciel de ma vie était trop noir , je rappelle à moi les traces des instants heureux ... pour calmer mes peurs.. et mes angoisses.
J'ai gardé longtemps l'odeur des foins du printemps , la saison des blés , les couleurs et les parfums , la féerie du cadre et le soleil des étés m'ont soutenu , il y avait un tilleul dans la cour , il pleurait des branches en dessous , une table en chéne , deux bancs et quand le temps le permettait nous dînions et prolongions les soirées , il y avait des rires , le ciel du soir était magnifique , j'ai rêvé des étoiles et de l'avenir qui m'attendait.
Ma mère avait un frère , née cinq ans avant elle , l'aîné : celui qui devait remplacer le maître , mon oncle Georges travaillait la terre , c'était lui qui décidait des labeurs, parfois du temps qu'il pourrait faire le lendemain , il était dur au travail , mais aussi envers nous , des chevaux , nous en avions sept pour labourer , et faire l'ouvrage , au départ de mon père , ils avaient pris un journalier , le travail ne manquait pas au domaine , mon grand père et ma mère s'occupaient des animaux nombreux qui nous permettaient de vivre assez bien malgré les duretées de l'époque , nous avions des canards qui se baignaient dans la grande mare , puis des cochons , et beaucoup de volailles , j'aimais regarder les bébés poussins et canetons .
Nous vivions en autarcie , faisions notre pain , la viande et les légumes , longtemps la bonne nous avait cousue la plupart de nos vétements , c'est un colporteur qui vendait des piéces de tissu et bien d'autres choses curieuses. Mon grand pére disait souvent que les temps changeaient , j'ai compris plus tard ce qu'il voulait dire , les années 1900 allaient changer le monde .
Nous avions un chien à la ferme , un braque solide et gentil , il nous suivait partout , veillait sur les vaches et me protégeait , souvent nous allions tous les trois , aux blés d'or , je dis tous les trois , mon grand père , prospéras mon chien et moi quand aux blés d'or , c'était la parcelle de terre préférée de mon grand père , une grande étendue qui produisait un blé de fée , et la nous sentions l'infinitude.
Nous étions sur un versant et quand le jour avait fait son travail , nous connaissions les ombres des choses , le ciel perdait peu à peu son bleu , il faisait corps avec les blés , nous étions le ciel et la terre. C'était le temps ou être paysan était une assurance contre la faim , les travaux étaient pénibles , mais nobles , le soir , il faisait bon de regarder le ciel et le remercier pour ce qu'il nous avait donné . la rudesse de ce monde cachait souvent l'harmonie des multiples caprices de la nature à l'origine de la vie .
Ces années furent les années heureuses , je parle peu de ma mère , souvent je la voyais triste, sans doute d'étre seule , je pense qu'elle n'avait pas oubliée mon père Jean celui qui n'avait pas de nom.
Mon bonheur c'était la famille , mon chien , mes vaches , les blés d'or , mon grand-père , mon oncle , ma mère , puis je me souviens , c'était la veille de la Saint Jean , mon grand père m'avait pris par la main , nous avions marché longtemps , comme si il voulait mémoriser ses champs , le chien nous suivait , il parla peu , ce n'est que plus tard que je repensais a ce moment , j'avais sept ans. Longtemps j'ai repensée ce jour , il tenait ma petite main dans la sienne , je me sentais protégée , grand-pére pourquoi est tu parti si vite , j'aurais aimée que tu m'apprenne la vie , que tu m'apprenne à vivre la vie .
Nous fêtâmes les feux de Jean , pas le Baptiste , nous fêtions le solstice , ce moment ou le jour est le plus court , nous avons allumé dans la cour , un feu de fagots comme chaque année , les adultes avaient bu le vin et ils s'étaient raconté les histoires de l'année passée, comme chaque année les voisins de " La Bourdette " étaient venus boire le vin et chanter..
Mon grand-père s'en est allé dans la nuit , une mort paisible , sans doute usé par le travail , le matin , il était froid , je me souviens de ce baiser glacé sur le front , j'aimais mon grand-père tendrement. Il repose au cimetiere de Valcifiére , sa tombe , il l'avait choisi , haut perché , il faisait face au souffle du vent qui chaque printemps répandait les parfums des fleurs renaissantes.
Mon grand père avait un frère qui avait acheté un fond de commerce à Paris , de temps en temps, il donnait des nouvelles , une fois je me souviens , il était venu passer une semaine au domaine , je n'ai jamais su ce qui liait les deux frères , je crois que l'un avait prété de l'argent à l'autre , en tout cas à la mort de son frère , mon grand oncle se présenta très vite au domaine et voulu la vente de la ferme , le frére de ma mére n'attendait que cela , souvent il avait était question d'argent , " de sa part , comme il disait ) son réve était de s'installer , de monter à Paris , d'acheter un commerce.
Ce fut une vente rapide , le domaine était convoité , la vente fut partagée entre mes deux oncles , à cette époque la fille devait laisser sa part d'héritage au mâle , à l'aîné . Pour ne pas nous laisser à la rue ma mère et moi , on nous fit cadeau d'une vieille bicoque situé au village de Valcifiére et la somme de 1000 francs de quoi tenir en attendant que ma mère trouve un travail .
Elle n'avait jamais quittée le domaine et savait à peine lire , sa science était celle de son pére et de son amie " Gertrude " " elle savait tout faire à la ferme , je crois bien que maman aurait pu conduire les chevaux et labourer , c'était une femme courageuse , je crois que partir de l'endroit qui l'avait vu naitre la rendit triste pour le reste de sa vie , elle n'était pas seule , j'étais sa fille et peu à peu j'appris à connaitre ma maman.
C'était la fin des temps heureux , nous eûmes des jours sombres ma mère et moi , les grands espaces et les animaux nous manquaient , nous fumes plus proche , ma mère prit emploi de bonne à tout faire chez le médecin , notre maison était triste et souvent seule, j'ai longtemps pleurée, puis elle m'emmena avec elle et j'ai comme elle , frotté , les escaliers et bien d'autres travaux pénibles , le docteur était un brave homme , sa femme notre maitresse était trés autoritaire , il faut dire que nous étions deux paysannes et que les bonnes maniére , nous devions les " apprendre " et je dois dire que "madame" comme nous devions l'appeler , nous les appris assez vite , nous n'étions après tout que des gens à leurs services , ma mère gagnait 60 francs par mois , La patronne me rhabilla de la téte au pieds , j'avais fiére allure .
Puis un jour ma mére rencontra un homme . Il allait de village en village , pour acheter les peaux de lapin , il vint lui rendre visite , et chaque mois , un bouquet de fleurs à la main , il fit sa cour J'ai pris l'habitude de me promener dans le bois à la sortie du village ( pour les laisser seuls ) j'aimais respirer l'odeur des fleurs des bois ,les anémones sauvages les rebelles , les faux géraniums , c'est magique de voir toutes ces fleurs qui n'aiment que la profondeur des bois . Maman avait trouvé son homme .
La loi de Jules Ferry date de 1882 , elle fut difficile à appliquer partout en France à cette date , les parents avaient besoin des sous que gagnait lesenfants et longtemps l'idée que l'instruction serait un bénéfice et un espoir pour l'avenir ne fit pas l'unanimité.
Il s'agissait dans un premier temps.. d'apprendre à lire et écrire , très souvent l'école s'arrêtait a 12 ans et il ne faut pas mentir , les études prolongées ou si vous voulez les études supérieures étaient réservées à quelques uns. Nous approchions du début de l'ére industrielle et les patrons allaient avoir besoin de main-d'oeuvre qui sache lire et écrire , facteur très important , plus important que les dérives que pouvaient engendrer le fait de savoir lire , sur des pensées revendicatrices.
Un matin de septembre 1898 je fis ma première rentrée des classes. J'avais 12 ans ans un petit bout de jeune fille , mes illusions de prince charmant s'en étaient allées, ma vie aux blés d'or me manquait.
Je suis L'Alphonsine , je vous raconte un peu de ma vie , je suis née dans l'autre siècle , pas celui des deux guerres , l autre vers la fin.
Le grand Jules m'a donné l'école , deux ans , mais j'ai su lire et écrire et je dois vous dire que c'est grâce à ce savoir que je n'ai pas chutée dans l'obscurantisme , je suis restée debout et libre d'esprit , ma vie entière.
Ma mère reçu une lettre de mon oncle , son frère en mars 1901 , il voulait que je vienne à Paris il avait du travail pour moi . Il avait fait comme le frère de grand-père , il avait acheté un commerce de charbon , il vendait le vin et avait quelques chambres , il était bougnat. Il avait acheté son affaire rue de l'arbre Sec, aux halles de Paris.
Avril 1901 arrivée à la gare de Lyon un mardi , il pleuvait , mais j'étais heureuse j'éspérais de la vie , j'allais prendre pour la premiere fois le métro parisien , il était neuf . L'exposition universelle avait générée de multiples grands travaux , le baron avait jeté les premiéres pierres d'un nouveau Paris.
LA VIE D'UNE FEMME NEE EN 1886 "2 "
( Si le parfum d'une vie se résumait aux sentiments alors ils iraient selon leurs envies et par conséquent seraient des voyageurs , sans chemin ) des traces , des traces de vie, une vie au siécle dernier..
Paris en 1901 bruissait encore de multiples grands travaux., l'haussmannisation de Paris devait durer jusqu'en 1914.
Enfin on avait pris conscience de l'insalubrité du coeur de la capitale , on faisait un quartier de bourgeois , le peuple continuerait à prendre des pots de chambre sur la tète , les rues continueraient à être des coupe -gorges, l'église Saint Eustache au milieu des halles Baltard servait de point de rendez vous aux amoureux , appelé dorénavant halles de Paris , on avait en 1900 construit huit pavillons , deux autres seront construit plus tard , il s'agissait de pouvoir mieux circuler et donner à l'étendue une meilleure organisation , le nom de l'architecte est resté un certain temps puis on appela les halles à nouveau halles de Paris.
c'est là , sur dix hectares que depuis 1130 se faisait le commerce de ce qui faisait vivre les parisiens ,
fruits , légumes , viandes de toutes sortes
Philippe Auguste transfère le grand marché de la place de Grève à la périphérie du Paris de l'époque , il achète une léproserie et les pavillons sont à cet emplacement ,
non loin de là il y a la rue Saint Denis , puis le cimetière des innocents. La rue de l'Arbre sec donnait carrément vers le pavillon des bouchers , c'est comme ça que nous disions , ce quartier fut le mien pendant trois ans .
Le frère de maman avait un commerce de charbon au numéro 54 , il vendait du bois également , devant la porte cochère il y avait sa charrette à cheval et son ouvrier en bourgeron noir.
George mon oncle était derrière le zinc , il servait du vin à un homme noir , j'entrais et je vis que cet homme était noir de charbon , j'étais terrifiée et fascinée à sa vue , il était sale des pieds à la tète , on ne voyait que le blanc des yeux .
La moitié des clients étaient dans cet état , les autres; des bouchers de la halle à viande étaient penché sur un verre ... qu'ils tenaient de peur qu'on le vole. Moi qui arrivait de ma campagne , deux choses me frappèrent , la première , c'était le manque d'air , sans doute , les poussières qui embrassaient l'air .
La seconde , l'odeur acre , et déplaisante , ça sentait un peu le pourrit , l'urine , une odeur tenace et quelques jours plus tard , moi aussi je portais cette odeur sur mes vetements , je mis du temps à oublier que je ne sentais pas trés bon .
Par contre j'ai su très vite , pourquoi mon frère m'avait demandé. Mon travail consistait à faire ce que la serveuse et lui ne faisait pas. Je vous parlerai peu de ma vie , de ces trois ans , tristes et terriblement pénibles , heureusement j'aimais ce quartier , à coté , au 52 de la rue , il y avait la famille Harel , ils fabriquaient des fourneaux et des fours portatifs , au 50 , se trouvait un chef-d'oeuvre de balustrade , deux étages durant.
C'est l'ancien hôtel Saint -Roman du page de Charle X , il y a habité un palais ultra royaliste , au 50 , il y avait l'établissement de monsieur Mahé marchand de vin , cette maison débite le même liquide depuis un siècle , dans cette immeuble y habitaient les frères Cheriot , fabriquants de tabac , avant l'établissement du monopole.
Martin Saint Martin , père de madame Daigremont , conseiller à la table de marbre , habitait le 35 avant 1789 et cet immeuble est encore la propriété de monsieur Daigremont , un grand amateur de tableaux , plus en avant se trouvait la rue de Rivoli , au 22 , il y avait l'établissement d'un étuviste , ses chambres à laver étaient pourvues de baignoire en bois.
Je pourrais vous parler des jours entiers de mon quartier , c'est lui qui m'a fait continuer.
Mon oncle donnait un peu d'argent à ma mère , quant à moi , c'était 10 francs par mois , c'était peu et je n'ai jamais réussit a mettre le moindre sou de coté , ne travaillez jamais pour votre famille , c'est un conseil d'une bonne à tout faire , trois années entières ,
il a profité de ma candeur et quand j'ai eu besoin d'argent , plus tard , il m'a fait le chapitre de celui qui ne s'en sortait pas .
En 1903 les foudres de la vie se sont acharnées sur moi , j'ai cédée aux avances d'un charbonnier , et je suis tombée enceinte , la pire des catastrophes , le monde de l'époque vivait encore sous le joug des interdits et des préjugés , la religion est partout , les bonnes soeurs , les curés tout le monde fornique , mais quand une jeune fille tombe enceinte elle est mise au bancs de la société , on lui promet l'enfer .
Même les clients qui m'aimaient bien se détournèrent de moi , et pourtant tout ce joli monde avait les mains baladeuses , combien de fois , j'ai du fuir sous leurs avances grossières et dégoûtantes. Le monde est injuste et juge l'autre en oubliant le noir qui habille l'âme...
J'ai quittée le quartier des halles , l'endroit qui m'a soutenu pendant ces années de galère , le frère de ma mère à été déloyal , il a profité de moi comme une bête de somme , et m'a jetée à la rue avec un bébé dans le ventre. Le charbonnier à disparu du quartier je ne l'ai jamais revu.
Le 28 Octobre 1904 , je mettais au monde une petite fille.*
J'ai accouchée en 1904 à l'hôpital beaujon qui se trouvait boulevard Saint Honoré à l'époque, c'était les soeurs de la charité qui faisait les soins , les accouchements et les lois , que n'ai-je entendue , je devais mourir dans les flammes , 'l'enfer m'était promis. et je dois vous dire que , si j'avais du choisir un , je n'aurais pas choisi le leur .
Ma petite fille s'appellerait Andrée.
Je quittais les halles , l'hopital et m'installais au village de Levallois chez une amie , je devais avant , passer par mon Auvergne natale , et mettre mon enfant en pension chez ma mère. J'appréhendais ce moment et les on-dit des gens du village de mon enfance , je n'avais que 18 ans .
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( Si le parfum d'une vie se résumait aux sentiments alors ils iraient selon leurs envies et par conséquent seraient des voyageurs sans chemin ) des traces , des traces de vie , une vie au siécle dernier.
De retour à Valcivieres apres trois ans d'absence , je me suis fait discrète , les gens étaient lourds d'esprit , eux aussi craignaient l'enfer , le Bon-Dieu et ses saints , je n'étais plus la gamine partie à Paris chercher fortune et un prince charmant , j'étais une pécheresse qui ramenait au village une bâtarde.
Maman avait 43 ans , elle faisait déjà vieille femme , il faut dire qu'a la campagne les gens s'habillent de noir après 40 ans , même bien avant.... le vent , le froid et le soleil avait froissé son visage , les grandes fatigues et les soucis aussi. Ma mère travaillait toujours chez le docteur , et il fallut s'arranger avec la voisine pour alterner la garde de mon enfant , il me faudrait envoyer chaque mois 20 francs , un tiers de mon salaire.
Je l'avais su peu avant mon départ , la famille Couturier à levallois me prenait à leurs services . Une autre vie allait commencer.
Après 15 jours d'air pure et de gazouillement de ma fille Andrée , je reprenais le train qui m'avait conduit vers ma première expérience parisienne , nous allions connaître le printemps de 1905 , les arbres avait un manteau vert . Le village de Levallois était récent , quelques riches familles s'y etaient installées , elles laisseraient leurs noms aux rues et à la postérité , comme quoi l'argent et facteur de reconnaissance.
En tout cas je n'ai pas à m'en plaindre , les Couturiers ont toujours été juste avec moi. Même à la mort de monsieur.... marchand de tableaux ( entre-autres ) madame m'avait laissée mon emploi , je suis devenue une levalloisienne et j'ai pu payer la pension de ma fille , que je n'ai récupérée que 5 ans plus tard.
C'était un autre monde , un monde feutré ou il y avait les bonnes manières , aux halles je n'avais connue que vulgarité et saletées*, partout ça sentait mauvais , et c'était du chacun pour soi , un monde de brutes impitoyables . Là , mon nouveau travail même s'il était éreintant , 10 heures de ménage par jours , madame voulait encore que j'aide au service , je faisais facilement 62 heures de travail par semaine , mon salaire était correct , parce que madame m'avait trouvée une chambre de service , place de la mairie , je n'avais pas de loyer à payer mais devais faire deux remplacements de gardienne par mois.
Le travail ne me faisait pas peur et j'étais seule , le temps libre n'avait point d'importance pour moi. Je me suis fais des amis , l'usine était proche de la rue Jean Jaures et le soir nous allions en bande nous promener au chateau de la planchette , j'ai sans doute passée les meilleurs moments de ma vie à cet endroit , ce parc était magique avec son plan d'eau à l'autonne 1905 , j'ai follement aimé un ouvrier métallo de l'usine Eiffel , j'avais 19 ans et lui 25 , un jour , il m'a emmenée au bord de la Marne , un dimanche soir , nous avions mangé et dansé jusqu'à tard dans la nuit , nous étions rentré en vélo , puis je me suis donnée à Raymond c'était son prenom, je l'aimais.
Je n'aurais jamais du , mais l'amour est un indicible mystère pour la deuxième fois , je tombais enceinte , d'un homme qui n'était pas fait pour être père , il disparut du jour ou il apprit que j'attendais un bébé , il demanda son compte quitta Eiffel et comble d'ironie , il revint à Levallois au mois de décembre 1920 , sous forme de plaque commémorative , mon amant , et père de mon enfant ést mort à Verdum en 1916 . On ne retrouva pas son corps . Mon fils allait avoir 16 ans . Il vivait je ne sais-ou comble d'ironie cet homme ( je parle de Raymond ) vécu à deux pas de l'endroit ou son fils avait été placé , mobilisé en 14 , un obus l'explosa en 16 , vous parler de cette affreuse guerre je pourrais , j'ai fréquenté des poilus qui m'ont narré leur quotidien , la misére à l'état brut , cette guerre qui allait extraordinairement changer la condition des femmes , enfin un peu , en tout cas semer le germe de l'émancipation.
1904 : l'ironie , cette année marque la séparation de l'état et de l'église...
1906 ; la naissance du fils que je n'ai pas voulu. Ma grossesse fut difficile et pénible , jusqu'au dernier instant.... j'assumais mon emploi , je ne faisais plus le service , mais continuais à faire le ménage , j'accouchais le 1 mars 1906 à l'hôpital Beaujon , encore et les soeurs hospitalières me parlèrent à nouveau de rédemption , je n'en avais que faire , le surlendemain je quittais les soeurs , l'hôpital et mon fils. Je n'en voulais pas , je l'abandonnais à l'assistance Public. J'ai vécue ma vie avec ce poids , et j'ai compris que cette rédemption , je devrais la vivre sur cette terre .
En 1909 je pris à nouveau le train , en direction de ce coin de France qui m'a vu naître , je passais dix jours chez ma mère , et enfin je fis connaissance de ma fille , je l'enmenais aux blés d'or , lui fit visiter le domaine qui avait appartenu à son grand père , là ou j'étais née dans l'étable des vaches ,je lui racontais notre histoire , les nouveaux propriétaires étaient gentils , je pu éclairer ma fille et lui donner les racines d'un passé , moi je me revoyais dans la cour , la table sous le tilleul avait disparue , mes pensées allaient vers grand-père , mort 16 ans plus tot , le vent me chuchotait des mots , ces mots aux couleurs du bonheur.
Ma fille grandit à Levallois , à l'âge de 18 ans , elle se maria avec un peintre rencontré à Montmartre , il était de confession juive et la rafle du Vel-d'hiv scella son destin , il ne revint pas des camps , ma fille se remaria quelques années plus tard , avec un typographe de levallois , ils eurent deux enfants.
Mon fils que je n'ai pas voulu fut placé dans une famille de paysans du Pas De Calai dés l'âge de huit ans , l'assistance Public de l'époque plaçait ses ouailles dans les colonies ou les fermes en manque de bras , ces enfants devenaient valet , commis etc , rares sont ceux qui ont connu l'école à cette époque.
René était son prénom , il bégayait , sans doute les peurs de son enfance , il était beau gars et se maria ... à l'âge de 30 ans avec une jeune fille de son village , ils eurent 8 enfants. A 40 ans sa femme mourut d'un cancer et tous les enfants.... se retrouvèrent à l'assistance Public comme quoi ...l'histoire se répète....allez savoir pourquoi. René qu'on appelait aussi Néné est mort à l'âge de 80 ans , ses dernières années, il les a passé dans une maison de retraite de troisième catégorie , il est mort ...seul , indigent .
Il fut jeté dans la fosse commune de son village d'adoption . On lui a dit un jour peu avant sa mort qu'il avait une soeur qui s'appelait Andrée et qu'il était d'origine Auvergnate , mais il n'en avait que faire , son nom était personne.
Paix à son âme.
Je suis l'Alphonsine , j'ai passée mes dernieres années aupres de ma fille , et de mes petits enfants , souvent j'ai pensée au tilleul dans la cour , aux réves que je faisais enfant, des reves de prince charmant .
Je repose à Levallois 25 juin 1959.
Alphonsine.
par Horobindo.
( Si le parfum d'une vie se résumait aux sentiments? alors ils iraient selon leurs envies et par conséquent seraient des
voyageurs sans chemins, des traces , des traces de vie ,
Je suis l'Alphonsine , je vous raconte un peu de ma vie, ne le dites à personne..
Je suis L'Alphonsine , je vais vous raconter très simplement un peu de ma vie , je l'ai vécue de manière circonstanciée , ( ce mot est barbare , curieux , philosophique pour dire que les causes et les effets ont des répercussions globalisées ) .
L'enchaînement des événements prennent racines en partie ..
de façon aléatoire tout en laissant une faible possibilité de liberté.
Le destin de chacun est scellé dans le principe collectif . et l'image d'un vol de papillons qui aurait des répercutions sur le temps du mois d'après est bien réelle , toutes proportions des événements gardés.
Au fil des mots je laisserais quelques traces afin de situer l'époque , les moeurs et je rappellerai que le ciel qui m'a accompagné était celui de mes ancêtres , il sera celui de mes petits enfants .
Pour l'éternité.
Des braves gens , de par le monde,
Naissent à chaque seconde.
Chacun de nous porte en soi
Les louanges que les autres n'ont pas.
Les défauts et les qualités
Font un cocktail à mélanger
pour obtenir ce petit gout
Celui qui n'appartient qu'à nous.
Les êtres humains sont si divers
Qu'il y aura toujours sur la terre
Quelqu'un qui trouvera en nous
Ce qui lui manque par dessus tout
Certains recherchent leurs contraires,
D'autres c'est leurs semblables qu'ils préfèrent
Mais l'important c'est d'arriver
A s'accepter tel que l'on est.
Et chercher à s'améliorer
n'est pas forcément tout changer
Quand on commence à s'apprécier,
L'entourage l'a vite remarqué.
Il essaie de savoir pourquoi
On est tellement sur de soi.
Et tous ces gens qu'on admirait,
Finissent par nous envier,
Car eux aussi ils cherchent ailleurs,
Ceux qu'ils possèdent à l'intérieur.
horobindo
derriere le miroir.
J’ai appelé cette rubrique SIMPLET » passez votre chemin si « ma vérité » vous blesse. je ne suis pas très drapeau, très chant de guerre, je ne suis pas antisémite ni islamophobe, je hais la violence, je respecte la foi, mais je ne cautionne pas les religions qui emprisonnent la raison des êtres humains depuis l'aube de l'humanité. Je hais la guerre , toutes les guerres, les fabriquants d'armes , comme ceux qui les vendent , les armes sèment la mort et la haine. Je dis que la science, le savoir ne sont en aucune manière la propriété d'élites qui n'ont que le mérite d'être là aujourd'hui; parler, rire réfléchir; marcher, courir; inventer, comme allumer le feu et inventer un médicament sont un héritage commun; le produit d'un million de générations . Je pleure quand des enfants meurent de faim ou par manque de tout , pendant que d'autres jouent à la guerre ou deviennent plus riches que des états . Je n'aime pas les menteurs ou ceux qui volontairement trahissent la vérité commune à des fins de manipulations mentales. Je dis qu'il est grand temps de redéfinir des règles pour le bien commun de l'humanité, qu'il est vain d'attendre du ciel un message ou de prendre pour argent comptant les valeurs de tribus du désert, nous portons en nous un possible demain. Je dis qu'il est vain de pleurer quand un attentat survient et de continuer à semer l'injustice et le chaos ou à montrer du doigt la couleur de peau.
Il faut dépecer La Syrie,
Les révolutions arabes , que l’on a appelé « printemps « on aurait mieux fait de dire " hiver.
« Coté guerres ,
on a vu ce qu’il en est pour l’Irak; idem pour la Lybie, des pays brisée, détruits pour longtemps, des millions de morts sans doute dont il faut ajouter les dégâts collatéraux « 800 000 enfants Irakiens sont morts à cause de la guerre.
Pour la Syrie on a osé croire en la paix, mais non , de tous cotés on réarme en douce et arrivent de la chair à canon de partout de par le monde.
Je hais la guerre,
la violence,
les injustices ;
pourtant voyant le coté chronique « de la chose » j’ai envie de détourner les yeux , de toutes manières depuis que Sapiens s’est sédentarisé, une partie de l’humanité a passé son temps à violenter l’autre partie, mon pays la France a largement participé a produire de l'atrocité, ( notre grand homme Napoléon a passé sa vie à saigner notre pays ; en 1917 des généraux qui s'ennuyaient à l'arriere du front jouaient à lancer des offensives pour " passer le temps " aujourd'hui encore nous nourissons le désordre du Moyen Orient .
** On a le toupet d'apprendre aux enfants un chant qui a conduit leurs ancétres , générations apres générations a se faire trouer la panse comme si la guerre était le principe majeur de notre humanité. J'ajoute au risque de déplaire que nos soucis de " terrorisme" viennent de nos désirs d'imposer à d'autres, une démocratie qui on le voit ces jours ci est contaminée par un mal dont nous refusons d'en extraire les causes.
Le plus rien n'est vrai, le plus rien n'est faux devient une réalité. Posez vous des questions .Faites vos propres recherches et fuyez le prêt-à penser.
Cyniques , menteurs manipulateurs à la limite d’être des criminels et de ne pas valoir plus que ceux
" qui brule l’humanité " à coups de versets et de décapitations .
Ils organisent des conférences de paix avec ceux qui armes les gens de Deach.
Je peux écrire sur n'importe quel sujet, dessiner ma vérit, aimer , ne pas aimer , croire, ne pas croire, peindre la toile qui nous sert de faire valoir, je peux renier mes certitudes pour demain peut être ne plus être celui dont je pense être .horobindo
Des phénomènes curieux, des anomalies historiques, des événements qui échappent à la raison se conjuguent actuellement, des événements qui échappent aux contrôles de ceux qui les provoquent, je sais que lemonde est corrélé, que notre présent est contingent à des constances dont nous ne connaissons ni les effets ni les raisons.
derriere le miroir.
J’ai appelé cette rubrique SIMPLET » passez votre chemin si « ma vérité » vous blesse.
C'EST QUOI DEACH?;
notre enfant peut étreou l'enfant de nos amis enfant turbulent , violent devenu ingérable
Le monde entier est informé, il y a complicité dans l'essor et la volonté de produire un califat au Moyen Orient , de détruire un par un tous les pays de la région et pourtant le monde dort comme il dormait à la veille de la seconde guerre mondiale, vous verrez dans le prochain article que j'en cherche les causes dans un projet dont nous ne sommes que des acteurs dans un scénario écrit par une main étrangère, un scénario dont la trame du contenu existe déjà , nous serions une des traductions possibles.
Sujet bien difficile tant il est vrai que mon plus rien n’est vrai, plus rien n’est faux s’applique et je vais même devoir m’interroger pour savoir si je suis anti- Deach, ne sursautez pas, parce qu’en vérité, c’est quoi Deach ? .
Voilà ma réponse
Qu'il y est des gens qui souffrent d'injustices et d'arbitraires , il n'y a pas de doute, à partir du moment ou arrive une religion comme étendard, arrive la violence la fanatisme, l'humanité disparait peu à peu, il est urgent d'y prendre garde , cela devient le mal absolu.
C'est quoi Deach /
Qui le sait vraiment ?.
Pour le commun, c’est des gens de religion musulmane qui veulent fonder un état et appliquer la charia, les textes et règles des origines. C’est sans doute en partie vraie, hélas ce n’est pas que cela, derrière cette aspiration discutable , mais après tout légitime dans la mesure ou nous serions doué de raison ( je parle de religion et pas de fanatisme ) , il y a ce statut de l’origine de cet état islamique ou plus tôt, il y a cette question essentielle ; qui a créé, organisé subventionné dés le début cette organisation et à quelle fin.
Certes aujourd’hui c’est un ennemi qui semble avoir cassé le contrat, contrairement à ce qui a été dit , les forces en présence ne sont pas comparables et ces grands pays qui disent qu’il faudra des dizaines d’années pour en finir sont des menteurs ,
Deach
par lui même et avec les moyens actuels, ne dit t’on pas que nous pouvons repérer une orange dans le désert, peut être vaincu en huit jours, à conditions de ne pas les aider a réunir tous les parias de la terre, de ne pas les réarmer aux fils de leurs difficultés ;
par contre l’espoir et le désir de religion qu’a fait naitre cet état dans le cœur de musulmans , des dizaines de milliers, des millions? à travers le monde ,
s’enracine peu à peu.
Ce sera difficile de l’arrêter, d’autant que la prédation, les injustices se multiplient aussi vite que l’argent dans les poches d’une poignée " d'élus " . Dans un précédent article je parle de ce sujet; qui sait lire les regards sait que contrairement à ce qui se dit, beaucoup de musulmans ont révés cet étendard.
Même cette histoire de migrants est bizarre, il est possible que l’on vide ou du moins en partie les camps des réfugiés de guerre de la Turquie et du Liban, une manière d’alléger le budget de certaines instances officielles.
Comme vous voyez je ne sais toujours pas dire clairement ce qu’est Deach, bien que je n’ai aucun doute sur son origine trouble.
Il faut penser au moment ou on se pose la question : c’est quoi Deach,
il faut repenser aux propos d’un certain ministre qui a dit ; ils font du bon boulot,
depuis cette affirmation concernant une succursale de Deach , il y a eu des progrès dans ces affirmations parce que nous serions maintenant aux cotés des insurgés modérés;
« Al Nora « une filiale de Al-Qaïda, comme vous voyez pour vaincre l’état islamique , ( cette filiale a fait sécession et on ferait bien de voir de ce coté là pour ce qui est des attentats en Europe:
sachant que des insurgés Syriens , il en reste peu après quatre ans de guerre, on peu s’interroger sur les origines de ces combattants venus de 40 pays différents .
A l’ombre de ces mots, on peut répondre à ma question mais attention, ce n’est pas tendance . J’ai une « certitude non pardon je n'en n'ai pas j'ai des convictions
»
on utilise tous ces gens, on bafoue la religion , on néantise notre humanité. Horobindo
Un monde qui rappelle " le sans bord de l'Univers " .
derriere le miroir.
J’ai appelé cette rubrique SIMPLET » passez votre chemin si « ma vérité » vous blesse.
** Ne vous laissez pas prendre aux pièges, des manipulations , ils sont très forts, et se partagent à tour de rôle les basses œuvres; rappelez vous, il y a eu la Grande Bretagne en première ligne, puis le Qatar, l'Arabie Saoudite aujourd'hui c'est la Turquie, ils font le méme boulot pour l'oncle Sam ,
( terrorismes , ventes d'armes, organisations de guerres tous ça aux noms d'intérets communs et au diable la mort qui rode à Paris, à Damas, en Palestine, en Ukraine, en Israél et bientot dans d'autres parties du monde .
la France a toujours voulu jouer aux grands et n'a pas eu l'intelligence de se faire petit quand il fallait. Nous avons eu les attentats, ( peut étre une commande de nos ex ou de nos amis secrets ) ce partage est voulu dans la mesure où il faut prendre en compte la clairvoyance des peuples et ce jeu sordide est tellement moche que le grand maitre " les Etats Unis ne pouvaient endosser l'ensemble, l'ombre du 11 Septembre plane et des vents parviennent encore du Vietnam, rappelez vous le napalm. Alors si vous lisez ce texte vous pourrez toujours y voir de la romance, un roman noir mais dans ce texte un parfum de réalité plane. Monsieur le président de la république de France à déclaré aujourd'hui qu'il resterait dans l'histoire; je veux bien le croire. Par - déla ces mots un début de désintéret des événements qui perdent tout sens dans le labyrinte de ma raison ; le plus rien n'est vrai , le plus rien n'est faux dessinent dans mon ciel un monde qui rappelle " le sans bord " de l'Univers. horobindo
IL ETAIT UNE FOIS LA CONFUSION.
derriere le miroir.
J’ai appelé cette rubrique SIMPLET » passez votre chemin si « ma vérité » vous blesse.
L’article ci-dessous n’est ni glorieux ni réjouissant , mais vous savez comme moi que l’on a que ce que l’on mérite.
Et bien oui , la France comme L’Europe se " radicalise " pour ne pas dire " s’islamise " , il n’y a que « le bien pensé Français actuel « qui ne le comprend pas.
J’ai ;
il y a des mois signalé qu’il suffisait de voir certains regards pour le comprendre, s’installe la méfiance avec un désir de revanche.
L’histoire de maintenir un état d’urgence qui arrangerait les affaires de nos élites est contre productif ;
la question est de dire ,
des attentats auront lieu demain et l’on interdit toutes manifestations culturelles comme celles revendicatives,
soit que le risque est indéchiffrable et l’on continue à vivre normalement sans se faire violer du regard par des vigiles qui ressemblent à ceux qui posent les bombes . ; ça me rappelle un film ou le juge condamnait même ceux qui n’étaient pas coupable parce que , il y a en chacun de nous un coupable possible.
En tout cas , cette histoire d’islamophobie est sous- traitée pour des raisons occultes, on enchaine l’arbitraire en disant que ceux du Front National sont des fachos, ( bigre ça fait du monde) :
ça c'est diviser ,
on censure Blake M
et deux jours après le chanteur du groupe présent au Bataclan , il y a peu on a écrasé un négre .
( pardon pour ce mot interdit mais qui est là pour colorer mon discours )
qui ne voulait que faire rire ; rappelez vous son nom est connu de tous.
Le chanteur du Bataclan était il y a peu un symbole ,
il semble qu’il n’y plus que " Charlie" pour faire l’unanimité;
alors que ce mouvement du cœur ne fut qu’une grande manipulation pour souder les Français,
Charlie a jeté la haine bien avant les attentats ,
parce qu’il suffit de penser un peu.
Il y a ceux qui dénoncent une religion archaïque en montrant du doigt ceux qui voudraient nous convertir ,
et de l’autre coté des journalistes qui blasphémaient en caricaturant l’icône d’une religion qui pourtant était la même qui sème aujourd’hui la confusion pour ne pas dire la haine .
Deux mouvements qui devraient se rassembler alors que pour des " raisons techniques on en a fait des opposés .
Pourquoi décorer ceux qui ont commencés à diviser et jeter l’anathème sur ceux qui mériteraient attention parce que eux aussi ont souffert de ce mal insidieux.
Pour que se taisent les mauvaises langues, je répéte que je ne suis ni antisémite, ni islamophobes,
vous avez remarqué que mon blog devient " creux ,
" il y a beaucoup d'images ; parce qu'aujourd'hui, il faut se protéger, la censure est réelle ; d'autres parts ce plus rien n'est vrai, ce plus rien n'est faux devient réalité,
j'ai perdu en partie l'envie d'écrire et il m'arrive de trouver vain de réfléchir,
les fossoyeurs de l'humanité "
qui est en nous "
sont passés par là.
Il y a ces mensonges répétés de nos médias qui deviennent des vrais complices des "faiseurs de guerres " et qui oeuvent pour planifier "
un pensé pour tous.
Ils appellent cela vivre ensemble , alors ; pretez y attention, tout est organisé pour semer trouble et incertitudes .
horobindo
derriere le miroir.
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Je peux écrire sur n'importe quel sujet , dessiner ma vérité, aimer , ne pas aimer , croire , ne pas croire , peindre la toile qui nous sert de faire valoir, je peux renier mes certitudes pour demain peut être ne plus être celui dont je pense être .Comme vous le voyez j'écris sur tous les sujets méme ceux qui dérangent , ceux qui sont des sujets " sensibles " je m'en sors assez bien dans la mesure ou j'évite la roublardise, le mensonge et l'atteinte à la personne .
Ces mots qui étaient pour moi le sésame qui me permettait d''écrire sur n'importe quel sujet sont caduques, un mal insidieux se repand à coups d'anathémes ,
des mots comme " Charlie " au départ une idée d'espoir et d'avenir née sur l'autel de la folie , transformée en machine de repression et d'outils politique , on a méme dit que l'on est Charlie " ou on doit se faire punir , soigner, ficher , les mots antisémite et islomophobie devenus véritables critéres de selection de bon Français , on le voit , on l'a vu quand des gens de sérail ont été jusqu'a dire qu'il fallait interdire de médias tous ceux qui ne seraient dans le bon ton du moment, dans le bon tempo. Moi petit Français , j'en étais encore a penser qu'il y a des cons partout, chez les juifs , chez les arabes , les musulmans , des integristes partout et le dire ne faisait pas de moi un antisémite ou un islamophobe. Qu'il y a partout des profiteurs , des affameurs , j'en étais encore à penser que les religions qu'elles soient Juive ou islamique, ou chretienne ont a travers les siécles maintenus dans l'ignorance ou organisés la violence au nom d'un Dieu ou pour la gloire de d'hommes affamés de pouvoirs . J'en suis a m'interroger, ai-je encoe le droit de le penser? de le dire je ne crois pas . Je ne le crois plus; suis-je un antisémite? un islamophobe , un Charlie de raison qui se dit que nous sommes mal-barrés et que mon plus rien n'est vrai, mon plus rien n'est faux. horobindo
derriere le miroir.
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Lev 14 Juillet au matin , la France chantait et glorifiait son armée engagée partout dans le monde ;
pour disait- t’on semer la paix et la bonté.
A 11heures j’ai regardé le défilé à la télé , que c’était beau tous ces fiers soldats et tous ces chars , avions rutilants prêts à bondir sur des proies imaginaires , virtuelles ;
la France nous disait le préposé est classée deuxième dans le palmarès des ventes d’armes dans le monde,
à ce moment là France entière était fière et heureuse d’avoir son prestige et cette gloire , elle chantait son chant de guerre et embrassait son drapeau.
( sans se dire un instant que les armes sont là pour tuer et faire la guerre et que faire des guerres ; ça entraine la haine.
Le soir vers 22h30, la France pleurait .
Refusons la marche à la guerre
2014: Innombrables commémorations de la Grande Guerre, multiples interrogations. Les plus jeunes, ébahis et incrédules, se demandent comment une telle ineptie funeste à été possible. La croient d’un autre siècle.
Mais les commémorations, devenues rituelles, ne sont que pures conventions et ne délivrent qu’une version aseptisée et consensuelle. L’histoire officielle qu’elles véhiculent n’aide en rien à comprendre la mécanique qui a broyé l’Europe et ses peuples. Dans le pire des cas elle présente la guerre comme un grand malheur, une fatalité, et conclue que « plus jamais ça ». Mais elle ne précise pas plus jamais quoi.
Dans le meilleur, elle mentionne la responsabilité des gouvernants, plus rarement celle des militaires et de l’état major. Si elle rappelle parfois les rôles de Jean Jaurès, de Rosa Luxembourg, rarement elle approfondit leurs arguments politiques, et presque jamais ne souligne la justesse et la clairvoyance de leur lutte. Il faut chercher soi-même les discours de Vaise et du Pré Saint Gervais, et l’assassinat du fondateur de l’Humanité est relégué au rang d’une péripétie de l’histoire. Du côté de la marche à la guerre, elle esquive souvent la responsabilité de Poincaré et de ses gouvernements. Elle ne dit pas l’aveuglement de Philippe Pétain, l’impréparation des chefs et leur incompréhension totale de ce qui allait advenir.
Elle évite de rappeler, bien sûr, le procès de l’assassin de Jean Jaurès, si révélateur: en mars 1919, à l’issue d’un procès ayant duré cinq jours, Raoul Villain est acquitté. Et la veuve de Jaurès est condamnée aux dépens du procès…
Il ne s’agit nullement d’une erreur judiciaire. En ce lendemain de guerre, les dirigeants politiques, les cadres de l’armée, les intellectuels, réalisent abasourdis l’ampleur de la boucherie et des destructions qu’ils ont laissées advenir ou même encouragées; ils craignent la juste colère du pays. La nation toute entière n’ose regarder en face cette ineptie historique, les manipulations, les mensonges, les aveuglements, même lorsqu’elle en a été la victime. Les classes dirigeantes, surtout, redoutent avec terreur que le peuple ne comprenne enfin leur irresponsabilité, voire les intérêts criminels qui les ont guidées. Mais les victimes elles mêmes ne veulent pas voir rappeler leur propre aveuglement, le consentement abusé de beaucoup. Alors il est essentiel, vital, que personne ne se souvienne de Jean Jaurès, de son combat contre la guerre jusqu’à son dernier jour. L’amnésie est vitale pour la concorde, et surtout pour le maintien au pouvoir des mêmes classes. Personne ne doit rappeler que Jaurès, guidé par son analyse sociale, fut plus lucide que les hommes politiques et plus clairvoyant que les stratèges militaires. Que contre tous, il avait mis en garde contre les hécatombes imbéciles qui se profilaient. Avait montré comment militaires et pouvoirs économiques feraient bon marché des vies de travailleurs… Puis des autres. Avait crié à quel point la guerre était le stade suprême de l’exploitation des peuples par les classes possédantes.
Il fallait donc que l’assassin de Jaurès soit acquitté; il fallait que son geste soit pris comme celui d’un patriote, qu’il occulte la lumière de la juste lutte de Jean Jaurès contre l’obscurantisme belliqueux. La guerre était devenue sacrée, et le président du tribunal déclara au prévenu: « Vous êtes un patriote Villain »…
L’histoire officielle, et le récit médiatique qui accompagne ces « commémorations » et « devoirs de mémoire » gomme donc tout cela. Mais surtout, au grand jamais elle ne rappelle qu’une guerre se mène toujours avec l’assentiment des peuples. Que les pouvoirs, lorsqu’ils se sont convaincus de l’intérêt que la guerre présente pour eux (pour cause de surproduction, de crise économique, de difficultés de politique intérieure…) savent trouver les mots, savent faire entonner des chants, trouvent les mises en scène, les arguments, les prétextes. Savent, quand besoin est, les créer, cela s’est vu. Savent cacher les risques, les conséquences, les malheurs. Savent faire oublier que dans une guerre, même si on la mène très loin, il y a des victimes des deux côtés. Savent faire croire que c’est l’autre qui a commencé, qu’il sera seul puni, et que la meilleure solution est de riposter. « On les aura ».
En 14-18, c’est connu, « on » devait être à Berlin avant Noël, avec si peu de morts. En 39-45, en Allemagne, on devait conquérir l’Europe, et jamais la fortune de guerre ne se retournerait, jamais un avion ennemi ne survolerait le Reich. Aux États-Unis même, il fallut des trésors de communication pour convaincre le peuple d’aller participer aux massacres européens puis asiatiques. Puis il y eut les Malouines, l’Afghanistan, l’Irak, et à chaque fois le scénario se reproduisit: celui de la manipulation, des demi-vérités et du mensonge, celui que la commission Chilcot vient de rendre public et officiel au Royaume Uni. Hélas, seule une petite fraction des populations, des intellectuels même, sait résister à ces sirènes. Seuls quelques dirigeants ont la lucidité ou le courage de ne pas hurler avec les fauteurs de guerre au risque de passer pour des anti patriotes ou des défaitistes.
C’est donc en dernier ressort les peuples eux mêmes qui sont l’ultime rempart contre ce qui est toujours présenté comme LA solution et qui est TOUJOURS le début d’une catastrophe. S’ils se laissent entraîner, plus rien n’arrête la marche à la guerre.
Or nous en sommes là. Pour des raisons dont tout le monde sait qu’elles ne sont pas pures, mais qui portent les jolis noms de droits de l’homme, de liberté, de sécurité, de lutte contre la barbarie, nos gouvernants nous entraînent aujourd’hui dans cet engrenage, se saisissent des terribles événements qui eux-mêmes s’inscrivent dans cette logique et en découlent pour partie. Afrique, Moyen-Orient, Ukraine, Corée, Chine même, les « ennemis » sont partout, qu’il faudrait aller étouffer dans l’œuf.
Et l’on voit ressurgir marseillaise, prestige de l’armée, apologie des armes, des avions de guerre, des technologies mortifères qui assureront l’anéantissement de l’ennemi sans risque aucun pour nous. Pourtant qui peut encore croire, plus qu’en Afghanistan, qu’en Irak, en Libye ou autrefois sur le sol européen, que la guerre apportera une solution ?
Mais aujourd’hui, et semble-t-il de manière croissante, les porte-paroles, les dirigeants politiques, les télévisions, la presse, sans mémoire, inconscients ou sans vergogne jouent ce jeu périlleux et nous mènent vers le gouffre. Puis les peuples, une grande partie tout au moins, se laissent emporter par la rhétorique, les « experts » et les images. Plus tard, trop tard, l’archiduc d’Autriche et Sarajevo l’ont montré, plus personne ne contrôle rien, et la logique de la guerre s’auto-alimente.
Puis voici qu’après l’abominable action criminelle du 14 juillet à Nice, la classe politique tétanisée sombre dans le déshonneur en tentant de s’emparer de l’événement. Et voici que dans la surenchère qui en découle, une partie de cette caste nous appelle maintenant à préparer la guerre civile en armant des milices dans nos rues. On en a vu l’efficacité à Beyrouth autrefois, en Syrie aujourd’hui… Voici même qu’on entend des voix appeler à « la guerre totale », rappelant un pathétique épisode, prélude à une défaite totale.
Il y a de quoi, aujourd’hui, être très inquiets, il y a de quoi se souvenir des marches vers la guerre, l’aveuglement n’est pas d’un autre temps. Il y a de quoi s’y opposer de toutes nos forces.
Gérard Collet
derriere le miroir.
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Syrie: des militaires US et britanniques sous les bombes russes…
Des informations assez précises évoquent un raid effectué hier par des avions de combat russes contre des positions de l’organisation terroriste connue sous le nom du Front Al-Nusra près de Tenef (Syrie méridionale)
Cette position secrète a déjà fait l’objet d’un raid aérien russe et syrien en juin 2016, suscitant une très vive tension entre Londres, Moscou et Washington. C’est l’une des causes ayant amené le Département d’Etat US a étendre la liste des sanctions internationales contre la Syrie.
Ce raid aérien contre une position terroriste a failli déclencher ce que l’on redoutait le plus: une confrontation militaire directe entre les Etats-Unis d’Amérique et la Russie.
Il s’est avéré que les bombardiers russes ont visé une position clandestine américaine servant de base logistique à l’organisation terroriste Jabhet Al-Nusra.
Moscou insiste qu’il a avisé à l’avance le centre de commandement de la coalition sis en Jordanie de son intention de cibler les organisations terroristes évoluant dans la zone ciblée. Dans les faits, une vingtaine de militaires britanniques ont quitté cette position à la hâte une journée avant le raid, confirmant que leur commandement avait reçu l’avertissement russe.
L’incident a été assez sérieux pour susciter une très forte réaction US, promptement contrée par le Chef de la diplomatie russe, Serguei Lavrov.
Le Kremlin a annoncé aujourd’hui ne détenir aucune information sur un éventuel raid aérien ayant visé une « base américano-britannique » en Syrie.
En réalité, les Russes ne cachent plus leur profonde exaspération vis à vis des comportements totalement irresponsables des pays de la coalition dans la guerre en Syrie, en soulignant l’inconséquence et la précipitation de Paris à mener un raid aérien à Minbej (Nord-Est d’Alep), dans une zone sous contrôle gouvernemental syrien, tuant plus d’une centaine de civils, ou encore le rôle croissant des « instructeurs » britanniques au sein des unités des organisations terroristes Nur-Eddine Zenki et Al-Nusra.
source: https://strategika51.com/2016/07/22/syrie-des-militaires-us-et-britanniques-sous-les-bombes-russes/
derriere le miroir.
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( philosophiquement c'est drôle quand aux mensonge; bof c’est basique et sans doute pas matière à pleurer.)horobindo
« La presse a pour caractéristique de faire de la mayonnaise avec des œufs durs. Donc faites attention ! ». VIDEO – Pièces à conviction ( France 3): le ministre de l’Intérieur pris en flagrant délit de mensonge
Une scène surréaliste vue dans le magazine Pièces à conviction du 8 juin 2016 dans laquelle les journalistes de France 3 ont surpris le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve en flagrant délit de mensonge. Explications.
Hier soir, France 3 proposait un nouveau numéro du magazine Pièces à conviction consacré au dispositif de sécurité mis en place autour de l’Euro 2016. Pour illustrer le sujet, l’équipe de reporters de France 3 a suivi la simulation d’une attaque terroriste organisée par Bernard Cazeneuve chargé de la sécurité de l’événement.
Pour cet exercice dans des conditions réelles, une Fan Zone a été reconstituée et 1200 figurants issus d’une école de Police, incarnent des supporters en liesse. Le scénario de cette simulation, supervisée par le commandant de Police Lerrousseau stipule qu’un terroriste muni d’une ceinture explosive infiltre la Fan Zone et se fasse exploser. Tout se passe à priori comme prévu mais un détail chiffonne Bernard Cazeneuve…
En effet, on peut voir le Ministre de l’Intérieur (de dos), demander à ses équipes comment, vraisemblablement un terroriste muni d’une ceinture d’explosif ait pu infiltrer un dispositif de sécurité étudié depuis un an, basé sur la palpation de chaque individu en plus de toute la sécurité en place ? Un scénario qui semble un peu trop léger pour lui, c’est pourquoi il décide de briefer son staff sur la réponse à adopter face aux journalistes en modifiant légèrement l’histoire.
Malheureusement pour lui, le micro des équipes de Pièces à conviction est toujours branché et ils enregistrent toute la conversation ! En effet, ce dernier propose de faire croire aux journalistes qu’il s’agissait non pas d’une ceinture explosive mais « d’une projection d’explosifs « . Pour justifier ce petit arrangement avec la vérité le Ministre de l’intérieur précise: « La presse a pour caractéristique de faire de la mayonnaise avec des œufs durs. Donc faites attention ! ».
Voir Pièces à conviction en Replay.
Sarah Ibri
derriere le miroir.
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A l'aube de l’humanité, la fureur des temps et de la terre organisa le socle des aspirations sur le ciment d'un principe qui allait devenir la pieuvre qui depuis enferme les meilleurs de nous- même. A l'aube de l’humanité, nos frères s'inventèrent des Dieux comme supports créateurs, ils espéraient contenir une partie des malheurs et de sacrifices en sacrifices, espérer leur clémence. Puis las de turpitudes, ils décrétèrent l'avènement d'un unique d'un créateur créateur, celui qui nous sert de complice et d'ami depuis des millénaires. Un miroir à l'image de l’homme, ni plus ni moins avec ses qualité et ses défauts, nous avons fait de lui un complice pour nos actes les plus vils, soyez honnête avec vous même et vous verrez que j'ai raison, regardez ces gens qui crier " Dieu " est grand " en plongeant un poignard dans le ventre du frère. Il existe un principe créateur que nous avons au fil du temps " néantisé " nous avons donné a ce principe un nom devenu un bien de consommation comme un autre, et puisque on parle beaucoup de ceux qui se droguent, parlons franchement, cette appellation contrôlée n'est t elle pas un précurseur qui provoque en nous des effets placebos de grande puissance..? une drogue autorisée , me direz vous mais à la lecture de l'histoire , beaucoup plus nocive pour autrui que certaines drogues dures , certains diront , le pire et le meilleurs faut tempérer les méfaits pour dire que ce principe et un catalyseur extraordinaire qui a sans doute donné à notre espèce la force de création qui permet aujourd'hui de regarder le même ciel que nos ancêtres de façon plus sereine . Nous avons donné à ce ciel des lettres de noblesse ? Réalisé notre réalité, nous avons peint ce ciel de mille couleurs. Si nous pouvions enfin sortir de la préhistoire et enfin identifier les causes qui donnent à notre monde , à notre réalité, une image dévoyée, un monde intolérant un monde ou une petite partie de l'humanité impose au plus grand nombre l'idée que ce sont eux les Dieux. Nous pourrions enfin établir un royaume ou l'être humain serait " un reflet de l’autre. Pour qui l'on ne veut que le bien «. Créons notre vie en fonction de ce que nous acceptons comme réalité. La vie est façonnée par tout un ensemble de réalités qui s'entremêlent au gré des croyances et des idées acceptées de chacun. La vérité n'a pas de chemin, elle s'écrit en lettres de feu dans notre ciel, la vérité est dessinée sur les fragiles certitudes de nos consciences. Elle peut être transcendante, ce qui n'est pas incompatible quand il s'agit des affaires "du ciel», la vérité transcendante ne peut s'appliquer aux affaires qui touchent l’humanité, parce que dans ce cas là, les réactions deviennent confessionnelles, et provoquent des situations conflictuelles. Horobindo
Publié le 23/07/2016 à 11:41 par horobindo
Je peux écrire sur n'importe quel sujet , dessiner ma vérité, aimer , ne pas aimer , croire , ne pas croire , peindre la toile qui nous sert de faire valoir, je peux renier mes certitudes pour demain peut être ne plus être celui dont je pense être .Comme vous le voyez j'écris sur tous les sujets méme ceux qui dérangent , ceux qui sont des sujets " sensibles " je m'en sors assez bien dans la mesure ou j'évite la roublardise, le mensonge et l'atteinte à la personne .
Ces mots qui étaient pour moi le sésame qui me permettait d''écrire sur n'importe quel sujet sont caduques, un mal insidieux se repand à coups d'anathémes ,
des mots comme " Charlie " au départ une idée d'espoir et d'avenir née sur l'autel de la folie , transformée en machine de repression et d'outils politique , on a méme dit que l'on est Charlie " ou on doit se faire punir , soigner, ficher , les mots antisémite et islomophobie devenus véritables critéres de selection de bon Français , on le voit , on l'a vu quand des gens de sérail ont été jusqu'a dire qu'il fallait interdire de médias tous ceux qui ne seraient dans le bon ton du moment, dans le bon tempo. Moi petit Français , j'en étais encore a penser qu'il y a des cons partout, chez les juifs , chez les arabes , les musulmans , des integristes partout et le dire ne faisait pas de moi un antisémite ou un islamophobe. Qu'il y a partout des profiteurs , des affameurs , j'en étais encore à penser que les religions qu'elles soient Juive ou islamique, ou chretienne ont a travers les siécles maintenus dans l'ignorance ou organisés la violence au nom d'un Dieu ou pour la gloire de d'hommes affamés de pouvoirs . J'en suis a m'interroger, ai-je encoe le droit de le penser? de le dire je ne crois pas . Je ne le crois plus; suis-je un antisémite? un islamophobe , un Charlie de raison qui se dit que nous sommes mal-barrés et que mon plus rien n'est vrai, mon plus rien n'est faux. horobindo