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15 mai 2013

Paysage de Treilles 11510 VWR




Verdure de Treilles
Sous le regard de l'artiste
Dessin aquarelle

Toits coquelicots
Noyés dans verte nature
Souvenirs de Treilles

Dame mauve le 15 mai 2013
Tableau aquarelle et feutres du 18 08 2009

14 mai 2013

Bord de Loire VWR


Douceur des eaux de Loire
 

Quand descend le soir

Le soleil dans l'onde 

Se décompose dans le miroir

Des eaux calmes d'un monde

qui peu à peu d'endort 

Mauve, violet, parme, encore

Et toujours du bonheur

Dans cet univers splendeur.

 

Tableau de 2008

Dame mauve le 14 mai 2013 



12 mai 2013

Départ du bateau à ailes

Vladimir KUSH 

Départ du bateau à ailes 

500 X 399 cm

Peintre et sculpteur russe 

Né le 29 mars 1965 à Moscou 

Influencé par les oeuvres de Salvador Dali mais ayant son propre style. Il a une imagination surréaliste et imprévisible. 

Il vit actuellement aux USA 
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Vogue le navire
Aux voiles multicolores
Papillons au vent

Sur l’onde claire turquoise
Sous nuages cotonneux
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Dame mauve le 12 05 2013

15 janvier 2013

Les falaises de Moher en Irlande

Tableau du 16 10 2006
Huile sur toile

Au bord des falaises de Mohrer
Erre le troubadour l’esprit en soucis.
Si sur un air joyeux de cornemuse,
Muse de l’Irlandais ne succombe,
 Besoin d’autres attraits de romance
Se dit l’infortuné galant dragueur,
 Heure n’est pas aux balivernes creuses 
  Ze ne suis qu’un nase se dit-il,
Illusoires promesses n’ont point d’effet,
 Faiblesse n’est pas l’apanage de la belle,
 Elle, si romantique et sentimentale.  
Le clair de lune aurait sa préférence
 En cette nuit scintillante d’étoiles.


 W-R Violette le 15 janvier 2013
 


24 juillet 2008

Anadiplose : Hypnotique sirène


réide, nymphe des ondes, viens-tu de l’Atlantide
Depuis la profondeur de la cité engloutie éternelle,
Elle qui jamais n’a livré ses mystères ni ses secrets ?
Créature sublime qui telle la Loreleï de Brentano
Nonobstant la légende fatale, attires-tu dans tes filets
Les hommes subjugués par ta beauté et tes chants,
Envoyant par le fond leurs embarcations dérivées,
Rivés à ton regard, à ta musique langoureuse de sirène ?

(Violette W-R le 24 07 2008 - tableau de 2004)

11 mai 2008

Déclaration... à Trouver...


Au bord des falaises de Mohrer
Erre le troubadour l’esprit en soucis.
Si sur un air joyeux de cornemuse,
Muse de l’Irlandais ne succombe,
Besoin d’autres attraits de romance
Se dit l’infortuné galant dragueur,
Heure n’est pas aux balivernes creuses
Ze ne suis qu’un nase se dit-il,
Illusoires promesses n’ont point d’effet,
Faiblesse n’est pas l’apanage de la belle,
Elle, si romantique et sentimentale.
Le clair de lune aurait sa préférence
En cette nuit scintillante d’étoiles.

(Poème Violette WR le 11 05 2008 et tableau 16 10 2006 - pour le jeu d'écriture de Moun sur son site POESIA)

19 mars 2008

Le clown désabusé



Pourquoi un clown féminin dans ce blanc bleu noyés ?
D’abord parce que j’aime ces couleurs associées.
Néroli, ces plantes au doux parfum de fleur d’oranger,
Par leur présence sur la toile, racontent leur Passé
De princesse, qui des pétales, de son bain, aromatisait.




La dame au regard noir geai sous un grimage azuré,
Tente en vain de cacher son âme d’éternelle romantique
Et ses sentiments aujourd’hui devenus chimériques.
Ses émotions la trahissent malgré son visage caché
Et la tristesse, sous une profusion de fleurs transparaît.




Ses lèvres écarlates ne dérident pas son sourire figé,
Sur une face maquillée qui se devrait gaie et enjouée.
Un clown dont le rôle est de faire rire et d’amuser,
Ici, se retrouve t triste, mélancolique et désoeuvré.
Dans son existence, que s’est-il donc passé ?


(Violette W-Ruer 19 03 2008 - tableau 18 03 2008)

29 février 2008

Des métaphores...oui mais...

Quand je m’évertue à faire tomber les murailles de Jericho,
Je dois également avec peine trouver mon chemin de Damas
Pour savoir où est la vérité au milieu de tous les échos.

Il y a quelque chose de pourri dans le royaume du Danemark
Et trier est difficile quand le non moral soudain débarque
Et rend toutes pensées et analyses nébuleuses et inefficaces.

Finalement mon esprit travaille pour le roi de Prusse !
Car cela n’a empêché en rien le coup de Trafalgar !
Et souffrir pour un homme n’est vraiment pas le Pérou !

Pourquoi s’endorment t-ils dans les délices de Capoue
Sans prendre garde à leurs actes ? Quel Capharnaüm !
Impossible de démêler l’écheveau de ce Waterloo !

Partir à l’aventure vers le rendez-vous à Samarkand
Nul ne peut y échapper, le destin toujours commande,
Alors haut les cœurs ! Tout ira mieux après un somme !

(Violette W-R le 29 02 2008 - tableau de 2004)


28 février 2008

Bas les masques

Devenir Soi en mieux, c’est vouloir changer,
Mais changer quoi ? Est-ce vraiment possible ?
Déjà savoir ce que nous voulons modifier,
Sans pour autant perdre notre individualité
Serait une démarche personnelle et admissible.

Trouver les bonnes raisons de se transformer,
Mais se redéfinir en fonction de l’être aimé
Est une raison dont les bases sont faussées.
Si métamorphose réellement doit se faire
Il n’y a qu’à nous qu’elle doit plaire.

L’envie de tourner la page, d’oublier un passé,
Est un parcours semé de diverses embûches
Car cet autrefois il faut d’abord l’assumer,
Reconsidérer les zones d’ombre où l’on trébuche,
Pour pouvoir enfin s’épanouir et progresser.

Cela passe par la remise en question de nos certitudes,
Par l’abolition de certaines mauvaises attitudes,
Sortir de nos schémas habituels et pesants
Pour nous rapprocher pas à pas avec le temps
De la réalisation rapprochée de nous-même.

Pour conclure ce cours de risque-tout,
Pour que nos faiblesses deviennent nos forces,
Il faut écarter du tronc la protectrice écorce
Et de nos fragilités latentes, faire nos atouts
Qui nous feront mieux vivre notre vie.
(Violette W-R 28 02 2008 - toile du 27 05 2007)

26 février 2008

Face au syndrome ?


Ce soir je suis en panne d'inspiration
Ou alors ai eu trop de sollicitations
Dans cette journée pleine d'occupations.

Le clochard, héros de mon nouveau manuscrit
Semble avoir repris un peu goût à la vie
Une fois réchauffé par un bon déjeuner pris.

Il marche péniblement le long du fleuve gelé,
Remonte le col de son vieux manteau délavée,
Le regard vague, complètement désoeuvré.

L'adolescente aimable aux yeux si verts
A-t-elle un rôle déterminant dans cette affaire ?
Certainement, mais ce n'est pas encore très clair.

Où donc va me mener cette nouvelle histoire?
En tous les cas pas dans un sombre tiroir
Car jamais je ne laisse mes personnages choir.

Ce texte, déjà par copyright protégé,
Ne mérite certainement pas d'être délaissé,
Alors à l'ouvrage je vais à nouveau m'atteler.

Si mon imagination flotte et me fait défaut,
Pour trouver dans le chapitre les bons mots,
Je laisserai dormir le mendiant près des flots.
(Violette W-R 26 02 2008)

16 janvier 2008

Des prouesses pour...


Mon ami si loin en pays latin
Trouva ingénieusement le moyen
Dans l’enceinte d’un cyber café
Avec moi de communiquer,
Sans craindre pour ses intérêts.
Que de manigances et de secrets
Pour préserver notre amitié !

12 janvier 2008

Le cri désespéré...


Au secours ! Crient les cigarettes !
Laissez nous vivre encore un peu !
Donnez-nous un endroit, un lieu
Où nous pourrions sans galipette
Faire encore quelques heureux !

Ah non hurlent les opposants !
Vous polluez notre planète
Déjà si perturbé par l’encens
De la guerre et les arrogants !
A bas les fumeurs de cigarettes !

Qui a tort, qui a raison ?
La cigarette ou l’opposant ?
Pauvre monde qui ne sait
Que l’essentiel est de respecter
Des uns et des autres, la liberté.

08 janvier 2008

Un petit plus...

Une lueur d'inspiration... Il y a encore beaucoup de travail... Je sais cependant où cela va me mener... L'huile est plus longue à sécher mais peu importe le temps...Rien ne presse...
J'y associerai un texte poétique quand le tableau sera terminé.

23 décembre 2007

Deux Orchidées s'aimaient d'amour tendre...

Orchidée de violet vêtue
Face à ta compagne dorée
Au feu survivras-tu ?
Cet amour tant espéré
Résistera-t-il à la flamme
Du mensonge et du secret ?
Deux vies parallèles,
Un monde d’infidélité,
Pas vraiment une sinécure
Pour cette longue aventure.
Les signes s’entrecroisent,
Les chemins se croisent,
Quel terrible dilemme
Pour celui qui vous aime.
L’une vous enchaîne
Dans la monotonie
Des tracas et des soucis,
Et l’autre vous entraîne
Dans un tourbillon
D’amour passion.
Si l’une est nécessaire,
L’autre est éphémère.
Que vraiment choisir ?
Sécurité ou plaisir ?

(tableau terminé le 22 12 2007)

19 décembre 2007

La Belle Ephémère...


La bonne odeur de vanille de l’encens de Java
Emplit la pièce en rotonde d’une senteur antique.
Allongée sur la couche, l’éternelle romantique,
Alanguie par les effluves et les mets de Dyonysos
Laisse couler dans ses veines la douce ivresse,
Oubliant ses chagrin, ses peurs et sa tristesse.
Pourquoi un tel drame digne de Sophocle ou d’Euripide
Pour un adonis sans scrupule et de surcroît, stupide ?
Croyait-il vraiment que folle de lui, elle irait à Canossa ?
Princesse de jour, maîtresse abandonnée, le soir,
Pensait-il qu’elle le laisserait la butiner sans espoir ?
Pauvre de lui s’il a crû ainsi la berner, l’humilier !
Il implore sa patience, promet de toujours l’aimer
Mais rien ne touche plus la femme délaissée,
La belle n’aime plus la vanille de l’encens de Java.

04 novembre 2006

Lumière sourde de l'automne 2001


En un temps pas très lointain,
Au beau milieu de l’été indien,
Je me dirigeais d’un pas incertain
Vers un autre cours du destin.

Avais-je tort ou bien raison ?
Inutile de se poser la question.
Rien n’arrête la passion,
Même tournée en dérision.

Vivre ailleurs une semaine,
Considérée comme une reine,
Se sentir enfin sereine
A dissipé toutes mes peines.



Etre à nouveau une femme,
Face à un homme qui déclame
Des mots d’amour, de flammes,
Fait un bien fou à l’âme.

Ce bonheur n’a rien d’éphémère,
Il vit dans nos cœurs solidaires.
Un seul instant fou fut salutaire
A mon existence « solitaire ».

02 juillet 2006

Quelques unes de mes oeuvres

L'île d'émeraude

Comté de Clare de la verte Irlande,
Tes paysages enchanteurs
Tout comme tes recettes gourmandes,
Impriment mon âme et mon cœur,
D’une douceur de vivre et d’aimer.
La sérénité apaisante de ton prieuré,
La nonchalance de ta rivière,
A Ennis, tes boutiques colorées,
Sa place aux réverbères,
Tout m’attirait d’un regard curieux.
A Dysert O’Dea, la sobre croix
En plein champ dressée,
Christ au visage circulaire,
Vêtu d’une longue tunique plissée,
Invitait au calme et à la prière.
A Bunratty sur les bords de l’estuaire
De la Shannon rivière,
Les médiévaux banquets
Avec les dames et majordomes stylés
Accueillaient les convives ravis.
Je n’ai guère pu éviter, encore moins oublié,
A Burren, les falaises de Moher
Se dressant majestueuses et fières,
Sauvages et brutes au dessus de la baie,
Et surplombant les Iles d’Aran.
Dans les pubs traditionnels irlandais,
La convivialité et amabilité légendaires,
Dans une ambiance festive et gaie,
Au milieu des rires et des chants
Ravissaient la romantique étrangère.
Comment ne pas aimer ce pays,
Qui malgré tant de conflits traversés
Gardait un visage d’apparente sérénité ?
Le sourire d’un grand gaillard enjôleur,
Au regard bleu profondeur d’océan,
Restera très cher à mon cœur.
Résumé en vers de mon dernier roman en cours d'édition.


Chaque tableau d’un artiste recèle des émotions personnelles alors voici :

Le Bleu de ma vie

Petite princesse suis devenue
Par l’admiration soutenue
D’un père pas toujours objectif
Mais terriblement suggestif.
Une mère aux longs cheveux châtains,
Au regard bleu océan très doux,
Toujours à l’écoute des chagrins
Et des maux un peu flous,
Voilà un duo d’amour fou.
Puis départ vers le néant, l’au-delà,
De ce papa si bon et aimant.
Mes yeux s’embuent de larmes,
De notes de musique tombant
Sur mon cœur à présent sans arme.
Mes doigts errent sur le clavier
De la vie qui s’interrompt, s’éteint,
Tout en poursuivant un autre chemin.
Mandoline ici-bas se tait,
Dans mon cœur reste gravé.

Le Flamboyant

Flamboyant, un pseudo attirant.
Le feu de l’âme et de l’esprit,
Associé au dialogue décent.
Mirage ? Enigme ? Utopie ?
Brouillard opaque, complet.
Opportun rieur et lénifiant,
Yacht voguant au gré du vent,
Animé de bons sentiments.
Nom, inconnu mais charmant
Ténébreux corse qui es-tu ?






          Une vision objective du monde actuel révèle l'existence d'un malaise profond dû en majorité à l'impuissance des systèmes politiques, économiques et religieux à résoudre les problèmes fondamentaux de l'Homme. Nous assistons donc à l'intensification de sentiments négatifs comme : la peur, l'angoisse, le stress, l'insécurité très souvent générateurs de violence et de destruction.
          La peinture est un moyen d'exorciser ses peurs et sa tristesse.