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sosdialogue
Description du blog :
SOS DIALOGUE: ONG Panafricaine pour le Dialogue. Paix et Démocratie,Human Rights and Development
Catégorie :
Blog Association
Date de création :
06.03.2013
Dernière mise à jour :
19.05.2013
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Par fridiane tiwa, le 15.11.2013
outre la promotion du dialogue, c'est un homme simple et altruiste qui a mis son temps et son énergie au souti
Par odile ndoumbe, le 09.03.2013
Roman; font-size: medium;">Moïse Albert NJAMBE, SOS Dialogue et solidarité et l'appui aux génies de la République
Cent (100) bourses d’études aux élèves et étudiants voilà l’offre alléchante que l’ONG SOS DIALOGUE ET SOLIDARITE vient de faire à la jeunesse scolaire et estudiantine camerounais, pour le compte de l’année académique 2001/2002.
SOS DIALOGUE ET SOLIDARITE, maillon incontournable dans le règlement de certains problèmes sociaux au Cameroun et ailleurs est sorti quelque peu de sa vocation première qui est le dialogue, la culture de la paix, de la démocratie, pour marquer ses empruntes dans les actions, purement social en faveur des déshérités et de la jeunesse.
DES INNOVATIONS APPORTEES AU PROJET PAR SOS DIALOGUE ET SOLIDARITE
Profitant de son implication dans ce projet, qui fera le bonheur des jeunes camerounais dans les jours à venir, le Dr Moïse Albert Njambè a apporté de nouvelles initiatives pour permettre au système éducatif camerounais de savoir quels sont ses plus jeunes génies dans chaque niveau d’étude respectif, afin de mieux les suivre. Pour concrétiser cette idée, SOS DIALOGUE ET SOLIDARITE offre une bourse d’excellence à tous ceux qui auront le mérite d’être sélectionné et ce, pour une durée, indéterminée. On avait déjà vécu ce genre d’action dans d’autres pays, notamment en France où l’on sait à ce jour que le plus jeune bachelier et dont le génie de l’année scolaire passée au bac à quatorze ans, et le plus vieux soixante dix sept ans.
Pour éviter toute forme d’arbitraire, SOS DIALOGUE ET SOLIDARITE, entend travailler avec le ministère de l’éducation nationale, et tous ses services extérieurs pour avoir des données fiables sur les âges et les notes des différents postulants. Comme on peut le constater SOS DIALOGUE ET SOLIDARITE confirme à travers ses actions en faveur de la paix, du développement, du dialogue et de la convivialité, pour la lutte contre la pauvreté, tout le bien que la communauté nationale et internationale penserait déjà de lui.
Roman; font-size: medium;">TEMPETE DU RENOUVEAU N°015 – JUILLET 2001
Moïse Albert NJAMBE et SOS DIALOGUE ET SOLIDARITE au chevet des sinistrés de Limbé
Sous l’impulsion de son président le DR Moïse Albert Njambè, médiateur indépendant et coordonateur de la société civile, SOS DIALOGUE ET SOLIDARITE qui est son bras séculier en matière financière a agit avec promptitude pour secourir des milliers de victimes des inondations de la ville de Limbé dans la province du Sud-ouest. Au total 3 millions de francs déboursés dont 2,5 millions remis directement aux victimes pour l’achat des médicaments de première nécessité et de l’achat du matériel de découpage, et 500 mille francs au comité de gestion de la crise piloté par le préfet du département du Fako.
Le concours de la société civile et notamment celui du Dr Moïse Albert Njambè a été très bénéfique pour faire face à la situation désastreuse et pathétique qu’ont connue les populations de la ville de Limbé.
Bien que le chef de l’Etat ait dépêché sur place le ministre de l’administration territoriale, le ministre des affaires sociales et le secrétaire adjoint de la présidence, en vue d’apprécier l’importance des dégâts causés par des pluies torrentielles qui ont emporté au passage plusieurs vies humaines et y trouvé des solutions, on a surtout remarqué de la part de ces émissaires du président un certain attentisme, et un manque de spontanéité dans la prise des solutions immédiates et appropriées, afin de mettre les sinistrés hors de tout danger, et prodiguer les premiers soins à ceux qui avaient été sérieusement atteints par les eaux en furie. Dans cette atmosphère de détresse. Madame Madeleine Fouda n’a pas trouvé mieux que d’apporter 80 matelas, d’une place chacun pour plus d’un millier de sans abris qu’on est allé regrouper à l’hôtel de la ville de Limbé. Heureusement que d’autres âmes de bonne volonté et autres hommes volonté et autres hommes d’affaires ont régit avec efficacité exprimant par le même leur humanité.
TEMPETE DU RENOUVEAU N°015 – JUILLET 2001
Moïse Albert NJAMBE et les naufragés de Limbé: une belle leçon d'altruisme
3 millions de Fcfa aux sinistrés
3 millions de Fcfa et un important lot de tee-shirts et de casquettes ! Telles est la contribution du tandem SOS Dialogue – Apem, au profit des sinistrés des inondations du 27 juin à Limbe, remise au Comité local de gestion de la catastrophe samedi dernier par Albert Moïse Njambè. A l’occasion, après avoir rappelé les objectifs poursuivis par SOS Dialogue et l’Apem, Dr Njambè a déclaré qu’il s’agissait d’un geste de réconfort au profit des populations éprouvées, gestes qui se situe dans la continuité et l’appui à la célérité qui a caractérisé l’action des pouvoirs publics, mais aussi dans le cadre de la solidarité africaine qui commande de venir en aide au voisin chaque fois qu’il est en difficulté. Solidarité ! c’est finalement le cliché le plus scintillant de cette descente, au regard des messages lancés par le président de SOS Dialogue. « Nous voulons dire aux populations de Limbe qu’elles ne sont pas seules dans cette douleur. Et c’est dans ces types de situiations que l’unité nationale et le patriotisme doivent se manifester… ». Signalons que cette decente à Limbe du président de SOS Dialogue et de l’Apem intervenait un jour après la visite du ministre de l’A.T Koungou Edima, qui, malgré son âge, a eu le reflexe de réagir promptement.
Réagissant à cette contribution, le préfet du Fako, Robert Ngambi Dikoume, président du Comité local de gestion de la catastrophe d’une telle ampleur survient à Limbe.
Sur la gestion du volume des aides déjà reçues, Robert Ngambi Dikoume a dit que la transparence en sera le trame, selon les prescriptions du ministre de l’A.T., un engagement qui ajouté à la bonne organisation de ce comité, a agréablement surpris la délégation du Dr. Njambe. Ce dernier en a profité pour lancer lui aussi un appel à des décisions urgentes des pouvoirs publics et à une prompte mobilisation de la communauté nationale et internationale. Car, selon Dr Njambè, le drame de Limbe est un problème transversal qui dépasse la seule compétence du Comité local de gestion pour interpeller d’autres départements ministériels ». D’où l’urgence de refaire les routes abimées, d’apporter les secours alimentaires, de régler des problèmes liés à l’adduction d’eau. Quant aux populations sinistrées et particulièrement les rescapés de la catastrophe, elles ont exprimé tous leurs remerciements à cet homme « généreux » qu’elles ont connu à travers les médias et dont elles louent les initiatives en faveur de la paix, de la réconciliation et de la solidarité.
Nestor Djiatou
Une ville menacée de disparition
Il y a plusieurs décennies que Limbé, n’a pas conne pareille catastrophe. Au-delà des pertes envies humaines, c’est toute une ville qui est menacée de destruction. Les dégâts causés par les inondations sont d’une amplitude presque supra. L’érosion de la ville subit au fil des jours une dégradation inquiétante. La ville coloniale, historique et touristique a perdu sa physionomie dans tous ses angles. De l’avenue des banques jusqu’aux recoins de la ville, en passant par les abords de la mer, c’est la catastrophe générale. Le réseau routier détruit à plus de 50%, l’immobilier à plus de 60%, les sites touristiques, du fait de la dégradation du relief, sont quasi inexistants. L’accès à certains bâtiments est un véritable calvaire. Le cas le plus patent est incontestablement celui des services de la Croix-Rouge complètement sinistrés par l’affaissement de la route entraînant une bonne partie de l’immeuble. Au tristement célèbre quartier Mabetha où les inondations ont emporté des vies humaines, le spectacle est encore plus désolant. A peine peut-on penser à la reprise d’une vie normale. Le cauchemar des survivants reste intact. Tant l’accès à l’énergie électrique, à l’eau potable, aux sanitaires demeure un véritable parcours du combattant. En face, plus de 400 « réfugiés » regroupés dans les dortoirs d’un établissement scolaire de la place crient au secours. Des cris d’angoisse et de détresse qui ne laissent personne indifférent. Autant dite qu’en marge de l’expression de la solidarité nationale, les pouvoirs publics sont interpellés au plus haut niveau. Le ministre des travaux publics a du pain su la planche à Limbe. Des actions urgentes sont à prescrire au plus vite, question de sauver ce qui peut encore l’être à Limbe. A côté de ce cortège de malheurs, l’on ne saurait occulter les risques d’épidémies davantage menaçants. La consommation des eaux usées, la promiscuité dans les lieux de recasement, l’absence de sanitaires adéquats, le flux des couches vulnérables, enfants – femmes et vieillards, sont autant d’éléments qui donnent des sueurs froides au Comités d’urgence piloté par le préfet du Fako.
Salomon Foé
Envoyé spécial
Politiks n°114 du mercredi 04 juillet 2001.
Moïse Albert NJAMBE,SOS Dialogue et l’Apem se portent au secours des victimes des inondations de Limbé
Les responsables de la communication de SOS Dialogue avaient annoncé une trêve des activités de cette ONG, du fait du calendrier jugé chargé de son président. Le temps aussi de souffler après d’un mois d’intenses activités dont le clou reste sans conteste la semaine antiviolence organisée à travers le pays il y a quelques jours.
Mais Dr. Njambè n’a pas eu l’occasion de prendre sa pause. A la suite de la catastrophe qui a frappé Limbé le mercredi 27 juin dernier du fait d’une inondation sans précédent, la colombe de la paix s’est sentie immédiatement interpellée. Dans la logique de la solidarité et du patriotisme qui ont toujours guidé son action, les responsables de SOS Dialogue, se sont réunis jeudi dernier, ainsi que les membres et sympathisants de son mouvement, et les membres de l’Association des professionnels de l’épargne et du micro-crédit – Apem, dont il est également le président. Objectif de la réunion, rechercher les voies et moyens de venir en aide aux victimes des inondations de la capitale du Fako.
La décision ne se fera pas attendre. Le tandem SOS Dialogue – Apem décidera alors d’octroyer une aide significative de deux millions et demi de francs Cfa aux familles éprouvées, et cinq cents milles au Comité local de gestion de la catastrophe pour les besoins logistiques. C’est cette contribution, en exécution de ce mandat, qu’une équipe de SOS Dialogue, conduite par son président Albert Moïse Njambè, est allée remettre samedi dernier au Comité local de gestion. Un évènement fort symbolique sur lequel notre rédaction revient dans cette édition.
Il est 16h samedi dernier lorsque l’équipe du Dr. Njambè foule le sol de Limbé, sous une pluie rebelle, signe des temps dans cette zone littorale du Cameroun soumise depuis quelques semaines à un véritable matraquage pluviométrique. Direction, résidence du préfet qui surplombe la berge affestée ce la mer. Nul doute que Dr. Njambè et les siens ignoraient que depuis le début de la catastrophe, le préfet Robert Ngambi Dikoume et toutes les autorités de la ville de Limbé avaient perdu le sommeil. Tout au moins seront-ils informés de la réunion de coordination qui s’apprêtait à présider le chef de terre dans les 30 minutes qui suivraient. Retour donc à la préfecture de Limbé où tous les autres membres du Comité local de gestion de la catastrophe sont à pied d’œuvre.
Une vingtaine de minutes plus tard, le préfet du Fako fait son entrée dans la salle de conférences de la préfecture. L’hôte surprise du jour, Dr. Njambè enplique à l’assistance les raisons de sa présence à Limbé. On retiendra de son speech qu’ikl est porteur de la contribution conjointe de SOS Dialogue et de l’Association des professionnels de l’épargne et du micro-crédit – Apem, aux victimes des inondations du 27 juin dernier. Une contribution qui se chiffre à la somme de trois millions de FCFA au profit du Comité local de gestion. Mais aussi un important lot de tee-shirts et casquettes. Une salve d’applaudissements saluera cette contribution qui se situe au peloton de tête de toutes celles jusque-là enregistrées au Comité local de gestion. « Nous sommes venus dire aux populations de Limbe qu’elles ne sont pas seules en ce moment de douleur », dire Dr. Njambè.
20 morts, 3 disparus et 400 sans abris.
Réagissant après la réception de cette aide, le préfet Robert Ngambi Dikoume s’estimera honoré au nom de toutes les victimes avant d’appeler les autres ONGs et âmes de bonne volonté à suivre l’exemple du Dr. Njambe, président de SOS Dialogue et de l’Apem. Cette réunion du Comité local d gestion avait pour trame des travaux, la transparence non seulement dans la communication des données, mais aussi dans la gestion des aides. Ainsi notera-t-on le dernier bilan chiffré du sinistre. 20 morts, 3 disparus et 400 personnes déplacées et recasées provisoirement dans les locaux du Saker Baptist Collège. Le dernier corps retrouvé reste celui d’un bébé de 6 mois retrouvé samedi dernier par les éléments des sapeurs pompiers dans une lagune de Limbe. Au cours de la réunion, le préfet a rendu publique la liste de toutes les donations reçues dont le montant total se chiffre déjà autour de 20 millions de Fcfa.
CICATRICES D’HONNEUR
Malgré le caractère fugace de cette descente, Dr. Njambè et son équipe ont tenu à visiter les quartiers affectés par cette catastrophe, mais aussi les familles déguerpies. Première escale, le collège Baptiste Saker où sont recasées plus de 400 personnes à la faveur de la libération des dortoirs pour cause de vacances. Sous la conduite de Mme Catherine Meboka – présidente de la Croix Rouge camerounaise de la section du Fako, et par ailleurs ancien maire de la ville, le président de SOS Dialogue touchera du doigt la précarité de la situation. Constat absence d’électricité, promiscuité excessive, famine… Chaque fois, sur fond de réconfort du bienfaiteur et des remerciements des victimes.
Quant aux quartiers affectés, les séquelles du sinistre restent visibles. Habitations sous les eaux, les routes complètement effondrées, une berge maritime assez sale qui menace les quelques habitations ayant résisté au sinistre. A chaque fois, Dr. Njambè a apporté le réconfort nécessaire. Dommage que la météo annonce davantage d’orages dans les jours à venir.
Politiks n°114 du mercredi juillet 2001
Roman;">Moïse Albert NJAMBE et SOS DIALOGUE ET SOLIDARITE : un Coup de cœur dans les eaux de Limbe
Le Dr Moïse Albert Njambe et son association SOS DIALOGUE ET SOLIDARITE ne cessent de parcourir le territoire national pour prêcher l’exemple de l’engagement au service du bien-être de tous.
Après une réunion conjointe SOS DIALOGUE ET SOLIDARITE qu’il a présidé destinées, le Dr Njambe a décidé de se porter au service des populations de Limbé gravement sinistrées par une inondation qui a fait beaucoup de morts et de nombreux sans abris. Une catastrophe de plus pour le Comité de gestion des catastrophes du MINAT qui a encore eu là, matière à faire valoir son expérience dans la prévention et la gestion des catastrophes.
Le comité SOS DIALOGUE ET SOLIDARITE a donc après un examen minutieux de la situation à Limbé, mandaté le Dr Njambe pour engager une mission humanitaire auprès des populations si gravement touchées. Au total donc une enveloppe de 3000000 FCFA (trois millions de francs cfa) a été dégagée au titre de cette opération. Arrivée à Limbé, le président de SOS DIALOGUE ET SOLIDARITE a remis une somme de 2500000 FCFA (deux millions cinq cent mille francs Cfa) aux victimes des inondations : et 500 000 (cinq cent mille francs Cfa) ont été reversés pour assurer l’appui des actions des volontarismes qui se sont portés pour assurer un secours permanent aux populations sinistrés. Le Dr Moise Albert Njambe en remettant cet argent, a tenu adresser un message de condoléances aux familles des disparus, et des mots d’encouragement aux sinistrés. Il a assuré ces derniers du soutien et de la solidarité agissante du peuple Camerounais tout entier.
Le président de SOS DIALOGUE ET SOLIDARITE, s’est par ailleurs féliciter de constater la prompte réaction des autorités administratives et notamment le préfet du Fako M. NGAMGI DIKOUME qui a mis au point un dispositif de gestion de la catastrophe avec l’appui des forces vives de la sécurité, de la presse, etc…
Le ministre de l’Administration Territoriale Ferdinand Koungou Edima a su faire montre d’une disponibilité hors du commun en se rendant sur les lieux de la catastrophe et en veillant personnelle à la bonne marche des secours, et du recasement des sinistrés. Le président de SOS s’est réduit de la célérité avec laquelle le MINAT a géré cette situation.
Après un tour de ville, le président de SOS DIALOGUE ET SOLIDARITE a pu se rendre compte de l’Etat des dégâts causés par ses inondations.
La quasi-totalité de ville est en état de décrépitude. Les eaux ayant sabotées les infrastructures existantes, SOS DIALOGUE ET SOLIDARITE lance un cri en direction de toutes les bonnes volontés afin que tout le monde puisse contribuer à la reconstruction de la ville de Limbé. Tous ceux qui sont imbu de l’esprit patriotique doivent se manifester auprès de la commission de crise mise sur pied par le préfet de Fako. Il en ressort après constat que quelques 400 personnes sont déplacés par cette catastrophe et ne disposent même pas de matelas en quantité suffisante. Les enfants en particulier sont soumis à des conditions de sommeil précaire. Limbé la grande ville balnéaire est aujourd’hui l’ombre d’elle-même. Avec SOS DIALOGUE ET SOLIDARITE, sauvons Limbé, et construisons le Cameroun ! Limbé est l’un des grands centres de la province du SW. C’est pratiquement la victime de cette province. Limbé est donc soumise à une situation de crise du fait des caprices de la nature.
C’est le SW qui est touché dans ce qu’il a de plus précieux. Mais d’où est-il que depuis que cette catastrophe a été annoncée, les élites du SW ne soient pas déportés vraiment pour apporter leur réconfort moral ou leur assistance financière aux frères sinistrés.
L’on a pu observer quelques aides dérisoires de quelques âmes de bonne volonté alors que l’on s’attendait à voir le SW dans une action synergique conjurée cette catastrophe. On attend toujours que l’administration viennent suppléer les carences de la solidarité locale. N’eut été cette action comme celle de SOS DIALOGUE ET SOLIDARITE dont le président n’est pas proche de cette région, que l’on verrait encore l’Etat faire face à ces missions régaliennes de protection des personnes et de biens.
En tout cas, SOS DIALOGUE ET SOLIDARITE est à féliciter pour ce geste qui témoigne à souhait qu’au Cameroun, il y a encore des hommes et des femmes soucieux de contribuer de manière solidaire au bien être de la nation sans distinctions de chapelles politiques ou de religions.
New Messenger n° 3 - mercredi 4 juillet 2001
MOÏSE ALBERT NJAMBE, COMMENT IL A CALME LE C9 ?
Il est difficile de parler du Dr. Moïse Albert Njambe, président de S.O.S Dialogue, sans le couvrir de lauriers. Cet homme au charisme indéniable ne laisse personne indifférent. A la faveur des tristes évènements qui ont failli embrasser la capitale économique, le Dr. Moïse Albert Njambe a montré toute sa classe de sapeur-pompier à un moment où la presse et une partie de la classe politique s’évertuaient à jeter de l’huile au feu. mieux, le principal animateur de SOS DIALOGUE a réussi le coup de force de calmer les ardeurs des chantres de la « vendetta » qui, après la tragédie de Bépanda, tentaient par tous les moyens de faire endosser la responsabilité de cette affaire au Président Paul Biya, bien que celui-ci ait pris des mesures pour que la lumière soit faite sur ce qui s’est réellement passé et que les coupables soient punis.
Par son activité débordante sur le terrain, le Dr. Njambe a redoré le blason de la société civile qui, au Cameroun, s’était perdue dans les méandres de la politique. Pourquoi ne pas revenir sur ces deux mois d’activités qui ont fait de SOS DIALOGUE un véritable instrument de lutte pour la paix et la consolidation entre camerounais.
Nous l’avons dit, c’est à la suite des tristes évènements de Bépanda et à la faveur de récupération qu’en ont fait quelques petits malins de la scène politique que le Président de SOS DIALOGUE est entré dans la danse. C’était en avril dernier, mois au cours duquel le Dr. Njambe a initié des actions visant à calmer le jeu. Évidemment, c’est par la ville de Douala que le Président de SOS DIALOGUE a ouvert le bal de ce qui allait devenir au fil des semaines une véritable croisade pour la paix et la tolérance. Une croisade qui passe par une forte médiatisation des ses initiatives. C’est ce qui explique que le Dr. Njambe sollicite le concours de la presse pour divulguer ses messages. De conférence en diners de presse, cette tête de proue de la société civile a réussi à véhiculer ses messages, notamment sur le sujet d’actualité d’alors, la disparition des neufs jeunes gens de Bépanda. Pour le Dr. Njambe, il était question de sensibiliser le pouvoir sur les dérives du commandement opérationnel dont il ne conteste cependant pas l’action contre la grande criminalité. il était également question d’empêcher que les récupérateurs professionnels s’emparent de cette affaire aux fins politiques. Le rôle qu’a joué SOS DIALOGUE pour amener les uns et les autres à de meilleurs sentiments a été déterminant.
À un moment où Douala était en ébullition, il fallait avoir une certaine dose de courage pour affronter le C9 et le CNI. Discrètement, mais efficacement, Moïse Njambe a convaincu les responsables du C9 de se désolidariser des politiciens et surtout, de renoncer aux manifestations publiques qui ne contribuent qu’à envenimer la situation. Au CNI qui s’entête encore à vouloir trainer le président de la République en justice, le Dr. Moïse Albert Njambe a mis tout en œuvre pour amener ses dirigeants à renoncer à ce projet.
Le président de SOS DIALOGUE a pratiquement dérouté le public quand il a pris sur lui de jouer les médiateurs entre le C9 et le CNI dont les responsables étaient à couteaux tirés. En effet, au cours d’une conférence de presse en juin dernier à Douala, le Dr. Njambe s’était donné la difficile mission de convaincre le Président Exécutif du Collectif National Contre l’Impunité. Peter William Mandio et le responsable du C9 Ekane Anicet, non seulement de ne pas fragiliser le Cameroun en estant contre le Président en justice, mais aussi de mettre un peu d’eau dans le vin de leurs actions porteuses de germes de la violence. Par ailleurs, le président de SOS DIALOGUE a œuvré, au cours de cette même conférence de presse, pour le rapprochement des deux hommes qui ne se blairaient plus, même en image. Comment expliquer que le Dr. Njambe serve de courroie de transmission entre deux associations aux vues radicales contre le régime du renouveau et qu’il essaye en même temps de les détourner de leurs projets anti-Biya ? en tout cas, pour le Dr. Moïse Albert Njambe, il n’y a pas de contradiction dans cette double action qui rentre en droite ligne des missions de son association, à savoir la promotion de la non-violence et de la paix, la lutte contre la criminalité et l’insécurité. Un combat qui passe forcément par le Dialogue. SOS DIALOGUE a frappé un grand coup par la persuasion et le langage de la vérité qui ont séduit Ekane Anicet et Peter William Mandio, deux irréductibles adversaires du Président Paul Biya. Pour y parvenir, Moïse Albert Njambe s’est évertué à établir la vérité des faits, notamment sur le bien-fondé de la création du commandement Opérationnel ; création qui intervenait au moment où Douala vivait sous la psychose provoquée par le grand banditisme. Seulement, le président de SOS DIALOGUE n’a jamais donné sa caution à certains actes de barbarie et d’abus perpétrés par les éléments de cette force spéciale. Pour lui, si le président Paul Biya a créée celle-ci pour protéger ses compatriotes, il n’aurait pu en même temps encourager le massacre de ces derniers. C’est fort de ce constat que le Dr. Albert Moïse Njambe a prié le CNI de retirer sa plainte contre le Président Paul Biya.
Nlend Paul.
Le Jeune Enquêteur N° 80 du 23 juillet 2001
Moïse Albert NJAMBE, SOS Dialogue et l'opération BBC: l'élan de générosité et l'appel à la gratuité de l'université
L’ONG Sos Dialogue et Crecom Africa ont bouclé l’opération « spécial bourses » aux bacheliers de la session de juin 2001.
Cette opération visait à primer 20 nouveaux bacheliers par province, à hauteur de 50000 frs par bourse. Et surtout, d’amener le gouvernement à revenir à la gratuité à l’université. Cette gratuité est d’autant plus nécessaire que si l’on s’en tient au Pib du Cameroun. On ne devrait même plus poser cette question. Question cruciale lorsqu’on sait que près de 7,5 millions de camerounais ne mangent pas quotidiennement, il est donc anormal de demander à ces familles qui n’arrivent même pas à manger à envoyer leurs rejetons à l’université. C’est pour cette raison que le président de l’ONG Sos Dialogue s’est proposé d’offrir à quelques jeunes bachelier camerounais des bourses et à d’autres plus jeunes, des bics, cahiers. L’ONG avait prévu offrir près de 200 bourses. Mais compte tenu de la demande présente des jeunes bacheliers, le président Njambé a finalement offert près de 500 bourses à des camerounais coûts total de l’opération près de 60 millions frs. Au delà de l’euphorie, le Dr Moïse Albert Njambe espère que d’autres élites s’associeront à lui l’année prochaine pour qu’au moins la moitié des bacheliers ait de quoi démarrer l’université. Et qu’à long terme, que l’Etat revienne à la gratuité à l’université. Ce qui est une priorité et le leitmotiv de cette campagne qui a satisfait toutes les dix provinces du Cameroun. Démarré le 03 septembre, elle s’est achevée le 14 septembre avec l’étape de Sangmélima. Pour clôturer cette opération grandeur nature, le président de l’ONG Sos Dialogue, est allé vers l’association mondiale des albinos. Asmodisa dirigée par Jean-Jacques Ndoudoumou. Sos Dialogue apportait un appui aux efforts de l’asmodisa qui lutte pour l’insertion totale de cette catégorie mise à l’écart, cause de leur peau. Luttant pour les grandes causes, Dr Njambe a estimé que l’Asmodisa méritait plus de leur a fait appui d’un million cinq cent mille frs et des bourses pour les bacheliers albinos.
Georgette Tchanga
LA NATION N° 63 du 19 Septembre 2001
Le cameroun se souviendra t - il à sa juste valeur la contribution de Moise albert Njambe à la consolidation de sa démocratie appsaisée? rien n'est moins sur dans un pays ou l'ingratitude et la guerre de génération fait rage. Quoi qu'il en soit cet article nous resources dans ses moment chaud de 1997 ou Dr njambe à fait d'enorme sacrifice pour aider à une entente nationnale entre le pouvoirs et l'opposition.
cet article est en cours de reproduction. Il sera disponible bietôt.
Cet article est en cours de reproduction. Il sera disponible bientôt.
Dr NJAMBE A joué un très grand role dans la stabilisation et le renforcement de la démocratie appaisé au cameroun. il est credité d'avoir permis au heures chaudes dee anées 1990 à Bello Bouba Maigari Président de L'UNDP ede prendre langue avec le pouvoir ce qui a conduit à son entrée au gouverment. Il a lancée le dialogue SDF-UNDP et jeune professeur d'univesité à Douala pendant les villes mortes en 1992, tout en calmant l'ardeur des forces de repression, il a sécourue les blessé et a conseillé en 1992 à Kodock Augustin Fredéric de prendre la route du dialogue avec le pouvoir au nom de l'UPC, signant ainsi son entrée au gouvernement. ayant aidé Hogbe Nlend sur sa demande portée en 1977 par Dr moukouri, omam Philippe a entré en conct avec le pouvoir, espérant pour l'UPC deux minitre dont l'un en sanaga maritime et l'autre dans le nyong et kelle il fut surpris par la cécision du chef de l'Etat d'exclure kodock du gouvernement et de concervé Hogbe. il aidera plus tard kodock en finanssant sa campagne legislative dans le nyong et kellé tout en financant le RDPC en sanaga maritime pour ecraser Hogbe Nlend qui arrivé au pouvoir s'avera être un demagogue inpenitant qui n'a rien fait de concret pour le developpement. dr. Njambe ses année là avait toujours refusé tout poste gouvernemental aux entenne nationale de la CRTV radion-télevision pubic du cameroun se consacrant à la médiation politique en cas de crise, à la lutte contre la pauvreté et au service des grandes causes. le présent article de REVELATION N° 19 du lundi 12 janvier 1998 se consacre sur son role dans les negociation politique pouvoirs opposition de 1997
Cet article extrait du JOURNAL ANECDOTE N° 057 DU 15 DECEMBRE 1997 PENDANT LES HEURES CHAUDES ENTRE LE POUVOIR ET L4OPPOSITION AU CAMEROUN, est en cours de reproduction.