De fil en aiguille-bijoux et dentelles

Au self, servez vous, prenez donc ce qui vous tente, ce qui vous plaît

Jusqu'à vous en faire péter la pance si vous en avez envie, que m'importe

Mais avant la sortie, vous devrez payer l'addition sans oublier la digestion

N'est-ce pas ?  Car c'est la vie qui veut ça

Au self service des droits d'auteurs et des spolieurs et des spoliées bafoués

Je nomme Miossec de son vrai nom et je l'invite à me contacter

Au plus vite si le coeur lui en dit afin de m'expliquer la chose suivante

De quelle manière s'est-il donné le droit de signer de son nom mes Mots ?

Peut-être en visitant ce simple blog a t-il lu mes paroles de chansons postées en 2011

Pour " L'amour peut prendre froid "  ...

J'avoue que cela fait MAL, TRES MAL de me sentir Spoliée, Abusée ainsi et de voir mes chansons, mes idées, mon talent qui m'appartient et n'appartient qu'à moi en principes, oui ça fait mal de le voir utilisé par d'autres sans aucun scrupules et qui OSENT Prétendre que l'idée vient de leur plume et la proposer à Céline Dion qui, va l'accepter !!

Aîe!!  Comment peut-on être soi-disant un Artiste, un Auteur si l'on se comporte tel un Escroc, un Voleur de Mots, un Violeur d'Ame,  en sachant que les mots viennent du Coeur et viennent de La Vie de Celui ou Celle qui les a écrit, et que les lui prendre sans lui demander son avis, c'est vraiment ignoble, je trouve pas d'autres mots pour décrire ce que je ressens à ce propos tellement c'est dégueulasse de se comporter ainsi,

Mais que faire ?  Miossec  je te vomis dessus

Et aussi je te Méprise avec un Grand M pour ce que tu m'as fait, me Voler une part de moi,

Je veux t'aimer en lettres capitales

Pouvoir me ...... de toi

En .....

Malgré nos désaccords parfois

Je veux refaire surface ....

Et m'enfermer

Seule au monde avec toi

Comme on s'évade quelque fois

Pour cerner l'Amour Absolu 

Je veux une trace de toi

Tout autour de moi

Je veux que rien ne fasse

Que tu t'éloignes de moi

Une autre fois

Un autre jour

Une autre nuit

Encore une fois

Je veux déjouer La Mort

Des sentiments perdus

Tendre un piège à l'Amour

Tel un tour de magie

Je veux t"aimer en lettres capitales

En riant aux éclats

Malgré nos désaccords parfois

Je veux refaire surface dans tes bras ..

J'ai du confondre amour et raison

J'ai du confondre amour et pardon

j'ai du confondre les saisons

Pour t'aimer encore davantage

J'ai du  mélanger ta raison à la mienne

J'ai du mélanger nos confusions

C'est toujours comme ça

L' amour commence bien et finit mal

C'est si banal mais ça fait si mal

Mon amour je te cherche à travers toi

Mon amour je te cherche en dedans moi

Même si on ne se retrouve pas

Dans la nuit seule je n'ai plus peur

Au plus  profond de mes trous noirs

Je m'aperçois que je m'en fous un peu

De tout - de toi, de vous,

Ce que je voulais dire ce soir- c'est  que je vous emmerde - excepté de très rares personnes que j'aime d'amour vrai - ceux et celles que je ne connais pas - que je n'ai jamais vu - et qui pourraient me surprendre - ou encore mieux- ceux qui pourraient m'apprendre quelque chose de la vie - et sur moi - ce quelque chose que je ne connais pas- ce quelque chose que je n'ai jamais vu- ceux-là seuls- je ne peux pas dire que je les emmerde tous ou qu'ils m'emmerdent tous - bref,

C'est comme une sorte de ritournelle

Comme un métronome qui fait tic tac

C'est tout comme un vol d'hirondelles

Une petite ribambelle à tire d'ailes

Qui ne fait que passer dans le ciel

De l'ombre à la lumière

Entre les nuages et le bleu du gris

Entre les saisons et le temps qui passe

Je ne sais plus très bien qui je suis

je ne sais plus très bien qui tu es

Je ne sais plus très bien où j'en suis

Quand tu me regardes dans tes yeux

C'est comme le vent dans mes cheveux

Tout se mélange et se confond

La vérité de nos mensonges

Eclate de mille éclats

Comme des éclaboussures

Des miettes de sentiments

Tout devient si obscur

Je ne sais plus très bien où j'en  suis

Je ne sais plus très bien qui tu es

Quand tout ressemble à l'amour

Mais que rien ne s'y assemble

Comme dans un désert aride

Je cherche l'Oasis

Dans la nuit des étoiles

je m'endors contre toi

Et je me réveille comme dans un rêve

Et je me réveille seule dans mon lit

Et je sors dans la rue

Ton ombre qui me poursuit

Pas après pas - sors de ma vie !

Tout le monde a ses petites faiblesses - même les plus puissants - même les plus forts - ceux qu'on nomme les winners contre ceux qu'on appelle les loosers - c'est toujours la même histoire - l'être humain sans aucune faiblesse ne serait plus vraiment humain et aurait un coeur de pierre - un coeur d'acier inébranlable et cela serait une catastrophe pour l'humanité à mon humble avis,

Car avoir des zones de faiblesse- c'est savoir rester sensible aux autres- à leur bonheur comme à leur chagrin et ne pas y rester totalement insensible justement - certains trouveront cela idiot ou stupide de montrer de l'attention aux SDF du coin qui se postent à la sortie des super marché pour avoir un peu d'argent et l'indifférence prendra le pas sur la sensibilité -

Car c'est si facile de détourner le regard et de passer son chemin en accélérant le pas - mais leur dire bonjour - c'est sympa aussi car tout le monde a besoin d'un peu d'attention pour se sentir en vie- non ?  C'est si facile de juger les autres - les plus faibles soi-disant - car il doit falloir une certaine force pour survivre dans la rue- non ?

Sinon je ne comprends pas une chose- sur ce blog - certaines photos passent et d'autres pas et pourtant elles viennent du même appareil photo - donc elles ont le même format !

Alors pourquoi cette censure de certaines photos, le ciel la  nuit par exemple ne passe pas - mais la même photo le ciel de jour passe - ???  Alors je suis obligée de mettre des images de mannequins ou de n'importe quoi sans rapporte avec ce que je souhaite et cela m'exaspère,

Les photos de fleurs - de nature - de plats cuisinés- ne passent pas - c'est un boy cott ou quoi ? je commence à m'interroger sérieusement sur ce site

Dans ce monde ultra sécurisé- où tout semble calculé-planifié à l'avance- il existe des sommes de hasards comme des opportunités à saisir sur le champ- mais prendre le risque de changer ses habitudes- en réalité peu de gens osent le faire et se lancer à l'assaut de l'inconnu-de l'étrange- du nouveau comme de l'Etranger- c'est bien connu- les humains ont la trouille et sont peu courageux - à l'exception de rares personnes- brillantes et au-dessus de la norme-

C'est surtout le superflu qui nuit au nécessaire comme la solidarité et l'unité qui devraient unir les gens au lieu de les diviser- voir de les séparer- le fric rend parfois les gens fous avec un venin enfoui en eux tel un serpent de pacotille qui ondulerait sans but aucun- excepté celui de s'enrichir et de posséder davantage que ses semblables

Du coup peu de personnes sont capables de donner gratuitement et sans espoir de retour- car le simple fait de partager avec autrui leurs privilèges leur pèsent tel un fardeau trop lourd à porter et cela conduit à cette société individualiste où chacun ne pense qu'à soi en premier lieu et bien je fais ici l'éloge du partage et tout le monde serait beaucoup plus heureux j'en suis sûre !

Partagez sans crainte car il ne vous arrivera rien de mal mais que du bon !

Tu m'avais promis l'amour éternel

L'amour pour toujours mais tu n'es qu'un lâche

Un assassin, un imposteur, un sale menteur

Tu es horrible,

Tu m'as fait le pire qu'on puisse jamais faire à un autre

Mais je ne suis pas comme toi

je en trafique pas avec la vérité

Tu n'es qu'une larve, un cafard

Et un jour comme tu me l'as dit

" la mort viendra frapper à ta porte "

Mais c'est à la tienne de porte, qu'elle viendra frapper

Et non à la mienne !

Sur ce, je te souhaite une très très très très longue vie

Une vie sans aucune liberté

Une vie qui n'en finit pas

Une vie derrière les barreaux

Car tu n'es digne d'aucune liberté

pauvre cinglé dégénéré

Pour comprendre

Toute la merde que j'ai traversé

Et malgré tout, je suis encore debout,

Vaillante, et je me fous du monde entier

Aujourd'hui je ne pense plus qu'à moi

C'est le triste résultat de toute cette saloperie

Que j'ai croisée, quand JB me dit mais

" Tous les gens ne sont pas des monstres ! "

Non, pas tous ..

Peut-être, peut^tre pas,`

Va savoir !

Il est temps de te dire

Combien tu m'as fait souffriir

Tout en feignant de m'effacer

De m'ignorer de m'éjecter

De ta vie telle une empreinte qui disparait

Sur le sable mouillé tels des sables mouvants

Sur lequel je tentais d'avancer pas à pas

Petite funambule abandonnée

Déjà dans mon corps je portais les non-dits

Après tout est devenu sans espoir

De retour, j'étais seule perdue dans le noir

Sans personne pour me cajoler le soir

IL est temps de payer les pots cassés

Il est temps de te dire la vérité

Comme je t'ai aimé toi l'amour maudit

Mais peut- être ai-je tout oublié  ?

Car la mémoire dilue les amours ratés

Comme 'un grain de sable dans l'univers

Comme le néant devient poussière

Et  tout cet amour perdu à jamais

Seulement la vie contient son lot d'inattendu

Et nous voilà enfin réconciliés ?

Ou presque, et c'est la plus belle des promesses

Deux coeurs qui tentent de se réparer

Sans pour autant oublier de ne surtout pas

Se blesser de nouveau

Quand on pratique l'école buissonière

Avec des jolis garçons et des copines familières

On ne peut assurer en langues étrangères

Excepté de flirter sans avoir besoin de parler

Autrement qu'avec les mains et la langue

Alors le syndrôme d'asperger ?

L'école buissonière m'évitait la domination passagère

De fonctionnaires sans talent ni aucune empathie

En mal d'autorité peut-être dans leur vie privée

Et avec une dose de sadisme emprunté, les petits !

Le manque d'empathie, le besoin de dominer l'autre

Afin de se mettre en avant

C'est une abomination,  une petite guerre minable

Et ça me donne la nausée

Comme un bouquin raté, imbu ou l'auteur se parle à lui  seul

Quand j'étais petite, on disait de moi " quelle jolie poupée ! "

Mon rôle ; sourire, obéir, me faire discrète, en bref " être sage comme une image "

Une image ne parle pas, il suffit de se contenter de la regarder

Mes deux frères passaient leur temps à se bagarrer et à se poursuivre

Dans toute la maisonnée, quand à ma petite soeur

Elle avait trouvé un moyen ultra efficace pour se faire remarquer

Et capter ainsi l'attention de sa mère

Elle passait son temps à chialer pendant des heures et des heures

Pour un oui pour un non, c'était " ouin, ouinnn, ouinn '

Et cela sans raison aucune, et cela énervait tout le monde

Sauf sa maman bien évidemment qui étant la cadette  dans sa fratrie elle aussi

Pouvait ainsi s'occuper d'elle et surtout s'identifier à son dernier BéBé

Qui avait maintenant 8 ou 9 ans, elle lui faisait prendre son bain

Comme si celle-ci était encore incapable de se laver et de s'habiller seule

Ainsi je garde ce sentiment-là étrange, d'avoir été la seule enfant sage

De cette famille de criards et de cinglés, avec une mère dépassée

Et sans la présence du Père, celui qui, en principe est là pour Rétablir un semblant d'ordre

Quand il le faut, si besoin est, mais là personne car mon père ne supportait pas tout

Ce cirque, lorsqu'il débarquait à l'improviste à la maison et je le comprends !

Ma mère aussi en a eu assez et elle a décidé de retravailler

Et de foutre le camp toute la journée, nous laissant nous dépatouiller entre nous

Ainsi elle pouvait s'enrichir, loin de ses sales gosses, au sens propre comme au figuré !

Mais un beau jour, j'en ai eu assez d'être une petite fille parfaite

Car je faisais des cauchemars toutes les nuits,

Des intrus terrifiants encerclaient la maison

Et je me retrouvais " à l'envers " c'est-à-dire tout au bout de mon lit

Littéralement pétrifiée, et je me balançais pour tenter de retrouver le sommeil

A cette époque-là déjà, je ne connaissais pas cette sécurité intérieure essentielle

Dont chaque être humain normalement constitué a  besoin pour se construire

Alors je me débrouillais seule, me balançant la tête sur l'oreiller afin de m'auto- bercer

Et puis, en grandissant j'ai rencontré " le diable ", celui qui m'a incité à me droguer

A partir de ce jour-là, ma vie, mon adolescence furent anéantie,

Fini la danse et mon tutu, fini l'école et mes devoirs

Mais je gardais le sourire, car je savais qu'il s'agissait du rôle qui m'avait été distribué

Par " hasard " comme lorsqu'on distribue les cartes lors d'un " jeu " de société ?

Plutôt un " drôle de jeu d'ordre familial "  je devais être la Ratée de quelque chose mais Quoi ? Qui m'a incitée " inconsciemment " bien sur à sécher l'école, à stopper net la course de ma vie comme de mes rêves ?

 Ma mère ? Ma grand-mère ? Je ne me souviens plus,

Une poupée n'est pas faite pour réfléchir, juste pour être jolie ..

Sourire et Obéir, être docile et surtout, se taire

Fermer sa bouche sauf pour manger, car manger reste l'unique préoccupation

De ma mère, avoir la tête vide mais l'estomac plein, c'est  sa devise !