Venez sur mon blog pour y lire mon nouvel OS sur détective conan ^^ : Réconfort

 

detective-conan-4869.skyrock.com

 

hésitez pas à commenter ^^

YO MINNA !! ^^

 

Ici, vous trouverez mon tt dernier dessin : une tite caricature de Sasuke ^^

Voici l'adresse : http://detective-conan-4869.skyrock.com

POV SHINICHI

L’Organisation ? Finie. Gin et Vodka ? Morts. Mon corps ? Et bien... je crois l'avoir récupéré. Je crois. Est-ce que je rêve ? Vais-je me réveiller et me retrouver une fois de plus en étant Conan ? Tous ce que je sais, maintenant, c'est que je suis allongé, qu'une personne est contre moi, que j'ai énormément mal au crâne et que j'ai une très forte envie de vomir. Revenons à la personne contre moi : elle sent bon, cette personne. Son corps est froid... Où est-ce le mien qui est brûlant ? Je ne saurait dire. En tout cas, il bouge son corps. Je crois qu'elle se réveille...

? : Shinichi ?

Moi : Ran !? Alors c'était toi ?

Ran : Et bien oui... Tu pensais que c'était qui ?

Moi : Je... ne sais pas... Je peux te poser une question ?

Ran : Oui, bien sur...

Moi : J'ai retrouvé mon corps ? Je suis bien redevenu Shinichi ?

Ran : Bien sur que oui... Tu ne te souviens pas de ce qu'il c'est passé ?

Moi : Et bien... J'ai cru avoir rêvé...

Ran : Et bien non... Ne t'inquiète pas... Tu n'es plus Conan-kun...

Je sens sa main passer dans mes cheveux, puis sur mon front.

Ran : Mais ! Tu m'étonnes que tu délires !

Moi : Je délire ?

Ran : Tu es brûlant ! Attend, reste allongé.

Je ne bouge pas... Je n'en ai pas la force. Ran, elle, se lève, rejetant la couverture, ne me drapant que d'un drap. Je tourne la tête et la regarde. Elle est magnifique dans cette nuisette blanche... Je rougie. Enfin, vu la chaleur qu'il fait dans cette pièce et la quasi obscurité qui y règne, ça passera inaperçus... J'espère...

Ran : Shinichi ! Tu m'écoute ?

Moi : Hein ? Euh oui, pardon... Tu m'a dis quelque chose ?

Ran : Oui... Je t'es dis : au lieu de me reluquer, ouvre là bouche.

Moi : Je... Ne...

Ran : Mais merci...

Moi : Euh... bah... bon... oui... mais...

Ran : (rigole un peu) aller gros bêta. Ouvre la bouche s'il-te-plais.

Moi : Hum hum... Qu'es-ce que tu comptes faire ?

Ran : Prendre ta température... Tu dois avoir de la fièvre.

Je m'exécute et ouvre la bouche. Ran y glisse le thermomètre et s'assoie sur le lit, après avoir allumer la lampe de chevet.

Ran : Tiens. Un mot de tes parents. Alors « Nous sommes partis tôt ce matin, je dois voir des éditeurs. Ran, je te confie Shinichi et la maison. Appelle en cas de besoins. Yusaku Kudo » On a la maison pour la journée apparemment...

Elle dépose la papier sur la table de chevet et me prend la main, comme ferais une mère pour réconforter son enfant malade.

Moi : Ch'est quelle heure ?

Ran : « Ch'est » quelle heure ? (rigole) Il est... 9 heures.

Moi : Te moques pas... Ch'est pas drôle...

Ran : Mais bien « chur », Monchieur le grand détective !

Elle rigole. Elle est si belle quand elle rigole. Elle remarque que je la regarde et ses joues prennent une teinte rosée. Trop mignon !

Moi : Tu es très belle quand tu rougie, tu chais ?

Ran : Merci... Mais arrête de parler, enfin...

Moi : Hai, hai.

Bip bip bip, bip bip bip, bip bip bip... Le thermomètre sonne et Ran me l'enlève de la bouche. Les yeux qu'elle fais indique que je dois avoir de la fièvre... Et pas qu'une petite...

Moi : Alors ?

Ran : 38,8°C

LEMON(attention au âmes sensibles)

Oh joie ! Ca explique pourquoi je ne peux pas bouger, pourquoi j'ai l'impression de ma tête va exploser et pourquoi je respire la bouche ouverte... Et aussi pourquoi j'ai une folle envie d'embrasser Ran... Pourquoi j'ai une terrible envie de lui faire l'amour...

Ran : Shinichi ? Ca va ?

Moi : Je...

Je suis censé lui répondre quoi là ? « Tu ne voudrais pas t'allonger que je te fasse monter au 7 ème ciel ? » ou encore « Tu pourrais te déshabiller, m'enlever mon boxer et en avant la musique ? » Là, mon pauvre Shinichi, tu délire sérieusement... Et en plus tu te parles à toi même... C'est la camisole de force qu'il te faut là... Surtout que je ne l'ai jamais fait...

Ran : Shinichi !

Ah tiens, je le demandais pourquoi et qui étais entrain de me secouer dans tous les sens...

Moi : Tu veux vraiment que je te vomisses dessus ou quoi ?

Mais quel glamour Shin' ! Au moins elle a arrêter de me secouer comme un prunier...

Ran : Pardon... Mais ça fais au moins 5 minutes que je t'appelles !

Moi : Désolé...

Résiste... Résiste... !

Ran : Tu es sur que tu va bien ?

Invente un truc ! Vite !

Moi : Pas très non... Avec la fièvre que j'ai en même temps...

Ran : Oui c'est vrai...

Elle me regarde bizarrement...

Ran : Tu es entrain de me mentir là, n'est-ce pas ?

Moi : Hein ?

Et merde, j'en étais sur...

Moi : Je... Oui... Mais... J'ai une explication... Euh... Rationnelle ?

Ran : Et bien vas-y... Explique-moi.

Et là je dis quoi ? Au secours ! Que quelqu'un m'aide. Et la je la sens. Une aide ? Pas vraiment... Pas du tout même ! S'il-te-plais Commandant, assis ! Coucher ! Aie, aie, aie... Ran, je t'en supplie, ne regarde pas le drap au niveau de mon bas ventre... Pitié...

Ran : Alors ? Et puis pourquoi es-tu si rouge ? Ne me dis pas que c'est à cause de la fièvre, parce que je ne te croirais pas ! Tu as l'air tourmenté...

Moi : Je... Ne sais pas... Euh... Comment dire...

Trouve quelque chose... Et arrête de regarder la bosse du drap ! Sinon Ran va... Oh oh...

Ran : C'est... pour ca... ? (complètement rouge)

Moi : Je... C'est... Euh... oui ?

Elle reste là. Ces yeux ne se détache pas de cette bosse. Je fais quoi moi maintenant ? Je peux limite me retourner sur le ventre... Non mais sérieusement... Etre en érection maintenant... Euh, pourquoi il fais froid tout à coup ? Ah bah oui... Ran viens d'enlever le drap. Je me retrouve en caleçon. Viens d'enlever le drap !? En caleçon !? Couché Commandant !! En plus, ça commence à faire mal avec le boxer qui me sert...

Ran : C'est pour... çà... Que tu es dans cet état ?

Moi : Euh... Je... Suis désolé... Je... Je sais pas pourquoi... Mais... Ca m'a pris d'un coup et aaaahhh... !

Mais ! Elle a posé sa main sur mon entre-jambe ! Et bien sur, il faut que je pousse un petit cri de plaisirs mélangé à de la douleur...

Ran : Si tu veux... Je... peux t'enlever... ton boxer...

Moi : Que... Quoi !?

Ran : Tu dois être... à l'étroit. Non ?

Moi : Je... oui mais...

Trop tard. Je sens mon membre être libéré. Je ne peux contenir un gémissement de plaisirs de sortir de ma bouche. Ce que, bien sur, Ran a entendu. Je ne l'ai jamais vu comme ça. Elle a l'air de s'y connaître...

Moi : Je... Merci. Dis-moi... Est-ce que... tu l'a déjà fais ?

Ran : ... Non... Pourquoi ?

Moi : Et bien... Tu es vachement... entreprenante... Déjà à l'hôpital...

Ran : Je ne sais pas... Je fais ça inconsciemment... Je sens que c'est ce qu'il faut faire... Alors je le fait... Tout simplement... Et toi ?

Moi : Non plus... Aaaahh...

Elle a recommencé ! Sa main est posé sur mon sexe... Ma respiration deviens de plus en plus saccadée.

Ran : Alors... Tu veux... que je t'enlève cette érection ?

Nan mais c'est quoi cette question !? Ah il faut lui répondre... La fièvre ne me va pas à moi...

Moi : Euh... Je... Aaaah !

Elle commence, lentement, des vas-et-viens avec ses mains. Puis, son mouvement accélère. Il devient de plus en plus rapide à mesure que le temps passe. De cours gémissements de plaisirs sortent de ma bouche. J'ouvre les yeux. Quand les avais-je fermé ? Je la regarde... Elle me sourie. Elle se baisse lentement, et entre mon sexe bouillant de plaisirs dans sa bouche. Un hoquet de surprise parvint à ses oreilles. Je sens ma fin proche au fur et à mesure de ses délicieuses tortures. Je jouit, entre deux coups de langue, dans sa bouche. Elle relève doucement la tête. Je la vois se lécher les lèvres, récupérant quelques gouttes salés.

Ran : J'espère tu as encore des forces...

Pour sur ! Je ne sais pas ce qui m'a poussé à faire ça... Mais je me suis relevé précipitamment, l'ai prise par les épaules, l'ai allongé et ai commencé à enlever mon haut. Je me retrouve aussi nu qu'un vers. Je me penche ensuite vers Ran, et lui enlève cette nuisette blanche. Elle se retrouve avec seulement sa petite culotte blanche elle aussi. Je commence par l'embrasser. Sauvagement je dois dire. Puis, je descend jusqu'à son cou, en traçant un sillon avec ma langue. Je m'attaque à son cou. Délicieux, gracieux. Elle commence à pousser des petits gémissements. Puis un plus forts que les autres m'interpelle. Je continu à la mordre dans cette zone sensible. Mes mains, jusqu'à présent sur ses hanches, remontes lentement jusqu'à ses seins. Puis redescendent pour lui enlever doucement le dernier morceaux de tissu qui me retiens de passer. Une fois cela fais, j'introduis un de mes doigt en elle, l'entendant pousser un gémissement. Je m'arrête, la regarde puis en entre un deuxième, commencent alors un vas-et-viens lent.

Un regard et je retire mes doigts pour me placer au dessus d'elle. J'entre lentement, attentif au moindre cris de douleur de sa part. Un fois entré jusqu'à la garde, je ne bouge plus, la laissant s'habituer à moi. Une fois cela fais, je sens son bassin bouger, signe que je peux moi-même bouger. Recommence alors des vas-et-viens, lents puis de plus en plus rapide. Je me sens de plus plus fatigué, et de plus en plus proche de la fin au fur et à mesure que les secondes que les minutes passent... Je sens tout à coup de l'étroitesse autour de mon sexe et Ran pousser un long gémissement. Elle a du avoir un orgasme. Puis c'est à mon tour. Je me libère en elle.

Et je m'écroule sur elle, essoufflé. Aucun de nous deux ne parle. Nous entendons tous deux nos propre souffle. Ainsi que celui de l'autre. Je nous recouvre du drap et de la couverture, nous serrons l'un contre l'autre et après un dernier baiser langoureux, nous endormons profondément.

FIN LEMON

Le lendemain matin

Après un doux réveil aux côtés de ma douce, nous sommes, chacun de notre côté, aller prendre une bonne douche. Cela fais, un petit déjeuner en tête à tête étais le bienvenu pour nos deux estomac affamés.

Moi : Je pense... Que je vais passer à la télévision pour dire au Japon ce qu'il c'est passé...

Ran : Quoi ? Mais pourquoi ?

Moi : Et bien... Je pense qu'ils ont le droit de savoir qu'une telle organisation a existé et que, étant donné sa dissolution, le Japon est en sécurité. Comme ca, les gens seront informés et un sentiment de sécurité s'installera.

Ran : C'est brillant !

Moi : Merci.

 

Studio de télévision. Quelque jours plus tard

Antenne dans 3, 2, 1... Ca tourne !

Présentateur TV : Bonsoir à toutes et à tous. Aujourd'hui, nous recevons sur notre plateau, en direct, un invité très spécial, qui avais disparu pendant un certain temps, sans donner de nouvelles, et qui est ici pour une raison particulière. Personne ne sait exactement quelle est cette raison... A lui de nous expliquer, grâce à une interview. C'est l'heure de « Interview de Stars ». Monsieur...

Moi : Kudo Shinichi. Merci.

TV : Bien. Donc, Kudo-kun, pourriez-vous, s'il-vous-plais, vous présenter.

Moi : Bien sur. Bonsoir. Je suis Kudo Shinichi. Détective lycéen de 18 ans... On me connais également sous le nom du « Sauveur de la police Japonaise », ou encore « Le détective de l'Est ».

TV : Merci. Question suivante. Pourquoi êtes-vous partis, sans laisser de trace, sans nouvelles ? Même si vous avez fais de brèves apparitions...

Moi : Et bien... Pour commencer, je ne suis pas vraiment parti... Mais je vous expliquerais plus tard. Je dois tout d'abord vous dire que, si je n'ai pas donner de nouvelles c'est tout simplement parce que ma vie, et celles de plusieurs autres personnes étaient menacés.

TV : Menacés ? Mais par qui ?

Moi : Vous savez, mon travail en tant que détective s’avère être assez dangereux. Je suis très curieux et c'est ça qui a conduit à ma perte dans cette histoire ; J'adore résoudre des affaires et ce n'est pas cette histoire qui va m'empêcher de continuer ça...

Un jour, alors que j'étais à Tropical Land avec ma petite amie, que je salut d'ailleurs puise qu'elle nous regarde, j'ai résolu une affaire dans une attraction, sans importance pour ce qui va suivre, sauf le fait que 2 hommes en noirs, assez louches, étais suspectés. En partant, j'ai suivis ses 2 hommes qui avaient un comportement louches. L'un deux, Vodka, faisais une transaction. J'ai pris des photos mais je me suis fais découvrir par le deuxième homme, Gin, m'a assommé par derrière, et m'a donner un poison expérimental : l'Apotoxine 4869.

TV : Gin ? Vodka ?

Moi : Leurs nom de code. Tous les membres de cette Organisation sont habillés de noir et ont des noms de code référent à un nom d'alcool. Gin, Vodka, Kir, Korn, Kianti, Vermouth et j'en passe...

TV : Et pour l'Atopo...

Moi : Apotoxine 4869. Apotoxine veux dire littéralement « rétrécissement des cellules ». En me donnant ce poison, j'ai rétréci.

TV : C'est... une blague, n'est-ce pas ?

Moi : Est-ce que j'ai l'air de plaisanter ? J'ai passé plus d'un an dans le corps d'un enfant de 7 ans. De 7 ans !

TV : C'est une plaisanterie ! Personnes ne peux rétrécir !

? : Bien sur que si !

Moi : Haibara ! Très bien, je vous présente Haibara Ai... Ou plutôt Miyano Shiho.

TV : Pourquoi une petite fille est ici ?

Ai : Pardon... Mais j'ai 18 ans.

TV : 18... ans ?

Moi : Shiho a en effet 18 ans... Tout comme moi, elle a rétrécie. Sauf qu'elle a pris de ce poison dans le but de ce suicider...

Ai : Pas besoin de le préciser, Kudo-kun... Si je suis ici c'est pour t'aider.

Moi : Heuu... Merci... Bon... Donc, Shiho est la personne qui a fabriquer le poison, et l'antidote.

TV : Donc... Tu... Euh vous faites partie de l'Organisation...

Ai : Faisais. Mon nom de code étais : Sherry.

Moi : Elle m'a tout expliquer et j'ai appris à la connaître... Et je ne regrette pas de l'avoir connu.

TV : Mais, Kudo-kun, si vous êtes ici c'est donc que vous avez pris l'antidote..

Moi : Oui.

TV : Si la petite a pris un autre nom... Vous aussi ?

Moi : Oui... Je m'appelais Edogawa Conan.

TV : LE Edogawa Conan-kun ? L'ennemi de Kaito Kid ?

Moi : Et oui... Mon corps a rétréci mais mon esprit est resté le même... D'ailleurs, Kogoro l'Endormi étais vraiment endormi. Grâce à certains gadgets, je l'endormais et prenais sa voix pour résoudre les enquêtes qui nous étais confié.

Ai : Et qui nous tombais dans les bras à l'improviste...

Moi : Oui aussi ^^'

TV : Kogoro l'Endormi, c’était vous !?

Moi : Et oui... Aussi...

TV : Mais alors... Si vous êtes là aujourd'hui... C'est que cette... Organisation a été détruite ?

Moi : Et bien...

Deux heures plus tard Bureau du Détective Mouri

Ran : Bravo Shinichi !

A cet instant, Ran me saute dans les bras. En effet, Après avoir passé une heure à TOUT expliquer, j'ai passé une grosse demi-heure à répondre aux questions des journalistes. Je suis lessivé. Je m’avachis littéralement sur le canapé de l'agence.

Moi : Tonton... Euh enfin, M'sieur... Je suis désolé pour toutes vos fans... Je suppose que maintenant qu'elles, et qu'ils savent la vérité, ils ne vont plus s'intéresser à vous...

Kogoro : Bah... Ce n'est pas bien grave...

Ran : Tu le prends bien dis-donc...

Kogoro : Qu'est-ce que tu veux que j'y fasses... Je suis réaliste...

Ran : Mouais... Mais je me demande quand même...

Moi : Vous vous êtes remis avec Kisaki-san, n'est-ce pas ?

Ran : Quoi ?

Kogoro : Mais... Comment...

Ran : Alors c'est vrai ?!

Kogoro : Oui...

Moi : J'ai tapé dans le mille ! ^^

Ran : Comment ca ?

Moi : J'ai supposé que ta maman avais du le raisonner dès que je suis passé à la télévision... En arrivant ici, je l'ai vu partir avec sa voiture.

Kogoro : Bravo, gamin détective...

Moi : Et ? Vous allez faire quoi, maintenant ?

Kogoro : Nous allons emménager dans une maison pas très loin d'ici.

Ran : Nous ?

Kogoro : Eri, toi et moi-même.

Moi : Et... Pour votre métier ?

Kogoro : Et bien... Puisque tu es revenu... Je ne vois pas pourquoi je resterais détective. Donc j'ai décider de redevenir policier.

Ran : C'est génial papa !

Kogoro : Quand à ce bureau... Je te le donne, gamin détective.

Moi : Q... Quoi... ?

Kogoro : Tu as bien dis que tu continuais à être détective... Alors j'ai pensé... Changer « Bureau du Détective Mouri » par « Bureau du Détective Kudo ». Si tu es d'accord bien-sur...

Moi : C'est... Je... Je ne sais pas quoi dire...

Kogoro : Dis simplement oui... Et déguerpi d'ici que je commence à faire les cartons !

Moi : Je... Oui ! Merci beaucoup, M'sieur ! Et pour les cartons...

Kogoro : Pas besoins d'aide... J'ai appeler des amis à moi...

Moi : Très bien... Encore merci !

Kogoro : Ran ! Ne reste pas là toi non-plus !

Ran : Très bien, très bien...

Moi : Allons chez moi, Ran. Au revoir, M'sieur.

Ran : Okay ^^ . Au revoir, papa.

Quelque mois plus tard

Ce réveiller tous les matins, voir que j'ai toujours mon corps et que je me réveille avec la fille que j'aime le plus au monde... C'est une sensation merveilleuse ! Et la fille que j'aime le plus au monde va, j'espère dans quelque heure, devenir la femme que j'aime le plus au monde... Car vous l'aurez compris... Je vais la demander en mariage aujourd'hui, jour de crémaillère de la maison de Kogoro et Kisaki-san... Devant tout le monde... Tout le monde... Mon dieu...

Je suis en ce moment même devant mon miroir, entrain de finir de m'habiller... Je regarde dans ma poche, y sort un écrin... Celui qui a contenu le remède au poison, et qui contient maintenant la bague de mariage de ma chère et tendre... Après avoir préalablement demander sa main à son père.

Ran : Shinichi ! On y va ! Tu viens ?

Moi : J'arrive !

Je range la petite boite dans ma poche et descend les escaliers. Et je la vois. Elle est magnifique !

Moi : Ran... Tu es superbe !

Ran : Merci... Toi aussi !

Nous nous dirigeons vers la voiture qui nous attend dehors. Je jette un regard à Ran, qui a l'air préoccupé.

Moi : Ran ? Ca va ?

Ran : Oui pourquoi ?

Moi : Je ne sais pas, Tu a l'air bizarre...

Ran : Ce n'est rien, ne t'inquiète pas !

Nous montons à l'intérieur de la voiture.

Moi : Bonjour M'man, Papa.

Yukiko : Bonjour les jeunes. Comment allez-vous ?

Ran : Bien et vous ?

Yukiko : Bien ^^

Nous roulons pendant une dizaines de minutes pour passer devant l'ancien bureau de détective de Mouri. Maintenant rebaptisé « Bureau du Détective Kudo ». J'y travail maintenant et je compte bien y travailler le plus longtemps possible. Ran, elle, viens de terminer une formation de secrétaire il y a 1 mois, et travaille avec moi. Bref, nous arrivons devant la maison des Mouri. Nous descendons et entrons dans la demeure. Tous le monde est arrivé. Il y a même les Détectives Boys, Sonoko, Hattori et Kazuha, le prof. Et Ai, les inspecteurs Megure, Sato et Takagi. Nous sommes les derniers. Après les « Bonjour, ca va ? » et autres phrases de bienvenu et de politesse, nous passons à table. Au dessert, je décide que c'est le bon moment. Etant donné que Kogoro n'est pas encore totalement bourré. Je me lève et...

Moi : Excusez-moi d'interrompre le repas mais j'ai une annonce à faire.

Je jette un coup d’œil à Ran, une nouvelle fois. Elle a toujours cet air préoccupé. Tout à l'heure j'ai entendu Kazuha et Sonoko hurler de plaisirs, sans savoir pourquoi...

Moi : Voilà... euh pas mal de temps, depuis l'enfance en faite, que je connais Ran. Petit à petit, mes sentiments en elle, envers toi Ran, ont changés. De simple connaissance, tu es passée mon amie, puis meilleure amie et enfin petite amie. Aujourd'hui, j'espère que tu voudras bien monter encore un échelons.

Elle me regarde, sans vraiment comprendre. Le silence règne dans la salle à manger. Toute les personnes présentent me regarde, puis regardent Ran, me regardent encore, etc, etc... Je m'avance, doucement vers elle, la prend par la main, et nous dirige devant la table, pour que tous le monde puisse nous voir et nous entendre.

Moi : Alors voilà, Ran, (Je pose un genoux à terre, prend sa main gauche, et prend l'écrin avec ma main droite) veux-tu devenir ma femme ?

J'ouvre l'écrin et y laisse voir une magnifique bague, un diamant sur le dessus. Je regarde Ran dans les yeux. Elle me regarde avec ses yeux grands ouverts, la main droite devant la bouche.

Ran : Je... Shinichi... Je... Oui !

Dans mes yeux se reflète la joie de cette réponse. Je lui passe la bague à son doigt, me relève et l'embrasse. Je tourne les yeux vers la table en entendant des applaudissements et des cris de joie.

Ran : Euh... Shinichi ? J'ai moi aussi quelque chose à te dire...

Moi : Hum ? Qu'est-ce que c'est ?

Ran : Et bien... En faite... Je...

Moi : C'est pour çà que tu étais nerveuse toute la soirée ?

Ran : Je oui... Alors... En faite je suis... enceinte.

Elle est... Quoi ? Enceinte ? Je vais...

Moi : Je vais être... papa ?

Kogoro : Je vais être grand-père !?

Moi : Je... vais être... papa... papa ! C'est merveilleux !

Je l'enlace et l'embrasse encore une fois. Je n'en reviens toujours pas... Moi ! Papa ! C'est le début d'une nouvelle vie ! Avec la femme que j'aime, mon nouveau bureau et le plus important : mon enfant !

OWARI

 

 

Nouvel One Shotde Détective Conan !!

Mettez des com's SVP  et dites- moi ce que vous en penssez ^^

http://detective-conan-4869.skyrock.com/

Arigato !

Bon... il y a deux trois détails qui on changés... Mais j'aime bien changer des petits détails ^^

Allez sur mon blog : detective-conan-4869.skyrock.com

Il y a également des photos de la J E Sud à Marseille ^^ (et mes achats ^^')

Bientôt, un nouveau dessin au programme !! C'est pas un Conan... (dsl mais je dessine pas que notre cher détective ^^')... mais c'est Natsu de Fairy Tail !! ^^ J'espère que vous l'apprécirez..

Pour tout vous dire, c'est cette image. voilou

BONNE ANNE ET BONNE SANTE A TOUS !

Chapitre 12 publié ! J'espère que ça va vous plaire. Commentez ! ^^

Bonne lecteure et merci !

POV Conan A l'hôpital. 1H00 du matin

Je... Je l'ai embrassé... Enfin, smaker, mais c'était mon premier baiser (NDA : si on compte pas l 'épisode 6 de la série). Et je lui est prit de sien ! Je soupire. Il est 1H00 du matin. Ran dort à côté et moi je n'arrive pas à dormir. Je la regarde. Elle n'a pas voulu partir quand je me suis fais soigner et n'a pas voulu rentrer chez elle quand ils sont tous partis... Mais... Je l'ai embrassé ! J'en reviens toujours pas ! (NDA : Ca ce sois... ^^)

Ran : Shinichi ?

Moi : Ra... Ran ?! Je... Je t'es réveillé ? Désolé !

Ran : Non, non... Ca fait 10 bonnes minutes que je te regardes...

Moi : Quoi !?

Ran : Tu sembles pensif... Qu'est-ce qu'il y a ?

Elle s'est assise. Nous sommes dans une chambre 2 lits.

Moi : Je... Et bien en faîte...

Ran : Moi je pensais à ce qu'il s'est passé dans l'ambulance...

Merde...

Moi : Moi aussi... Et je me disais... que on... onpourraisemettreensemble...

Ran : Quoi ?

Moi : QUE ON POURRAI SE METTRE ENSEMBLE ! * kof, kof, kof *

Oups... Un peu fort...

Ran : … Je suis d'accord...

Moi : Tu veux ?

Ran : Oui ! Tant que je suis avec toi...

Moi : Je... Je t'aime Ran... Mais pour l'instant...

Ran : (se lève et s’assoie près de moi) Ca ne me dérange pas.

… Je ne sais pas quand l'antidote sera près... Alors autant en profiter maintenant... Je la regarde, dans les yeux. On se rapproche, lentement, et mes lèvres touchent les siennes. Puis, voulant aller plus loin dans la limite de mon corps du moment (va t-on dire...), je caresse sa lèvre inférieur avec ma langue , demandant l'accès à sa bouche. Elle entrouvre ses lèvres et nos langues se rencontrent, se découvrent. Je passe ma main droite derrière sa tête et la tire. Se sentant tirer, elle se met à califourchon au dessus de moi, rompant ainsi le baisser. Elle me regarde avec insistance, le rouge aux joues, comme moi d'ailleurs. Le fait d'embrasser un enfant de 7 ans n'a pas l'air de la chambouler outre autre chose. Elle sait que c'est moi, ça doit la rassurer. Mais je vais quand même lui poser la question.

Moi : Ca ne te déranges pas que, pour l'instant, tu doivent embrasser un enfant de 7 ans ?

Ran : Tu n'es pas un enfant de 7 ans... Tu es le détective lycéen Kudo Shinichi. Et par dessus tout, tu es MON Shinichi...

Moi : Ran... Je t'aime tellement !

Ran : Embrasse-moi...

Moi : Tu es sur moi...

Ran : Alors...

Et elle m'embrasse de nouveau, encore et encore. On se caresse, se découvre... Elle m'embrasse le cou, passe ses mains sous ma robe d'hôpital, touchant mon torse, mon ventre, entourés de bandages. Mes mouvements étant limités, mes douleurs, mes perfusions, je la laisse faire, profitant de cette chaleur qui m'envahit. Le fait qu'elle prenne elle-même les initiatives m'a surpris au début mais...

Elle s'arrête, remonte vers mon visage et m'embrasse. Puis se couche à côté de moi.

Ran : Je t'aime...

Moi : Moi aussi... Plus que tout au monde...

Nous croisons une de nos mains, que nous posons sur mon ventre. Je la regarde, elle me sourit. Je soupire de soulagement et de bonheur. Enfin, nous fermons les yeux et nous laissons emporter dans les bars de Morphée.

Le lendemain 10H00

POV Ran

Je suis bien. Très bien même. Ca fait longtemps que je n'avais pas été aussi bien. J'ouvre doucement mes yeux. Quelque chose me chatouille le nez, et une autre me tiens la main. C'est Shinichi. Il est bien là, endormi près de moi. Je pense que lui aussi doit se sentir mieux.

Flash back

POV Normal (Dans la voiture d'Eri en direction de l'agence) (avant le combat contre les MIB)

Ran : (soupir)

Eri : Qu'est-ce qu'il y a ? Tu penses à lui n'est-ce pas ?

Ran : Hum...

Eri : Il en a gros tu sais...

Ran : ?

Eri : De ne rien te dire... Il m'a dis que chaque mensonges, à chaque fois qu'il te voyais pleurer, ça le détruisait un peu plus...

Ran : … Mais il ne m'a jamais rien dis ! Je pensais qu'il me faisais confiance !

Eri : … Il te l'as dis tout à l'heure... Pour nous protéger, pour te protéger...

Ran : Je sais... Mais j'aurai pu l'aider !?

Eri : D'après ce qu'il nous as dis sur les M.I.B, non... Même le F.B.I est impliqué...

Ran : C'est pas vrai... !

Fin flash back

Je soupire. Je le regarde, il sourit. Ses traits sont détendus. Un pansement beaucoup moins imposant que celui que je lui est fait trône à présent sur son nez. Je dégage ma main de la sienne, il bouge un peu. Je lui caresse les cheveux, il se calme. Ses yeux s'ouvrent légèrement. Il papillonne puis tourne son regard vers moi, me sourit.

Moi : Bonjour, la marmotte...

Conan (tout bas) : Marmotte ? Mon nouveau surnom... Amour... ?

Moi : Amour ?

Conan : Ou bébé alors ? Héhé

Il m'embrasse.

Conan : On va éviter de partir sur les débats « Trouver un surnom pour sa moitié » et « Eviter de lui donner un surnom débile ». Tu ne crois pas ?

Moi : Tout à fait d'accord... Quelle heure il est ?

Conan D'après ta montre, 10H40... Pourquoi ?

Moi : Et bien... Tout le monde devais venir à 10H30...

Conan : ?

? : Moi he veux bien participer au débat « Trouver un surnom débile à sa moitié »...

Kazuha : Heiji !

Conan : Hattori !?

Heiji : ^^

Hattori-kun entre dans la chambre, suivit de Kazuha-chan, mes parents, les « parents de Conan-kun », le prof. et Ai. Nous voyant tous les 2 dans le lit de Shinichi, main dans la main, coller l'un à l'autre, un sourire vient se ficher sur leur visage.

Heiji : Ca à pas traîner héhé

Kazuha : C'est vrai ?! Vous sortez ensemble ?

Nous sommes rouge comme des tomates. Soudain, je sens la main de Shinichi se glisser sur ma nuque, m'attirant ainsi à lui, pour un baiser langoureux. A la fin, nous sommes encore plus rouge et plus aucun bruit ne se fait entendre dans la chambre.

BOUM !

Ah... Plus aucun bruit sauf celui de papa qui vient de tomber dans les pommes. Maman appelle un médecin, pendant que Mr Kudo et Hattori-kun le porte dans « mon » lit.

Après un examen, le médecin s'en va après avoir apprit ce qui c'était passé. Il partit en rigolant, vite suivit pas tout le monde.

Conan : HAHAHA ! * kof, kof * Sinon, comment allez-vous ?

Heiji : Ha... Bien, bien... On a eu peur sur le coup mais ça va...

Conan : Bien...

Eri : Tu devrais éviter de trop parler..

Shinichi acquiesce.

Prof. : Au faite Shinichi. Ai a une bonne nouvelle à t'annoncer.

Ai : Oui. J'ai passé une partie de la nuit à analyser une gélule d'APTX 4869. En me réveillant ce matin, et avant de venir, 15 % composants sont sortis et ont été sauvegarder sur mon ordinateur. Autrement dit, c'est un grand pas pour pouvoir retrouver ton vrai corps.

Conan : C'est super ! Et quelqu'un a des nouvelles du F.B.I ?

Yusaku : Oui... Tous les agents sont au QG du F.B.I au Japon en train de planifier l'attaque des bases des M.I.B.

Conan : Mais... Haibara, tu as dis « pour retrouver ton vrai corps ». Toi tu ne veux pas redevenir MIYANO Shiho ?

Ai : Non. Je préfère rester comme ça.

Conan : Très bien. C'est comme tu veux après tout.

 

4 jours après. Hôpital16H00

POV Ran

Médecin : Shinichi, tu peux sortir de l'hôpital mais je te conseil de ne rien faire de dangereux ou quelque chose qui te fasse faire du soucis. C'est bien compris ? Et ce pendant 2 à 3 semaines.

Conan : Très bien. Merci beaucoup. Au revoir.

Enfin. Shinichi va beaucoup mieux et peut donc sortir de l'hôpital (NDA : logique...). Notre couple va très bien. Durant ces 4 jours, nous avons été tout le temps ensemble, en dormant dans le même lit , etc...

Conan: OY ! Ran ! Tu m'écoutes ?

Moi : Hein quoi ?

Conan : Je te demandais : qui est-ce qui viens nous chercher ?

Moi : Tes parents... Ils me ramène chez moi et vous rentrez chez vous...

Ses parents sont arrivés et m'ont déposé chez moi, avant de s'en aller dans la direction de leur maison.

 

Dans ma chambre, 22h15

* Sonnerie de téléphone *

Hum ? Un mail ? C'est Shinichi... Je l'ouvre.

« Demain RDV devant l'école primaire Teitan à 10h15. Je t'expliquerai demain. Je t'aime. Shinichi. »

Devant l'école primaire ? Je vais lui répondre.

« OK. Je ne comprend pas tout mais je te fais confiance. A demain, je t'aime aussi. XXX »

Voilà ^^ <3

POV Conan. Résidence Kudo, même heure

« OK. Je ne comprend pas tout mais je te fais confiance. A demain, je t'aime aussi. XXX »

XXX ? Encore ces x... Je soupire... Décidément, je vais jamais savoir ce que ça veux dire... Ah les femmes... (NDA : macho ! ^^)

Le lendemain. 10h15

J'attends Ran, qui arrive justement... Elle sourit. Elle se baisse pour être à mon niveau. Et m'embrasse.

Ran : Bonjour, ça va ?

Moi : Bonjour. Oui et toi ?

Ran : Ca va.

Moi : Tu sais, je suis Conan pour l'instant alors il faudrait peut-être éviter que l'on s'embrasse en public, ou du moins dans la rue...

Ran : Désolé... au faite, pourquoi on est là ?

Moi : On va aller dans ma classe. Je vais leur dire qui je suis vraiment et que je ne reviendrai pas à l'école par la suite.

Ran : Oh... ! Et bien allons-y !

Moi : Merci d'être là.

Nous avançons dans la cour vide de l'école, main dans la main. Nous entrons dans le bâtiment en direction de ma classe. Kobayashi-Sensei fait son cours. Je frappe.

K-Sensei : Levez-vous ! Entrez !

Nous entrons. Ran ferme la porte.

K-Sensei : Ah ! Edogawa-kun ! Tu reviens en classe ?

Conan : Non. Si je suis ici c'est pour une raison bien précise... Ayumi, Genta, Mitsuhiko,... Venez puisque vous savez.

D.B : Hai !

Ils se lèvent, sous le regard interrogatif de la sensei.

Ran : Shinichi...

 

POV Ran

Moi : Shinichi...

Il commence à parler. En commençant par ce qu'il s'est passé pour qu'il finisse à l'hôpital et qu'il ne vienne pas en classe. Vient ensuite le passage où il expliqua qui il est vraiment.

Conan : Et c'est quand Ran est arrivé chez moi que j'ai trouvé ces lunettes et que j'ai prit le nom de EDOGAWA Conan, grâce aux livres d' EDOGAWA Rampo et de Sir Arthur Conan DOYLE, qui se trouvent dans ma bibliothèque. Je suis désolé de vous avoir menti, mais...

Mitsu. : Il y avait des méchants hommes en noir qui voulais lui faire du mal...

Ayumi : Pas vrai, Conan-kun... Heu... Shinichi-niichan ?

Conan : Oui... Mais maintenant c'est fini ! Les méchants sont m... heu, en prison.

K-Sensei : Alors, Shinichi-kun ? Tu vas pouvoir retrouver ta taille normale ?

? : Pour l'instant non.

Nous tournons tous la tête vers la porte, où se tiens Ai.

Ayumi : Ai-chan !

Shinichi n'avait pas parler d'elle.

Conan : Ah. Voici celle qui était avec les méchants et qui a fabriqué le médicament qui m'a, qui nous a fait rétrécir.

K-Sensei : Haibara-chan ?

Ai : MIYANO Shiho. Kudo-kun, on en est à 30 % des composant trouvés.

Conan: Il reste encore 70 % ?! C'est pas gagné... Bon, et bien je vous remercie de m'avoir accueilli et écouté, et je m'excuse de vouus avoir menti. Nous allons partir. Si vous avez besoins de quoi que ce soit, faite en part à KUDO Shinichi. A bientôt !

K-Sensei : Levez-vous ! Vous trois, retournez à vos place. A bientôt ! Et merci de t'être déplacé pour tout nous expliquer.

Conan : C'était la moindre des choses.

TT le monde : Au revoir !

Nous partons.

 

POV Ran Bureau du Détective Mouri 20h30

1 mois est passé depuis que Shinichi est intervenu dans sa classe. Nous sommes chez moi, mon père s'est remi avec ma mère et sont partis tous les deux en tête à tête à Hokkaido.

Conan : YATTA !

Hum ? Pourquoi Shinichi cri comme ça ? J'entends des pas, il doit courir. La porte s'ouvre en grand sur un Shinichi avec un sourire de 10 km ! Qu'est-ce qui a bien pu se passer ?

Conan : Ran ! Ca y est !

Moi : Quoi ?

Conan : L'antidote ! Il est terminé ! Je vais retrouver mon corps !

Moi : C... C'est merveilleux !

Il s'approche de moi et m'embrasse. Je le prends dans mes bras. Dire que je vais bientôt pouvoir l'embrasser et l'enlacer dans son vrai corps.

Conan : On y va !

Moi : Quoi !? Maintenant ?!

Conan : Bien sur ! En plus, il me tarde de te prendre dans mes bras...

moi : Toi alors...

Sur ce, nous nous mettons en route, à pieds, vers la maison du Prof.

 

10 min. après. Maison du Prof.

Après une course effrénée (NDA : je sais pas si ça se dis bien mdr...), nous arrivons enfin chez le prof. La porte est ouverte à la volée.

Conan : HAIBARA !! L'antidote, l'antidote !! ^^

Prof. : Shinichi !

Ai : Mais calme toi ! Si tu es trop énervé ça ne marcheras pas !

? : C'est vrai, calme toi !

Nous nous retournons d'un seul coup.

Conan : Maman ! Papa !

Yukiko : On nous a prévenu ! C'est formidable Shin-chan ! ^^

Conan : Maman...

Ai : Je te donnerai la dernière pilule une fois qu'on sera chez toi. C'est celle qui te rendra ton corps d'origine. Bien sur, ce n'est pas s'en douleur, comme tu peux le penser.

Conan : Je me doutais bien que ça serai douloureux... Plus que les autres fois ?

Ai : Beaucoup plus... Et tu sera certainement beaucoup plus malade...

Conan : Aïe... Enfin, il faut que je passe par là pour retrouver mon corps.

Ai : Oui. Les risques de mort ne sont pas négligeable non plus. Mais normalement tu ne devrais pas mourir.

Conan : C'est... rassurant... vraiment...

Moi : Shinichi...

Conan : Je m'en sortirais... Ne t'inquiète pas.

Yusaku : Allons à la maison.

(NDA : J'ai oublié de préciser que Okiya Subaru, n'habite pas chez Shinichi)

Nous sortons tous, Shinichi le premier. Il est excité comme une puce... Nous entrons dans le jardin des Kudo, puis dans la maison. Nous nous dirigeons vers le salon.

Ai : Tiens.

Elle dépose une gelule dans la main de Shinichi. Celui-ci fait un grand sourire.

Conan : Merci Haibara. Bon et bien, j'espère que c'est la dernière fois que vous me verrez en Conan. Et que en redescendant je serai redevenu KUDO Shinichi ! Ran...

Il s'avance et se plante devant moi. Puis il me prend dans ses bras.

Conan : Merci d'avoir tant fait pour Conan. A tout à l'heure.

Moi : De rien. Bon courage.

Conan : Haaaa merci...

 

POV Conan

Enfin, j'ai enfin la gélule d'APTX 4869 antidote, dans mes mains. Après plus d'un an passé dans le corps d'un enfant de 7 ans, je vais retrouver celui de 17 ans. Je ferme la porte dema chambre et pose mes vêtements d'ados sur mon lit. J'avale la gélule. Des bouffées de chaleur m'envahissent. Ma vue se trouble et ma respiration se fait saccadée. Je m'écroule au sol, une main sur ma poitrine, à l'emplacement de mon cœur. Mon corps entier me fait souffrir. Je ne peux empêcher un hurlement de douleur sortir de ma bouche. Mon esprit par lentement... Puis plus rien.

 

POV Ran

Shinichi monte à l'étage, dans sa chambre.

Moi : Vous pensez que ça va bien se passer ?

Ai : Ca va lui faire très mal... Mais comme je l'est déjà dis, il ne devrai pas mourir.

BOUM

Un son ressemblant à une personne qui tombe, vient troubler nos pensées. C'est à l'étagé...

Moi : Qu'est-ce que...

Ai : Je crois qu'il s'est écroulé. C'est la preuve que ça marche, pour l'instant.

Conan : AAAAAAAAAAAARRRGGH !

Moi : Shinichi !

Ce cri... C'est un cri de douleur... Il souffre...

Yusaku : Reste ici Ran...

Moi : Mais...

Des larmes coulent le long de mes joues. Elles ne s'arrêtent pas...

Ai : Allez-y. Allonger le sur son lit et couvrez-le. Tenez.

Moi : Un thermomètre ?

Ai : Prenez-lui sa température.

Moi : Très bien. Mme Kudo ?

Yukiko : Je viens.

Nous montons les marches. J'ouvre doucement la porte. Je vois Shinichi, part terre, sur le ventre. Il ne bouge pas. Nous nous approchons, lentement. Il a retrouvé son corps. Il respire fortement et pousse des gémissements de douleur. Il est presque nu. A cette vue, je rougie intensément. Mais je me reprend immédiatement en entendant Shinichi pousser un gémissement plus fort que les précédents. Nous le portons, le soulevant par la taille et le prenant sous les bras. Il ouvre légèrement les yeux, et nous le déposons dans le lit, sous les couvertures.

Yuk. : Shin-chan ? Tu m'entends ?

Moi : Shinichi ?

Il ne nous remarque pas et s'évanouit.

Yuk. : Met lui le thermomètre dans la bouche.

Je m'exécute. Je glisse le thermomètre en ses lèvres entrouvertes. Après un moment, je le retire et constate qu'il a 39° C. Il commence alors à trembler et à transpirer. Il halète et gémit de plus en plus, et de plus en plus fort. Il serre les dents. Des larmes recommencent à couler. Pourquoi ? Parce que je me sent impuissante. Je m'approche de lui, pose un baisé sur ses lèvre. Enfin, je sors de la chambre et descend. Je suis fatigué et je ne peux pas supporter de le voir dans cet état.

Moi : Mr Kudo ? Votre femme vous expliqueras... Je suis fatigué. Puis-je prendre la chambre à côté de celle de Shinichi ?

Yusaku : Bien sur. Merci pour ce que tu fais pour lui. Il est heureux avec toi.

Je rougie un peu par ce qu'il vien de dire, puis je le remercie par un petit signe de tête. Je monte. Dans les escalier je croise Mme Kudo. En passant devant la porte de Shinichi, j'entends des gémissement plus forts. Je décide de retourner le voir. J'ouvre la porte, m'avance vers lui et le contemple. Son visage est crispé par la douleur. Il n'a pas l'air d'avoir reprit conscience. Nous sommes seuls. De ce fait, je dépose mes lèvres sur les siennes. Je relève la tête et caresse ses cheveux. Il transpire beaucoup. Je pose ma main sur son front, il est brûlant. Je reprend le thermomètre, posé à coté d'une bassine d'eau froide et d'un gant. Je lui mettrait après. Je l'embrasse une nouvelle fois , il se détend un peu, et je peux lui glisser le thermomètre dans la bouche. Je me dirige vers la bassine, y plonge le gant et retourne vers Shinichi. Je lui pose sur le front et reprend le thermomètre : 41 ° C !

Shinichi : … R... Ran...

Moi : Shi... Shinichi !

Shinichi : Me … sens... pas bien...

Moi : Je sais, ne t'inquiète pas. Tout va bien se passer. Je suis là, repose toi...

Shinichi : … Me sens... pas bien... pas bien... Ran...

Moi : Comment ça ?

Shinichi : J'... vais vomir...

Moi : Attends !

Je sors en trombe de la chambre et descend.

Moi : Une bassine ! Il va vomir !

Yukiko : Tiens !

Elle me donne une bassine, sortie de la cuisine. Je me précipite à l'étage, sans me soucier que tout le monde me suis. Nous retrouvons Shinichi sur le ventre, toujours dans le lit, une mains devant sa bouche, la tête à l'extérieur du lit. Nous nous précipitons à temps, lui glissons la bassine sous lui, après l'avoir assit dans le lit, qu'il vomit.

Yukiko : Ran-chan, va nous chercher une autre bassine avec de l'eau tiède stp.

Moi : D'accord... Mais on ne peut pas lui donner quelque chose ? Un médicament ?

Ai : Non. Ca risquerai de réduire les effets de l'antidote et qu'il reste plus longtemps comme ça...

Moi : Euh... Je lui est reprit sa température, il à 41.

Yusaku : Merci Ran-kun...

Je descend et entre dans la cuisine. Je trouve une autre bassine. Je remonte, entre dans la salle de bain et rempli d'eau la bassine. Je trouve également un gant, on ne sait jamais. Pendant que l'eau rempli la bassine, trop lentement à mon goût, j'entends Shinichi vomir plusieurs fois... Ca y est , la bassine est rempli. J'entre dans la chambre. Mme Kudo a prit son fils dans ses bras et le berce. Il respire moins fort. Je tends le gant humide à Mme Kudo et elle essuie la bouche de Shinichi. Il semble d'être endormi. Elle le recouche et lui reprend sa température. Pendant ce temps, je lui est remis un linge froid sur le front. Mr Kudo quand à lui, après avoir caressé les cheveux de son fils, est redescendu avec la bassine sale.

Yukiko : 40,3 ° C. Ca baisse...

Moi : …

Ai : Il faut qu'il se repose. Laissons-le.

Mme Kudo pose un baisé sur la joue de son fils et quitte la chambre, suivit du prof et de Ai. Je m'approche de lui, pose une fois encore mes lèvres sur les siennes. Je commence à partir. Mais quelque chose me retiens. Je regarde : c'est la main de Shinichi. Il me regarde ;

Shinichi : Reste... stp...

Moi : … D'accord...

Il se décale, pour que je puisse m'allonger près de lui. Ce que je fais.

Shinichi : Dé... solé... que... tu... me voies comme... ça...

Moi : Ne t'inquiète pas. C'est pas grave. Tout va bien se passer.

Il me sourit. Nous enlaçons une de nos mains. Puis, doucement, il commence à s'endormir. Et moi de même...

 

3H45

Hum ? Quel est ce bruit ? Quelqu'un qui tousse... Ah, et quelqu'un qui vomit... Shinichi ! Mes yeux s'ouvre automatiquement à cette pensée. Personne dans la chambre... Ou est-il ? Le couloir est allumé... Il s'éteint, la porte se ferme... Shinichi entre dans la chambre, titubant légèrement...

Moi : Shinichi ? Est-ce que ça va ?

Shinichi : Je t'es réveillé ? Désolé... Je ne me sentais pas très bien alors...

Moi : Tu aurais dû me réveiller ! Imagine que tu te sois évanouis !

Shinichi : Je sais, désolé... Mais j'ai pas les idées très claires en ce moment...

Il s'avance et vient se recoucher. Moi je me lève.

Shinichi : Quoi ? Tu me fais... la tête ?

Moi : Mais non... Je vais prendre ta température.

Je prends le thermomètre et m'approche d'un Shinichi complètement rouge.

Moi : Ouvre la bouche.

Il s’exécute, après un soupire.

Moi : 38,7. Ca a bien baissé. Heureusement.

Shinichi : Hein ? J'avais combien ?

Moi : Tu es monté à 41.

Shinichi : Ouha... Euh... Je crois que je vais dormir... Toi aussi, viens ?

Je m'allonge contre lui, dans ses bras. Son corps est chaud... Ca fait du bien de le serrer dans mes bras en tant que Shinichi. Et c'est sur cette pensée que je plonge dans le sommeil.

JE VOUS SOUHAITES UN JOYEUX NOWEL ET DE BONNES FETES ^^