Nom du blog :
incroyablemaisvrai
Description du blog :
Petit voyage au coeur du système pourri légué aux nouvelles générations : bientôt la Révolution ???
Catégorie :
Blog Politique
Date de création :
04.12.2007
Dernière mise à jour :
06.12.2014
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Par Anonyme, le 05.01.2023
voilà l'avertisseur que dieu à envoyé pour dire comment redresser ce monde gravement malade
qui a perdu le s
Par Jacques Castellli, le 07.08.2019
le religieux frère elyôn avait prophétisé avant février 2006, avant même qu'il y ait des problèmes économiques
Par Jacques Castelli, le 18.12.2018
dans quel monde vivons-nous, pour accepter et laisser autant d’ignominie et de transgression à la très sainte
Par Clorophyle, le 01.12.2017
« quand le fils de l'homme viendra, trouvera-t-il la foi sur terre ? »pa role de notre seigneur jésus-christ (
Par HC79, le 08.09.2017
Beaucoup de choses ont été dites ces derniers temps sur la Russie de Vladimir Poutine, par ailleurs qualifié de nouveau Tsar par la presse occidentale.
A travers cette présentation tronquée de la Russie par la plupart des médias occidentaux, l'ancienne URSS fait désormais figure de repoussoir et de grave menace de la démocratie, son président (élu !) étant désigné à la face du monde comme l'ennemi public numero 1, rallumant ainsi la guerre froide qui fait tant le bonheur de nos marchands d'armes.
Voilà pour les faits, présentés comme indiscutables.
Il y a pourtant une autre lecture géopolitique, de part et d'autre de l'ancien rideau de fer.
En déstabilisant sciemment l'Ukraine et en tentant de ramener ce pays dans le giron européen, les occidentaux ont volontairement défié Vladimir Poutine sur ses frontières, en prenant le risque de rallumer la guerre froide tout en jouant avec les dés avec la Russie.
Exactement comme le fit l'URSS à Cuba, aux portes des Etats-Unis. On connait la suite, Kennedy ayant été jusqu'à risquer l'embrasement atomique mondial pour préserver à n'importe quel prix la sécurité des USA à ses frontières.
Plus subtil, Vladimir Poutine a utilisé nos armes, celles de la démocratie, pour préserver la Crimée des vélléités de l'Occident et ramener sous son giron ce territoire stratégique : il suffit de consulter une simple carte de géograpgie pour comprendre qu'en abondonnant la Crimée, russophone pour l'essentiel, le Russie risquait de perdre un débouché stratégique sur la Mer Noire donc sur le Méditerrannée, mers vers lequelles elle n'aurait plus eu aucun accès direct.
Au passage, pourquoi refuser à la Crimée (qui a voté à 80% pour son rattachement à la Russie) ce que l'on a accordé aux Ecossais au nom du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes ?
Tout cela n'a pas suffit et l'Europe, appuyée en sous-main par les Etats-Unis, a persisté dans l'idée d'étendre sa zone d'influence en Ukraine en prenant le risque d'un engagement frontal et armé avec la Russie dans l'est du pays, ce qui s'est finalement produit.
Bilan de ce jeu d'échec sur la dos des populations : une Ukraine ruinée et rongée par la misère, un conflit qui risque de s'éterniser sinon de dégénérer, 20 milliards d'Euros et plus réglés par l'Europe à l'Ukraine en compensation d'un prêt de 20 milliards octroyé puis annulé par la Russie suite aux sanctions occidentales, le risque permanent sur la sécutité de nos approvisionnements en gaz russe, sans même parler des effets indirects des sanctions occidentales sur la Russie qui pèsent lourdement sur nos propres économies, bref, un terrible échec pour les deux camps.
Avec un tel bilan, n'importe quel dirigeant d'une multinationale aurait été viré en un quart d'heure ; tel n'est pas le cas de nos ministres des affaires qui leur sont étrangères qui, tel Laurent Fabius, non seulement sont restés en poste, mais encore pavoisent devant les médias d'une incroyable complaisance avec le pouvoir.
Devant un tel désastre, les seules questions qui vaillent d'être posées sont : tout cela pourquoi ? Pourquoi un tel aveuglement ? Pourquoi un tel grabuge au plan international ? Pourquoi une telle tension à notre porte, sur le sol européen, première puissance économique mondiale ? En résumé, à qui profite le crime ?
Hélas, la réponse est relativement simple :
Paradoxalement, depuis la fin de l'URSS, l'Europe et la Russie auraient eu toutes les raisons de s'entendre :
- Retour de la Russie et de ses satellites à la démocratie
- Proximité géographique
- Reconstitution d'un territoire européen de l'Atlantique à l'Oural
- Origine et culture chrétienne des populations
- Nouvelles opportunités de marché pour les entreprises russes comme européennes
- Complémentarité économique (technologie européenne + colossales ressouces minières et énergétique russes)
- Communauté culturelle sur le plan des arts et des lettres (Victor Hugo ou Goethe face à Tolstoï, Noureev face à Roland Petit, le Bolchoi face à la Scala de Milan, Rachmaninov face à Puccini, Andersen face à Poutchkine, Le Louvre ou la National Gallery face à l'Hermitage, Venise ou Amsterdam face à St Petersbourg, Versailles face à Tsarkoié Selo, Place de la Concorde face à la Place Rouge, bref, un univers culturel commun et totalement interconnecté)
Alors, pourquoi toutes ces dissentions?
Pour les comprendre, il faut admettre que l'Europe et les dirigeants européens sont, au travers de l'Atlantisme, totalement manipulés par les Etats-Unis, gendarmes du monde sur le plan militaire comme sur le plan économique et pour lesquels une Union Economique et politique entre l'Europe et la Russie prendrait la tournure d'un véritable cauchemar !
Selon le bon vieux principe "diviser pour régner", les USA n'hésitent pas le moins du monde à exporter la guerre, LEUR GUERRE, sur le territoire européen pour préserver l'intéret supérieur de la nation américaine : rester la première puissance politique et militaire mondiale à un moment où la Chine s'apprête à lui ravir la première place sur le plan économique.
Car face à une Chine bien décidée à jouer cavalier seul pour poursuivre sa marche en avant dans une Asie éclatée, les USA redoutent par dessous tout l'alliance entre la technologie et la puissance économique européenne (+ de 50% de la consommation mondiale) et le richesse fossile de la Russie (dont la Sibérie).
Face à une Asie dominée par la Chine et une Europe unie de Brest à Vladisvostok, la puissance économique américaine, essentiellement pilotée depuis Wall Street, serait balayée en moins de deux décennies, les USA se retrouvant avec leur dette (financée actuellement par les chinois) et n'ayant plus que l'Amérique du Sud -et la Lune- comme perspective de développement.
A terme et pour peu que la Chine et l'Europe jusqu'à l'Oural se parlent, c'en serait fini de l'Oncle Sam et du roi dollar dans les échanges internationaux.
En clair, compte tenu de l'aveuglement des dirigeants européens et de la vacuité de leur stratégie atlantiste, les tensions sur le seul européen ne sont pas prêtes de s'apaiser dans la mesure où elles sont pilotées de Washigton pour servir directement les intérêts américains.
Avec Valdimir Poutine comme tête de turc...
Delenda est Cartago !
Parce qu'il a eu l'heur de déplaire aux durs de durs de son propre camp, le secrétaire général de la CGT, Thierry Longpaon, vient d'être exécuté sur la place publique, cela suite à des informations savamment distrillées de l'intérieur concernant des éléments de train de vie, par nature "inadmissibles" au sein d'un syndicat réputé pour son profond respect du bien public (je rigole...) et de l'argent sous toute ses formes.
Pour arriver à leur fin, les durs de durs de la CGT ont communiqué à la presse (en l'occurrence le Canard Enchaîné) les coûts de réfection à grand frais du bureau de leur secrétaire général ainsi que de son logement de fonction parisien.
Bien !
Ce qui n'était au départ qu'un épiphénomène parisiano-parisien a pris une telle ampleur et provoqué telle une vague d'indignation, ce dont la presse se régale, que le sieur Longpaon n'a plus qu'à tirer sa révérence tant le mal fait sur sa personne semble irréparable, aux yeux notamment de tous ces biens pensants si prompts à s'indigner et à dénoncer le scandale.
Gageons que tout cela va se terminer après moult réglements de comptes qui resteront, pour l'essentiel, souterrains, ce qui continuera d'affaiblir la CGT et l'ensemble du monde syndical, déjà fortement discrédités aux yeux de ceux qui se lèvent tôt...
Mails là n'est pas l'essentiel du scandale.
Car dans notre beau pays de France, ce que l'on reproche à Thierry Longpaon se produit partout, quotidiennement et sur l'ensemble du territoire national ! Tout cela sans la moindre ligne dans les journaux...
Car il n'est pas un seul haut-fonctionnaire qui, bénéficiant d'un logement de fonction - et ils sont très très nombreux croyez-moi, accepte d'entrer dans un logement en subissant la crasse de son prédécesseur.
Dans la préfectorale par exemple, où les mutations sont nombreuses, il n'est pas un sous-préfet nommé dans une province reculée dont la première préoccupation en arrivant ne soit de prendre l'avis de son conjoint et choisir la couleur des peintures et les motifs du papier-peints pour le logement de fonction qui, cela va de soi, se doit d'être refait à neuf à chaque mutation.
Tous cela, bien sûr, aux frais de la princesse...
Pour les mieux lotis même, on hésitera pas à taper dans l'inépuisable stock du mobiler national pour permettre au bon goût de s'exprimer tout à loisir à la face aux (rares) visiteurs ébahis par tant de dorures et de richesses. (Il n'y a qu'à voir les prestigieux bureaux de nos ministres pour s'en convaincre).
Et si l'on ajoute à cela le fait que les conservateurs ont parfois le plus grand mal à récupérer ces biens nationaux dont certains indéclicats (en fait des voleurs) n'hésitent pas une seconde à s'accaparer.
Combien de milliers d'objets ont ainsi disparu de l'inventaire des oeuvres d'arts sans jamais avoir été récupérés et sans faire l'objet de la moindre poursuite, cela se réglant -ou pas- dans le silence des cabinets ???
Alors, oui : beaucoup de bruit autour de l'affaire du secrétaire général de la CGT, mais pas un mot, pas une ligne sur ce qui se passe quotidiennement dans l'une ou l'autre des 90 préfectures et 450 sous-préfectures ou des milliers de "hauts" fonctionnnaires de la préfectorale, en France et dans les DOM-TOM, bénéficient de ces fameux logements de fonctions, sans même parler des diplomates, recteurs d'académies, les receveurs des impôts, des hauts gradés de la police et de la gendarmerie etc etc...,
Tout ce beau monde bénéficie de logements de fonction décorés et meublés aux frais de la princesse, tout cela avec du bel et bon argent public, bien à l'abri des regards indiscrets...
C'est toujours par la tête que les requins commencent à pourrir.
Delanda est Cartago !
Gilles Pargneaux, vous connaissez ? Mais oui... Gilles Pargneaux ! Non ? Pourtant, en ce moment, il est à la une de l'actualité ! GILLES PAR-GNEAUX ? Allez, vous allez finir par le vexer, cet homme qui fait tant d'effort pour qu'on parle de lui...
Non, décidémment ça ne vous dit rien ?
Bizarre. Bizarre...
Et pourtant, bienvenue chez les Ch'tis : En effet, le sieur Pargneaux, ancien maire (honoraire) du petit bourg d'Hellemmes dans le Nooooord, est non seulement député européen depuis 2008 mais aussi TETE DE LISTE du Parti Socialiste pour la cirsconscription Nord-Ouest aux élections européennes de dimanche . Vous savez qu'il y a des élections européennes, dimanche! (Très très important qu'on vous a dit).
C'est tellement important d'ailleurs, cette élection (Avenir de nos enfants, paix en Europe, traité économique atlantique nord, euro, Schengen ) que le Parti Socialiste, le parti de François Hollande et de Harlem Désir, le parti socialiste au pouvoir, celui de Monsieur Valls comme chef de Gouvernement, a décidé de désigner l'expérimenté Monsieur Gilles Pargneaux pour porter ses couleurs au Parlement Européen.
Vous voyez bien que Gilles Pargneaux est quelqu'un de très très important, je vous le disais ! Et pourtant, ça ne vous dit toujours rien ?
Et bien, tout simplement parce que les leaders politiques français (comme les médias parisiens d'ailleurs) se contre-foutent de la question européenne.
Ce qui les intéressent, ce sont les portefeuilles dans les ministères et les postes beaucoup plus en vue de député et de sénateur aux parlements français...
Quand à notre fameux Gilles Pargneaux, il a bien fallu que, contre vents et marées médiatiques, tout comme les autres ...193 listes françaises, il aille au charbon, lui et ses 20 colistiers dont seul 1 ou deux a la chance d'être élu avec lui.
Pour constituer sa liste, le bon Gilles Pargneaux a puisé dans les fichiers régionaux du PS pour faire en sorte que sa liste soit la plus représentative possible de son parti :
Résultat (consternant ! ) : Dans les 20 candidats présentés par le parti socialiste de la circonscription Nord-Ouest, on trouve :
- 12 enseignants de l'Education Nationale
- 5 permanents politiques
- 1 fonctionnaire de la santé
- 1 syndicaliste
- 1 étudiant (e)
Le compte est bon : 18 personnes sur 20 de la liste de Gilles Pargneaux opèrent dans le public et, comme tous fonctionnaires français, ils sont gavés à l'argent public depuis leur plus jeune âge et jusqu'à ce que mort s'en suive...
Dans cette liste, AUCUN représentant du secteur privé français (beurk) , aucun commerçant, secrétaire, médecin, paysan, avocat, artisan, professionel libéral, artiste, employé de bureau, travailleur indépendant, ouvrier, agent de maitrise, demandeur d'emploi, cadre du commerce ou de l'industrie, infirmière, chauffeur-livreur, employé de banque, contrôleur de bus, coiffeuse, chercheur dans l'industrie, informaticien, agriculteur, etc... bref, zéro représentant de cette France exposée, de cette France qui souffre...
Aucun ! Nada ! Il y en a uniquement pour la nouvelle noblesse française : des fonctionnaires ou des permanents politiques.
Quelle représentativité !
Car c'est bien cela, le PS de 2014 : une caste qui a accapparé le pouvoir et qu'il l'exerce à son unique profit (90 % des membres du gourvernement français sont issus de la fonction publique), avec le seul objectif de préserver leur statut, ceci au crochet de millions de français dont une grande part sans travail.
Quand mettrons-nous enfin sur la table l'incompatibilité entre fonction d'élu et de fonctionnaire, plaçant les bénéficiaires en position de juge et parti dans la gestion des affaires publiques, ce que nous devrions dénoncer avec la plus grande vigueur comme LE véritable mal français .
Félicitations par avance pour votre future et certaine élection, Monsieur Gilles Pargneaux (drôle de démocratie...)
Delenda est Cartago !
Rien que pour la France, ce ne sont pas moins de ... 193 listes qui vont tenter de se partager les voix des malheureux 35% d'électeurs (abstention oblige) qui vont se déplacer aux urnes pour "élire" leurs députés européens.
"Elire" entre guillemets dans la mesure où seules les têtes de listes (choisies par les partis) et quelques-uns de leurs colistiers, ont une réelle chance -si l'on peut dire- de rejoindre Bruxelles.
Et dire que cette farce va se reproduire de la même manière dans 28 pays où se présenteront des milliers de listes souvent plus fantaisistes les unes que les autres...
C'est donc à un parlement totalement émietté que nous aurons à faire lundi prochain autour des deux grands partis de centre droit et de centre gauche qui président tour à tour aux destinées de l'Europe depuis 30 ans.
Autant dire que la messe est dite et qu'après avoir retrouvé leurs marques, les députés seront partis pour ronronner pendant tout leur mandat ...en attendant les élections prochaines.
Pendant ce temps-là, l'Europe restera - et pour longtemps - le projet mal ficelé et mal abouti que nous connaissons tous.
Dire que certains parlent encore de "construction européenne" alors que l'on est toujours sur l'ouvrage après plus de 50 ans.
... Comme tous ces chantiers qui ne finissent jamais, tout simplement parce que les architectes successifs, à force de bricolage, ont accouché d'une oeuvre monstrueuse et protéiforme, aux antipodes du projet initial qui a été de "faire ensemble".
Il est vrai que la tour de Babel ne fût jamais achevée, plus personne ne parvenant plus à se parler et à se comprendre sur un chantier finalement réduit à l'état d'un vaste champ de ruines.
Nous y sommes.
Delenda est Cartago !
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Intéressantes, ces passations de pouvoir dans les différents ministères de la République lors du changement de gouvernement.
Au delà du traditionnel passage de flambeau entre le partant et l'entrant, l'un qui rie jaune tandis que l'autre rie de bon coeur, il faut noter que le partant quitte généralement les lieux sous les salves d'applaudissements de ses collaborateurs, l'émotion des uns et des autres étant palpables dans les nombreuses cours d'honneur ministérielles.
Mais au fait, qui sont ces innombrables collaborateurs dont s'entourent les ministres pour remplir leur mission et qui composent les fameux "cabinets ministériels" ?
Entre "conseillers" et ce qu'on appelle pompeusement les "fonctions supports" (entendez par là cuisiniers, chauffeurs, serveurs, huissiers, jardiniers, techniciens de surface, enfin tout ce qu'il faut qu'une maison soit bien tenue...) ce sont des milliers de personnes qui s'assurent du confort quotidien de nos ministres, réellement traités comme des coqs en pâte, voire des nababs, tout cela aux "frais de la princesse".
D'après les chiffres publiés par la nation, les cabinets ministériels parisiens se composent de près de 3000 personnes qui, outre leur salaire de fonctionnaires ou de contractuels, vont cumuler 26 millions d'Euros de rémunérations complémentaires pudiquement appelées "DISP" pour Dotations d'Indemnités pour Sujétions Particulières. Bref des primes.
Hormis l'Elysée qui ne figure pas dans ces chiffres, le champion toute catégorie est Matignon où le cabinet du premier ministre est composé de...523 personnes, dont un cabinet militaire de 30 personnes.
Imaginez un Seigneur du Moyen-Age, châtelain de son état, entouré d'un personnel entièrement dévolu à son service, employer plus de 500 personnes pour faire tourner sa maison, même aux 35 heures ? A Marseille, on parlerai de galéjade...
Parmi les ministères prestigieux en terme de personnel, on trouve ensuite le Ministère de la Défense (253), le Ministère de l'Intérieur (252), suivi du Ministère des Affaires étrangères (251) et de l'Ecologie (204) : on comprend mieux pourquoi ces messieurs-dames les ministres sont très attachés à leurs fonctions.
En bas de tableau, on retrouve le misérable ministère de l'Artisanat, du Commerce et du Tourisme (qui vient d'échoir à Madame Fourneyron) avec un petit 39 personnes tandis que le ministère du commerce extérieur n'occupe "que" 38 personnes: une misère pour Fleur Pellerin, probablement victime de l'éternel déficit du Commerce Extérieur..
Chaque année, tout ce petit monde se partage une prime annuelle moyenne de 8908 Euros (en plus de leur rémunération) pour "Sujétions Particulières"
Comme dit la chanson, "Ah la belle vie, sans soucis, sans problèmes...."
On comprend mieux l'émotion du personnel au départ de "son" ministre lors d'un changement de gouvernement : en effet, à l'exception des hauts fonctionnaires détachés et qui retrouveront leur "corps d'origine", la plupart se retrouvent au chômage.
Cela justifie bien une petite larme, non ?
Delenda est cartago !
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Difficile de discerner la part de politique nationale et d’intérêts locaux dans une campagne municipale, tant les français, férus de politique, balancent entre privilégier leur avenir à travers les programmes proposés et le traditionnel carton rouge en direction de la politique nationale, source de frustrations, voire de colères accumulées au fil des années.
Coup de gueule contre le gouvernement ou enjeux locaux : c’est en fait à un savant dosage que vont se livrer les français à l’occasion du prochain scrutin local.
La ville de Rouen (Normandie) en est un exemple quasi parfait :
En rejoignant le gouvernement de Jean-Marc Ayrault, Valérie Fourneyron (bébé Fabius) a cédé sa place à Yvon Robert (PS), haut-fonctionnaire assez falot qui, dirige la Ville enfermé dans son bureau : Résultat : malgré 18 ans de mandat (dont 8 ans passés à la tête de la ville), le maire sortant souffre toujours d’un terrible manque de charisme et de notoriété, handicap que, par contrecoup, la ville aux 100 clochers paie au prix fort depuis une decennie.
Depuis son retour aux affaires, le PS rouennais a fort à faire face à des écolos déchainés qui -comme sur la plan national- passent le plus clair de leur temps à démolir l’équipe en place à laquelle ils appartiennent . Au point de présenter une liste concurrente, liste contre laquelle le PS s’active avec la dernière énergie.
Quand aux communistes, bien qu’ils aient renoncés à créer une liste, ils restent dans le giron du PS mais …font campagne séparée, avec les mots les plus durs qui soient vis-à-vis du gouvernement. Bonjour l’ambiance entre colistiers !
Autant dire qu’avec la gauche rouennaise, empêtrée dans ses psychodrames nationaux, on est bien loin des enjeux locaux et de l’intérêt des rouennais, les choses se passant bien au-dessus de leur tête, sous la férule (main de fer dans un gant d’acier) du premier adjoint de la ville voisine de Grand-Quevilly, par ailleurs tourbillonnant ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius .
Face à une gauche dispersée en 5 listes distinctes, la droite républicaine rouennaise peut voir venir. A tort ou à raison d’ailleurs. Car l’histoire de ces deux listes n’est pas banale :
A l’origine, c’était la sénatrice Catherine Morin-Desailly qui avait été programmée pour conduire une liste d’union UMP-UDI-MODEM, raison pour laquelle, ignorant délibérément les personnalités en place, l’UMP normande s’est dotée d’un candidat ad hoc qui, une fois les négociations d’usage, avait vocation à se retirer face à la sénatrice adoubée par les autorités nationales.
En Septembre, patatras ! La sénatrice, pour de sérieuses raisons de santé, décide de limiter ses ambitions au poste de 1ère adjointe, laissant la place à Patrick Chabert.
C’est là que, dans un subtil jeu d’egos, intervient un autre baron local, Antoine Rufenacht, ex-secrétaire d’Etat, ex-directeur de campagne de Chirac, ex-maire du Havre mais toujours le big boss de l’UMP normande.
Celui-ci, après avoir déclaré en public qu’il ne voyait « personne dans ses troupes digne de diriger la Ville de Rouen »,(Sic…), décide de maintenir son Mac-Mahon (j’y suis, j’y reste) pour emmener la droite dans une primaire, jeu qui reste toujours hasardeux, même si cela lui permettra sans doute de ratisser plus large au 1er tour :
Il est vrai que le sieur Rufenacht a toujours trouvé que le haut clocher de la cathédrale de Rouen faisait bien de l’ombre à sa chère ville du Havre que, dans ses rêves, il imagine un jour capitale de la Normandie. Bref, il vaudrait bien mieux à ses yeux que Rouen reste à gauche.
Fabius-Rufenacht, même combat.
Et les rouennais dans cette affaire ? Qu’on-t-il à gagner de ces jeux politiciens et de ces coups de billards à 3 bandes qui se passent au dessus de leur tête, à 1000 lieues de leurs préoccupations ? A dire vrai, pas grand chose !
Les programmes des différents candidats étant volumineux et parfois indigestes, tenons-nous en aux slogans annonçant fièrement les ambitions de chacun pour leur ville :
Pour les écolos, c’est « Décidons Rouen » : on se doute bien qu’avec leur « sens de l’équipe » et leur esprit de polémique permanente, il n’ y a pas grand chose qui pourra se décider avec eux. Donc, passons.
Pour le PS c’est « Notre force , c’est Rouen » : En fait c’est tout le contraire . Sans même évoquer les éternelles bisbilles avec les écolos, les communistes, le NPA et l’extrême gauche qui présente sous 2 listes, Yvon Robert a déjà et officiellement décidé qu’il ne briguerait pas la présidence de Rouen Métropole. Dans ce cas de figure, Yvon Robert ce n’est plus une force, mais LE maillon faible de la capitale normande.
Pour l’UMP, c’est « Rouen c’est vous » : En fait, il faut se pincer -fort- pour s’en convaincre, tant , en public comme en privé, le patron de l’UMP seinomarine , Antoine Rufenacht, se fait une haute opinion des rouennais.
Pour le FN , c’est « Rouen Bleu Marine » : Avouons que ce slogan « national » ne propose pas un ligne claire de ce que sont ses véritables ambitions pour la Ville.
Enfin pour l’UDI-Modem, c’est « Pour ceux qui aiment Rouen ». Si l’on admet que la Ville de Rouen doit être dirigée par des rouennais et pour les rouennais, alors, pas de doute, pour moi c’est Patrick Chabert.
Enjeu national ? Coup de gueule ? Enjeu local ? Sanction des sortants ? Les électeurs trancheront et honni soit qui mal y pense…
Delenda est Cartago !
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"At $7.25 an hour, someone who works full time a salary of just $ 14 500 a year (Source : Nico Probst, Cabinet de Barack Obama, mars 2014).
7,25 dollars de l'heure, c'est le salaire minimum aux USA. Soit 5,80 € de l'heure, tarif auquel on doit rajouter les 20% de cotisation salariale, ce qui met le coût du travail minimum à 7€ de l'heure, pour 11 € en Allemagne et ... 13.50€ en France soit tout simplement 2 fois plus qu'aux USA.
Bien sûr, en terme de conquête sociale, rien à dire.
Mais si on admet que le SMIC sert de base à l'ensemble de l'échelle des salaires, il faut bien admettre qu'on est pas prêts d'accueillir des nouvelles usines en France.
En effet, à moins d'ignorer, voire de fustiger la mondialisation, point n'est besoin pour les riches américains et non moins riches cousins Germains d'aller investir en Chine ou au Viet Nam afin d' implanter leurs usines : ils continuent d'abord et avant tout d'investir chez eux, ce qui crée de l'activité, c'est à dire de l'emploi.
De 2012 à 2013, les investissements étrangers directs en France sont passés de 10,1 milliards de dollars à... 5,7 milliards de Dollars, soit une chute de 77% en un an.
Certes, il y a la crise.
Certes, il y a l'aberrante politique économique et surtout fiscale menée par Hollande, Moscovisci et consors qui, à elle seule a de quoi faire fuir le plus distrait des investisseurs, mais il y a aussi et surtout l'énorme écart du coût de la main d'oeuvre, les charges sociales et fiscales pesant sur les salaires pour financer "notre modèle social", par ailleurs exsangue et à bout de souffle à force d'accumuler des déficits.
Et pour comprendre qu'on est loin d'être au bout de nos peines, il n'y a qu'à écouter le message adressé en Janvier 2014 par le Président de la République au corps diplomatique (nos ambassadeurs) : "Les investissements étrangers sont les bienvenus en France. Si vous connaissez des entreprises qui hésitent entre plusieurs pays, je vous fais confiance pour leur dire que c'est en France qu'il faut venir."
Comme voeux pieux, on ne peut mieux faire car c'est vraiment ce qui s'appelle parler pour ne rien dire. Quitte à parler dans le vide dans de telles déclarations, François Hollande aurait fait perdre moins de temps à nos ambassadeurs en passant l'après midi avec ... Julie Gayet.
En effet, la France ne s'en serait pas plus mal portée. Probablement lui non plus d'ailleurs.
Delanda est Cartago !
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A son arrivée à la tête de la Mairie de Paris en 2001, non seulement Bertrand Delanoé s'est empressé de manger la totalité des 600 millions d'Euros d'excédents laissée par son prédécesseur, mais a endetté massivement la ville, la dette étant passée de 1 à près de 3 milliards d'Euros entre 2001 et 2008, malgré l'envol des droits de mutation, ceci grâce à la bulle immobilière, droits qui rapportent, bon an mal an, quelque 800 millions par budget.
En 9 ans,fait typique de la gestion socialise, la masse salariale de la Mairie a progressé de 42% en moins de 10 ans, soit 26% de plus que l'inflation, tandis que des primes annuelles pouvant atteindre 40 000 € viennent agrémenter la fin d'année des principaux hauts-fonctionnaires municipaux.
Parmi les multiples abus et dérapages du "manager" comme il aime à se nommer, Delanoé a couvert la rémunération d'une bonne trentaine de permanents CGT planqués au sein de la MCVAP, mutuelle de la Ville, ceci pour un petit million d'Euros par an, soit 10 millions pour l'ensemble de ses mandatures, on se demande bien pourquoi ?
Bien sûr, pour financer tout cela, et une fois les excédents épongés, il a fallu augmenter les impôts : entre 2008 et 2010, la taxe d'habitation a été majorée de 17% tandis que la taxe foncière à explosée de 63%. Les parisiens apprécieront.
En 10 ans, tout est à l'avenant : Sur un total de 60000 salariés, 2300 personnes embauchées pour faire face... aux réductions du temps de travail, +48% versés aux associations (le clientélisme va bon train), +12% pour les voitures de fonction , + 15% de timbres , + 155% de frais de location de bureau, comme le souligne la revue Capital de Novembre 2010.
Peu soucieux de l'argent publics, les millions valsent à la Mairie de Paris :
23 millions pour le Boulevard Magenta (embouteillages monstres à toute heure), 18 millions pour la Place de la République (entièrement bétonnée), 40 millions pour les voies sur berge (partiellement innaccessibles aux voitures), circulation boulevard St Michel modifiées 3 fois , sans parler du tramway, boulevard des Maréchaux, qui aura coûté plus de 60 millions d'Euros... par kilomètre.
2014 : Delanoé s'en va, espérant laisser la place à son adjointe pour éviter toute critique future de cette gestion calamiteuse.
Comme dis la chanson, : Bon voyage, Monsieur Dumollet, "Allez au diable, et vous et votre ville, où j'ai souffert mille tourments."
Delanda est Cartago...
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Chaque année, selon la Cour des Comptes, c'est 1 milliard d'Euros qui est payé par l'Unedic (Caisse chômage des salariés) à plus de 100 000 intermittents du spectacle lorsqu'ils sont entre 2 jobs.
Plus pécisemment, la "profession" des intermittents cotise pour 232 millions d'Euros alors que plus d'1,263 milliards d'indemnités ont été versées en 2013.
On aura tout entendu au sujet de ce pillage en règle des salariés français qui seront ainsi contents d'apprendre que, pendant qu'on cherche à réduire leurs indemnités chômage en cette détestable conjoncture, certains estiment "normal" qu'ils subventionnent la création française ainsi que leurs zélateurs.
Quel beau geste de "solidarité" alors que le salarié moyen émarge à moins de 2000 euros par mois et qu'on vient lui expliquer qu'il doit cotiser toujours plus pour toucher de moins en moins, nombreux d'entre eux se retrouvant au bout du compte en fin de droits.
Evidemment, difficile d'argumenter quoique ce soit en France dès lors qu'on se cache sous le voile de la solidarité, nationale qui plus est.
Or, il s'agit bel et bien d'un véritable scandale : en effet, le principe même de l'assurance (chômage ou autre), c'est de couvrir un risque, risque qui est aléatoire par nature :
On risque de perdre son emploi, donc on paye chaque mois par prélèvement sur son salaire une prime d'assurance pour couvrir ce risque. Rien de plus simple, c'est comme l'assurance auto.
Là où le bas blesse, c'est que, concernant un intermittent, le chômage partiel n'est par définition pas un risque, mais un certitude. En clair, dans ce régime ultra privilégié (je sais, ils n'aiment pas...), l'Unedic n'assure pas un risque, mais doit faire face à un certitude : l'emploi en question est intermittent...
Raison pour laquelle il est grand temps de sortir de l'ambiguité et de limiter l'assurance chômage au seul risque de perte d'emploi, ceci pour répondre aux aléas d'une carrière professionnelle.
Quant aux intermittents, il appartient à leurs employeurs, notammement TF1 et France Télévision et autres médias nationaux qui abusent largement du système, de créer une caisse de péréquation dédiée aux intermittents du spectable pour prendre en compte leurs revendications.
Et puis, racker pour Marion Cotillard, "ça l'fait pas" comme on dit au pôle emploi.
Quelle image pitoyable, lors de la dernière nuit des Césars au théâtre du Chatelet à Paris, que le spectable offert par ces milliers d'artistes en habits ou en robes Dior , et de les voir ainsi implorer la solidatité nationale pour qu'on ne touche pas à leurs privilèges.
D'ailleurs, pour la plupart dégoûtés par un tel spectacle, les français ont zappé, la retransmission de la nuit des Césars 2013 ayant subi l'un de ses plus grand revers depuis sa création.
Delanda est Cartago !
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Plutôt que parcourir le monde pour ajouter des "miles" à sa carte gold grand voyageur, Laurent Fabius devrait tout simplement rester dans son bureau pour consulter ses notes et regarder la carte du monde : cela lui éviterait de sacrées bourdes.
Qui ne ne souvient pas de son inénarable interview donnée à 10 000 mètres d'atitude entre Kiev et Pékin le 21 Février dernier ?
Moi, Laurent Fabius, ma vie, mon oeuvre, sauveur de l'Ukraine, JE viens de passer la muit à Kiev pour " a r r a c h e r " un accord de fin de crise entre le président ukrainien Iouchtchenko et son opposition en vue de procéder à des élections anticipées.
Grâce à lui, l'Ukraine est sauvée ! Las...
L'encre de l'accord est à peine sèche que le mini-stre français des affaires qui lui sont étrangères assiste devant sa télévision au renversement du président(élu) de la République d'Ukraine.
Sous les applaudissements à peine retenus de l'Occident et du quai d'Orsay.
Quel visionnaire que ce Laurent Fabius que les médias hypnotisées porte aux nues de la diplomatie mondiale !
La réalité est plus sévère encore : à force de souffler sur la braise, les USA comme la Communauté européenne ont eu la crédulité de penser qu'en appelant au soulèvement du peuple Ukrainien "libéré" et définitivement "arrimé" à l'Europe , (style Bernard Henri Levy sur les barricades de Kiev), on allait assiter à la plus formidable victoire diplomatique du 21ème siècle sur la Russie.
L'occasion, en passant, de donner une bonne leçon de démocratie à cet affreux Poutine, abominable homme de droite, "très impopulaire" dans son pays (Alors que 66% des russes le soutiennent comparativement aux petits 19% de François Hollande), misérable nation qui se traine avec ses 3% de croissance, (Face aux 0% de la zone euro depuis 5 ans).
La diplomatie, c'est comme les échecs, il faut penser aux coups d'après.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que non seulement le couple Hollande/Fabius n'a rien vu venir en Ukraine et qu'il s'est laissé griser par un chiffon de papier, mais que pas un instant ils n'ont imaginé que, liée par un accord permettant d'abriter la flotte russe en Crimée jusqu'en 2056, l'intégrité de l'Ukraine constituait un "casus belli" pour la Russie.
Bilan de tout ce remue-ménage orchestré par l'Europe cautionnée par Washington :
- Une Ukraine déchirée à la tête d'une dette de 95 milliards d'Euros
- Un pays coupé en deux avec des russes tout heureux de sécuriser définitivement leur accès à la Mer Noire sans avoir à tirer un coup de canon.
- Un prêt de 15 milliards d'Euros annulé par la Russie et que l'Europe va devoir prendre en charge (avec quel argent ?)
- Une Ukraine de l'ouest dévastée et une population déroutée par des luttes internes incontrôlables
- Un risque majeur concernant les approvisionnements en gaz russe qui transitent, pour l'essentiel, par les pipes lines ukrainiens.
- Une Europe diplomatique à la ramasse dont on admine tout le prestige d'une certaine Catherine Ashton, Haute Représentante de L'Union aux Affaires (qui lui sont aussi) Etrangères
Encore un petit effort, et non seulement on va devoir ramasser l'ouest de l'Ukraine à la petite cuillère, mais on va se payer une crise du gaz qui va faire flamber les prix alors que la croissance européenne est exsangue depuis 5 ans.
De la belle ouvrage... tout cela à 2 mois des élections européennes.
Delanda est Cartago !
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