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· L'Orme des Mazières
· Les salops
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petit coucou du jours.j espère que tu vas bien.je remet petit à petit des photos sur mon blog.un peu le binss
Par koukla, le 06.06.2024
bonjour,
je te remercie doublement de ton aide. non seulement tu as donné ton appréciation, mais tu m'as mo
Par Paule Di Grézia, le 13.01.2013
salut leeloochatana. merci de tes visites.http:/ /drkaroloth.ce nterblog.net
Par drkaroloth, le 12.01.2013
un,deux,trois. ....... du soleil à la lune on s'endort en mélisse...... ... une journée un, deux, trois.......
Par leeloochatana, le 11.01.2013
"qu'allons nous faire que nous n'aurons pas à regretter ?" : fulgurant.http ://babayaga.ce nterblog.net
Par babayaga, le 05.01.2013
Date de création : 19.04.2011
Dernière mise à jour :
10.01.2020
772 articles
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Cœur de fer et lame d’acier
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Lui
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On dit que tu es partie là-bas. Que tu as traversé l'océan et que tu es installée en Amérique. « Où ? » J'ai demandé. « Las Vegas, Honolulu... » m'a-t-on répondu. Tu travaillerais dans un bordel, une baraque à putes, mais peut-être n'y es-tu qu'une simple serveuse, une femme de chambre. Enfin, c'est ce qui se dit ici, car personne ne sait trop ce que tu es devenue en définitive.
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Cela t'a pris sur un coup de tête. Un matin, tu t'es réveillé et tu t'es dit : « Tiens, si j'allais voir le monde. » Moi, sombre con, je t'ai laissé rêver.
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Comme nul n'a de nouvelles, les langues vont bon train. Les gens s'en donnent à cœur joie. Jamais on n’a autant parlé de toi que depuis ton départ. Je te revois sur le quai de la gare, avec ta petite valise et ton sourire exaspéré. Qu'est-ce que je fichais là ? Comment avais-je su ? Voilà les questions qui te turlupinaient.
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Pour moi, ces interminables semaines sans toi sont une longue douleur. Le temps est devenu un poison amer qui dégoutte dans ma gorge chaque fois que je déglutis. Mon cœur, ce muscle à émotions, est en panne de battements. Sans doute est-ce pour cette raison que parfois ma bouche s'ouvre toute grande et happe l'air dans une puissante et sonore inspiration.
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Comme je ne sais pas où tu es, je t'écris chaque jour un petit mot que je remplis de douceur. J'envoie le tout sur internet, comme un naufragé jette une bouteille à la mer avec le désespoir de n’être jamais entendu, car je doute qu'un jour tu lises ces messages livrés au courant, malgré tous ces immenses ponts d'ondes qui relient les continents. D'abord, tu n'aimes pas beaucoup lire, mis à part les recettes de cuisine et les articles sur les stars en pain d'épices, ensuite, l'électronique et les ordinateurs n'ont aucun intérêt pour toi. À moins que tu n'aies changé.
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Parfois, je me rends au pied de notre arbre, ce gros chêne sur le tronc duquel nous avions gravé nos deux cœurs liés, et je pleure. Qui sait, peut-être n'as-tu jamais quitté le territoire du village.
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