Nom du blog :
chdjamel
Description du blog :
Comment être journaliste en Algérie à la lumière de ce qui se pratique dans la presse d'ailleurs.
Catégorie :
Blog Actualité
Date de création :
06.10.2007
Dernière mise à jour :
29.09.2018
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Derniers commentairesil y'a eu bcp d'erreur et de confusion. le fln a commis des bêtises dont le peuple ignorent....
Par Anonyme, le 30.08.2024
j ai travaillé avec vous et fait les meilleures b,d.
je suis intéressé de reprendre si besoin....
Par Anonyme, le 16.07.2024
je repense souvent à samy. comme ce soir il est présent dans mon esprit mais jamais il n'a quitté mon coeur.
Par Une amie, le 13.01.2024
pourquoi le nom de mohamed belacel n'est pas sur la liste des journalistes de la télévision nationale ?
Par BELACEL, le 08.12.2023
bonsoir à toute l'équipe,
é tant amateur et un amoureux de la photographie est-ce la maison de la presse org
Par Anonyme, le 10.03.2023
Abderahmane Bettache (53 ans), journaliste à la rubrique Actualité au quotidien francophone le Soir d’Algérie depuis 1996, après avoir passé cinq an au journal sportif Algérie Sports-L’Opinion, et pigiste à Ennahar TV où il a animé des missions politiques entre 2013-2014, est décédé vendredi 28 septembre d’une crise cardiaque.
Le président Bouteflika a adressé, ce mercredi 2 mai 2018, à la veille de la célébration de la Journée mondiale de la Liberté de la presse un message dont voici le texte :
«Au nom d’Allah Clément et Miséricordieux, Que les prières et la paix d’Allah soient sur Son Messager,
Mesdames, Messieurs,
L’Algérie s’est accoutumée à célébrer, avec l’ensemble des pays du monde, cette Journée mondiale de la liberté de la presse dans le recueillement, l’enthousiasme et la fierté. Des sentiments de recueillement à la mémoire des Chouhada de la Glorieuse révolution de Novembre parmi les hommes de la presse, dont certains tombés en martyrs sous d’abominables tortures du colonialisme, pour crier haut et fort le droit du peuple algérien à la liberté et à l’indépendance.
Nous nous inclinons, également, en cette journée, à la mémoire des martyrs du devoir national parmi la famille de la presse, dans toute sa composante, fauchés par le terrorisme abject durant des années d’épreuves et de tragédie nationale. Comment ne pas accueillir la Journée mondiale de la Liberté de la presse dans l’enthousiasme alors que l’Algérie a, tout au long des siècles, été un pays de lutte pour la liberté. Un pays dont le peuple vénère sa liberté et ses droits et défend la liberté et les droits de tous les opprimés dans le monde. Elle accueille cette Journée mondiale de la Liberté de la presse avec la fierté d’être dans le peloton des pays qui respectent les droits de cette noble profession et ne ménagent aucun effort pour sa promotion.
Oui, l’Algérie peut s’enorgueillir de la dépénalisation du délit de presse et elle peut aussi se targuer de ne compter aucun journaliste incarcéré en raison de l’exercice de sa mission d’information. L’Algérie est également en droit de s’enorgueillir de la constitutionnalisation de la liberté de la presse écrite et audiovisuelle, et même sur les réseaux d’information, loin de toute restriction ou toute forme de censure préalable. Une Constitution qui garantit la diffusion des informations, des idées, des images et des opinions en toute liberté et dans le respect des constantes et valeurs de la nation et des droits de la personne. Elle peut être fière, en cette Journée mondiale de la presse, de la formation de milliers de ses enfants dans ce noble métier à travers les différents instituts universitaires et de tout l’appui qu’elle apporte à l’extension de la sphère des médias, aussi bien la presse écrite à travers les imprimeries publiques, que télévisuelle par la facilitation de la création des chaines privées que radiophonique à la faveur de plus de 50 stations publiques, nationale et locales.
A cet égard, nous nous félicitons du lancement du satellite de télécommunications, Alcomsat-1, venu couronner toutes ces réalisations et qui permettra, avec l’aide de Dieu, de conférer davantage de modernité et de diffusion en matière d’Information nationale.
Mesdames, Messieurs,
La presse algérienne s’est toujours distinguée par son patriotisme et son militantisme. Elle a commencé avec le Mouvement national revendiquant, pendant des années, le droit légitime de notre peuple à l’indépendance et à la souveraineté. Ce militantisme s’est poursuivi durant la Glorieuse révolution de Novembre grâce à de vaillants moudjahidine, combattants de la plume à travers le journal “El Moudjahid” et l’agence d’information “Algérie presse service”. Et c’est avec la même ferveur et sens élevé du patriotisme que les médias algériens ont accompagné, après l’indépendance, les chantiers de la construction et de l’édification. Des chantiers qui ont assis l’Etat algérien indépendant, jeté les jalons du développement économique et social à travers tout le territoire national et porté haut et fort la voix de l’Algérie dans les fora internationaux, avec mérite et professionnalisme. La presse nationale a dû répondre, encore une fois, au devoir de la résistance et du sacrifice tout au long d’une décennie de tragédie, de destruction et de terrorisme sauvage. Une décennie qui a enregistré une centaine de martyrs, parmi les hommes et femmes des média, morts pour leur engagement au côté de notre peuple pour la sauvegarde de l’Algérie.
Mesdames, Messieurs,
Grâce aux sacrifices de notre peuple, et par la bénédiction du Tout-Puissant qui nous a guidé sur le chemin de la Concorde et de la Réconciliation nationale, l’Algérie a renoué, depuis deux décennies, avec la paix et la stabilité et repris la reconstruction et la concrétisation des aspirations de notre valeureux peuple dans les domaines économique, social, culturel et politique. Dans ce climat, la presse algérienne a connu un essor avec la parution de plus de cent titres de presse écrite, plus de dix chaines de télévision en plus de la numérisation de l’audiovisuel et nous demeurons déterminés à aller de l’avant dans tous ces domaines. Par ailleurs, la presse nationale a accompagné le retour de la vie politique après une restriction imposée par la terreur et l’assassinat durant la tragédie nationale. La pluralité et la dynamique des partis politiques, le renouement du pays avec les échéances électorales régulières et le retour au débat politique, parfois houleux, constituent un processus politique que la presse, dans toute sa composante, a accompagné et donné ainsi à la vie démocratique davantage de rayonnement. Dans ce domaine, nous avons veillé à travers le dernier amendement constitutionnel à ouvrir davantage le champ devant les média nationaux en vue de consolider son rôle actif dans tous les aspects de la vie nationale. Oui, l’Algérie mise sur ses média face aux multiples défis auxquels elle est confrontée au plan interne et à d’autres qui la menacent au plan extérieur, à l’instar de plusieurs pays dans le monde. En évoquant tous ces défis, je voudrais souligner, à l’adresse de la famille de la presse nationale, quelques domaines où elle est appelée à avoir un rôle noble et une contribution pertinente et efficace…
Mesdames, Messieurs,
L’Algérie est en droit d’attendre de sa presse nationale de contribuer en force à la vulgarisation de sa véritable image hors de nos frontières. Le monde d’aujourd’hui, dont les grands sont avides de domination, n’accepte pas facilement les Etats et les peuples attachés à leur liberté et à leur indépendance de décision. Ils sont alors exposés à des campagnes de diffamation, voire à des tentatives de déstabilisation par la fomentation de dissensions, de crises et de problèmes de manière à leur faire accroire que la seule issue est de solliciter leur protection.
L’Algérie qui se distingue par cette indépendance de décision et de choix a pâti de la calomnie et a été ciblée par une déstabilisation de ses fondements. La menace est aujourd’hui plus grande avec le développement de l’information électronique, qui ne connaît pas de frontières et qui parvient directement à tout un chacun. Avoir des divergences de vues et d’opinions à l’intérieur de notre pays est quelque chose de normal et de naturel, c’est la base même de la démocratie pluraliste, mais lorsque l’Algérie, notre seule et unique patrie, est en jeu, nous devons nous unir et parler d’une seule et même voix.
Mesdames, Messieurs,
Le deuxième objectif à la concrétisation duquel j’exhorte la presse nationale porte sur le changement des mentalités dans notre société et la réforme substantielle en vue de relever les défis de l’heure à tous les niveaux. Certes, nous demeurerons constants dans nos principes nationaux de justice sociale, dans le souci de garantir l’équilibre régional en matière de développement et dans l’attachement à toutes les composantes de notre identité nationale.
Cependant, notre société doit progresser davantage vers la sacralisation du travail, la performance économique, la réhabilitation du civisme et la vulgarisation des valeurs de la modération et du juste-milieu. Des objectifs dont la concrétisation passe par l’explicatif, le débat et l’argumentaire, autant d’entreprises qui requièrent, de la presse écrite, audiovisuelle et électronique un rôle plus efficient.
Mesdames, Messieurs,
Si la presse nationale est tenue d’assumer un rôle important dans la promotion de l’image de l’Algérie et dans l’accompagnement de la société sur la voie du changement et de la réforme, ses hommes et ses femmes sont appelés, en outre, à jouer un rôle de contrôle et de gardien vigilant pour relever toutes les insuffisances affectant nos affaires publiques et parfois notre quotidien, un rôle qui encourage les réformes, contribue à rectifier la situation et exiger même des comptes, le cas échéant.
En effet, le poids et la multiplicité des tâches relevant des différents démembrements de l’Etat peuvent conduire fatalement à quelques erreurs ou connaitre des insuffisances. Toutefois, porter de telles réalités à l’opinion publique par la presse nationale, surtout lorsque l’honnêteté et la probité sont observées, est en soi une part importante du travail à faire pour corriger et améliorer les situations. C’est pourquoi, j’appelle l’ensemble de nos média à prendre en charge cet aspect de leur noble mission. En somme, j’ai veillé à mettre en avant le rôle central de la presse nationale dans tous les chantiers et face aux défis qui se posent à notre pays. Notre peuple est en droit de bénéficier de l’apport de la presse nationale à ces chantiers et aux efforts visant à relever ces défis de même que nous sommes, peuple et Etat, en droit de nous enorgueillir du progrès et de la modernisation atteints par notre presse nationale, dans toute sa composante. Je conclurai en vous réitérant, hommes et femmes des média, mes encouragements et ma considération en vous souhaitant, individuellement et collectivement, succès et réussite».
Communiqué :
La commission de préparation de l’Assemblée générale constitutive du syndicat algérien des éditeurs de la presse électronique (SAEPE) a été saisie ce samedi matin d’un message de la wilaya d’Alger l’informant que l’assemblée générale prévue ce dimanche 04 février 2018 (prévue au siège de Maghreb Emergent à Alger centre) est jugée illégale faute de demande d’autorisation préalable. Nous n’avons pas rencontré dans les textes de loi le préalable d’une demande. Nous pensons être dans la conformité. Il n’est pas prévu de demande préalable pour la constitution d’un syndicat professionnel dans un espace privé un jour de semaine. Toutefois et pour montrer sa bonne foi, la commission de préparation a décidé, en concertation avec les membres fondateurs, de déposer sans délai à la Wilaya d’Alger une demande formelle de tenue de l’AG constitutive du SAEPE. En conséquence l’assemblée générale de ce dimanche 04 février est reportée. Le SAEPE est un projet d’organisation professionnelle afin de défendre les intérêts matériels et moraux de l’édition de la presse électronique dans un pays ou elle n’a ni statut ni modèle économique alors que partout dans le monde elle est la locomotive des contenus digitaux. Ce projet ira à son terme car il est vital pour l’avenir des plus de 30 médias électroniques qui y sont d’ores et déjà affiliés.
http://maghrebemergent.info/actualite/maghrebine/85361-l-ag-constitutive-du-saepe-interdite-par-la-wilaya-d-alger-en-l-absence-d-une-demande-d-autorisation-prealable.html
Le ministre de la Communication, Djamel Kaouane, a annoncé mardi 23 janvier à Alger que l'installation de l'autorité de régulation de la presse écrite, prévue avant la fin 2017 dans la programme d'action du gouvernement, se ferait dans «les plus brefs délais», réaffirmant l'engagement de son département à poursuivre les efforts pour une meilleure prise en charge des préoccupations des professionnels du secteur. Dans une déclaration à la presse, à l'issue de la présentation d'un exposé sur le budget du secteur pour l'année 2015 devant la commission des finances et du budget de l'APN, en présence du ministre des Relations avec le parlement, Tahar Khaoua, M. Kaouane a indiqué que «l'installation de l'autorité de régulation de la presse écrite se fera dans les plus brefs délais», ajoutant qu'«un travail important» a été accompli dans ce sens.
Le ministère de la Communication «n'exerce aucun rôle de contrôle sur le travail journalistique et n'est jamais intervenu pour réprimer ou sanctionner les médias», a-t-il assuré, affirmant que l'autorité de régulation de la presse écrite comprendra également des représentants de journalistes et aura pour mission de «réguler la profession en vertu de la loi dans le cadre du respect de l'éthique et de la déontologie». Il a appelé à la couverture de toutes les régions du pays en presse écrite, regrettant dans ce cadre l'absence d'annexes scientifiques, historiques ou économiques de la presse nationale.
Le ministre a affirmé, d'autre part, que le satellite algérien Alcomsat-1, lancé en décembre 2017 depuis la Chine «est à même de fournir des services importants pour les chaînes de télévision, notamment en termes de transmission et de numérisation». Répondant aux questions des députés de la commission, M. Kaouane a souligné que son département est engagé «à poursuivre et à redoubler d'efforts pour une meilleure prise en charge des préoccupations croissantes des acteurs du secteur, aussi bien publics que privés, en ce qui a trait au niveau technologique, à l'organisation et la gestion, en oeuvrant à moderniser les structures publiques et à actualiser la qualité des prestations». Il a réaffirmé que la liberté de la presse et d'expression est garantie par la Constitution, reconnaissant toutefois «l'existence de certains dépassements inacceptables, notamment l'atteinte à la dignité des personnes, dus en premier lieu à un manque de formation chez les journalistes».
Le ministre a affirmé qu'avec le recul des recettes des hydrocarbures en 2015, le secteur de la communication a opté pour la rationalisation des dépenses, tout en maintenant les priorités fixées au sein du programme sectoriel axé essentiellement sur la numérisation de la diffusion, à travers le lancement d'importantes opérations pour l'élargissement du bouquet de la télévision numérique terrestre (TNT), outre la numérisation des moyens de production audiovisuels et le renouvellement des équipements. En 2015, a-t-il rappelé, un nouveau réseau de transmission par satellite a été installé, outre l'élargissement du faisceau de la radiodiffusion audio, à travers l'extension du champs de couverture radiophonique et la résorption des zones d'ombre, grâce à la réception de 8 centres de radiodiffusion et le lancement d'une opération au plan international, en vue de répondre à la demande pressante pour la couverture radiophonique des pays du Sahel à travers la réalisation de deux centres de radiodiffusion des programmes de la Radio internationale.
Il a révélé que le budget de fonctionnement du ministère pour 2015 avait été estimé à plus de 20 milliards de dinars, tandis que le taux de consommation de ces crédits s'élève à 99,38%. Concernant le budget d'équipement pour la même année, il comprend 122 opérations d'investissement en cours de réalisation, soit avec une licence globale de programme estimée à 82,441 milliards de dinars, dont 20,06 milliards de dinars avaient été consommés soit un taux de 24,33%. (APS)
Le journaliste sportif Ahmed Achour est décédé jeudi 14 décembre à l'hôpital Mustapha-Pacha (Alger) à l'âge de 68 ans des suites d'une crise cardiaque, a appris l'APS auprès de ses collègues au quotidien Le Temps d'Algérie. Le défunt se préparait à prendre sa retraite après une longue carrière qui a débuté en 1969, alors qu’il était encore lycéen. Il a fait ses premières classes en tant que pigiste à El-Moudjahid tout en poursuivant des études en chirurgie dentaire à la faculté d’Alger. Le diplôme obtenu en 1977, il a ouvert dans les années 1980 un cabinet dentaire dans son village natal à Khemis El-Khechna (Boumerdès) mais les conditions sécuritaires de l’époque n’étaient pas appropriées pour qu’il y puisse continuer à exercer. Ahmed Achour n’avait jamais coupé les liens avec la presse. C'est ainsi qu’au début des années 1990, El Moudjahid lui propose un poste de journaliste permanent. Il est resté dans cet organe quelques années avant de travailler pour d’autres journaux comme Liberté, L’Expression et enfin Le Temps d'Algérie qu’il a intégré à la demande du directeur Djamel Kaoune, ancien journaliste d’El Moudjahid et actuel ministre de la Communication.
Dans un message de condoléances, le ministre de la Communication, M. Djamel Kaouane a rendu hommage au défunt rappelant notamment qu'Ahmed Achour «a eu un parcours particulier dans le domaine de la presse sportive algérienne dont il était, au moment de son décès, l'un des doyens et l'une des figures les mieux écoutées et les plus respectées». «Avec une carrière de pas moins de 48 ans, le défunt avait fini de capitaliser une expérience dans le journalisme sportif, alors que son diplôme de chirurgien dentiste obtenu en 1977 à la Faculté d'Alger, le destinait à la voie médicale», a t-il écrit. «Féru du sport-roi et connaisseur du milieu, Ahmed Achour n'a pourtant jamais limité son intérêt au seul football, lui qui aimait que l'on dit de lui qu'il est, par excellence, un journaliste sportif. Sa polyvalence, son objectivité, sa grande proximité des terrains et des grandes figures du mouvement sportif national ont longtemps rendu sa parole et ses avis très audibles auprès des grands responsables du sport en Algérie», a-t-il souligné. Les présidents du Comité Olympique et sportif algérien (COA), de la Fédération algérienne de football (FAF) et de la Ligue de football professionnel (LFP), Mustapha Berraf, Kheïreddine Zetchi et Mahfoud Kerbadj, ont présenté leurs condoléances les plus attristées à sa famille et ses proches.
Passionné de sport (football), Ahmed Achour est connu de toutes les générations de journalistes et de sportifs. Il a couvert de grandes manifestations sportives nationales et internationales (jeux Olympiques dont les derniers en 2016 à Rio de Janeiro et Coupe du monde). Le dernier événement couvert par le défunt est le symposium organisé par la Fédération algérienne de football (FAF) les 11 et 12 décembre à Alger.
Après avoir désespéré de racheter la JS Kabylie, Ali Haddad, patron de l’ETRHB, s’est retourné vers un des clubs de football de la capitale. Il a failli jeter son dévolu sur le MCA n’était la réaction de son entourage. Ahmed Achour a fait partie des personnes qui l’ont vivement dissuadé de suivre cette piste à cause des nombreux problèmes que connait la gestion quotidienne du club phare de la capitale ; ils lui ont conseillé de miser plutôt sur l’USMA, ce qu’il a d’ailleurs fait. D. Ch.
L'universitaire, moudjahid et ancien journaliste Zahir Ihaddaden est décédé samedi 20 janvier 2018 à l'hôpital Ain Naadja d'Alger des suites d'une longue maladie à l'âge de 89 ans, a appris l'APS auprès de sa famille. Le défunt sera inhumé dimanche 21 janvier à El-Alia. Ayant rejoint les rangs de la cause nationale, Ihaddaden a travaillé, pendant la guerre de libération nationale, au journal El-Moudjahid de juin 1956 au 19 mars 1962, où il était parmi l'équipe rédactionnelle de l'édition francophone du journal à Tétouan d'abord, le 5 août 1957 puis à Tunis en novembre de la même année, aux côtés du défunt Réda Malek qui en été le directeur. Zahir Ihaddaden fut également l'un des relais de Abane Ramdane auprès des militants à l'université d'Alger. Historien et enseignant universitaire, il compte plusieurs ouvrages à son actif dont «Histoire de la presse indigène en Algérie, des origines jusqu'en 1930», où il a entre autres conclu que la presse indigène n’avait pas rempli son rôle de dénonciation du système colonial, oubliant que, sociologiquement parlant, les médias reproduisent le système dont ils font partie ; ils ne le changent pas. Il a édité aussi «La presse écrite en Algérie de 1965 à 1982», préfacé dans la première édition par Reda Malek – l’ouvrage a été réédité sans cette préface où Reda Malek a relevé à juste titre que l’ouvrage a sacrifié l’analyse du contenu de la presse écrite paru à l'époque, s’intéressant uniquement aux aspects de présentation des différents titres édités -, et «l'histoire des colonisés du Maghreb».
Le défunt qui devait assister cette semaine à la parution de ses mémoires intitulés «Itinéraires d'un militant», aux Editions Dahlab, était également membre de l'Autorité de régulation de l'audiovisuel (ARAV). Dans un message de condoléances à la famille du défunt, le président de l'ARAV a rappelé le «parcours exceptionnel» de Zahir Ihaddaden dans la «construction de l'édifice de la presse, de l'information et de l'audiovisuel dans notre pays et son apport à l'Université algérienne à travers ses nombreux ouvrages dans le domaine de l'histoire et de l'information», soulignant que tout au long de sa carrière, il a fait montre d'«abnégation et de sagesse». Le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni a adressé un message de condoléances à la famille du défunt dans lequel il a rappelé son parcours militant durant la guerre de libération nationale. Tout en considérant qu'avec le décès de ce moudjahid l'Algérie perd un symbole du nationalisme un leader dans le domaine du savoir et de la science. «Avec la disparition de ce brillant chercheur, cet intellectuel avant-gardiste et éducateur, qui a voué sa vie au service de sa nation et qui s'est acquitté de son devoir (...) l'Algérie perd un journaliste chevronné et un chercheur authentique qui a enrichi la bibliothèque scientifique avec des ouvrages et des recherches solides», a ajouté le ministre. D. Ch.
Le 29 juin 2003, naissait Infosoir, avec l’ambition d’occuper une place un peu spéciale sur la scène médiatique. Celle d’un véritable journal du soir. Celle de paraître le soir comme l’indique son nom, traiter l’actualité autrement, donner l’info du jour à chaud, tant il est vrai que le monde continue de bouger après l’heure de bouclage de nos honorables confrères du matin. Le pari était audacieux. Le challenge palpitant. 15 années se sont «égrenées depuis».
Cher lecteur, nous t’épargnerons l’énumération de toutes les difficultés qui ont marqué la marche d’Infosoir pour te dire simplement que toute l’équipe, et chaque jour que Dieu a fait a consenti les efforts nécessaires pour confectionner à ton intention un journal propre, sans fil à la patte et où le recours à l’insulte et à la diffamation ont été des comportements bannis. Etre le plus près de ta vie quotidienne, tels ont été les objectifs visés par Infosoir et que toute l’Equipe s’est efforcée de traduire dans le contenu du journal. Mais voilà tout a une fin.
En raison des difficultés financières – les rentrées émanant de la publicité ont été réduites à presque rien - Infosoir doit cesser de paraître. C’est aussi simple. C’est aussi dur. Les premiers temps, en moyenne, Infosoir a eu une page jusqu’à une page et demi de pub de la part de l’ANEP. Mais voilà qu’au fil des jours, des semaines, des mois et des années le quota accordé à Infosoir s’est réduit comme une peau de chagrin, avec de nombreuses, de très nombreuses journées sans pub. Comme si un quotidien pouvait éviter l’asphyxie avec un quart ou une demi-page par jour.
Difficile très difficile, dans ces conditions de ne pas s’enfoncer dans le piège de l’endettement synonyme de mort lente, et ce en dépit de toutes les mesures prises pour sauver le journal : réduction des salaires sur une période de trois mois, réduction du tirage, réduction maximum des frais de fonctionnement. Le quota de pub ne suivait pas ce train de mesures extrêmes. Les décideurs et autres organisateurs du dispatching de la pub institutionnelle ont en décidé ainsi. C’est peut-être leur droit. Ce n’est pas une plainte de notre part. C’est juste une vérité qu’il fallait dire. Et les faits sont là : la situation financière du journal a fini par se dégrader dangereusement. Aujourd’hui, il faut savoir s’arrêter pour ne pas continuer à foncer droit dans le mur.
A tous merci de votre fidélité.
Hacène Ouandjeli,
Fondateur d’Infosoir
Infosoir, n°4388 du jeudi 11-vendredi 12 janvier 2018, p.1
Le ministre de la Communication, Djamel Kaouane, a annoncé jeudi 11 janvier à Ghardaia que le thème de «l’identité nationale» a été retenu pour la 4ème édition du Prix du président de la République du journaliste professionnel 2018. S’exprimant en marge de la célébration dans cette wilaya des festivités marquant Yennayer 2968, le ministre a déclaré que le choix de ce thème coïncide avec l’officialisation par le président de la République Abdelaziz Bouteflika de cette fête nationale du 12 janvier de chaque année déclarée chômée et payée. Le thème de la dernière édition de ce prix, décerné à l’occasion de la Journée nationale de la presse le 22 octobre, a été «La préservation de l’environnement, clé du bien-être public et du bonheur social». (APS)
Répartition par département ministériel, des crédits ouverts au titre du budget de fonctionnement pour 2018
Présidence de la République............................................. 7.859.006.000 DA
Services du Premier ministre..............................................4.458.622.000
Défense nationale ............................................................ 1.118.297.000.000
Affaires étrangères........................................................... 35.216.850.000
Intérieur, collectivités locales...........................................425.576.433.000
Justice............................................................................ 74.543.069.000
Finances ........................................................................ 86.823.922.000
Energie ............................................................................. 50.806.569.000
Moudjahidine ................................................................ 225.169.592.000
Affaires religieuses et wakfs.......................................... 25.244.314.000
Education nationale.........................................................709.558.540.000
Enseignement supérieur et recherche scientifique ....... 313.336.878.000
Formation et enseignement professionnels.................. 46.840.000.000
Culture.............................................................................. 15.272.000.000
Poste, télécommunications, technologies et numérique....... 2.344.644.000
Jeunesse et sports.................................................................. 35.237.000.000
Solidarité nationale, famille et condition de la femme........ 67.379.794.000
Industrie et mines................................................................ 4.612.355.000
Agriculture, développement rural et pêche....................... 211.814.118.000
Habitat, urbanisme et ville................................................. 16.624.426.000
Commerce........................................................................... 19.979.062.000
Communication................................................ 20.702.804.000
Travaux publics et transports.............................................. 25.984.720.000
Ressources en eau ............................................................14.099.310.000
Tourisme et artisanat ................................................... 3.157.141.000
Santé, population et réforme hospitalière..................... 392.163.373.000
Travail, emploi et sécurité sociale.................................154.011.680.000
Relations avec le Parlement.........................................229.880.000
Environnement et énergies renouvelables…………………2.136.204.000
Sous-total…………………………………………………………………4.109.479.306.000
Charges communes…………………………………………………474.982.927.000
Total général……………………………………………………………4.584.462.233.000
Journal officiel, n°76 du 28 décembre 2017.
Décret présidentiel n° 17-352 du 5 décembre 2017 portant transfert de crédits au budget de fonctionnement du ministère de la communication
Le Président de la République,
Sur le rapport du ministre des finances,
Vu la Constitution, notamment ses articles 91-6° et 143 (alinéa 1er) ;
Vu la loi n° 84-17 du 7 juillet 1984, modifiée et complétée, relative aux lois de finances ;
Vu la loi n° 16-14 du 28 décembre 2016 portant loi de finances pour 2017 ;
Vu le décret présidentiel du 19 janvier 2017 portant répartition des crédits ouverts, au titre du budget de fonctionnement, par la loi de finances pour 2017, au budget des charges communes ;
Vu le décret exécutif n° 17-51 du 19 janvier 2017 portant répartition des crédits ouverts, au titre du budget de fonctionnement, par la loi de finances pour 2017, au ministre de la communication ;
Décrète :
Article 1er. — Il est annulé, sur 2017, un crédit de trois milliards sept cent quatre-vingt-quinze millions cinq cent soixante dix-neuf mille dinars (3.795.579.000 DA), applicable au budget des charges communes et au chapitre n° 37-91 «Dépenses éventuelles — Provision groupée».
Art. 2. — Il est ouvert, sur 2017, un crédit de trois milliards sept cent quatre-vingt-quinze millions cinq cent soixante dix-neuf mille dinars (3.795.579.000 DA), applicable au budget de fonctionnement du ministère de la communication et aux chapitres énumérés à l’état annexé au présent décret.
Art. 3. — Le ministre des finances et le ministre de la communication, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret qui sera publié au Journal officiel de la République algérienne démocratique et populaire.
Fait à Alger, le 5 décembre 2017.
Abdelaziz BOUTEFLIKA.
Etat annexe :
Ministère de la Communication
Section I : Section unique
Sous-section I : Services centraux
TITRE IV : Interventions publiques
4ème Partie : Action économique/Encouragements et interventions Administration centrale
- Contribution à l’entreprise nationale de télévision (ENTV) : 2.662.380.000 DA
- Contribution à l’entreprise nationale de radiodiffusion sonore (ENRS) : 1.133.199.000 DA
Total des crédits ouverts : 3.795.579.000 DA
Journal officiel, n°72 du 13 décembre 2017