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agrinature fukuoka agrinature marssfarm fukuoka aimer air amour ange animal animaux argent art article automne

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photosynthèse continue

L'agrinature tend vers la pratique native d'agriculture n'utilisant que les ressources du vivant en son effort de néguentropie insufflée par l'injection constante dans l'écosystème Terre des photons que lui dispense maître Soleil, étoile moyenne de la galaxie.

deux chaînes trophiques

La nourriture des plantes est pour l'essentiel un triptyque constitué par l'hydrogène de l'eau, le dioxyde de carbone de l'air & par voie indirecte l'azote de l'air.  Utiliser toute l'eau & tout le soleil disponibles en un lieu tout au long de l'année est l'enjeu d'agrinature.

observante attention

Cela signifie que le seul intrant en cette pratique agricole est d'énergie solaire. De ce fait nous prendrons soin à observer que les plantes présentes puissent faire emploi autant que faire se peut de ces deux ressources données à tous. - la lumière solaire & l'eau des précipitations.

prélever part infime

Deux parts au moins de la production est destinée à la fabrication des sols & une part prélevée comme nourriture. Nous intervenons le moins qu'il est possible afin de laisser aux êtres vivants de l'écosystème champ toute latitude d'oeuvrer selon leur nature propre.

simplicité du complexe

Pour que ces êtres puissent exister, nous devons proscrire l'usage des substances de synthèse que le vivant ne sait pas métaboliser.  C'est la diversité qui assure l'ensemble des fonctions requises & ce par le moyen de la complémentarité biologique des êtres.

humus & sens pratique

Les notions de pédogenèse sont l'essence de l'agrinature : la Terre doit redevenir terreuse, refabriquer ses sols. A l'échelle d'un siècle l'agronomie envisagera une combinaison des deux pratiques. Des paysans, paysannes, chercheurs & chercheuses affineront des méthodes applicables à plus grande échelle & éventuellement des machines simples & légères. Celles disponibles ce jour sont trop complexes, trop pesantes sur le sol & de ce fait trop voraces en énergie.

projection en nutriments

Des petites parcelles sont le cas idéal car les lisières & bordures sont des points de grande richesse biologique & parce qu'il est besoin d'arbres pour garder & fabriquer le sol. La production locale permet aussi le retour, le "recyclement" de la matière organique pour l’auto-fertilisation.

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1 observer méditer agir

1) en accord chacun à son niveau vibratoire / 5p40K

educare / les enfants sont des arbres / 1 en accord chacun à son niveau vibratoire

a. Mais où est donc or ni care? 1 dialogue des cœurs p1K
  • Voici un jardin naturel traité en bandes & lignes - arbres, fruitiers, potagères, fabacées & herbes folles.

a) Mais où est donc or ni care ? / un dialogue des cœurs /

  • La prière consiste en un dialogue des cœurs avec le tiers symbolique en référence supérieure.

Ce troisième point ou personne référence est capital en ce qu'il ou elle permet d'effacer l'effet de dualité. Pour s'accorder entre deux avis divergent il est besoin d'un ternaire. Le cœur par exemple est déjà un ternaire, un point milieu entre les besoins du corps & les désirs du mental, entre l’œil attiré par la lumière & la main fascinée par le faire, entre la gauche qui donne & la droite qui saisit.  Ainsi équilibrée par ce tiers lieu la relation entre deux êtres forme un triangle qui court-circuite le mental. C'est le triangle indéformable de l'amour. Le point supérieur choisi par chacun selon son besoin est :

  • une personne sainte qui nous enseigne, une valeur d'humanité,
  • une règle commune, la loi universelle ou divine,
  • ou le Soi commun à tous.

Lors des silences du dialogue la prière se transforme en méditation. Méditer signifie cesser la pensée. L'objet de méditation est un moyen de fixer le mental sur un point de concentration. Chacun selon son vécu choisira :

  • un nom aimé, un mot puissant, une phrase qui crée, un son qui inspire,
  • une image ou représentation, une musique sacrée, une lampe ou lumière,
  • une personne guide, une posture, un mouvement, une tâche,
  • un centre d'énergie dans le corps, le souffle,
  • ou l'observation des énergies & mouvements en soi ou alentour.

On associe le plus généralement le divin à la prière & à la méditation, sachant que la définition ne peut en être complétée sans la trahir. Cette limite à définir est la limite du mental qui pour exprimer doit compresser, réduire, distinguer, séparer. La nature du cœur est à l'inverse d'unir, mais ce point lui aussi n'est pas simple à définir. Lorsque nous voulons laisser parler le cœur, la pensée & les émotions vont tenter de s'en mêler. Associer le divin au fait de cesser de penser ou à une pensée toute entière tournée vers le bien est une manière de protection. La méditation athée risque de nous entrainer vers des enjeux de pouvoir, le matérialisme spirituel qui se limite à l'humain sans pouvoir le dépasser. La prière athée risque de se confiner à la pensée positive ou autosuggestion. Le bien & le mal que nous faisons, que nous infligeons aux autres, à ceux & ce qui nous croyons autres, nous revient. Prier ou méditer pour le mal n'aboutira pas ou nous atteindra en même proportion.

  • "Take care of yourself." peut s'écrire aussi "Take care of your Self."
  • L'expression devient alors proche du "Connais ton Soi." de Socrates.
  • Le care est à la foi prendre soin, chérir, aimer, aider, donner attention.
  • A cause de sa polysémie le verbe est un intraduisible.
  • Connaître pour sa part peut se traduire par "naître à nouveau."

---

  • les soins - care, treatment, attention, nursing
  • le soin - care, concern, carefulness, heed, custody
  • l'attention - attention, care, heed, regard, attentiveness, carefulness
  • le souci - worry, care, anxiety, trouble, marigold, trial
  • la surveillance - surveillance, supervision, oversight, watch, supervising, care
  • la responsabilité - responsibility, liability, charge, duty, blame, care
  • l'inquiétude - concern, anxiety, worry, uneasiness, alarm, care
  • prendre (donner) soin
  • se soucier - care
  • aimer - love, like, cherish, care, fancy, engage
  • faire attention à - take care, notice, care, look after, stand at attention
  • désirer - desire, wish, want, wish for, lust, care
  • s'occuper de - take care, manage, take care of, look after, be in charge, care
  1.  
    the provision of what is necessary for the health, welfare, maintenance & protection of someone or something.  "the care of the elderly"
     -  synonymes :
     
      safe keeping, supervision, custody, charge, protection, keeping, keep, control, management, ministration, guidance, superintendence, tutelage, aegis, responsibility;
    guardianship, wardship, trusteeship, trust;
    provision of care, looking after -  parenting, mothering, fathering "foster-parents had the care of the child"
    concern, consideration, attention, attentiveness, thought, regard, mind, notice, heed, solicitude, interest, caringness, sympathy, respect -  "a life of unblemished virtue & constant care for others"
    antonymes : neglect, disregard
    •  
      (British) protective custody or guardianship provided by a local authority for children whose parents are dead or unable to look after them properly.  "she was taken into care"
       
  2.  
    serious attention or consideration applied to doing something correctly or to avoid damage or risk.  "he planned his departure with great care"
     -  synonymes :
     

     

     

    caution, carefulness, wariness, awareness, heedfulness, heed, attention, attentiveness, alertness, watchfulness, vigilance, circumspection, prudence, guardedness, observance - 
     "these chemicals need to be handled with care" - discretion, judiciousness, forethought, thought, regard, heed, mindfulness - conscientiousness, painstakingness, pains, effort, meticulousness, punctiliousness, fastidiousness -  accuracy, precision "she chose her words with care" -  antonyme :
     

    carelessness

     

    •  
       
       
      an object of concern or attention.  "the cares of family life"
       
       
    • a feeling of or occasion for anxiety.  "she was driving along without a care in the world" -  synonymes :
        worry, anxiety, trouble, disquiet, disquietude, bother, unease, upset, distress, concern
      sorrow, anguish, grief, sadness, affliction, woe, hardship, tribulation, suffering, pain, torment, misery, angstresponsibility, stress, pressure, strain, perturbation, burdens  "a place where you can escape from the cares of the day"
      antonyme : happiness
  1.  
     
    feel concern or interest; attach importance to something.  "they don't care about human life" -  synonymes :
      be concerned, worry (oneself), trouble oneself, bother, mind;
    concern oneself with, be interested in, interest oneself in, trouble oneself with, have regard for, burden oneself with;
    informalgive a damn, give a hoot, give a rap, give a hang, give a tinker's curse/damn, give a monkey's, lose sleep over, get worked up  "the teachers didn't seem to care about our academic work"
    •  
      feel affection or liking.  "you care very deeply for him" -  synonymes :
        love, be fond of, feel affection for, cherish, hold dear, treasure, prize, adore, dote on, think the world of, worship, idolize, be devoted to;
      be in love with  "he obviously cares for his children"
      antonyme : hate
    •  
       
      like or be willing to do or have something.  "would you care for some tea?" -  synonymes :
        like, wish for, want, desire, prefer, fancy, have a fancy for, take a fancy to, feel like;
      informalhave a yen for  "would you care for a cup of coffee?"
       
  2.  
     
     
     
    look after and provide for the needs of.  "he has numerous animals to care for"
     -  synonymes :
     
      look after, take care of, tend, attend to, mind, minister to, take charge of, nurse, provide for, foster, protect, watch, guard;
    be responsible for, keep safe, keep an eye on;
    sit with, babysit, childmind
    "a hospice which cares for the terminally ill"
    antonyme : neglect
Expressions
care of - at the address of. "write to me care of Ann"
I couldn't care less - indifference. "he couldn't care less about football"
I could care less - indifference. "I could care less about award shows"
have a care - be cautious. "‘Have a care!’ she warned"
take care - be cautious; keep oneself safe. "take care if you're planning to go out tonight"
take care of - keep (someone or something) safe & provided for. "I can take care of it."
for all you care - to indicate that someone feels no interest or concern. "I could drown for all you care."
 
b. en accord chacun chacune à leur niveau vibratoire / p1K
  • chou & pomme de terre dans EVA, le couvert permanent engrais-vert

b) en accord chacun chacune à son niveau vibratoire /

  • Étant un  dialogue entre amis, la prière se décline en :
  • louer, remercier ou rendre grâce, demander, offrir & écouter.
  • Les valeurs humaines quant à elles coïncidant avec les 5 ou 10 paroles ou principes communs à beaucoup de religions & partant tous les systèmes de lois sont :
  • la droiture, la paix, la vérité, l'amour & la non-violence.

Les religions sont souvent décriées du fait que les politiques surent toujours s'en emparer pour opprimer ou guerroyer. Ils & elles tendent en ce siècle de leur substituer d'autres croyances, d'autres dogmes - tels l'économie financière, la démocratie réduite au vote ou encore le scientisme, foi sans réserve en les données de science énoncées par les courants dominants. La fonction religieuse pourtant était de nous relier :

  • vers le bas & le haut pour s'ancrer dans le réel & s'élever,
  • & vers la droite & la gauche pour recevoir & donner.
Méditer, c'est cesser de penser afin de laisser les énergies circuler à nouveau - dans le corps & autour. La fonction du mental est en premier point la gestion des informations transmises par les 5 sens pour les inscrire en mémoire & les édifier en pensée. En ralentissant & cessant l'agitation néfaste inutile du mental nous ouvrons vers l'intelligence supérieure ou intellect qui pourrait être appelé esprit. En langue française moderne les mots :
  • mental, pensée, esprit, intellect & psychisme sont confondus, de même que penseur, intellectuel, écrivain & philosophe, & de même encore que sont confondus l'amour des choses & l'amour des êtres.

Cet appauvrissement qui apparut au siècle des lumières ne doit pas nous faire oublier que si des mots différents avaient été inventés c'était pour introduire des distinctions. Distinguer est une fonction de l'intellect ayant trait à l'esprit ou mental supérieur. Le mental quant à lui se trouve limité par la langue qui ne peut que séparer. L'esprit est un souffle & par définition ne nous appartient pas. Le mental à cause de sa nature duale peut plus facilement être "emparé" par l'ego pour l'assimiler au corps. Cela est lié au fait que l'ego a pour nature de diviser entre mien & tien.

  • Le mental est un outil de grande puissance. En l'utilisant nous pouvons accélérer ou freiner la circulation des énergies. Méditer stricto sensu désigne le non-faire à un stade très avancé. En langue commune par anticipation on nomme méditation les 2 étapes qui la précèdent : la concentration & la contemplation.

La méditation véritable ne peut plus obéir au mental. Elle adviendra quand de besoin si nous y sommes prêts. Forcer sa descente nous exposerait aux risques des dérèglements mentaux. Dans l'univers tout n'est qu'énergie. Lorsque le mental bloque de manière inconsciente les flux d'énergie dans le corps ou entre les êtres, des tensions naissent. Si le mal persiste ces tensions évolueront en douleurs. Les douleurs peuvent s'enfler en conflits & les conflits se cristalliser en maladies. Les mots non dits se transmutent lors en maux & les maux d'une société peuvent se déguiser en standards lorsque nous perdons de vue les 5 valeurs, les 5 principes éthiques de référence. Notez que ce que l'on nomme les 10 paroles données à Moïse sont ces 5 principes déclinés aux 2 plans de la personne & de la société.

  • Par concentration d'abord, puis par contemplation ensuite nous ralentissons le mental. Il cesse lors d'interférer avec les flux d'énergie dans le corps. Les centres situés sur la colonne vertébrale en reviennent à leur prime fonction consistant à communiquer entre eux vers le haut, vers le bas.  La conséquence en sera que l'énergie pourra ensuite circuler avec l'alentour, avec ce, celles & ceux autour de nous.

C'est pourquoi nous pouvons voir que l'agrinature est une méditation. La méditation n'a pas besoin de pensée & de savoir. Elle est donnée au cœur simple, au cœur ouvert, aux êtres sans calcul. Les animaux, les plantes & les pierres la pratiquent aussi en accord chacun chacune à leur niveau vibratoire.

  • erixbd le 11/02/2019 : Les religions ne sont que philosophies faites pour aider à trouver un chemin & en rien le guide ne se doit d'imposer.

marssfarm le 11/02/2019 : Oui, tout à fait. L'enjeu est d'élargir la palette de nos outils au-delà du physique & du mental. La religion en son essence nous mène à nous libérer des dogmes, mais les religions engrènent de ce fait même toujours le risque de cristalliser, figer l'élan en dogmes néoformés. C'est comme une école qui au lieu d'enseigner les élèves à apprendre par eux-mêmes se bornerait à leur enseigner des matières, des items d'un savoir labile.

  • La liberté est l'essence de l'amour qui est le sujet premier & final des spiritualités & des religions au moment de leur début. Ensuite il est impossible de cristalliser le spirituel. C'est comme vouloir capturer le vent. Lorsqu'on le capture il cesse d'être le mouvement qui est sa seule réalité. Un lion en cage n'est plus un lion qu'en potentiel, pas en actuel ou en actes. Ce qui importe au méditant, c'est l'acte. En tant que prédatrices les lionnes du lion harmonisent tout l'écosystème qui les nourrit au moyen d'un prélèvement taxe sur les plus faibles. C'est cruel & nécessaire. Les méditants & les personnes spirituelles sont pour leur part des producteurs tendant à retourner à la très grande activité des végétaux en conditions naturelles. Les plantes pour peu qu'on les laisse libres végètent, produisent, transmutant le soleil, la pluie & le vent en matière vivante en moyenne 12 heures par jour. Le lion quant à lui dort 15 heures par jour. On voit donc que les plantes sont plus actives.

 

  • c. Les perceptions, le cœur & le geste s'unissent. / p1K
  • convergence de formes entre une bouture de saule & un pêcher issu de graine

c) Les perceptions, le cœur & le geste s'unissent.

  • Pourquoi parler de prier & méditer dans un blog dont le sujet est l'agrinature?

L'agrinature est une activité en laquelle les perceptions, le cœur & le geste s'unissent.

  • Le non-mental du Zen se rapporte au non-faire du Tao. Est-il besoin de croire en Dieu pour prier ou méditer ? La question est absurde puisque seulement en décrivant Dieu pourrions-nous y répondre. Ce n'est pour le moins pas aisé. Donc en première approche la réponse à la question est non, ce n'est pas indispensable. Croire est un mot incertain. La question à poser est plutôt de déterminer en quoi ou qui nous plaçons notre foi & quel retour nous pouvons en espérer. Autrement dit, celui ou celle en qui nous avons foi ont-ils foi en nous?

La pratique de la concentration & de la contemplation qui sont les étapes vers la méditation, est la manière d'entrainer le mental à se taire lorsque nous n'avons pas besoin de son service. Ainsi pourrons-nous l'utiliser avec d'autant plus d'acuité dès que nous devrons le solliciter pour un tâche précise.

  • Il est d'intérêt de plus au silence du mental pour se garder des soucis & tracas. De par sa nature duale, dès que nous ne l'employons pas pour une tâche précise, un mental agité se tournera vers le passé pour regretter ou le futur pour s'inquiéter - & devinez : il peut même faire les deux en simultané! Lorsque le mental cesse son agitation inutile, lors le Soi peut s'exprimer. Le Soi a la même allure que le moi, mais libéré de l'ego. C'est une entité couramment considérée dans les voies d'Orient comme le bouddhisme ou le Védanta. Le psychiatre suisse Carl Gustav Jung partit à la recherche du Soi & le trouva.

Son maître Sigmund Freud parlait quant à lui du Ça qui en Orient est une notion ouvrant vers le Soi. Le Ça est communément nommé l'inconscient. Il s'agit plutôt d'un supra-conscient. Nous pourrions le nommer le "moi supérieur" si l'expression n'était pas un oxymore. L'idée est simple : elle est celle que l'ego nous limite, limite nos capacités du fait qu'il est en constance torturé de regrets, soucis, souhaits & inquiétudes. Déclarer que l'on veut quelque chose c'est aussi dire que nous ne l'avons pas. C'est ainsi que la volition sans contrôle génère l'inquiétude, l'incapacité au calme. Le Soi pour sa part ne connait que le présent & c'est pourquoi le mental doit se taire pour que le Soi puisse s'exprimer : ils ne vivent pas la même temporalité, la même dimension de l'être.

  • Approcher la méditation donc c'est laisser parler le Soi, le Ça. Ceux-ci lorsque nous leur donnons la chance de nous dire ce qui est, sont sources :

d'inspiration, d'intuitions, de perception directes, de prémonitions & de mémoires fines.

  • Prier est une activité un peu différente. Elle consiste à contacter le Soi pour communiquer en direct au plus haut niveau avec d'autres personnes ou entités. La prière est aussi le recours de ceux qui n'ont plus de recours.

Pour initier les enfants par exemple l'adulte peut guider leur méditation. C'est une activité qui se nomme "s'assoir en silence". Le guide peut emmener mentalement les jeunes en une randonnée imaginaire ou leur faire visualiser la lumière emplissant leur être. Pour conclure le sujet disons que bien que très spirituelles, prière & méditation sont des domaines qui touchent vraiment & avec intensité au concret de nos vies & même à notre corporéité d'êtres incarnés. Tout comme concevoir & agir concourent ensemble à réaliser un projet.

  • Ainsi méditer & agir ne sont que les deux aspects d'un acte portant, d'un agir potent.
 
erixbd le 12/02/2019 : Les bouddhistes voient très bien cela. Le lien entre introspection, méditation & ouverture vers l'extérieur & la nature est réel, où quant se regarder l'esprit ouvre une fenêtre sur l'extérieur.
  • "Ils sont depuis 6000 ans en dehors de la société. Ils sont maitres de la matière & font le nécessaire pour que la connaissance universelle aide l'humanité à comprendre son essentiel à l'équilibre & l'harmonie. S ils se cachent c'est de cette même humanité qui interprète la connaissance à des fins de profits. Une armée dont la devise est tout pour la vie rien pour la mort veille à ce que ces maîtres de la matière ne soient pas menacés." (Paradine tome 6)
Aieducœur! Éduquons,c'estuneinsulte? hauteureuman p2K

chou & pomme de terre dans l'herbe / La clé du non-désherbage (2) est un sol nourri pour la culture en cause. On l'obtient au moyen du couvert permanent engrais-vert EVA (3).

  • hauteureman

L'hôte heureux ment.

  • d) "Aie du cœur!" - Éduquons, c'est une insulte?

Doit-on dire éducateur, éducatrice, éduqueur ou éduquons?

Quoiqu'il en soit il faudra qu'il, qu'elle ait du cœur.

"Aie du cœur!" Cela sonne comme "Aïe!" tant est-il que la compassion y est utile

- cette empathie ou compassion qui nous font ressentir ce qu'un autre éprouve.

"Aïe!" Cela sonne comme "l’ail" tant est-il que la santé est en cause

- compte-tenu du fait que l'ail cru est un puissant stimulant de l'immunité.

  • La santé se définit dans les 3 sphères - du corps, du mental, du cœur.

Le cœur se décline dans les 3 sphères également - le conscient, la conscience, l'universel.

  • En tant que centre habité de neurones en lui convergent les informations du cerveau entérique & de la tête pour la régulation & coordination des diverses fonctions vitales.
  • En tant que centre hormonal il interagit avec tous les organes du corps en émission & réception.
  • En tant que centre des énergies subtiles en lui peut s'opérer la synthèse des perceptions (5), des émotions (4) & du mental (3).

En tant que centre de conscience en lui peuvent se tisser :

  • le lien de protection impulsé par l'ego (3),
  • celui du don impulsé par l'amour (1)
  • & l'aspiration désir à se défaire des liens, que toute vie individuelle contient, propulse, promeut (2).

La compassion consiste à souffrir avec, entrer en empathie, ressentir la joie ou la douleur de l'autre, découvrir que l'autre ne l'est pas.

  • Donner à un jeune - nous les nommons enfants lorsque nous voudrions qu'ils se taisent, ne fassent rien, ne pipent mot, se réduisent à quelques fonctions physiologiques que nous saurions gérer - le gîte, le couvert & l'enseignement, ne suffit pas à faire de nous des "aie du cœur".

Expressions individuelles de l'être, ils & elles aspirent à l'expansion du cœur - & nous supposément adultes ayant traversé déjà leurs vicissitudes ou d'autres du même tonneau sommes présents à les accompagner.

C'est là notre présent. C'est une position égale à celle du jardineux de la jardineuse qui :

  • sèment & ne savent qu'ensuite
  • attendre, observer, voir éclore
  • & par grâce s'émerveiller.

---

Enfant, du latin "infans", pour "non fans"in farer", "qui ne parle pas", issu du verbe grec "fémi" "manifester sa pensée par la parole".
Dictionnaire Godefroy (IXe - XVe siècle) : "enfant"
jeune homme noble non encore adoubé chevalier.

  • du latin "infantem" & de "infans" dans le dictionnaire "Thrésor de la langue Française"
    "Et encores en use tant au singulier qu'au pluriel pour ces mots, Filius, Filia, et Liberi"/…/ Et nous en France, appelons enfans de France ceux-là mesmes, et filles de France les femelles" Cet "enfans" plus précisément le "in" "farer" ou encore ce "non farer", qui ne parle pas. "Enfant fils ou fille par rapport aux père & mère vient du latin "infans", pour "non fans",  de fari,  parler,  du grec "phaô". Nota : Le verbe latin "fare", issu du verbe grec "phémi" ("φημι"  donnera "for", le verbe défectif : "for intérieur"... qui parle en soi.   "Non eram infans qui non farer" je n'étais pas un enfant privé de parole  dit Saint augustin .

le "kid" / Fille ou garçon est indifférencié pour les "infans", bien que dans certaines provinces le mot "enfans" ne désigne que les enfants mâles  :  "Enfans et infans aussi se disent des males et non pas des femelles,  selon quelques uns"

  • Le nord prend "kinder", ou "kid", ou encore "child" pour les saxons au sens du "sein" depuis le mot gothique "kilthe - les entrailles -  du Sanskrit "jathara", le ventre.  Le Nord, patrie de la loi salique, choisit le "sein", les "entrailles". Au XVIe siècle apparaît le  "bambin", de l'italien, "bambino" & bambina d'un radical onomatopéique, terme familier désignant le petit, garçon ou fille.

En sanskrit "putra"   désigne le "petit", le "fils", un "enfant", et donne le latin "puer". En sanskrit "pati" est le maître, et "pa" est celui qui protège, mot qui donnera le persan "pidar", le père, puis le "pater" ("πατηρ" ) en Grec, puis en latin.

  • En grec le "nepios" ("νηπιος")   désigne ceux qui sont en bas âge, la plus tendre enfance, en étendant la signification aux animaux, avec la connotation de puéril, enfantin.

En grec classique,  outre le mot "pais" ("παις") l'enfant  "né de", désigne le fils ou la fille, avec le mot "teknon" ("τεκνον" ) "le rejeton", qui "est produit", et le "teknopoios ("τεκνοποιος"), du grec "poieô" signifiant "faire",  en parlant de la femme prend le sens de "enfanter", ou "donner naissance", au sens de "créer pour soi", "se procurer" "acquérir". De plus "poiéô paida" ("ποιεω παιδα") signifie "créer un enfant" lequel sera surtout de sexe masculin.

  • Un enfant n'a donc pas la parole. Lorsqu'il sera "pensant" et "exprimant" alors il sera en espagnol, un "idalgo", un "prince" ... un "Nino", ou une "nina".... Et en, France un garçon ou une fille....

    Au moyen âge enfant est : "enfez" ou "enfes"  :
           Enfès est de deux manières                              Il est deux type d'enfant
           Car li home puet bient être enfes par eage    car l'homme peut être enfant par âge
           et vieil par bone vie                                           Et vieux par douce vie
           et cist home est enfès en les faiz                      et cet homme est enfant en les faits.

C'est parce que l'infant (ou "infans") ne peut régner que l'on a institué la régence. Celle de Louis XIII assurée par Marie de Médicis la veuve d'Henri IV  , coûta si cher aux affaires de France.

  • L'enfant, nommé drôle,  est roué, pas très net, du néerlandis "drol" le lutin  .

les "jeunes" - De nos jours, un enfant qui est amené à conduire son destin alors qu'au sens social, il ne parle pas encore ne peut hélas ni se tourner vers un régent, ni vers un pédagogue.  Mais si l'on postule que l'enfant est celui qui reçoit, alors grâce à l'accord existant entre l'institution, ses parents et celui qui exerce le ministère d'"instituteur" , alors ainsi cadré il ou elle peut d'abord apprendre à connaître et à s'exprimer et donc d'instruit, devenir étudiant ou étudiante. Dans un pays démocratique, l'enfant n'a de statut sinon celui de ne pas parler…  selon la charte des "droits de l'enfant" adoptée à l'unamimité par l'ONU.

  • libre par les livres - Un enfant à Rome avait le statut d'infant jusqu'à ce qu'il enlève sa "robe prétexte" & la "bulle" qui conjurait.  Le latin "praetexo" signifie "border" & la "praetexta" est la robe ou toge "pretexte" blanche bordée de rouge  .  Rouge, du sankrit "rudira  ", rouge, sang, donne le grec "eruthros" ("ερυθρος")   Plus tard cet "infans" est un individu & devient une personne lorsqu'il franchit les étapes de l'instruction, puis de l'étude.... Il devient en latin un "puer" ou "doule" ou encore "puella" ou le "liber" des latins dépendants de la "libraria" !

La "puella"  , en latin est une "puer-ula"  une petite fille  & un "adolescentulus" est un tout jeune homme.

  • la pucelle,  la puelle :  le cantique de Sainte Eulalie (IXe siècle) :

    Buona pulcella fur Eulaia,                          Bonne pucelle (puella) fut Eulalie
    Bel avret corps, bellezour anima              Bel avait corps, plus belle âme.
    Voldrent la veintre li Deo inimi,               Voulurent la vaincre les (de) Dieu ennemis,
    Voldrent la faire diavle servir.            Voulurent (le) diable servir.

L'enfant et les "parens", même souche latine - Le "puer" latin est issu probablement du grec "paulos" ("πωλος" ) qui désigne le poulain ou tout autre petit d'animal, et également la jeune fille ou jeune femme, et pour Eshyle un jeune garçon, sans toutefois assurer que le lien avec le mot grec "pais" ne soit clairement établi  .  Cet enfant, le "puer" latin vient du verbe latin "parere" comme l'indique Doderlein  : enfanter, accoucher, mettre bas, engendrer.  "Parere" donne en latin "parens  " désignant le père ou la mère, les grand parents, l'aïeul, les parents, les proches.

  • Ludwig Döderlein présente les paradigmes du mot enfant.
    "Dans son acception générale, "puer"  l'homme dans ses années de dépendance, tant qu'il n'est ni ne peut être père de famille se divise en trois périodes :
           1 - A partir de la première année : Enfans ou enfant, en grec "népios" ("νηπιος"),
                 ou "Paidion" ("παιδιον") :  le jeune peu apte à dire ce qu'il veut, à discerner le vrai du faux.
           2 - A partir de la septième année : "Puer" au sens restreint de jeune garçon,
                  et "pais" ("παις") en Grec : le jeune après l'âge de raison de 7 ans, qui commence à affirmer son être, à se définir comme individu
           3 - "adolescens"  puis jeune homme ou en grec "méirakion" ("μειρακιον")
                  ou "meirakiskè" ("μειρακιςκη"  , la jeune fille), et "néanias" ("νεανιας" ) : le jeune après la puberté à 14 ans, capable d'enfanter au sens biologique du verbe, mais pas déjà assez mur pour conduire sa maison en indépendant.
  • On étendait l'adolescence autrefois jusqu'à 28 ou 29 ans.

Le "liber" latin : "Affranchi de charge" & la "partie vivante de l'écorce"

  • d'une part celui qui est de condition libre, enfant ou non, et par là affranchi de charges
  • et d'autre part un écrit composé de plusieurs feuilles. L'étymologie du mot "livre" vient de l'écorce d'arbre, premier matériau sur lequel on notait, puis désigne ensuite l'assignation de la tâche vouée à noter les dépenses au sens du mot "phero" grec.

Le "liber" latin, au sens de "l'affranchi de charge" se retrouve dans l'épitre de Paul aux romains  qui implore la libération le l'âme emprisonnée dans le corps.
       "Infelix ego homo: quis me liberavit de corpore mortis huiua." 
Ecrit depuis les mots grecs :
       "Ταλαιπωροσ εγω ανθρωποσ: τισ με ρυσεται  εκ του σωματοσ του θανατου τουτου" ;
       "Malheureux homme que je suis ! Qui me délivrera de ce corps qui me voue à la mort?"

  • Bien que concernant ici la mort, le sens du mot "liber" ("liberavit") prend ici tout son sens : l'évolution, séparation de l'écorce.  Cet intitulé est celui reprit par Jean Sébastien Bach dans sa cantate éponyme  :  "Ich elender Mensch, wer wird mich erlösen"  reprenant ainsi, en partie, celui de sa cantate 21 où il décrit des rapports, voire a contrario les attachements entre âme & cœur.

Le "liber" latin est par là, l'enfant qui se libère de la contrainte du "puer" pour devenir un "adolescens", c'est à dire celui qui croît & ainsi se transforme.  Le "Liber Pater" est un culte dont le nom chez les latins était rapproché d'un des surnoms de Dionysos, Lyaeos le libérateur  ou celui qui délie. On célébrait en son honneur les "libéralia".  Le "librarius" latin était la tâche de celui à qui on assignait le travail de copie: le "scriptor librarius".

 

erixbd le 25/02/2019 :  La recherche de soi pour l'équilibre, l'harmonie & le don repose toujours sur 3 points. La démonstration est faite en mécanique ou le plan stable doit toujours s'appuyer sur 3 point. Chaque action, pensée, orientation doit se penser en 3 arguments. La vie se construit en triangulation.

  • marssfarm : C'est ce qui est nommé le triangle indéformable de l'amour. L'équilibre, l'harmonie & l'affirmation. Toi, moi & le troupeau. Le groupe est bien plus que la somme de ses individus. Le groupe est sans limite, sans début ni fin.

 

e. la conscience / 3p1K

Les messicoles sont des plantes qui calèrent leur cycle sur celui des céréales d'automne semées en août, assurant parmi les adventices de la prairie-céréale des fonctions aussi discrètes qu'essentielles : couvert du sol (3), équilibre sanitaire (4), recyclement des toxines (2), nourrissement des habitants du sol (1), & pédogenèse (5).

  • e) la conscience /

“Ici, nous tenons à être parfaitement clairs et honnêtes: nous n’avons pas démontré scientifiquement quoique ce soit. Nous avons cependant mis en évidence que la conscience a des capacités beaucoup plus étendues que celles qui sont communément admises. Des facultés que la science actuelle ne peut pas expliquer. Nos expériences confirment qu’il est possible d’accéder à des informations sans passer par nos cinq sens. Selon le ressenti de nos “expérienceurs”, il s’agirait parfois d’une délocalisation de la conscience. Mais nous laissons ce point-là à la subjectivité. Même si, au niveau personnel, nous sommes ouverts au concept d’âme, ce mot a une connotation religieuse qui sort du cadre scientifique. Nous préférons parler, pour ce qui touche à ces phénomènes, de conscience. On ne peut donc pas parler de “preuve” de l’existence de l’”âme”. Mais on peut parler d’un “faisceau d’évidences” qui nous amène vers cette possibilité.”

  • Sylvie Dethiollaz - Sciences & religions

La conscience, nous en avons tous une expérience intime et singulière, mais que savons-nous réellement de ses "états modifiés" et de ce qu'il est convenu d'appeler les "expériences de sortie de corps"?

Nous nous interrogeons sur la conscience et si le XXe siècle a voulu à toute force la réduire à un phénomène matériel, contredisant des siècles de tradition, le XXIe siècle pourrait bien bouleverser nos conceptions et nous faire changer de paradigme après ce nécessaire passage par une science purement matérialiste.

Texte lu : Charles Baudelaire, Elevation, Les fleurs du mal

  • A signaler : Le Salon Ecritures & spiritualités  le 4 mars 2017 de 14h à 18h30, la Mairie du 6ème arrondissement de Paris. 100 auteurs de toutes sensibilités spirituelles, Virginie Larousse, Poésie & Religions, Leili Anvar, Emmanuel Moses, Gabriel Ringlet.

Les Discussions du soir - Leili Anvar -  Aux limites de la conscience - 01/03/2017

  • Advaita non-duality
  • Atman indwelling divinityĀtman Self-inquiry (ātma-vicāra)‘Who am I?’ :the luminous Self, associated with the mind as the onlooker, or witness the witness-self (sāksin)the enjoyer, (neti neti ātmā). source of the  ‘I-consciousness’.
  • Brahman, the ultimate reality,pure consciousness (prajñānam brahma).consciousness  absolute (brahma-caitanya),sat-cit-ānanda:pure consciousnessabsolute undivided, unmoved, unchangingof whichmind & senses are instruments. Cit  supreme unconditioned 
  • memory (citta)karma yoga. selfless action
  • intellect (buddhi), sheath of the intellect (vijñānamaya kośa). (buddhi)  the cognitive or determinative mind, along with the 5 organs of perception. to discriminate between subject & object (drg-drśya-viveka); 
  • mental sheath (manomaya kośa),comprises the volitional or deliberative mind as well as the 5 organs of perception  (manasthe mind—endowed with volition & emotion.contemplate,manana
  • cosmic (īśvara-caitanya),human consciousness Brahman united with maya as the Creator, Preserver, & Destroyerhighest realization of pure consciousness,  nirvikalpa samādhi.
  • individual consciousness  (jīva-caitanya), the empirical self (jīva-caitanya) that reincarnates with the subtle & causal bodies
  • indwelling consciousness  (sāksi-caitanya).
  • sense of egoism (ahamkāra
  • twin faculty of concealing the reality & projecting the apparentthe veil of maya,
  • 3 bodies: the gross, subtle, & causal, respective mediums forthe 3 states of consciousness waking, dream, & dreamless sleep
  • subtle body composed of 3 sheaths vital, mind & intellect.

2) les 4 groupes fréquence de la conscience univers p40K

Publié le 19/03/2019 à 09:27 par agrinature Tags : agrinature fukuoka air you gain search image centerblog course saint rose nature centre

2) les 4 groupes fréquence de la conscience univers

2 les 4 groupes fréquence de la conscience univers p40K
  • La centaurée bleuet (1), la chrysanthème marguerite (2), le pavot coquelicot (3),le ray-grass ivraie (4), la renoncule bouton d'or (5), & le trèfle rose (0) sont 6 messicoles sans lesquelles une culture de blé épuise son sol.

f. les 4 groupes fréquence de la conscience univers

  • absolute consciousness (brahma-caitanya),
  • cosmic consciousness (īśvara-caitanya),
  • individual consciousness (jīva-caitanya),
  • & indwelling consciousness (sāksi-caitanya).

There is a substratum finer than energy (prāna), called brahma-caitanya or sat-cit-ānanda:

  • absolute existence (sat),
  • pure consciousness (cit),
  • & bliss (ānanda).

In other words, pure being is Self-aware & of the nature of pure conscious-ness & bliss, or ‘loving consciousnesses.

  • 1. From pure consciousness, which is of the nature of absolute bliss, all beings arise, by it are they sustained, and it they reenter at death.’ For those of us who possess ordinary human consciousness, however, only the world-appearance of name and form is manifest to the mind and senses. In our ignorance, we see the cat, not Brahman.

2. īśvara-caitanya, or Brahman united with maya. The personal God, according to Swami Vivekananda, is the highest reading of the Absolute by the human mind.

  • 3. individual or human consciousness, jīva-caitanya. The superimposition of the ego-idea upon pure consciousness is the individual’s first plunge into the whirlpool of maya. Vedanta says that the lie of separateness—the claim that ‘I am I (the lower I)’—is the initial act that produces the chain reaction of further superimposition and entanglement. Considering ourselves ‘individuals’ implies considering everything as ‘individual’. This attitude inexorably superimposes a world of multiplicity upon the one, undivided reality.

4. sāksi-caitanya. The witness-self transcends the changing states of the mind, neither suffering nor enjoying the mental and physical conditions of human existence. After realizing the witness-self, an aspirant returns to normal consciousness with a transformed mind. Such a soul perceives itself and the universe through a mind composed of finer matter. Like a sheet of glass, through which sunlight can pass unobstructed, the mind in this state allows the light of consciousness to reach the body and its organs unimpeded. As the witness, one perceives one’s Self to be distinct from the body and mind, which are clearly recognized as objects of perception. One knows, beyond doubt, that it is the self-luminous Atman that governs one’s entire psycho-physical being. The Self is realized as ‘the Ear of the ear, Mind of the mind, Speech of the speech … [as] also Breath of the breath, & Eye of the eye.’ This witness-self is known as the ‘inner controller’ (antaryāmin), as the rider within a chariot-body. The charioteer is the intellect (buddhi), & the reins are the mind—endowed with volition and emotion. The senses are the horses; the roads they travel are the mazes of desire. The wise call the Self the enjoyer, when he is united with :

  • the body, the senses, & the mind.
There is the heart, & within the heart, there is a little house. This house has the shape of a lotus, and within it dwells that which is to be sought after, inquired about, and realized. … Though old age comes to the body, the lotus of the heart does not grow old. At the death of the body, it does not die. The lotus of the heart, where Brahman exists in all his glory—that, and not the body, is the true city of Brahman.
Human beings are comprised of 3 bodies : the gross,the subtle,& the causal,

which are the respective mediums of experience for 3 states : our waking,dream,& dreamless sleep.

The gross body annamaya kośa or ‘sheath of food’ is born, grows, transforms, decays, & dies. The subtle & causal bodies are what reincarnate from birth to birth.

The subtle body is composed of :

  • the vital sheath (prānamaya kośa), the life force that operates the autonomic nervous system, thus controlling :
  • respiration (prāna), excretion (apāna), & digestion (samāna),
  • & also various functions of the cerebro-spinal system such as exertion (vyāna) and growth,
  • & moreover, mediates the soul’s departure from the body at the time of death (udāna).

the mental sheath (manomaya kośa), comprising the volitional, or deliberative mind,as well as the 5 organs of perception;

& the sheath of the intellect (vijñānamaya kośa)(buddhi)the cognitive or determinative mind, along with the 5 organs of perception.

  • Through the buddhi, or cognitive mind, all other faculties of the mind, whether volitional or emotional, receive their light. However, as already mentioned, the buddhi simply permits the passage of the light of the witness-self (sāksin) and thus appears to be self-luminous. Vedanta claims that though the buddhi is located in the heart within a tiny space (ākāśa) ‘about the size of a thumb’, the witness-self dwells even deeper within our being, within the buddhi itself. Therefore, the buddhi—only one step away from the witness-self—is still identified with the non-Self and asserts itself as the knower and the doer within the mental & vital sheaths, & functions as the empirical self that reincarnates.

Human cognition exemplifies how the various mental faculties function together within the mental and intelligence sheaths. According to Vedanta, cognition is a 4fold operation:

  • First, the deliberative faculty of the mind (manas) asks: ‘What is this object?’
  • The memory (citta) attempts to recall similar objects.
  • Then, the determinative faculty (buddhi) is able to ascertain: ‘It is a desk.’
  • Finally, the sense of egoism (ahamkāra) makes the association: ‘I am sitting at the desk.’

Throughout the cognitive process, however—whether we know it or not—the light of the Self, shining through the buddhi to the organs of perception, reveals everything that we experience. William M Indich, in his book Consciousness in Advaita Vedanta, explains: ‘In visual perception, then, Brahman intelligence reflected in mind is extended out along the medium of the organ of vision, which Advaitins claim is the nature of light (tejas) … contacts an object, assumes its form, and reveals it as known.’

This Upanishadic model of the 5fold sheath. / steps to Consciousness

  • discrimination between the eternal and non-eternal;
  • renunciation of the tendency towards sensual enjoyment;
  • cultivation of the 6 treasures :

tranquility, self-control, mental poise, forbearance, faith & self-surrender,

  • & desire for liberation. Though all 4 qualifications work together as methods for refining, stabilizing, and elevating one’s mind, for the sake of brevity, we will focus only on the first two.
  • Vedanta scriptures exhort aspirants to first hear the truth -  śravana,
  • then contemplate it -   manana,
  • & finally meditate upon it - nididhyāsana.

To strengthen & unsheathe the buddhi from its weakening and covering delusions.

Self-inquiry (ātma vicāra) is the practice :

  • of probing into the nature of the seer & the seen
  • to end the identification between the subject & the object (drg-drśya-viveka);
  • of rigorously analyzing the 3 states of consciousness -
  • waking, dream, & dreamless sleep - in order to gain insight into that which is common to them, the witness-self;
  • & of methodically examining the 3fold body & 5fold sheath in order to renounce one’s outer coverings and trace one’s ‘I-consciousness’ back to its source, the Self. These spiritual disciplines demand the utmost clarity of intellect and willpower—the sword of discrimination being ever unsheathed to pierce the subtle delusions of the mind. As long as identification with the body is not totally wiped out. Neither sleep nor concern about secular matters nor attachment to sense-objects should be given the slightest opportunity to let one forget the nature of the real Self.’

The discrimination & renunciation of a spiritual aspirant is tested through the practice of karma yoga. In the field of selfless action one attempts to drive home the non-dual Vedanta perception of reality through dedicated action and, in doing so, learns how much the Advaita Vedanta ideal is actually instilled & reflected in one’s unconscious habits & reactions.

  • Seclusion can be a safe haven for a practitioner of Vedanta—in it one feels comfortable with one’s own spiritual prowess—but in the field of action, shortcomings and weaknesses quickly manifest and are, therefore, easier to detect and eradicate.

For this reason, including the practice of karma yoga in one’s daily life is more beneficial than limiting one’s spiritual disciplines to only study and meditation. At the same time, the practice of karma yoga unaccompanied by regular meditation quickly deteriorates into mere meritorious acts of karma.

  • Advaitic meditations vary according to the temperament & capacity of the aspirant. With repeated practice, Self-inquiry (ātma-vicāra) advances to a meditative state. The practice of constant self-awareness—witnessing each state of consciousness—is the pratibodha technique of mindfulness, known also as vipaśyana. Its roots can be found in the Kena Upanishad: ‘Brahman is known when It is realized in every state of the mind; for by such Knowledge one attains Immortality’ (pratibodha viditam matam). Behind all thought & action is the witness-self, which also becomes manifest to the aspirant who, when sufficiently advanced, can at will sustain the interval between 2 thoughts.

Brahman is the soul in each; he indeed is the Self in all. He is all.’

  • By uninterrupted meditation on these great Vedic dictums, desires are obliterated, and we receive the highest realization of pure consciousness, known as nirvikalpa samādhi.

Cit is pure consciousness Itself. Mind is Consciousness plus Unconsciousness, the intermingled Consciousness- unconsciousness which we see in all finite being.

---

  • Consciousness in Advaita Vedanta  Pravrajika Brahmaprana

Wandering mendicants greet each other: ‘Om. Is your vision clear?’ ‘Om’ is a salutation to the indwelling divinity, or Atman, within all beings. ‘Is your vision clear?’ is a sober reminder: Are we seeing the world as it truly is or, rather, as it appears to be? The vision that comes from spiritual insight completely transforms the perception of who we are, what this world is, and what our relationship to it is. A person who has such insight is known in Sanskrit as a rsi, or ‘seer’.

The Upanishads say that Brahman, the ultimate reality, is pure consciousness (prajñānam brahma). But, so long as this empirical world of multiplicity exists for us, consciousness remains a mere philosophical concept with different categories.

In Advaita Vedantaconsciousness is classified as absolute (brahma-caitanya), cosmic (īśvara-caitanya), individual  (jīva-caitanya), & indwelling  (sāksi-caitanya). However, distinctions are due to limiting adjuncts (upādhis) & not intrinsic to the true nature of consciousness, which is by itself one & non-dual. There is a substratum to this universe, even finer than energy (prāna), called brahma-caitanya. The very nature of it issat-cit-ānanda:
  • absolute existence (sat), pure consciousness (cit), & bliss (ānanda).

In other words, pure being is Self-aware & is of the nature of pure conscious-ness & bliss, or ‘loving consciousnesses.

How did absolute consciousness—undivided, unmoved, & unchanging—become this world of multiplicity & change? The great seer & philosopher Shankaracharya resolved this paradox with his theory of superimposition, vivartavāda. From the ultimate standpoint, absolute consciousness did not become this world; it only appears to have done so. Shankara gave the classic example of the snake & the rope:

We see a snake on the road at night, but as we approach the snake & flash a torch on it, we realize that it is actually a rope.

This snake-universe is a superimposition upon the rope-Brahman. There is no more causal relationship between this world-appearance and Brahman than there is between the snake and the rope. However, the universe has no existence apart from Brahman, just as the snake has no existence apart from the rope.

Since it is possible for a rope to be mistaken for a snake, it is also possible for something to apparently exist without being real. Advaita Vedanta states that this world is & is not. By is not, it is not suggested that the world is an illusion without a basis, a shadow without substance, or a void. It means that the world as it appears to us is unreal because this world-appearance has no absolute existence. But for a rsi whose vision is clear, the world is ever real because it is, essentially, nothing less than Brahman mistaken as a world of matter. This cosmic superimposition of the unreal on the real is due to maya, which literally means ‘that which measures the immeasurable’.

  • To show its twin faculty of concealing the reality and projecting the apparent, maya is often compared to a veil, a cloud, or a screen, as well as a magician’s trick.

Advaita Vedanta is not mere philosophical speculation or theory; it has direct experience as its basis as well as ultimate proof. To lift the veil of maya, Advaita Vedanta exhorts the spiritual seeker to take the testimony of the scriptures (Vedas) & illumined souls, use reason, reflection, & meditation, & attain direct experience. These are the compasses, maps, & sails needed to steer successfully to the highest union with Brahman. One must transcend the effects of maya in order to know the nature of its cause.

  • How does a knower of Brahman perceive this world-appearance which is & is not? *

Swami Shivananda, a disciple of Sri Ramakrishna, one day disclosed the answer to his attendant, who noticed how the swami reverently saluted all who entered his room, regardless of their social position or spiritual stature. ‘When somebody approaches me,’ the swami conceded, ‘first of all I see that particular effulgent form of God through which He reveals Himself in that particular personality. The persons themselves appear indistinctly like shadowy beings, while the divine aspect itself appears vivid and living. That’s why I make my obeisance. The divine forms disappear after my salutation, and then only can I see the human figures distinctly and recognize them as well.’ One day, Swami Shivananda even saluted a cat, explaining afterwards to his attendant that he first saw Brahman as pure consciousness at play in all forms, including the cat’s, & then recognized the difference as only in name.

  • This level of realization stems from a great Upanishadic truth: ‘From pure consciousness, which is of the nature of absolute bliss, all beings arise, by it are they sustained, and it they reenter at death.’ For those of us who possess ordinary human consciousness, however, only the world-appearance of name and form is manifest to the mind and senses. In our ignorance, we see the cat, not Brahman.

The 2nd type is called īśvara-caitanya, or Brahman united with maya as the Creator, Preserver, & Destroyer of this universe. With the purpose of explaining what īśvara-caitanya is, Brahman may be called the ultimate cause of the universe because, due to maya, the world-appearance is superimposed upon it. But Brahman can neither transform itself into the world nor create it, since that which is absolute reality, by definition, must transcend action and change. Therefore, Vedanta introduces the creative principle of Ishvara—Brahman united with maya—to explain the process of this universe’s creation, preservation, and dissolution, which is without beginning and without end. Ishvara is God with attributes. The personal God, according to Swami Vivekananda, is the highest reading of the Absolute by the human mind.

  • ‘Are there 2 Gods then,’ we may ask, ‘one absolute and one personal?’ ‘No,’ Vedanta says, ‘Brahman appears as Ishvara when viewed through maya.’ ‘But,’ we persist, ‘what then is the difference between Ishvara and an ordinary human being?’ According to Vedanta, Ishvara is the wielder of maya—all-free, all-powerful, and all-knowing—whereas human beings are subject to maya because their freedom, power, and knowledge are limited. Human beings can become one with Ishvara, but they can never be individually the same as Ishvara.

This brings us to the 3rd type : human consciousness, or jīva-caitanya. The superimposition of the ego-idea upon pure consciousness is the individual’s first plunge into the whirlpool of maya. Vedanta says that the lie of separateness—the claim that ‘I am I (the lower I)’—is the initial act that produces the chain reaction of further superimposition and entanglement. Considering ourselves ‘individuals’ implies considering everything as ‘individual’. This attitude inexorably superimposes a world of multiplicity upon the one, undivided reality.

  • Initially, the ego-idea identifies itself with the body & mind, & with their attributes & actions. Instinctively we say: ‘I am young’, ‘I am short’, or ‘I am talking’. As the ego-idea reaches further out to claim external objects and conditions as its own, we find ourselves thinking and saying such things as: ‘I am an American’, or This property is mine’. As our superimpositions multiply, so do our extraordinary personal claims, such as ‘We are sending troops to the Balkans’, or ‘I carry health insurance’. Thus, the human ego continues to enlarge itself until it becomes identified with every known object in its universe, while the higher Self remains the detached witness to all these foolish shenanigans. At the same time, the Self makes them all possible by providing the mind with the light of consciousness, without which maya could not exist. In short, it is due to maya that we become identified with a psychophysical being—the shadow of our real Self.

‘Who am I?’ we may then ask. ‘What is my real nature? Like the world around me, am I a mixture of Brahman and maya—the real and the apparent, divine and human consciousness, Atman and jīva-caitanya?’ A passage in the Mundaka Upanishad describes the relationship of our true Self with the empirical self (jīva-caitanya):

Like 2 birds of golden plumage, inseparable companions, the individual self and the immortal Self are perched on the branches of the self-same tree. The former tastes of the sweet and bitter fruits of the tree; the latter, tasting of neither, calmly observes.

The individual self, deluded by forgetfulness of his identity with the divine Self, bewildered by his ego, grieves and is sad. But when he recognizes the worshipful Lord as his own true Self, and beholds His glory, he grieves no more. The state of one’s spiritual development does not matter; Vedanta upholds the real nature of every human being as the luminous Self, which is associated with the mind as the onlooker, or witness (sāksi-caitanya).

The 4th type is sāksi-caitanya. The witness-self transcends the changing states of the mind, neither suffering nor enjoying the mental and physical conditions of human existence. After realizing the witness-self, an aspirant returns to normal consciousness with a transformed mind. Such a soul perceives itself and the universe through a mind composed of finer matter. Like a sheet of glass, through which sunlight can pass unobstructed, the mind in this state allows the light of consciousness to reach the body and its organs unimpeded. As the witness, one perceives one’s Self to be distinct from the body and mind, which are clearly recognized as objects of perception. One knows, beyond doubt, that it is the self-luminous Atman that governs one’s entire psycho-physical being. In the mystical language of the Kena Upanishad, the Self is realized as ‘the Ear of the ear, Mind of the mind, Speech of the speech … [as] also Breath of the breath, & Eye of the eye.’ This witness-self is known as the ‘inner controller’ (antaryāmin), & is beautifully described in the Katha Upanishad as the rider within a chariot-body. The charioteer is the intellect (buddhi), & the reins are the mind—endowed with volition & emotion. The senses, say the wise, are the horses; the roads they travel are the mazes of desire.

  • The wise call the Self the enjoyer, when he is united with the body, the senses, & the mind.

Once the jiva identifies its real nature, the next step is to locate it. How and where does pure consciousness dwell within the body? The ancient Upanishads show us the precise location. ‘Within the city of Brahman, which is the body,’ the Chhandogya Upanishad discloses,

There is the heart, and within the heart, there is a little house. This house has the shape of a lotus, and within it dwells that which is to be sought after, inquired about, and realized. … Though old age comes to the body, the lotus of the heart does not grow old. At the death of the body, it does not die. The lotus of the heart, where Brahman exists in all his glory—that, and not the body, is the true city of Brahman.
Consciousness & the Psycho-physical System

In the Upanishads, we find the classic Vedantic model of the 3fold body, or 5fold sheath, which elucidates the nature of the gross and subtle layers of consciousness that exist within our psycho-physical being. Vedanta explains that every human being is comprised of three bodies: the gross, the subtle, and the causal, which are the respective mediums of experience for our waking, dream, and dreamless sleep states. The gross body (annamaya kośa or ‘sheath of food’ is born; it grows, transforms, decays, & dies.

  • The subtle & causal bodies are what reincarnate from birth to birth.

The subtle body is composed of :

  • the vital sheath (prānamaya kośa), mental sheath (manomaya kośa), & sheath of the intellect (vijñānamaya kośa). The vital sheath is the life force that operates the autonomic nervous system, thus controlling respiration (prāna), excretion (apāna), and digestion (samāna), and also various functions of the cerebro-spinal system such as exertion (vyāna) and growth. The vital sheath, moreover, mediates the soul’s departure from the body at the time of death (udāna). The manomaya kośa comprises the volitional, or deliberative mind, as well as the five organs of perception; whereas the vijñānamaya kośa (buddhi) is the cognitive or determinative mind, along with the five organs of perception.

Through the buddhi, or cognitive mind, all other faculties of the mind, whether volitional or emotional, receive their light. However, as already mentioned, the buddhi simply permits the passage of the light of the witness-self (sāksin) and thus appears to be self-luminous. Vedanta claims that though the buddhi is located in the heart within a tiny space (ākāśa) ‘about the size of a thumb’, the witness-self dwells even deeper within our being, within the buddhi itself. Therefore, the buddhi—only one step away from the witness-self—is still identified with the non-Self and asserts itself as the knower and the doer within the mental and vital sheaths, and functions as the empirical self that reincarnates.

  • Human cognition exemplifies how the various mental faculties function together within the mental and intelligence sheaths. According to Vedanta, cognition is a fourfold operation. First, the deliberative faculty of the mind (manas) asks: ‘What is this object?’ The memory (citta) attempts to recall similar objects. Then, the determinative faculty (buddhi) is able to ascertain: ‘It is a desk.’ Finally, the sense of egoism (ahamkāra) makes the association: ‘I am sitting at the desk.’ Throughout the cognitive process, however—whether we know it or not—the light of the Self, shining through the buddhi to the organs of perception, reveals everything that we experience. William M Indich, in his book Consciousness in Advaita Vedanta, explains: ‘In visual perception, then, Brahman intelligence reflected in mind is extended out along the medium of the organ of vision, which Advaitins claim is the nature of light (tejas) … contacts an object, assumes its form, and reveals it as known.’

This Upanishadic model of the 5fold sheath maintains that consciousness does not originate in the brain—nor even in the mind, for that matter, because the mind merely passes on the light of consciousness. The brain, the mind, and the body are merely physical mediums for the expression of consciousness. Moreover, the Yoga-Vedanta system of psychology asserts that thought, which is a specific type of consciousness, is a function of the mind, not the brain. ‘In the Vedantic view the mind is not a process;’ Swami Satprakashananda summarizes, ‘nor is it a function, or a state, or an attribute of something else. It is a positive substance, though not ultimately real. It has definite functions and states. It is one of the products of primordial nature, the potential cause of the universe, called prakrti or māyā, which has no consciousness inherent in it’ .

  • Yoga-Vedanta uphold the premise that one’s own consciousness—disciplined and refined through the path of yoga—is the clearest and most reliable lens for perceiving and grasping the nature of human and transcendental consciousness. For thousands of years mind and consciousness have been primary subjects of introspective investigation. Consequently, the rsis were able to develop sophisticated techniques for tracing the origin and nature of consciousness, which have been handed down from guru to disciple to the present day.
Approaches to Consciousness

How, then, can we attain pure consciousness, the light of the Atman, by which we obtain the clearest perception of reality? Shankara, the Advaita Vedantin, prescribes the four traditional methods (dhana catustaya) that, when perfected, mark the qualifications of a rsi:

  1. discrimination between the eternal and non-eternal;
  2. renunciation of the tendency towards sensual enjoyment;
  3. cultivation of the six treasures (tranquility, self-control, mental poise, forbearance, faith, and self-surrender); and
  4. desire for liberation. Though all four qualifications work together as methods for refining, stabilizing, and elevating one’s mind, for the sake of brevity, we will focus only on the first two.

Vedanta scriptures exhort aspirants to first hear the truth, then contemplate it, and finally meditate upon it (śravana, manana, and nididhyāsana). To incorporate this technique into spiritual practice, Swami Turiyananda, a direct disciple of Sri Ramakrishna, once taught a young monastic how to study the Bhagavad-Gita: ‘Take one verse at a time, meditate on its meaning, and live the verse for a week before going on to the next verse.’ By studying an entire scripture in this way, an aspirant refines and deepens the faculty of introspection, imbibes the spiritual truth of the passage, and thus activates and sustains a spiritual current of thought throughout the day. By developing subtlety of mind, one unleashes the powers of the mind.

  • To strengthen & unsheathe the buddhi from its weakening & covering delusions forged through many lives, the aspirant, under the guidance of a qualified teacher, also practices the method of negating all impermanent, unreal phenomena superimposed on the supreme reality (neti neti ātmā). Beginning with gross phenomena and gradually proceeding to more subtle elements, the aspirant, through logic and willpower, peels back the several layers of superimposition (adhyāropa) veiling the underlying reality of Atman-Brahman, and gradually renounces them all, both physically and mentally. This is a process that involves two steps: by negating the attributes of the non-Self, one unfolds the essential nature of the Self, or Atman; and by negating the conditions and qualities of the relative world, one discovers the nature of Brahman. Sri Ramakrishna demonstrated in his life the unconscious effects of this practice when steadfastly performed in a conscious and uncompromising way. ‘When I meditated under the bel-tree,’ Sri Ramakrishna confided to his disciple M, ‘I used to see various visions clearly. One day I saw in front of me money, a shawl, a tray of sandesh, and two women. I asked my mind, “Mind, do you want any of these?” I saw the sandesh to be mere filth. One of the women had a big ring in her nose. I could see their inside and outside—entrails, filth, bone, fresh, and blood. The mind did not want any of these—money, shawl, sweets or women. It remained fixed … [on] God.’

Self-inquiry (ātma vicāra) is probing into the nature of the seer & the seen to end the identification between the subject & the object (drg-drśya-viveka); of rigorously analyzing the 3 states of consciousness (waking, dream, & dreamless sleep) in order to gain insight into that which is common to them, the witness-self; and of methodically examining the 3fold body & 5fold sheath in order to renounce one’s outer coverings and trace one’s ‘I-consciousness’ back to its source, the Self.

  • These spiritual disciplines demand the utmost clarity of intellect and willpower—the sword of discrimination being ever unsheathed to pierce the subtle delusions of the conscious, subconscious, and even unconscious mind.

‘The discipline of negation must be practiced without intermission’, stipulates Swami Nikhilananda in his comprehensive ‘Introduction’ to Shankara’s Self-Knowledge (Ātmabodha), ‘as long as even a dreamlike perception of the universe and the finite soul remains, and as long as identification with the body is not totally wiped out. Neither sleep nor concern about secular matters nor attachment to sense-objects should be given the slightest opportunity to let one forget the nature of the real Self.’

  • Ramprasad, the Bengali poet-saint, wrote a song which Sri Ramakrishna used to sing, demonstrating how discrimination, when properly performed, enables the aspirant to retain the witness consciousness throughout the 3 states of consciousness:

Once for all, this time, I have thoroughly understood;
From One who knows it well, I have learnt the secret of bhāva.
A man has come to me from a country where there is no night,
And now I cannot distinguish day from night any longer;
Rituals & devotions have all grown profitless for me.
My sleep is broken; how can I slumber any more?
For now I am wide awake in the sleeplessness of yoga.
O Divine Mother, made one with thee in yoga-sleep at last,
My slumber I have lulled to sleep for evermore.

The discrimination & renunciation of a spiritual aspirant is tested through the practice of karma yoga. In the field of selfless action one attempts to drive home the non-dual Vedanta perception of reality through dedicated action and, in doing so, learns how much the Advaita Vedanta ideal is actually instilled and reflected in one’s unconscious habits and reactions. Seclusion can be a safe haven for a practitioner of Vedanta—in it one feels comfortable with one’s own spiritual prowess—but in the field of action, shortcomings and weaknesses quickly manifest and are, therefore, easier to detect and eradicate. For this reason, including the practice of karma yoga in one’s daily life is more beneficial than limiting one’s spiritual disciplines to only study and meditation. At the same time, the practice of karma yoga unaccompanied by regular meditation quickly deteriorates into mere meritorious acts of karma.

  • Advaitic meditations vary according to the temperament & capacity of the aspirant. With repeated practice, Self-inquiry (ātma-vicāra) advances to a meditative state. The practice of constant self-awareness—witnessing each state of consciousness—is the pratibodha technique of mindfulness, known also as vipaśyana. Its roots can be found in the Kena Upanishad: ‘Brahman is known when It is realized in every state of the mind; for by such Knowledge one attains Immortality’ (pratibodha viditam matam). Behind all thought and action is the witness-self, which also becomes manifest to the aspirant who, when sufficiently advanced, can at will sustain the interval between 2 thoughts.

In the Upanishads, there are symbolic Advaitic meditations known as vidyās, which train the mind of the aspirant to search beneath the coverings of various external objects—such as honey (madhu), the sun (āditya), and fire (pañcāgni)—their common spiritual core. In these meditation techniques, which focus on the relationship between the macrocosm and the microcosm, the practitioners attempt to identify their own centre of consciousness with Saguna Brahman (Brahman with attributes). For example, the madhu vidyā—meditation on honey, or sweetness, or bliss—begins: This earth is honey for all beings, and all beings are honey for this earth. The intelligent, immortal being, the soul of this earth, and the intelligent, immortal being, the soul of the individual being—each is honey to the other. Brahman is the soul in each; he indeed is the Self in all. He is all.’

Each successive step of the madhu vidyā meditation on water, fire, air, sun, space, moon, lightning, thunder, ether, law, truth, the human race, and the Self as madhu—focuses on the correlation between these respective elements, expanded to their universal aspects, and the Self within every being and the whole of creation. The intrinsic thread running through all is Atman-Brahman, the culmination of the vidyā or meditation. Sri Ramakrishna disclosed some of the meditations he had learned from his teacher of Vedanta, Tota Puri:

Nangtā [Tota Puri] used to tell me how a jnāni meditates: Everywhere there is water; all the regions above and below are filled with water; man, like a fish, is swimming joyously in that water. In real meditation you will actually see all this. Take the case of the infinite ocean. There is no limit to its water. Suppose a pot is immersed in it: there is water both inside and outside the pot. The jnāni sees that both inside and outside there is nothing but Paramātman. Then what is this pot? It is ‘I-consciousness. Because of the pot the water appears to be divided into two parts; because of the pot you seem to perceive an inside and an outside. One feels that way as long as this pot of ‘I’ exists. When the ‘I’ disappears, what is remains.

That cannot be described in words.

Do you know another way a jnāni meditates? Think of infinite ākāśa and a bird flying there, joyfully spreading its wings. Tree is the Cidākāśa and Ātman is the bird. The bird is not imprisoned in a cage; it flies in the Cidākāśa. Its joy is limitless.

Self-inquiry reaches at 1 point the intuitive knowledge of the 4 Vedic aphorisms (mahāvākyas) in the Upanishads:

  • ‘That thou art’ (tat-tvam-asi);
  • ‘I am Brahman’ (aham brahmāsmi);
  • ‘Pure Consciousness is Brahman’ (prajñānam brahma);
  • & This Self is Brahman’ (ayam-ātmā brahma).

Each of the 10 Vedantic monastic orders founded by Shankaracharya is associated with 1 of these Vedic dictums, which is transmitted from guru to disciple at the time of sannyasa. Before that, the novice undergoes years of rigorous spiritual training to purify the mind, in order that it may be receptive to these higher truths. At the time of sannyasa, when the guru utters one of the mahāvākyas, the disciple is then better able to receive the realization of truth that the mantra imparts. ‘The Self … is to be known,’ Yajnavalkya exhorts his wife Maitreyi in the Brihadaranyaka Upanishad, ‘Hear about it, reflect upon it, meditate upon it. By knowing the Self, my beloved, through hearing, refection, and meditation, one comes to know all things.’ By uninterrupted meditation on these great Vedic dictums, desires are obliterated, and we receive the highest realization of pure consciousness, known as nirvikalpa samādhi. The mind’s refection of pure consciousness reverts back to its source of light, the Self-luminous Brahman, just as our face, when reflected in a broken mirror, reverts back to our face itself. Subject and object—pure consciousness and perceived consciousness—become one. At last we discover that the ocean of pure consciousness that we had thought was outside ourselves is, in reality, within. We are by nature Brahman—eternal, free, ever-blissful—the One-without-a-second.

Mind & Consciousness in Western Psychology & Advaita Vedanta

The fundamental difference between Western & Eastern psychology is that the former does not, & the latter does differentiate Mind from Consciousness. On the contrary Western psychology interprets Mind in terms of Consciousness, that is Consciousness is the distinctive character of Mind. Where Mind and Consciousness are used as equivalents the one of the other, ordinary experience is of course meant and not pure Cit or supreme unconditioned Consciousness. The Western ‘Mind’ is something for which there is no adequate Sanskrit equivalent since the notions are different. When I speak of Mind in Vedanta I refer to what is explained later as the ‘Inner Instrument’ (Antahkarana) as distinguished from the ‘outer instruments’ (Bāhyakarana) or senses on the one hand,

  • & on the other hand from Consciousness of which bothmind & senses are instruments.

The term Mind bears a narrower as well as a wider meaning in the sāstras. Thus in the saying ‘from where speech together with mind (Manas) withdraws failing to reach’ (referring to Brahman) the word Manas (mind) is evidently used for the whole ‘Inner Instrument’. In strictly philosophical literature however, the term Manas is almost always used in a defined sense so that it cannot be translated into ‘Mind’ as understood by Western psychologists. It is only then one function of the inner instrument. Indian ‘Mind’ is distinguished from Western Mind in this that the former as such is not Consciousness but a material force enveloping Consciousness, the two in association producing the Consciousness-unconsciousness of Western Mind. Pure Consciousness (Cit) is not an attribute of Mind. It is beyond Mind being independent of it. It is immanent in Mind and is the source of its illumination and apparent Consciousness. …

  • Cit is pure consciousness Itself. Mind is a real or apparent negation or limitation or determination of that. Mind in fact, in itself, that is considered as apart from Cit (from which in fact it is never separate) is an unconscious force which in varying degree obscures & limits consciousness, such limitation being the condition of all finite experience. Cit is thus Consciousness. Mind is Consciousness plus Unconsciousness, the intermingled Consciousness  & unconsciousness which we see in all finite being.
References
  • Aitareya Upanishad, 3.1.3.
  • For Seekers of God: Spiritual Talks of Mahapurush Swami Shivananda, trans. Swami Vividishananda and Swami Gambhirananda (Calcutta: Advaita Ashrama, 1997), 285.
  • For Seekers of God: Spiritual Talks of Mahapurush Swami Shivananda, trans. Swami Vividishananda and Swami Gambhirananda (Calcutta: Advaita Ashrama, 1997), 293.
  • Taittiriya Upanishad, 3.6.1.
  • Mundaka Upanishad, 3.1.1–2, in The Upanishads: Breath of the Eternal, trans. Swami Prabhavananda and Frederick Manchester (Madras: Ramakrishna Math, 1979), 65–6.
  • Kena Upanishad, 1.2.
  • Katha Upanishad, 1.3.4, in The Upanishads: Breath of the Eternal, 28–29
  • Chhandogya Upanishad, 8.1.1,8.1.5
  • The Upanishads: Breath of the Eternal, 119.
  • Sadananda Yogindra, Vedantasara, trans. Swami Nikhilananda (Kolkata: Advaita Ashrama, 2006), 48.
  • William Indich, Consciousness in Advaita Vedanta (Delhi: Motilal Banarsidass, 1995), 72.
  • Swami Satprakashananda, The Goal and the Way (St Louis: Vedanta Society, 1977), 54.
  • Pravrajika Anandaprana, A Historical Record: From Conversations with Swami Prabhavananda (unpub­lished),29.
  • M, The Gospel of Sri Ramakrishna, trans. Swami Nikhilananda (Chennai: Ramakrishna Math, 2002), 378.
  • Shankaracharya, Self Knowledge (Ātmabodha), trans. Swami Nikhilananda (New York: Ramakrishna Vivekananda Center, 1946), 94.
  • Samādhi, which makes one appear asleep.
  • M, The Gospel of Sri Ramakrishna, trans. Swami Nikhilananda (Chennai: Ramakrishna Math, 2002), 697–8.
  • Swami Bhajanananda, ‘Jnana­Marga: Its Meditation Techniques’, Prabuddha Bharata, 91/8 (August 1986), 334.
  • Kena Upanishad, 2.4, in The Upanishads, 4 vols, trans. Swami Nikhilananda (New York: Ramakrishna Vivekananda Center, 1990), 1.239.
  • Brihadaranyaka Upanishad, 2.5.1, in The Upanishads: Breath of the Eternal, 146.
  • Gospel, 915.
  • Brihadaranyaka Upanishad, 2.4.5, in The Upanishads: Breath of the Eternal, 143.
  • John Woodrofe, The World as P

3) visible clairement en l'intervalle entre 2 pensées 6p40K


3 visible clairement en l'intervalle entre 2 pensées 7p40K
  • En sa foi sans fin en la vie, elle monte pour fleurir.
g. visible clairement dans l'intervalle entre 2 pensées p0K
  • EVA - engais-vert agrinature ou ARE - adventices de rotation engrais-vert.

g) visible clairement dans l'intervalle entre 2 pensées - résumé & traduction de l'exposé précédent.

  • La conscience pure se manifeste en êtres sans nombre qui en émergent, qu'elle maintient & qui y retournent.
  • Elle est plus subtile que l'énergie vitale, égale l'être & la joie sans objet autrement nommés la conscience amour.
  • La conscience universelle unie à l'illusion est le point ultime que le mental humain peut atteindre.
  • La conscience individuelle est le stade où l'idée d'ego s'en empare, se proclame séparé & plonge ce faisant dans le tourment d'illusion (5).
  • La conscience témoin s'élève au-dessus des états toujours changeants du mental, l'observant avec détachement. Unie au corps, aux sens & au mental, elle observe sans s'impliquer (1).

Il existe 3 corps liés aux 3 états de conscience & divisés en 5 enveloppes :

  • Le corps physique ou enveloppe de nourriture qui naît, grandit, se transforme, se détériore & meurt (5),
  • le corps subtil composé de l'enveloppe vitale qui anime le système nerveux pour organiser la respiration, l'excrétion, la digestion, le mouvement & la transformation constante du corps (4),
  • de l'enveloppe mentale qui comprend la volition & la délibération associées aux 5 perceptions (3),
  • & de l'enveloppe de cognition & discernement associés aux 5 perceptions (2)*,
  • & le corps causal, expression la plus fine de l'individu (1).

*Ce mental supérieur parfois nommé intellect ou mental cognitif peut laisser entrer la lumière du Soi. Il réside dans un petit espace du cœur & abrite le Soi témoin.  La connaissance humaine s'opère en 4 étapes :

  • Le mental pose la question (3).
  • La mémoire cherche des références (4).
  • La faculté de discernement distingue l'objet (2).
  • L'ego s'en empare (5).

En réalité c'est la lumière du Soi qui s'infiltrant à travers l'intellect ou mental supérieur active les organes de perception pour révéler ce que nous nommons une expérience.

La conscience (1) ainsi perce les 5 enveloppes pour :

  • discerner entre l'éternel & le changeant (2),
  • renoncer à la tendance à jouir des sens (5),
  • cultiver les 6 trésors :
  • la tranquillité, le contrôle de soi, la stabilité mentale, l'endurance, la foi & la soumission du soi (4),
  • & désirer la libération de ces vicissitudes (3).

La démarche de fortification & d'ouverture de la cognition pour l'affranchir de ses illusions progresse comme suit :

  • Tout d'abord nous entendons la vérité (3),
  • puis nous la contemplons (1)(4),
  • & enfin nous méditons sur elle (2)(5).

La quête du Soi interroge :

  • la nature de l'observateur & de l'observé,
  • l'identification entre le sujet & l'objet,
  • la continuité entre les 3 états de conscience - l'éveil, le rêve & le sommeil profond,
  • & le fonctionnement des 3 corps constitués des 5 enveloppes

Cette discipline du soi-témoin demande :

  • la clarté de l'intellect (2),
  • une volonté sans faille (4),
  • le discernement pour déjouer les illusions & ruses du mental (3),
  • en association à l'action de service sans attente qui en est le test constant (5).

Elle conduit à déceler le Soi (1) en chaque état du mental comme le motivateur des pensées & actes    -    pour s'y centrer à la fin clairement même dans l'intervalle silence entre 2 pensées.

 

  • Advaita non-duality
  • Atman indwelling divinityĀtman Self-inquiry (ātma-vicāra)‘Who am I?’ :the luminous Self, associated with the mind as the onlooker, or witness the witness-self (sāksin)the enjoyer, (neti neti ātmā). source of the  ‘I-consciousness’.
  • Brahman, the ultimate reality,pure consciousness (prajñānam brahma).consciousness  absolute (brahma-caitanya),sat-cit-ānanda:pure consciousnessabsolute undivided, unmoved, unchangingof whichmind & senses are instruments. Cit  supreme unconditioned 
  • memory (citta)karma yoga. selfless action
  • intellect (buddhi), sheath of the intellect (vijñānamaya kośa). (buddhi)  the cognitive or determinative mind, along with the 5 organs of perception. to discriminate between subject & object (drg-drśya-viveka); 
  • mental sheath (manomaya kośa),comprises the volitional or deliberative mind as well as the 5 organs of perception  (manasthe mind—endowed with volition & emotion.contemplate,manana
  • cosmic (īśvara-caitanya),human consciousness Brahman united with maya as the Creator, Preserver, & Destroyerhighest realization of pure consciousness,  nirvikalpa samādhi.
  • individual consciousness  (jīva-caitanya), the empirical self (jīva-caitanya) that reincarnates with the subtle & causal bodies
  • indwelling consciousness  (sāksi-caitanya).
  • sense of egoism (ahamkāra
  • twin faculty of concealing the reality & projecting the apparentthe veil of maya,
  • 3 bodies: the gross, subtle, & causal, respective mediums forthe 3 states of consciousness waking, dream, & dreamless sleep
  • subtle body composed of 3 sheaths vital, mind & intellect.
  • gross body (annamaya kośa  ‘sheath of food’
  • respiration (prāna),the vital sheath (prānamaya kośa), the life force operates the autonomic nervous system mediates the soul’s departure from the body at the time of death (udāna)
  • excretion (apāna),digestion (samāna)exertion (vyāna)
  • the scriptures (Vedas)absolute existence (sat), light (tejas) path yoga
  • hear the truth,śravana,meditate nididhyāsana).
  • bhāva ‘Inner Instrument’ (Antahkarana‘inner controller’ (antaryāmin),
  • space (ākāśa)Cidākāśa  Self-Knowledge (Ātmabodha), aphorisms (mahāvākyas)
  • mantra outer instruments’ (Bāhyakarana) or senses energy (prāna),
  •  rsi,  ‘seer’.superimposition (adhyāropa), vivartavāda.limiting adjuncts (upādhis vidyās,
 
 
mondeindien le 28/02/2019 :  La conscience... & l'inconscience? Et la réalité d'existence de non-vivants (les minéraux), l'âme des choses...? Gaston Bachelard.
  • marssfarm le 28/02/2019 :  Oui. Dans cette perspective l'inconscience n'existe pas. Tout n'est que conscience à divers niveaux -

la matière, les microbes, le sol, les plantes, les animaux, les humains & le divin.

  • Tout comme Einstein déclarait que tout est énergie, c'est-à-dire des ondes de fréquences variées, le Védanta affirme que tout est conscience, ce qui désigne des fréquences plus rapides encore.
h) une médecine art martial p0K

l'amour des simples

  • h) une médecine art martial

Ce qui nous étonne en occident au sujet du Védanta & du Tao ensemble, c'est que de ces deux disciplines de haute volée le cerveau est presque absent. Les organes du corps en revanche y ont toute part.

  • C'est l'acte qui révèle tout. La pensée n'est qu'un outil parmi tant.

Pour cette raison sans doute chacune de ces deux pratiques évolua :

  • vers le physique en art martial d'une part &
  • vers le spirituel en une médecine empirique d'autre part.

Le mot yoga signifie union & se déclina en de très nombreuses formes dont la plupart sont oubliées. L'ego est ce qui nous sépare & source donc des conflits. L'union à soi envisage l'effacement de l'ego ce qui n'est pas une voie sans obstacles. Sans ego on ne peut rester sur Terre. Les yogas sont donc des chemins de renoncement, ce qui contredit la vogue du "toujours plus" que le capitalisme promeut à son de cor & à cris d'Onfray.

  • Le Taï Chi est la manière la plus douce des arts martiaux nés du Tao. Il consiste non pas à affronter un adversaire mais à canaliser l'énergie en tout point & lieu disponible.

L'Ayurveda se tourne vers les simples comme êtres de ressource. Une plante frugale par exemple pourra nous communiquer de sa frugalité.

  • L’acupuncture considère avant tout les flux d'énergie dans le corps. Il s'agit d'une énergie plus subtile que celle de la sphère physique. Nous savons que des énergies fines nous animent. Par exemple il est est possible d'être bien nourri & pourtant se trouver sans ressort. A l'inverse on voit des personnes qui mangent très peu & sont très actives.

En observant les plantes nous voyons qu'elles sont réceptives à l'atmosphère du temps d'une part & à nos pensées d'autre part. Elles expriment que la vie n'est pas que matière ou simple biochimie.

 
i) www 10 ways of the word for the world / humicides p3K
  • beauté & liberté sont sœurs de sagesse & discernement / les humicides

Ces fleurs spontanées messicoles que nous aimions peuplent encore nos imaginaires. Elles apprécient souvent les sols pauvres qu'elles viennent fertiliser. C'est pourquoi les désherbants & les désherbeurs & désherbeuses stakhanovistes ne sont pas les seuls fols qui les exterminent - les engrais de synthèse le sont tout autant. Ici le grain infinitésimal du pavot vint germer près du chalet probablement transporté sous la semelle de l'habitante. La paysanne ne l'occit point car beauté & liberté sont sœurs de sagesse & discernement.

Be aware of the ways I speak. Are we truly listening? I speak through :

  • circumstances (5).  I speak first as the voice of conscience, but if you don't heed it, I may speak through circumstances. Jonah was swallowed by a great fish, & 2nd a vine grew up to shade him, & then the vine withered.  Examine circumstances. Are you hearing the Self through these circumstances.  What’s happening right now?  What am I telling you through these circumstances?
  •  people (4).  I bring wise & godly people into the lives of others & speak through them.
  • thoughts (3).  I make known my ways through thoughts.  While you think about things, I may speak.  Not every thought comes from the Lord. Thoughts can also aise from bad tendencies or habits.  About every thought, judge if it is from God. Does it align with Scripture? Does it in any way contradict the divine character?

  • a whisper (2) intuition, inspiration, insight.  I can speak through a still small voice. I spoke this way to Elijah.  To hear God’s voice you need to listen, to tune in to the frequency.   Sin means we refuse to listen.
  • peace (1).  God’s peace rules in the heart.  It  doesn’t simply mean to merely exist. It means to reign & be a deciding factor.  If we don’t have peace about a decision, then it isn’t from the Lord.  Don’t move forward unless you have peace.

  •  
  • natural manifestations (5).  I can make myself known by nature, through mountains, water, trees, meadows, landscapes, & more. When I speak from heaven, some people who stand nearby may think they are hearing thunder.  Sometimes thunder, floods or hurricanes or high winds or volcanoes are actually God speaking.
  • the Scripture (4).  I inspired the words of Scripture.  I can also speak specifically to you by drawing a particular passage to your attention.  The Word of God is living & active.
  • wise counsel (3) counsel from the wise.  When you seek godly counsel you can hear the voice of God. This counsel always complements Scripture.  When you seek wise, godly mentors in the Lord, you don’t ask them to hear from God for you, but to prayerfully confirm that what you’ve heard from the Lord is correct.
  • dreams & visions (2)...  as in the lives of Joseph, Solomon, Jacob, Peter, John, & Paul.
  • supernatural manifestations (1).  I spoke to Moses through a burning bush, to Gideon through a fleece, to Saul on the Damascus road through a bright light, & even to Balaam through a donkey.
  • I held out a promise (11) :  faith comes by hearing & hearing the word of God. A person of great faith is one of great hearing who knows how to listen to the Word of God.
  • We need to truly listen, hear  & then act in faith. Have we truly listened to the voice & heard? Then good, now is the time to move with confidence.

circumstances (5) Jonah 1–4   /  people (4)  /  thoughts (3) Amos 4:13   Matthew 1:19–21  /  whisper (2) 1 Kings 19:12   Jeremiah 7:13  /  peace (1)  Colossians 3:15  /  nature (5)  Romans 1:18–20  John 12:27–30  /  Scripture (4)  2 Timothy 3:16  Hebrews 4:12  /  wise counsel (3) Proverbs  /  dreams & visions (2)  Acts 2:17   Joel 2:28  /  supernatural  (1)  Exodus 3:1–4 Judges 6:37–40  Acts 9:1–5  Numbers 22:1–35 /  a promise (11)  Romans 10:17

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I keep fighting voices in my mind that say I’m not enough, every single lie that tells me I will never measure up. Am I more than just the sum of every high & every low? Remind me once again just who I am, because I need to know. You say I am loved when I can’t feel a thing - strong when I think I am weak - held when I am falling short. When I don’t belong, you say that I am yours. And I believe what you say of me. I be-live. The only thing that matters now is everything you say. In You I find my worth, my identity. Taking all I have & now I'm laying it at your feet. You have every failure God, & you'll have every victory.
  • edited from Lauren Daigle
 
How do we decide when we cannot decide? (How do we let God decide for us?)
  • 1 If the way we take is clear, then we should act, & trust that God will confirm that that way is correct by opening the path, or redirect us accordingly by slamming the door shut on that choice. If we really don't know, waiting is the best course of action, God will make it clear.
  • 2 Take responsibility.  Face the decision & pick a path. Be not inflexible later on.
  • 3 We don’t have to do anything. It’s all set. Play your role as best as you can. The director will take care of the rest.
  • 4 If you we are serious about it & believers, we first go into prayer mode & explain the matter to God & ask him for help. Then we do our best to solve the problem / do the task, but don't worry about the outcome.
  • 5 Flip a coin... or roll dice if you have more than 2 choices.  Look for signs around. Meditate on them, see if you feel more inclined towards a particular decision.
  • 6 Wait, & take care of today.  There's prayer in there along the way, & then it simply happens that whatever we needed to know has shown up, & we act on it.
  • 7 Do what you think is right. God is there to guide us.
 
  • edited from Quora

Are we truly listening? I speak through :

  • circumstances (5). I speak first as the voice of conscience, but if you don't heed it, I may speak through circumstances. Examine circumstances. What’s happening right now?  What am I telling you through these circumstances?
  • people (4). I bring wise & godly people into the lives of others & speak through them.
  • thoughts (3). I make known my ways through thoughts.  While you think about things, I may speak.  Not every thought comes from the Lord. Thoughts can also arise from bad tendencies or habits.  About every thought, judge if it is from God. Does it align with Scripture? Does it in any way contradict the divine character?

  • a whisper (2) intuition, inspiration, insight. I can speak through a still small voice. I spoke this way to Elijah.  To hear God’s voice you need to listen, to tune in to the frequency.   Sin means we refuse to listen.
  • peace (1). Inner peace rules in the heart. There it doesn’t simply merely exist but reigns as a deciding factor.  If we don’t have peace about a decision, then it isn’t from the Lord.  Don’t move forward unless you have peace.

  • natural manifestations (5). I can make myself known by nature, through mountains, water, trees, meadows, landscapes, & more. When I speak from heaven, some people who stand nearby may think they are hearing thunder.  Sometimes thunder, floods or hurricanes or high winds or volcanoes are actually God speaking.
  • the Scripture (4). I inspired the words of Scripture.  I can also draw a particular passage to your attention.  The Word of God is living & active.
  • wise counsel (3) counsel from the wise. By seeking godly counsel we can hear the voice of Consciousnes. This counsel always complements Scripture.  When seeking wise, godlike mentors in the Lord, we don’t ask them to hear from the Lord for us, but to prayerfully confirm that what we hear is correct.
  • dreams & visions (2)... as in the lives of Joseph, Solomon, Jacob, Peter, John, & Paul.
  • supernatural manifestations (1). The Self spoke to Moses through a burning bush, to Gideon through a fleece, to Saul on the Damascus road through a bright light, & even to Balaam through a donkey.

I held out a promise (11) :faith comes by hearing & hearing. A person of great faith is one of great hearing who knows how to listen. By truly  listening, we can hear  & then act in faith. Have we truly listened to the voice & heard? Then good, now is the time to move with confidence.

 
j) Décider quand nous ne savons plus. / ARE p1K
  • un couvert vivant ARE de féverole, vesces, trèfles & moutarde blanche & noire, pois, sarrasin & potimarrons

Décider quand nous ne savons plus...

  • 1 Si l'action que nous envisageons est claire, allons-y, confiants que la vie le confirmera en ouvrant la voie ou nous réorientera en conséquence en claquant la porte. Si nous ne savons pas vraiment décider, attendre que la décision nous éclaire.
  • 2 Assumer nos responsabilités. Affronter la décision en prenant une voie. Ne pas être inflexible ensuite, pour affiner la direction tant que de besoin.
  • 3 Nous n’avons rien à faire. Tout est déjà décidé. Jouons notre rôle du mieux que nous pouvons. L'univers s'occupera du reste.
  • 4 Si la question est vraiment sincère, le croyant passera d’abord en mode prière puis l'exposera demandant de l’aide. Ensuite, nous faisons de notre mieux pour résoudre le problème, mais sans s'inquiéter du résultat.
  • 5 Lancer une pièce ou des dés s'il y a plus de 2 choix. Chercher des signes autour. Méditer la question. Voyez si vous vous sentez plus enclin à prendre une décision en particulier.
  • 6 Attendez & prenez soin de ce jour. Il y a de la prière tout au long du chemin, puis à un moment donné, il se trouvera que tout ce que nous avions besoin de savoir sera apparu, & nous agissons en conséquence.
  • 7 Faites ce que vous pensez être juste. La décision est là pour nous guider mais elle ne décide pas.

Sommes-nous vraiment à l'écoute? La conscience s'exprime par :

  • des événements (5). Je parle d’abord en tant que voix de silence, mais si vous n'écoutez pas, je me manifeste dans les événements de la vie. Observons-les. Que se passe-t-il en ce moment? Que dis-je à travers ces événements de la vie?
  • des personnes (4). J’envoie des personnes sages & pieuses vers d"autres pour leur parler.
  • des pensées (3). Je fais connaître mes voies en des pensées. Pendant que nous pensons la conscience peut s’immiscer dans nos pensées. Toutes les pensées ne viennent pas d’elle. Elles peuvent être le produit de mauvaises tendances ou habitudes. Discernons si une pensée est juste : s'aligne-t-elle sur les Écritures ou contredit-elle la sainteté?
  • un murmure (2) une intuition, une inspiration, le for intérieur, la petite voix calme. Il faut pour l'entendre écouter, s'accorder à la fréquence céleste. Le péché n’est ni plus ni moins que lorsque nous oublions d’écouter ou refusons d'entendre.
  • la paix (1). La conscience réside dans le cœur. Elle n’y existe pas simplement ou seulement mais y règne en tant que facteur de décision. Si nous n'avons pas la paix tout en décidant, ne pas aller plus avant avant de l'avoir obtenue.
  •  
  • des manifestations naturelles (5). La voix peut se faire connaître par des manifestations de la nature, les montagnes, l’eau, les arbres, les prairies, les paysages, &bien d’autres. On peut penser alors avoir entendu le tonnerre. Le tonnerre, les inondations, les ouragans, un vent terrible ou un volcan sont la nature qui exprime sa puissance & possiblement la conscience universelle à travers elle.
  • les Écritures (4), textes inspirés. La conscience peut attirer notre attention sur un passage particulier, rendant l’Écriture vivante, active.
  • un sage conseil (3), le conseil d'une personne sage. Nous rechercherons tout conseil divin en confirmation des Écritures. Rencontrant un maître pieux, saint & sage, ne lui demandons pas d’écouter la conscience pour nous, mais de confirmer dans la prière que ce que nous entendons est juste.
  • des rêves & visions (2),
  • des manifestations surnaturelles (1).

(11) La foi naît & croît d'entendre encore & encore la voix de la conscience.

  • Une personne de grande foi est une grande auditrice sachant écouter. Écoutons : entendant nous agirons en confiance. Si nous avons vraiment écouté la conscience & l'avons entendue, alors tout est bien, le moment est venu d'agir avec décision.

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erixbd le 07/03/2019 : L'instinct n'est pas le fruit du hasard. C'est le nom que l'on donne au fruit de notre oeil, notre oreille, notre touché lorsque nos sens agissent captent, observent sans que nous ayons à analyser, commander. C'est l'esprit libre qui s'exprime selon ce qu'il tient pour connaissances accumulées par l'inconscient.
 
k) How to decide when we can’t anymore? / p1K

How to decide when we can’t anymore?

  • 1 If the action we are considering is clear, let’s go, confident that life will confirm it by opening the way or will redirect us accordingly by shutting a particular door. If we do not really know what to decide, let us wait till the decision dawns to enlighten us.
  • 2 Take responsibility. Confront the decision by taking a path. Do not be inflexible later on,still able to refine the discernment on the way.
  • 3 We have nothing to do. Everything is done already. Let's play our role as best we can. Consciousness will take care of the rest.
  • If the question is really sincere, the believer will first go into prayer mode & then offer, expose the subject & ask for help & guidance. Then we do our best to solve the problem, without worrying about the outcome.
  • 5 Roll a coin - or dice if there are more than 2 choices. Look for signs around. Meditate the question. See if you feel more inclined to take a particular direction.
  • 6 Wait & take care of today. There is prayer along the way. At some point it will happen that everything we needed to know will have been answered. We act accordingly.
  • 7 Do what you think is right. The Decision is there to guide us but does not decide.

Are we really listening? Consciousness speaks through :

  • events (5).people (4).thoughts (3).a whisper (2)peace (1).natural manifestations (5).Scriptures (4),a wise counsel (3),dreams, visions (2). &supernatural manifestations (1).

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synchroniser la tête, le cœur, la main - offrir au commun

  • Devant les fleurs, nous nous interrogeons.  Ce sont elles qui inventent la beauté.  Lors, nous restons sans voix : nous ne pourrons faire mieux.  Le parfum accompagne souvent cette beauté, mais si nous y étions attentifs, les cinq sens sont convoqués par la plante qui ainsi exprime la part d'être qui lui échoit, la niche écologique à laquelle sa forme fait écho.  Toutes les fleurs sont belles, d'un éclat si éphémère, même celles des graminées, les herbes des champs & celles des arbres, si discrètes que peu les savent, que nous subodorons parfois sans les soupçonner.

Les pavots sont des fleurs de plantes médecines.  Ce que la langue désigne communément par fleur est l'organe sexuel femelle de procréation de la plante.  Tant d'énergie & d'inventivité furent déployées en vue de cette fonction de perpétuation de la vie !  C'est cela que nous reconnaissons comme beauté, tout comme nous la voyons en l'autre sexe.

  • Il est des personnes qui réussissent à élever cette puissance de création du neuf au plan universel.  Ils sont des êtres à part qui œuvrent pour la cause qui les habite d'un commun à tous.

Nous tous creusons des trous dans la terre pour l'accaparer & la transmettre à qui nous croyons être notre descendance.  Nous la rendons malpropre, inadéquate pour nous l'approprier.  Le but de tout ce faire est de gagner plus pour posséder plus & en fin de compte cela reviendra a détruire tout.

  • Chaque acte offert au commun a part pour sa modeste part à la sainteté des saints qui éclairent la voie, le monde, à l'écart du toujours plus.  La générosité ne consiste pas à donner une part minime de ce que nous avions auparavant dérobé: elle contient la réalité de ne prélever au commun que le peu qui nous serait nécessaire.  Si beaucoup agissent ainsi, se fondant en le commun des choses & des êtres, la loi humaine redeviendra égale à celle en cours en les lieux de nature laissés sans intervention motivée des humains, celle de la surabondance de tout, due au travail de néguentropie constant opéré par les plantes & les algue bleues sur le sol & dans les eaux.  Ce travail consiste à fixer l'énergie de maître "Sol" dans le sol & les êtres qui l'habitent.

Toutes les agitations des humains modernes font le contraire, recréant l'entropie du chaos originel.  Si nous en regardions le motif, nous saurions en l'instant combien posséder est à la racine de toute douleur.  Lors, nous renoncerions, nous détachant sans retour de ce qui attache cette douleur à notre âme – le mental sensible.  Lorsque je reçus une stagiaire sur la ferme de mars, je divisai ma ration journalière en deux portions & ma santé s'en trouva améliorée, car j'avais pris l'habitude de manger trop par l'ennui & l'usure du temps.  Contemplant le futile de la peur de manquer, la sérénité d'une frugalité de joie nous assaillira.

  • Les pavots n'ont pas peur de manquer.  Il produisent des graines à millions, puis les abandonnent à leur destin.  L'espèce existe depuis des éons & sa beauté prospère, se maintient, s'amplifie.  Le pavot doit-il faire la guerre & des palais pour exister ?

Chaque acte maternel va vers la sainteté - sachant que les hommes aussi en sont capables, de même que les femmes sont capables toujours de violence.  La fleur que tous apprécient est femelle : les organes mâles des végétaux, seuls les botanistes reconnaissent.

  • Chronos : le temps physique.  Kairos : le temps métaphysique.  C’est le point de basculement décisif, avec un "avant" & un "après".  Aiôn : le temps cyclique.

Chronos est le temps physique.  Il permet de segmenter le temps en passé, présent & futur, grâce aux unités de mesure telles que la seconde, la minute, l’heure, etc.  Ce temps est quantitatif & linéaire.

  • Kairos est un temps métaphysique, le point de basculement décisif, avec une notion d’avant & d’après, où quelque chose de spécial se produit.  Par exemple, vous êtes-vous déjà dit : « Maintenant est le bon moment pour agir », sans qu’il n’y ait d’éléments objectifs validant cette affirmation ?  Cela est en fait l’expression de la sensation du Kairos.  Contrairement à Chronos, le Kairos n’est pas linéaire, il est qualitatif, c’est le temps entre deux pensées, deux événements.  Il ne se mesure pas, il est immatériel & se ressent.  C’est une autre dimension du temps qui crée de la profondeur dans l’instant.  Il pressent le temps quantique, la théorie des quanta.

Aiôn était une divinité grecque associée au temps, au cercle englobant l’univers selon la croyance grecque, & au zodiaque.  C’est le temps des cycles, comme les saisons, la respiration, le sommeil, etc.  Il n’a pas de bornes & peut également signifier la destinée, l’âge, la génération ou l’éternité.  On retrouve notamment le terme Aiôn en géologie.  Il désigne une période indéfiniment longue, telle que les phases géologiques de formation de la Terre.

  • En mettant en cohérence, synchronisant Chronos & Kairos, une personne peut sentir que c’est le moment pour elle d'avancer, faire émerger alors les motivations profondes - Kairos - & travailler avec elles à poser les jalons temporels - Chronos pour permettre le mouvement.  En alignant ces deux dimensions de temps, Chronos & Kairos, la personne ressent une sensation de paix intérieure.

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  • Les coquelicots & bleuets sont des plantes compagnes du blé utiles à détoxifier les sols.

Au bord des petites routes, des panneaux : "nature préservée, fauchage limité".

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How to decide when we can’t anymore?

  • 1 If the action we are considering is clear, let’s go, confident that life will confirm it by opening the way or will redirect us accordingly by shutting a particular door. If we do not really know what to decide, let us wait till the decision dawns to enlighten us.
  • 2 Take responsibility. Confront the decision by taking a path. Do not be inflexible later on,still able to refine the discernment on the way.
  • 3 We have nothing to do. Everything is done already. Let's play our role as best we can. Consciousness will take care of the rest.
  • If the question is really sincere, the believer will first go into prayer mode & then offer, expose the subject & ask for help & guidance. Then we do our best to solve the problem, without worrying about the outcome.
  • 5 Roll a coin - or dice if there are more than 2 choices. Look for signs around. Meditate the question. See if you feel more inclined to take a particular direction.
  • 6 Wait & take care of today. There is prayer along the way. At some point it will happen that everything we needed to know will have been answered. We act accordingly.
  • 7 Do what you think is right. The Decision is there to guide us but does not decide.

Are we really listening? Consciousness speaks through :

  • events (5). I speak first as a voice of silence, but if you do not listen, I can manifest through the events of life. Observe them. What is happening right now? What do I say through these events of life?
  • people (4). I send wise & godly people to others to tell them something.
  • thoughts (3). I make my ways known as thoughts. As we are thinking, consciousness can interfere as a thought. All thoughts do not come from that. They can be the product of bad tendencies or habits. To discern whether a thought is of God, see if it lines up with the Scriptures or contradict holiness?
  • a whisper (2) an intuition, an inspiration, insight, the little still voice. To listen to that, one must attune to the celestial frequency. Sin is when we refuse to hear.
  • peace (1). Inner peace reigns in the heart. It does not simply merely lay there but reigns as the decision factor. If we do not have peace while deciding, let’s not go further till we get it.
  •  
  • natural manifestations (5). Consciousness can express through manifestations of nature,mountains, water, trees, meadows, landscapes, & the like. People nearby may think they hear thunder. Thunder, floods, hurricanes, storms or volcanoes are ways nature expresses its power - & sometimes consciousness through it.
  • the Scriptures (4), i.e. inspired texts. Consciousness can draw our attention to a particular passage, making Scripture alive, active.
  • a wise counsel (3), the advice of a wise person. When we seek wise guidance let’s see if it is conform to the scriptures. We don't ask of a pious, holy guide to hear consciousness for us, but to confirm in prayer that what we hear is right.
  • dreams and visions (2).
  • supernatural manifestations (1).

(11): Faith starts & grows through listening more & again to the voice of conscience. A person of great faith is a great listener who knows how to listen. Through listening we can act with confidence. If we really listen to the voice of conscience & hear it, then all is well : we act with insight.

  • l) méditer & agir : une fleur sans parfum

Ainsi méditer & agir ne sont que les deux aspects d'un acte portant, d'un agir potent. Entre mé

4) méditer & agir / fleur sans parfum / géométrie / p0K

Publié le 19/03/2019 à 11:07 par agrinature Tags : agrinature fukuoka jardin fleurs haie nature centerblog amour fleur aimer

 

l) méditer agir fleur sans saveur géométrie / simples p0K

géométrie des simples - invention de la géométrie par les simples : La disposition des feuilles obéit aux lois simples de la physique. Si nous pouvions en observer les racines nous verrions de semblables corrélations. C'est là la grande force des plantes - elles se soumettent à ce qui est, à la loi de l'univers. Ce faisant elles l'expriment. L'exprimant elles la réalisent. Au constat évident de cela nous sommes comme frappés de beauté, gratitude & joie. Ainsi notre amour des plantes, notre besoin de les voir, notre appétit à les savoir.

  • l) méditer & agir : une fleur sans saveur ni parfum

Ainsi méditer & agir ne sont que les deux aspects d'un acte portant, d'un agir potent. Entre méditation & action, le mental distribue - à ne pas confondre avec l'esprit. La distinction entre mental & esprit est du même ordre qu'entre aimer & aimer. Aimer une carotte nous conduit à la manger. Aimer une personne se manifeste en lui donnant des graines de carotte & un carré de terrain où la semer. Au premier sens d'aimer se trouve une pensée pouvant se transformer en acte - manger. Au second sens nous trouvons un acte libre de pensée qui pourra plus tard éveiller des pensées - le remerciement, le questionnement au sujet du semis des graines.

  • Dans tous les cas, la pensée n'est qu'un vecteur, un outil, un état de transition entre la méditation qui devient acte & l'acte induit par une méditation. Lorsque la pensée seule initie un acte ce dernier est tronqué de son essence. Il est une fleur sans parfum, du sel sans goût, la beauté sans âme d'un artifice, d'un artéfact.

service avatar ange dynamics EVA ARE 3H pc marcher 6p2K

Publié le 09/04/2019 à 20:52 par agrinature Tags : centerblog sur vie amour coeur dieu nature centre art jardin ange agrinature fukuoka
service avatars ange dynamics EVA ARE les 3 H pc marcher 5.7 - hearth head hands earth heart - servir - p
  • semis de la pépinière de blés - Le sol avait été préparé par passages successifs d'une fouilleuse Actisol sous la chaleur de l'été.  Par la suite,en mars le mélange engrais-vert Agrinature fut semé en plein sur les bandes & laies à la densité de cinq kilogrammes hectare.  Ce semis sera répété en mai, juillet & septembre.

les 3 H/  service, détachement, désir / avatars & anges / thought dynamics / la prairie-céréale / pomme de terre / EVA ARE

  • hearth head hands earth heart - énergie (3) espace (1) eau (4) terre (5) air (2) - Servir de ses mains, servir qui de droit, servir enfin!

Le service est l'usage de nos mains pour accomplir des tâches simples & répétées qui aideront ceux qui en ont besoin.  L'usage des mains implique l'être en sa globalité & libère les tensions cachées en notre personnalité pour que l'énergie qu'elles pouvaient bloquer puisse s'exprimer, être libérée pour nous libérer.  Le service, nous le voyons est avant tout envers nous-mêmes, puisqu'il nous communique pour un temps du moins, la joie d'être sans désir qui serait parasite, frein au lien à tisser.  Le service à la société des humains est l'ossature de l'édifice de tous nos rapports.  Une des souffrances en souffrance de ce temps est que nous travaillons trop du chapeau & plus assez de nos mains.  Entre l’œil & la main, le cœur, siège de la conscience, la mémoire, l'imagination & voisin de la seule force importante, force dite faible de cohésion des particules élémentaires subatomiques.

  • Dans le cœur à droite on trouve l'espace & le temps manifestés par le feu primordial qui présida au big-bang.  Dans le cœur au centre se trouve ce feu en son état le plus raffiné, amour sans attachement.  Par le service qui n'attend rien de retour, ce feu qui brûle s'il n'était pas usité à quelque œuvre utilité s'exprimera, créant temps-espace qui viendront emplir le cœur à droite.

Le premier stade est d'apprendre la concentration.  On peut concentrer sa vue sur un objet sans s'en détourner.  Nous entrons en concentration au bout de douze secondes, ce qui est peu.  En alternative ou en complément, utiliser le son d'un mantra, une formule, une prière ou un nom divin répétés, aide.  Selon cette pratique, nous gardons les yeux ouvert ou entre-ouverts.  Nous pouvons aussi répéter le mantra en les circonstances de la vie ordinaire qui ne requièrent pas la pensée analytique.

  • Le service sans désir de résultat est une part du Karma yoga , le yoga de l'action.  Un yoga est une voie d'union.  Celui ou celle qui ne peux rester immobile, peuvent méditer en accomplissant leurs tâches quotidiennes.  En ce moment, j'utilise le « Nam mhyoho rengué kyo » du bouddhisme Nichiren.  Il n'est attaché à aucun nom propre & contient des syllabes puissantes.  Méditer, c'est réaliser, rendre réel le potentiel.  Méditer vraiment se traduit par absorption, quand le mental se tait & nous entrons dans l'être qui est partout - je ne l'ai pas fait souvent ...
5.8 - ouvrir la porte à l'oiseau Œdipe - silent sitting - p
  • une pomme de terre plantée parmi le herbes.

Ouvrir la porte à l'oiseau Œdipe. - Observe in silent sitting two minutes twenty-four seconds.

  • Le détachement est la clé pour ouvrir la porte à l'oiseau.  A la proportion de combien ton désir sera libre dans ton rapport à l'autre, ils se libéreront, ce qui signifie qu'ils deviennent capables d'aimer.

Le désir est l'obstacle – le désir est la voie.

  • Asseyons-nous quelques instants, lorsque nous attendons que l'eau de la théière boue par exemple, & fixons le regard sur la flamme du gaz bleu.  Au bout de douze secondes d'attention sans faille, nous entrons en la concentration du mental.  Cette étape dure de douze à douze fois douze secondes.

Après deux minutes vingt-quatre donc, nous abordons la deuxième étape & entrons à cet instant précis en contemplation.  Cela signifie que si nous demeurions en attention continue disons trois minutes, nous aurions goûté la contemplation trente-six secondes durant.  Notre jour en sera transformé.  Cet exercice peut être accompli dans le train, pendant une pause de repos ou en tout lieu où il faut attendre.

  • A ceux qui goûtèrent la douceur de la caresse du ciel trente-six secondes durant, avoir à attendre un peu deviendra au fil des jours bénédiction.  Tout le jeu qu'offre un jour de nos vies en est éclairé.

La croissance de notre être n'a pas de fin.

Le corps de l'adulte ralentit sa course.  Le mental de l'éveillé amplifie son oscillation.

Qui dont le cœur contemple, est tel un astre à l'approche d'un trou noir : sa vitesse s'accélère & pourtant,

à cause de l'expansion de l'espace-temps, elle l'entraîne en un mouvement d'éternité.

Le sein ouvert - à droite - est une fontaine qui ne sait s'assécher.

Le ciel ouvert est une fontaine.

 

5.9 - la doctrine des avatars - a knowledge from nowhere - p
  • La vesce est un genre de plantes spontanées dont l'usage en agrinature nous indiqua qu'elle y prendra place première.  Elle se ressème d'elle-même & tend à se répandre en les parcelles sans monopoliser l'espace pourtant.  C'est une adventice du type 3 - c'est-à-dire un engrais-vert - & du type 1 aussi - à port dressé, par contraste du trèfle blanc qui est rampant sur sol pauvre - type 5 - ou en touffes - type 2 - lorsqu'on le coupe sur sol fertile.

 la doctrine des avatars - Some knowledge from nowhere.

  • Hermès Trismégiste était un avatar, une personne née avec la conscience de son incarnation.  Je dois avoir un peu de ça – j'écoute, regarde & apprends à la manière d'un géologue qui par le truchement de sondages & observations ponctuels, reconstituera par hypothèse l'image des couches du terrain.

Les personnes de science doivent démontrer ce qu'elles avancent. Pourtant, nous tourner un peu au passé nous montre que nombre de connaissances de ce jour seront dépassées dans cinquante ans.   A propos des questions en pointe, diverses hypothèses fleurissent & parfois se contredisent.  L'empirisme n'a pas ce problème, puisque nous fonctionnons surtout par intuition.

L'expérience montra aussi que des savoirs empiriques se révélèrent exacts, si ce n'est dans la précision de leur énoncé, du moins en l'application pratique qui peut en être faite.  A l'inverse, les découvertes des sciences mises en application par l'industrie sont souvent génératrices de problèmes & parfois de désastres.

  • Le temps n'existe pas vraiment.  L'espace-temps est un lieu d'éternité où les vibrations de nos pensées s'inscrivent.  J'ai vécu un peu en quelques pays d'Asie & eus la grâce insigne de rencontrer des avatars.  Ils me conférèrent de cette confiance qui est part essentielle de leur constitution.
5.11 - amour de la liberté - a love for liberation - p
  • la vesce semée parmi les potimarrons - vetch sown amongst squashes

amour de la liberté - a love for liberation

  • Dans l’étymologie, l'ange est un messager & le démon est une passion qui divise notre âme – l'âme, un autre nom du mental en une acception qui dépasserait l'individu individué mais sans atteindre pourtant jusqu'à l'inconscient collectif.

Par exemple, une personne capable de dire tout de suite ce qui est le meilleur, est un ange, messager ou prophète.

  • Le meilleur présuppose notre liberté.  Cette question fut débattue par les plus grands des sages de toutes les cultures.  La liberté est l'essence de l'amour - fut la conclusion la plus conclusive pour désigner ce qu'aimer est.  Donner est aussi une bonne définition.  Si l'amour s'entend comme rapport d'égalité, les deux êtres en cause en une relation donnée, donneront - à l'univers si c'était possible - en un chemin qui les dépasse tous deux.  Si nous sommes conditionnés en entier par notre passé & notre environnement, notre seule liberté consiste alors à succomber – to yield – à ce chemin : donner.

A l'inverse, lorsque notre cœur - le cœur au centre - est partagé par des désirs & leur énergie d'émotion qui se contredisent & le divisent, c'est que nous tolérons que des démons nous chatouillent.

  • La contradiction contenue en un désir est au plan du mental seulement.  Elle apparaît parce que ce désir n'a pas encore atteint à sa pleine expression.  Enter the heart on the right side of the chest is the way to connect to the root of it & so purify a desire in view to know the taste, the smell emanating from there.  There, is a point where we connect to others too & in so doing find a way out of trouble.  Trouble appears from confusion, when we are not able to distinguinsh between mixed up feelings any more.

Selon les saddhanas - disciplines - & darshans -visions - du Védanta, le mental est régi par le divin suprême.  Dans sa forme de support de l'univers - un support que nous pourrions comparer à l'écran sur lequel le film de la vie se projette - il est cette puissance mentale capable du meilleur & du pire, ce qui inclut les forces à faire le mal aussi.  Le réseau des pensées mues par l'affect d'émotion se compare à celui des vibrations électromagnétiques que sont les ondes de lumière visible & non-visible.  Cette métaphore est bien plus précise que l'idée de l'écran qui ne possède que deux dimensions.  Il existe des photons - des particules de lumière - qui ont l'âge de l'univers.  Nos pensées aussi sont éternellement en partance de voyage interstellaire.  Si nous pouvions voir toutes les étoiles du firmament, la voute céleste serait la nuit, presque aussi claire que le jour.  Ces deux informations nous offrent indications sur l'analogie entre pensée & lumière.

  • Dans sa forme ultime, le divin détruira l'illusion du mal, puisque tout à la fin sera cendres & que - contre toute apparence -
  • seul l'amour subsiste.
  • L'amour n'est pas une pensée de type alpha.  Its wavelength overstates beta waves too
  • - the ones that could relate to deep attention, concentration or maybe contemplation.
  •  La vibration d'amour émise du coeur au centre, s'acoquine des ondes Theta du méditant aguerri.
  • De ce que j'en saisis, elle serait la trame de l'espace-temps lui-même comparable à l'écran tendu au fonds des salles,
  • la toile offerte au peintre de génie, la page blanche du poète sans espoir.

Parfois, nous voulons avec clarté le bien de notre vis-à-vis & à d'autres moments, nous craquons & nos forces nous lâchent.  C'est l'orgueil que bâtit l'ego pour qu'il l'enfle en retour qui nous entretient en l'illusion que nous pourrions vouloir & que ce vouloir consommerait de l'énergie.

Selon l'idée du non-faire, cesser tout vouloir libère l'énergie qu'est la vie.

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  • Le tableau ci-dessous, inspiré d'Augustin d'Hippo, réunit les béatitudes du sermon sur la montagne, la prière enseignée par Christ, la lettre de Paul aux Corinthiens, les sept centres d'énergie & les cinq valeurs humaines.
sept dons neuf dons énergie en marche … … vers cinq valeurs le Notre-Père
sagesse prophétie parler 7 simple cieux   cieux
entendement discernement des esprits 6 pur voir   nom
science sagesse des situations 5 pleurent compassion non-violence règne
conseil connaissance des évênements 4 miséricordieux pardon amour volonté
force foi de conviction 3 doux les biens vérité pain
piété capacité de guérison 2 artisans de paix réaliser paix pardon
crainte miracle de recréer 1 faim de ... justice action juste tentation
  parler en langues   persécutés      
  interpréter les langues 1 4 7 cieux     gloire
Isaïe 11.2 1Cor.4.7   Mat.5.3     Mat.6.9

 

5.12 - thoughts dynamics - le canal d'apprentissage - p
  • July 2012's harvest

thought dynamics - le canal d'apprentissage.

  • Le canal d'apprentissage passe par les yeux, les oreilles, la main, le pied, le cœur ouvert, la confiance.

Pour apprendre vraiment, il faut utiliser son corps conçu comme un tout, ce qui implique l'acte, l'ennui, la douleur, la joie, la satisfaction, les frustrations, le détachement, l'engagement de l'être, l'oubli de l'égo, forbearance, fortitude, to endure & last.

En fonction de nos objectifs, nous devons apprendre & c'est cela qui doit nous guider.

Pour aborder Agrinature, il faudra tout oublier.

 Weeds are highly civilized beings.  My farm has zillions of them.

 Toute question sans réponse l'est.

 Love is listening, learning, living, loving.

Group activities, group singing, thought dynamics, story telling & silent sitting are five ways to develop amongst us right action, peace, truth, love & non-violence.

Non-violence applied to weeds & beasts is the attainment of Agrinature.

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marcher près des plantes p0K

quart-paysage ou tiers-paysage semé

  • marcher près des plantes - Let's walk the earth.

Marcher sur le sol obéit à une règle simple que suivent les animaux qui n'ont de sabots, ne vont en troupeau ni ne portent œillères.  Nos chaussures à clous de caoutchouc sont comme des sortes de sabots bovins.  A l'inverse, le sabot de bois des paysans qui exista dans toutes les cultures du monde est d'un matériau qui ne les coupait pas du contact de la mère nourricière.  Nos habitus d'imitation & savoirs en technique obèrent l'imagination & nous téléguident à suivre le troupeau de nos contemporains.  Nos buts & poursuites vaines agissent à l'instar de visières qui nous forcent à oublier le ciel des perspectives, & d’œillères qui nous guident à craindre ou ignorer nos voisins.  Marcher sur le sol obéit à une règle simple : d'une part, ne pas poser le pied sur le sol nu - & d'autre part, & c'est là corollaire à la règle, savoir sur quelle plante nous marchons.  Si notre pas est régulier & si notre regard balaie tous les azimuts & toutes les directions sans cesse, nous saurons sans effort sur quelle plante nous posons le pied.  Il est des plantes qui comme les trèfles & les plantains apprécient d'être modérément piétinés.  Ainsi en est-il des céréales avant tallage.  En revanche, dès qu'elles commencent d'élever ses tiges, toute interférence du pied serait préjudice.

  • Marcher sur le sol obéit à une règle simple.  Le cœur, siège de la conscience, est le lien entre l’œil & la main & c'est par l'utilisation de nos mains que nous tissons, nourrissons ce lien, fondement de tout caractère.  Par un habitus similaire, nous établissons un lien entre le visage doté des cinq sens perceptifs & notre pied qui deviendra du fait de cette perception esthétique renouvelée plus sûr chaque jour.

ps:  Au potager, nous cultivons en planches fixes.  Les allées sont permanentes & semées de trèfle blanc nain rampant.  Nous ne posons pas le pied hors des allées, quelle que soit la saison.  Le sol des planches n'est pas travaillé, car toute intervention ne pourrait que multiplier les adventices du type 5 selon la classification des plantes en 3 groupes, 4 formes & 5 types.