Quand les discussions sur le projet de loi pour les nouvelles méseures d'austérité (Memorandum III) ont commencé au Parlement grec, le matin du 7 novembre, Syriza et les Grecs Indépendants ont déposé une objection sur la compatibilité du projet avec la Constitution. Selon les rapporteurs des deux partis, les paragraphes concernant les coupes des salaires et des pensions étaient anti-constitutionelles, ainsi que la proécdure d'urgence par laquelle le projet a été déposé au Parlement, puisqu'elle ne laisse que 10 heures de discussion, même si plusieurs membres du Parlement n'avaient reçu le texte que ce matin là.