L’élite féminine du hand français veut surfer sur l’effet JO et « faire fructifier cet amour pour les clubs »

Un mois après la fin du parcours olympique des Bleues, médaillées d’argent, le Championnat de France de D 1 féminine a redémarré. Peu exposée, la Ligue Butagaz Énergie aimerait profiter de l’engouement autour des Jeux pour gagner en visibilité.

Médaillées d'argent aux Jeux, Oriane Ondondo et Pauletta Foppa participeront à la Ligue Butagaz Energie cette saison. Icon Sport/Baptiste Fernandez
Médaillées d'argent aux Jeux, Oriane Ondondo et Pauletta Foppa participeront à la Ligue Butagaz Energie cette saison. Icon Sport/Baptiste Fernandez

    On est désormais loin de l’effervescence de l’été et de la furia qui a gagné Lille lors de la finale féminine du tournoi olympique du handball. Avec la majeure partie des 27 000 spectateurs présents au stade Pierre-Mauroy, acquis à la cause des Bleues, battues par la Norvège (21-29) et médaillées d’argent finalement.

    Mais comment surfer sur la vague et mettre beaucoup plus en valeur le Championnat de France de Division 1 féminine (Ligue Butagaz Énergie) si peu exposé et qui a recommencé ? « On part de tellement loin », lâche Pierre-Louis Amate, président du Paris 92 et présent le 3 septembre à la maison du hand à Créteil (Val-de-Marne) pour le grand cérémonial d’avant-saison, qui a aussi décerné les distinctions de l’exercice 2023-2024, remporté par Metz.