RMC Sport

OL: "Sûr qu'un jour on pourra se voir", Lacazette chaud pour rencontrer son sosie Ibadin

Alors qu'Alexandre Lacazette a décroché une belle médaille d'argent avec l'équipe de France de football aux Jeux olympiques de Paris 2024, le joueur a également fait parler de lui pour... sa ressemblance frappante avec Edose Ibadin, sprinteur nigérian également présent à Paris. Les deux hommes ne se sont pas rencontrés mais ça pourrait bientôt devenir une réalité.

C'est une histoire qui avait beaucoup amusé le grand public et les athlètes. Au départ de la deuxième série de qualifications du 800m hommes aux Jeux olympiques de Paris, Edose Ibadin avait attiré l'attention des (télé)spectateurs en raison de sa ressemblance physique indéniable avec le footballeur français Alexandre Lacazette.

Après avoir vu les images, les membres de la délégation nigériane avaient aussitôt qualifié le capitaine des Bleuets de "sosie officiel" de l'athlète africain et le sprinteur Alaba Akintola avait même dit en zone mixte que "ce n’est pas qu’ils se ressemblent, c’est carrément qu’ils sont frères".

"Hey, jumeau Lacazette, c’est ton jumeau nigérian, je te souhaite ainsi qu’à toute ton équipe bonne chance pour ton gros match. J’espère qu’on pourra se rencontrer", avait lâché le Edose Ibadin dans les colonnes de 20 minutes avant la finale finalement perdue par les Français contre l'Espagne.

Malheureusement, son souhait n'a pas (encore) été exaucé. "Je ne l'ai pas rencontré, a déclaré Alexandre Lacazette dans une interview accordée à OLPLAY - la plateforme vidéo de l'Olympique Lyonnais - et publiée jeudi.

"J'avais vu sur Twitter qu'on se ressemblait"

Comme le Nigérian, qui avait reçu pour la première fois un message à ce sujet en 2018, le Français avait déjà entendu parler de leur ressemblance physique.

"Je l'avais déjà vu auparavant et j'avais vu sur Twitter qu'on se ressemblait. Je n'ai pas pu le rencontrer parce qu'on n'était pas au village olympique donc c'était compliqué pour synchroniser mais je suis sûr qu'un jour on pourra se voir", a poursuivi le Lyonnais, revenu dans son club formateur il y a deux ans.

Le camp de base des hommes de Thierry Henry était en effet à Aix-en-Provence, leurs trois matchs de poules s'étant déroulés à Marseille et à Nice.

S'il considère que ça a "enlev[é] une partie de l'expérience", le milieu de terrain de 33 ans ne garde pas moins un bon souvenir de sa participation aux Jeux: "Ce que je retiendrai, c’est la communion avec le public, le soutien quotidien lorsque nous rencontrions des gens à l’hôtel, en allant à l’entraînement ou au stade. C’était la première fois que je vivais cela."

LP